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Apparences

Chapitre 2

Recrutements

Voyeur / Exhibition
En chasse ................
Je suis d’humeur mutine et câline ce matin, aussi je m’habille en tenue de chasse. De chasse au mâle, du vrai, de celui qui sait ce qu’il veut et qui sait être à l’écoute de mon corps. Espèce en voie de disparition en ces temps de « balance ton porc ». Je connais un endroit, une sorte de réserve faunique du mâle entreprenant, mais relativement respectueux. Dès lors, je mets un chemisier ample que je laisse flotter au-dessus d’une jupe à volants. Le chemisier bien ouvert qu’on voit mes seins emprisonnés pour l’instant dans un super soutif Lejaby en dentelle... Forcément, j’ai le string qui va avec, les bas couleurs blancs me donnant un ensemble « printanier, mais coquin ! »
J’en ai déjà deux, mais il m’en faut un troisième. Philippe mon copain black est partant et Hervé son ami et partenaire de débauche (débauches gentilles, je dois dire ! Comment je le sais ? C’est une autre histoire...) aussi. Mais il nous en faut un troisième. Avec Jérôme, le compte sera bon, Olga sera comblée.
J’arrive dans ce bar fréquenté par cet homo-dragus et des gourmandes de cette espèce.Il est 17h00, ça se remplit tranquille et je vois quelques beaux spécimens qui sont vite traqués par des chasseuses aguerries. Au bout de l’immense bar, un hispano ténébreux semble s’emmerder. Je décide que ce serait lui l’objet de ma traque. Je m’installe à quelques sièges de lui, histoire de ne pas effaroucher la bête. Je commande un Mojito tout en jetant un regard de temps en temps vers lui.
Et au bout de quelques instants, nos regards se croisent, le mâle se rengorge. Va-t-il me faire sa parade nuptiale de suite ? Ce serait dommage, j’aime être la maîtresse du jeu. Non, il ne bouge pas, mais je sens qu’il est ferré comme un poisson. A moi de jouer avec la ligne pour ne pas casser ou couper le contact. Je me lève, prends mon verre et viens m’asseoir à deux sièges de lui, prenant soin de relever ma jupe pour que mes fesses soient en contact avec le cuir du siège. Il le voit et je suis sûre qu’il a vu mes bas et mon string. Tiens, il me sourit, le cochon ... trop facile. Mais je décide de jouer avec ma proie, celle-ci étant sous mon contrôle. Je me caresse le cou en passant ma main dans les cheveux et lui décoche un sourire faussement gêné. Je plante ma banderille favorite, je plonge mon regard dans le sien tout en passant ma langue sur mes lèvres d’un rouge passion.
Il fond, il titube et le voilà qui se trouve à côté de moi, et au moment où je crois l’avoir à ma main, il glisse la sienne sous ma jupe et me caresse une cuisse ...
Oh le salaud, c’est qu’il se débat encore l’animal et que sa main est douce, il déclenche une première salve de frissons ! Il m’offre un autre verre ! Un galant en plus ! et son sourire carnassier me prouve que j’avais raison, c’est du gros gibier dont il s’agit et la bataille va être rude et ne manquera certes pas de panache, mais l’issue est encore incertaine. J’adapte ma stratégie pour garder le contrôle, et à mon tour, je pose une main sur sa cuisse suffisamment près de son entrecuisse pour que je sente un sexe déjà en mouvement. Alors que je me penche pour ramasser un mouchoir que j’ai laissé tomber, il a tout le loisir de voir mes nichons. Et croyant que je tombais, sa main vient contre ma poitrine comme pour m’empêcher de choir à ses pieds !
Il me prend la main pour m’aider à me rasseoir et, émoustillée par ce premier contact, je le regarde fixement dans les yeux tout en déboutonnant un bouton de mon chemisier... J’attends qu’il prenne une initiative...
— J’ai envie de vous..... — Oui, d’accord, mais pas ici sur le comptoir !
Je prends mon sac à main, nous prenons une respiration et en profitons pour partir au fond du bar dans les toilettes pour femmes ! Arrivés là, je tourne la tête et il me dit :
— Je voulais seulement vous offrir un verre, mais je vois que vous n’avez pas soif, moi non plus ! Moi, c’est Kevin !— Moi, c’est Cathy, baise-moi !

Et là, le sauvage vient plaquer sa bouche contre la mienne et un corps à corps de nos deux langues est engagé. Ça roule, ça s’enroule, la mêlée est à son comble, remplie d’une humidité excitante. Nous sommes soudés par nos bouches, et ses mains sont sur mon cou, dans mon dos, je me suis laissée prendre dans ses filets, mais « Putain que c’est bon ! » Je me serre contre lui, mes nichons frottent sa chemise comme pour la déchirer, et une de mes jambes vient entre les siennes me confirmer la raideur de sa queue ! Il me prend dans ses bras, me pose entre deux vasques ! arrache mon string tandis que je libère son membre qui m’apparaît dans toute sa splendeur !
Écartant mes cuisses, je saisis son pénis garni d’une belle veine, le décalotte et le présente à ma vulve trempée ! Je sens que la chasse est vraiment bonne aujourd’hui ! Une femme rentre dans les toilettes, elle nous observe en nous lançant un sourire d’envie. Elle laisse la porte de la cabine ouverte, soulève sa jupe, baisse son string et commence à se caresser devant nous, moi je l’ai devant les yeux, Kevin dans la glace.
Nous continuons, ne pouvant plus « contrôler » nos sens exacerbés. J’ouvre mon chemisier et tandis que je joue des reins pour le sentir au plus profond de moi, il malaxe, caresse, titille seins et tétons !
La femme a joui et s’est enfermée pour faire ce qu’elle était venue faire. Je ne suis plus qu’une onde de jouissance qui s’étend à tout mon être ! Ses cuisses claquent contre les miennes et nous accélérons le rythme dans une harmonie de halètement, de ahanements et de grognements de bêtes en rut !
Quand la femme sort de sa cabine, je souris à cette inconnue et lui lance :
— Vous m’attendez ?
Elle m’envoie un baiser accompagné d’un petit signe de la main me montrant l’extérieur des toilettes. Oui, bien sûr, pas ici !Kevin est vraiment en forme ! Je suis au bord de l’orgasme, du coup je le repousse, descends du rebord de la vasque des toilettes et m’agenouille pour le pomper, l’aspirer, me repaître de ce sexe ! Ma bouche l’enserre et lui, mains sur ma tête, caressant mes cheveux, râle comme une bête proche du coup de grâce ! Et voilà, il est terrassé par un orgasme qui le fait se vider en moi, ma gorge est pleine de son sperme chaud ! Le trop-plein de foutre finit par déborder de ma bouche et couler à terre ! Je me redresse et, d’un geste, m’essuie les lèvres et me rassois sur le bord de la vasque.
— Allez ! Salaud ! Finis ce que tu as commencé !
Et au lieu de tomber devant l’ennemi dans un dernier effort, il me reprend sur la vasque et vient, de sa bouche, lécher mon entrecuisse, ma vulve détrempée, gorgée de mon jus intime, de ma cyprine royale !Et il déguste en connaisseur avec sa langue qui fouille ma fente et trouve mon clitoris turgescent. Il s’acharne avec une belle énergie jusqu’à m’entendre jouir comme une chienne ! J’explose dans sa bouche ! je crie mon plaisir et lui, continue, prolonge mon orgasme jusque dans mon dernier soubresaut et me regarde.
— Tu es si belle quand tu jouis ! tu m’as bien eu ! — Toi aussi, tu m’as bien eue ! Tu voudrais m’avoir encore ? — Je n’ai rien contre ! — Et moi, j’aime quand tu es contre, tout contre ! Mais pas maintenant, non, Kevin !............................
Trois jours après, nous déjeunons ensemble et je lui parle du projet dont j’ai la charge. Une amie, qui a envie..... d’avoir plusieurs hommes... mais elle ne veut pas savoir quand ça se fera et on a la complicité du mari pour organiser ça. Elle accepte tout sauf scato-uro. Elle protestera si vous voulez la sodomiser, oui, je sais, vous la sodomiserez, mais le mari n’a jamais réussi à lui faire accepter, il n’y a que de la part de ses amants qu’elle l’accepte et elle aime ça, en plus ! Non, le mari ne savait pas qu’elle avait des amants. Enfin, maintenant, il le sait, mais elle ne sait pas qu’il le sait. Qu’en penses-tu, Kevin ? Kevin trouve que c’est un peu compliqué, mais n’en pense que du bien... Il a déjà été avec un ou plusieurs hommes sur une même dame ? Oui, il a été. Pas de problème d’érection ? Non. De toute façon, je vous fournirai ce qu’il faut ! Il me demande s’il pourra me sauter après l’avoir sautée, elle ? Oui, bien sûr !
.............................Le soir, j’appelle Jérôme. Je l’informe des recrues que j’ai et on met une dernière touche au scénario.— Jérôme, tu tiens ta revanche. Ça lui apprendra à te ridiculiser !
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