Une semaine plus tard exactement, je m’en souviens bien, c’était un vendredi soir, Julie pendant notre apéro m’apprit la bonne nouvelle : Notre grande partouze, c’est pour demain soir ! Le mari d’Isa est en déplacement, sa fille chez des copines pour le week-end et donc, on a prévenu toutes nos « connaissances" féminines intéressées ! Chouette, regarde, je bande d’avance, ma chérie, lui dis-je en lui déposant un baiser sur la bouche ! Oui, tu peux car ça va être grandiose, toi qui fantasme sur les gouines, tu vas en avoir une bonne dizaine en action. Chez Isa, dans son grand salon, figure-toi qu’il y a un miroir sans tain qu’ils avaient installé dans leur chambre pour surveiller leur femme de ménage qui avait tendance à chiper quelques objets régulièrement et donc, tu vas pouvoir te branler comme un petit vicieux que tu es en nous regardant toutes ensemble nous faire du bien. »
J’étais sur un petit nuage, Julie m’avait déjà comblé depuis quelques mois mais là, c’était le top du top : vivement demain soir ! Nous fîmes l’amour le soir mais rapidement, Julie étant déjà concentrée sur sa belle soirée du lendemain. Samedi dix-huit heures, il était temps de partir de l’autre côté de la ville chez la belle Isa ; en moins de vingt minutes, nous y étions et elle nous accueilli chaleureusement, des bises très tendres pour moi et un vrai baiser pour Julie qui dura quelques secondes : Je suis trop contente et excitée mais aussi un peu tendue, nous confia Isa ! Ne t’inquiète pas, lui répondit son amante, tu verras que les choses se feront naturellement, et le champagne va couler à flots, ça va te décontracter ! J’en suis sûre mais bon, c’est quand même ma première orgie, et uniquement entre femmes ! Moi aussi, c’est ma première grande partouze saphique, jamais je n’ai baisé autant de filles à la fois et donc, on est à égalité ! Les deux filles se mirent à rire en se serrant dans les bras ; maintenant, il fallait tout préparer avant l’arrivée des convives à vingt heures. Les premières arrivèrent dans un petit van, elles avaient décidé de covoiturer. Julie et Isa se préparaient, c’est donc moi qui les accueillit ; elles furent un peu surprise, ne s’attendant pas à une présence masculine : Bonsoir, mesdames, veuillez entrer et vous mettre à l’aise, la maîtresse de maison se prépare et sera bientôt présente ! Les cinq femmes entrèrent, me firent un joli sourire. Elles étaient toutes habillées très sexy, je vais vous les décrire : la première était assez petite, blonde, un vrai joli sourire et perchée sur des bottes noires à talons très fins . Une simple robe noire elle aussi la vêtait et on ne devinait ni culotte ni soutif. Je crus comprendre qu’elle s’appelait Cécile et pouvait avoir une quarantaine d’année. La seconde qui suivit était plus grande et très maigre, peu de seins mais une superbe chute de rein et un petit cul à damner. En escarpins petits talons, des bas très opaques et une mini-jupe en cuir, elle était très intrigante. Son prénom, Jeanne, lui allait bien, elle ne devait pas avoir trente ans. Ensuite, ce fut une femme assez forte, Odile, la cinquantaine, tout en cuir, cheveux courts et bottes de moto, une vrai gougnotte certainement.Derrière elle, les deux dernières se tenaient par la main, elles s’appelaient Chloé et Mia, devaient avoir dix-huit ans et leurs petits minois étaient charmants. Habillées très court, le nombril à l’air, en grosses chaussures à hauts talons carrés, elles étaient très bandantes Je leur proposais à boire et les rassura en leur disant que je disparaitrais dès l’arrivée de notre hôte et de mon épouse, ce qui ne tarda pas.C’est tout d’abord Julie, ma femme, qui sortit de la chambre et vint saluer chacune des premières arrivées ; magnifique, elle était magnifique, en robe de cuir très courte, c’est tout juste si on ne voyait pas le bas de sa chatte, et avait mis les grandes bottes Louboutin que je lui avais dégottées sur Vinted à prix très compétitif ! Elles lui allaient à ravir et les talons aiguilles à chaque pas claquaient sur le carrelage. Quelques minutes plus tard, c’est Isa qui arriva, une robe de soie droite rouge mais quasi transparente sur des escarpins- rouge aussi- et très classes. Elle aussi vint saluer les convives et comme je le leur avais dit, je disparus dans la chambre. Je fermai la porte, ouvrit le rideau qui cachait le miroir sans tain et m’installai sur le lit, nu, la bite déjà en main. Combien de fois allais-je jouir, telle était la question ! Je me servis un petit whisky et regardais le très beau spectacle. Toutes les filles avaient un verre de champagne à la main et discutaient en commençant doucement à se toucher, se frotter doucement. Les yeux de Julie pétillaient ; soudain, elle regarda en direction du miroir et me fit un clin d’il. Qu’elle était belle, ma salope !!! Et pour me faire bander encore plus, elle posa la main sur le sein de Cécile avec qui elle discutait et cette dernière glissa sa main sous la robe de Julie pour lui caresser la chatte. Je vis ma femme frémir de plaisir et fermer les yeux tout en buvant son champagne, son breuvage préféré ! La sonnette retentit, Isa se dirigea vers la porte et trois filles firent leur apparition ; il y avait une belle noire, Maud je crois, dans une grand robe blanche et des bottines à talons hauts de la même couleur, Fred, une asiatique magnifique perchée sur les plus grands escarpins de la soirée plateforme de 5 cm et talons de 15 cm et enfin, une fille sosie de Keira Knightley, queue de cheval, petite veste de cuir sans rien en dessous, un pantalon de cuir et des bottines ultra fines. Pas mal de regards se tournèrent vers elle et je vis dans les yeux de pas mal de convives beaucoup de gourmandise; nul doute que Sonia -car elle s’appelait ainsi- allait être très entreprise. Elles étaient dix, je ne savais pas s’il y aurait encore des arrivées mais tout ça m’allait déjà très bien !
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