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Appartenir à un Homme

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Bonjour,Je me prénomme Tex, 55 ans à l’époque, et envie de me donner à un autre, sans retenue, sans tabou, juste du plaisir (son plaisir) et vivre enfin un fantasme qui me suit depuis de nombreuses années.Cette histoire vraie, je vais essayer de vous la raconter le plus précisément possible, sans omettre un détail.Depuis longtemps, je cherche à rencontrer un Homme qui saura me dominer et m’utiliser pour son plaisir. Rendez-vous pris, j’ai failli plusieurs fois renoncer, mais je m’étais engagé à le rencontrer et à part faire connaissance, je ne risquais pas grand-chose. Je me suis rendu dans un bistrot où il m’attendait déjà. Un Monsieur plus petit que moi, des yeux bleus « perçants » un petit sourire me montrant déjà qu’il était l’Homme.
Nous avons échangé sur ses pratiques, il m’a dit vouloir un soumis pour le « travailler », le rendre docile et pour cela, il y a plusieurs moyens de faire. Il m’a parlé de cordes, de pinces, de cire... Mais ce qu’il aime par-dessus tout est d’imaginer un scénario (qu’il ne m’a pas dévoilé) et de le réaliser par la suite.
Je l’ai écouté, je sentais ma queue durcir parfois. Tout ce qu’il me racontait, j’avais envie de le vivre.
Rendez-vous a été pris, il habite à environ 40 kilomètres de chez moi, donc aucun risque de croiser des personnes connues.Arrivé chez lui, il m’a ouvert. Monsieur habite une ferme isolée aux pieds des montagnes et cet endroit appelle à la tranquillité. Il me désigne une porte sur la droite : la salle de bains.
— À poil, tu attends que je vienne te chercher.
Je me suis déshabillé. Une fois nu, je me suis demandé si je devais l’attendre à genoux ou debout. Mais sans consigne de sa part, je suis resté debout. Il est venu après quelques minutes d’attente. D’un regard, il m’a scruté, toujours avec ce regard bleu. Sans un mot, il m’a fixé un collier en cuir assez large, y a fixé une laisse et m’a bandé les yeux. Je tremblais, de peur ? Non je ne crois pas, mais quand même un peu d’angoisse et surtout de plaisir. Comment Vous expliquer ?
Découvrir ce « rôle » et m’y trouver bien, comme si enfin j’étais à ma place...
— À quatre pattes.
Monsieur a tiré sur la laisse et m’a obligé à le suivre, dans le noir. De suite, je suis obligé d’établir une relation de confiance avec Monsieur. Nous arrivons dans une pièce après quelques mètres. Je le sens tout proche de moi, il me fait mettre debout et me chuchote :
— Tu es à moi pour quelques heures. Je vais m’occuper de toi parfois doucement, parfois plus sévèrement, nous avons établi un mot code, mais je sais que tu ne l’utiliseras pas.
Monsieur passe ses mains sur mon corps, comme s’il voulait le découvrir. Il ne s’arrête pas sur un endroit précis, juste des caresses partout. Les yeux bandés, je suis obligé de développer mes autres sens, l’ouïe en particulier. Monsieur prend des objets, m’attrape un poignet et me fixe un bracelet large en cuir. Au bruit, je comprends qu’il y a un mousqueton en fer. Il fait de même avec mon autre poignet, très calmement. Le bruit d’une chaîne, que je suppose assez lourde. Il fixe mes poignets à la chaîne à l’aide des mousquetons et tire dessus, m’obligeant à soulever mes bras. Monsieur fixe la chaîne à un crochet, me voilà attaché, bras tendus.

— Écarte les jambes.
Parfois, il sait être doux dans ses gestes, mais ses paroles sont toujours très directives. Je le sens tourner autour de moi, à nouveau me caresser, mais aussi me pincer les tétons ou me prendre la bite à pleine main, sans ménagement. Tout n’est que sensations puisque j’ai les yeux bandés, je ne sais jamais ce qu’il va faire, alors que je sens qu’il s’est préparé un scénario.
D’un geste entre mes cuisses, Monsieur me fait écarter et pencher en avant. Je sens ses doigts, sa main sur mes fesses puis dans le sillon. Monsieur a pris du gel et sans ménagement, me fouille le cul. Bizarrement, aucun mouvement de recul. Ses gestes pourtant autoritaires sont doux. Monsieur me pénètre d’un doigt puis plusieurs, mais aucune douleur... Que du plaisir. Je n’en reviens pas, mais je découvre aimer me faire fouiller.
Mais Monsieur enchaîne avec d’autres caresses. Je découvre par sensation qu’il a pris une roulette à crans pointus et qu’il la passe sur mon corps (je constaterai plus tard que c’est en fait une brosse à cheveux ronde qu’il a utilisée).
Je ne suis rien d’autre que son instrument à plaisir, je m’abandonne complètement à ses envies, sans retenue, sans crainte. Quelle douce sensation !Des coups sur mes cuisses, sur le corps... Partout... Monsieur utilise une baguette fine qu’il utilise en me donnant des petits coups pas très forts, mais au même endroit longtemps... je « subis » à nouveau en gémissant de plaisir. Mais je n’ose pas trop « parler », Monsieur ne m’en a pas donné l’autorisation.
Je ne refuse rien de ce qu’il me fait subir, bien au contraire, ce qui lui fait dire :
— Tu es un gourmand toi, mais interdiction de jouir.
Et pour être sûr que je ne vide pas mes couilles, il pose un élastique sous mes boules et le serre sur mon pubis.Je ne fais qu’acquiescer de la tête. Monsieur me détache les poignées de la chaîne, mais garde les deux attachés ensemble. Il me fait mettre les mains derrière la tête et c‘est comme si j’étais à nouveau les bras en l’air, sauf que mon corps se donne d’une autre position.Monsieur reprend les caresses avec la brosse à cheveux ou la baguette pendant encore de longues minutes.Il me détache, me retire le bandeau, mais la lumière est trop forte ; naturellement, je garde les yeux fermés. Je n’arrive à les ouvrir que par de brefs moments.Monsieur retire la laisse aussi et vient s’asseoir sur une chaise en face de moi.
— À quatre pattes !
L’ordre ne mérite aucune contestation. A hauteur de son sexe, je lève à peine la tête et le vois déboutonner sa braguette. Monsieur sort sa queue qui est encore « molle ». Je comprends, car ça fait au moins 1h qu’il s’occupe de moi et ce n’est pas facile de bander aussi longtemps, surtout lorsque l’on s’occupe d’un soumis.D’un geste, il me montre que je dois le sucer. Je saute littéralement sur cette bite, cherchant à le faire bander.Monsieur a une queue « normale », non rasée et qui sent un peu. Mais mon envie de le sucer est bien plus forte et je l’engloutis en cherchant comment j’aime être sucé et le restituer au mieux.
Je parcours sa tige avec ma langue, lèche le gland, le pompe un peu en faisant très attention de ne pas utiliser mes dents. Avec ma langue, je plaque sa queue contre mon palais et le suce le plus loin possible. Bonheur pour moi, je fais durcir la queue de Monsieur, ce qui suffit largement à mon plaisir. Je ne pense plus aux poils, à son odeur, mais juste à lui procurer du plaisir, voulant même le faire éjaculer.
Monsieur me rejette, il n’est pas question pour lui de jouir maintenant.Toujours à quatre pattes, il prend une cravache et me fouette le cul, avec sa technique : pas trop fort, mais longtemps au même endroit. Je ne peux que geindre de plaisir... Puis Monsieur prend un paddle pour que les coups marquent plus mon cul.
Je sens le moment approcher où Monsieur voudra m’enculer. Et effectivement, il vient se placer derrière moi, met à nouveau du gel dans mon sillon et sur ma rondelle puis me pénètre d’un ou deux doigts pour bien me préparer.
Monsieur a mis une capote, tente de me baiser, mais je sens sa queue trop molle. Il revient devant moi, m’oblige à le sucer à nouveau, mais principalement les couilles que je fais rouler dans ma bouche. Il ne tarde pas à durcir...
A nouveau, il se met derrière moi, pointe sa bite sur ma rondelle et doucement s’enfonce en moi... Enfin, oui enfin je suis pris, je suis enculé par un Homme. Depuis le temps que j’en rêvais, ça devient réalité. Je ne sais pas si c’est sa « préparation » au gel ou si je suis bien détendu, mais je ne ressens aucune douleur..... rien... Qu’une queue qui s’enfonce en moi et qui prend du plaisir.
Les mains de Monsieur se posent sur mes hanches et telle une femelle je me fais baiser... Quel bonheur, je ne sais pas comment décrire ce que je ressens, mais que du plaisir. Monsieur s’était retenu longtemps et il a joui très vite, trop vite en poussant un râle de plaisir. Je pense qu’il en a pris au moins autant que moi.Pendant qu’il m’enculait, je ne bandais pas, mais des sensations inconnues me parcouraient le corps... j’ai aimé ça...Une fois qu’il a repris ses esprits, Monsieur m’a dit d’aller me doucher, me rhabiller et de revenir vers lui. C’est ce que j’ai fait, mais comme il ne m’avait pas enlevé l’élastique autour de mes couilles, je me suis présenté à lui pantalon ouvert sans caleçon.
Monsieur n’a pas compris tout de suite pourquoi je venais vers lui dans cette tenue, je lui ai dit que j’avais encore l’élastique. Il me l’a retirée sans ménagement, sans délicatesse.Nous avons échangé ensuite quelques banalités, je n’ai pas osé lui demander si ça lui avait plu. Ce n’est que quelques jours plus tard que je l’ai contacté par mail et qu’il m’a dit avoir apprécié ma soumission et ma disponibilité.
Je ne désespère pas le revoir un jour, mais son travail l’accapare et trouver une date qui corresponde aux deux est difficile.
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