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Je m'appelle Amélie

Chapitre 6

Camille

Divers
Ma vie n’est pas faite que de sexe. J’aime les promenades dans la nature, les bons petits plats et les voyages qui me donnent l’occasion de faire des rencontres dont certaines sont de merveilleux souvenirs. Je me mis en tête un jour de partir en train vers le midi. J’avais réservé un compartiment-couchette pour moi seule, comptant que peut-être une heureuse surprise me serait accordée pendant le voyage. Sur le quai de la gare de Lyon, au moment d’embarquer dans le train de nuit qui m’emmenait sur la Côte d’Azur, je fus accostée par une dame charmante accompagnée de sa jeune fille.
— Madame, me dit-elle en souriant, n’iriez-vous pas vers Nice ?— Oui. Pourquoi ?— Pourrais-je vous confier ma fille, si toutefois sa présence ne vous gênerait pas ? Elle vient d’avoir dix-huit ans et elle craint de voyager seule parce qu’elle est encore vierge. Pas comme moi à son âge. Elle est née alors que je n’avais que dix-sept ans. Elle s’appelle Camille.
Je dévisageai la jouvencelle qui me parut bien faite et bien avenante d’esprit.
— Elle doit retrouver à Cannes son grand frère et son cousin qui reviennent de vacances en Grèce. J’aurais aimé faire moi-même le voyage, mais mes obligations me retiennent à Paris. Acceptez-vous ?
Je regardai une autre fois la demoiselle et vis sur son visage une petite moue de supplication. Elle me sourit et je fus tout de suite conquise. Une idée folle me traversa le cerveau. J’allais me trouver seule avec une jeune fille encore pucelle. C’est peut-être l’occasion de savoir où en est son éducation. Je suis une petite salope, quand je m’y mets. Toutes les occasions sont bonnes pour me faire jouir et celle-ci me parut un cadeau du ciel. Un tendron ! Quel présent savoureux !
— Oh ! Madame, dites oui, s’il vous plaît. Je ne veux pas voyager toute seule, j’ai peur des mauvaises rencontres.— Comme je vous comprends, répondis-je. Allez, je vous embarque.— Oh ! Merci ! Merci ! dit-elle en me sautant au cou.— Montez, dis-je.
Je lui confiai le numéro du compartiment. La mère l’aida à s’installer. Quel merveilleux décor ! Des banquettes en velours rouge, une tablette contre la fenêtre avec posée dessus une petite lampe à l’abat-jour de soie rose. Les parois de bois précieux achevaient de donner à ce compartiment des allures de train de luxe. Un charmant contrôleur nous expliqua le fonctionnement du mécanisme qui faisait de la banquette un lit confortable pour deux personnes. Quand nous fûmes débarrassées de nos manteaux, la mère prit congé et nous restâmes seules dans ce décor de rêve pour jeunes mariés.Une fois partis, nous devisions quand le contrôleur entra.
— Vous ne manquez de rien, s’enquit-il ? En cas de besoin, n’hésitez pas à sonner. Le dîner est vers 20 heures. Mais vous pouvez demander qu’il vous soit apporté ici. Il suffit d’appeler.
Je le remerciai d’un sourire et consultai ma montre que j’ai toujours pendue à mon cou. C’est un cadeau de ma mère qui la tenait de son aïeule. Il était presque l’heure du repas. Je me levai et entraînai ma compagne hors du compartiment que je fermai prudemment à clé. Le wagon-restaurant était aussi un endroit cossu. Chaque table avait sa petite lampe, ce qui rendait l’endroit très intime. A ma demande, on nous servit un léger cherry coupé de champagne, ce qui eut le don de donner quelque rougeur au visage de la jeune donzelle.
— C’est la première fois que je bois de l’alcool, dit-elle, au bord du fou rire. Cela me fait un drôle d’effet, j’ai comme la tête qui tourne.— Ne vous inquiétez pas. C’est normal. Moi aussi cela m’arrive parfois. C’est bon de se laisser aller. N’y voyez surtout pas de malice. L’alcool peut être bénéfique quand on n’en abuse pas.
Le repas fut gai. Camille était tout à fait détendue et ne se formalisa point lorsque, prétextant la chaleur, je dénouai le cordon qui tenait le col de mon corsage d’organdi, découvrant un peu le sillon entre mes seins. Elle crut bon de faire de même et je m’aperçus qu’elle n’avait pas à rougir des bienfaits de la nature. Nous retournâmes dans notre compartiment et je fermai à double tour. Le vin rosé qui accompagnait les mets était suffisamment capiteux pour nous émoustiller toutes deux. J’entrepris de me déshabiller, invitant Camille à m’imiter.
— Point de pudibonderie entre nous, commentai-je. A quoi bon se cacher, nous sommons seules, personne ne viendra nous déranger et nous empêcher de dormir. Et puis, la nature est si jolie, n’est-ce pas ?
Ma jupe et mon jupon de soie suivirent mon corsage de près et je me retrouvai en petite chemise de linon qui ne devait rien cacher de mes charmes. Elle tombait juste au ras de mes fesses, découvrant le haut de mes seins et ma toison châtain entre mes cuisses. Camille me regarda, surprise de me voir aussi libre.
— Veux-tu que je t’aide ? lui proposai-je. Je vois que tu es un peu embarrassée avec tous tes cordons.— Je veux bien, balbutia-t-elle. Mais vous ne portez pas de culotte ? Vous n’avez pas froid ?— Pourquoi aurais-je froid ? Cet endroit est pourtant toujours bien chaud, dis-je avec un sourire provocant. Non, je ne porte de culotte que lorsqu’il fait vraiment très froid et que je vais aux courses à Longchamps.
Je l’aidai à enlever sa robe de satin et trois jupons. Elle portait une longue culotte de coton écru, fendue comme celle de ma grand-mère et une longue chemise du même acabit.
— Comment peux-tu supporter tout cela ? Un corps, c’est fait pour être libre et non enfermé sous un tas de vêtements qui l’empêchent de respirer. As-tu prévu une chemise pour la nuit ?— Non, d’habitude, je dors avec ce genre de vêtements, ma mère ne m’en donne pas d’autres.— Ce n’est rien, je vais t’en prêter une.
Ce disant, je lui donne une chemise semblable à la mienne, comme préparée pour une nuit d’amour, si courte qu’elle ne cachait rien et si fine que les bouts-de-sein pointaient fièrement à travers le linon transparent.
— Mais, je ne vais pas mettre cela ! — Et pourquoi pas ? dis-je en lui ôtant sa chemise de coton et sa culotte de grand-mère.
Je restai bouche bée devant le tableau que m’offrait Camille. Deux jeunes seins ronds bien fermes et bien formés aux pointes roses plantées sur de larges aréoles saillantes et légèrement piquées de petits grains plus sombres. Mon regard détailla son corps et s’attarda sur le haut des cuisses là où une légère toison brune formait un petit triangle moussu qui découvrait une fente rose déjà ouverte sur des petites lèvres déjà longues pour leur âge. J’eus envie de les caresser, mais je me retins pour ne pas effaroucher ma jeune compagne. Camille restait immobile, consciente de la gravité du moment.
— Tu es vraiment jolie, dis-je en frôlant du bout des doigts ses mamelons durcis.
Elle soupira, se recula en tentant de cacher ses seins dans ses mains fines. Je n’insistai pas, mais en lui passant la fine chemise de nuit, j’en profitai pour lui toucher les seins à travers le tissu. Puis, je lui saisis les deux mains et les posai sur ma poitrine aux mamelons enflés par le désir.
— Sens comme mes seins sont durs.
Elle sembla hésiter, mais sans doute convaincue par l’invitation de mon regard, elle s’enhardit et prit délicatement entre ses doigts mes pointes érigées et se mit à les flatter doucement.
— Pourquoi faites-vous ça ? demanda-t-elle.— Cela te dérange vraiment ? Tu n’aimes pas voir mes seins ou bien ils ne sont pas assez beaux ? C’est vrai que je n’ai plus ma poitrine de vingt ans, mais je l’aime bien et il m’arrive souvent de la caresser. Cela fait du bien et donne de gentils petits frissons qui passent partout. Tu ne veux vraiment pas les toucher ? Tu as peur ?— C’est la première fois, dit-elle en rougissant. Je n’ai jamais touché les miens sauf pendant ma toilette avec le gant rêche de crin. J’ai peur d’avoir mal. Et puis, ce n’est pas bien. Maman m’a toujours dit qu’il ne fallait jamais jouer avec les seins ni avec la petite touffe de poils qui pousse entre les jambes. C’est mal et sale.— Ah ! Ta maman t’a dit tout ça ? Elle n’a pas tout à fait tort, sauf que cela fait tant de bien que lorsque tu y auras goûté, tu ne pourras plus t’en passer. Allons, regarde mes seins et touche-les.— Comment faites-vous pour vous maintenir aussi élégante ? Ma mère n’a pas la poitrine aussi ferme.— Rien de spécial. Un peu d’exercices le matin au réveil et... beaucoup de caresses.— Ah !
Elle me regarda, incrédule.
— Bien sûr. Je me caresse les seins souvent avec un baume spécial qui durcit les muscles de la poitrine. Je t’en expliquerai la provenance. Tu peux les sentir, ils sont bien durs.
Je lui prends les mains et les pose sur mes seins l’invitant à les palper.
— Caresse-les doucement et joue avec les mamelons, cela donne une sensation merveilleuse. — Votre peau est douce ; on dirait du satin.— La tienne doit être encore plus douce. Tu es plus jeune et tes muscles sont fermes. Ta poitrine tient toute seule.
Elle rougit. Ce disant, je commence à la caresser, jouant du bout de l’index sur les mamelons qui se mettent à pointer comme de petits mandrins. Je prends Camille et lui cale le dos contre mon ventre, tout en prenant ses seins en main et me mets à les masser d’abord doucement puis de plus en plus fermement. Elle soupire, penche la tête vers moi. La soie de ses cheveux me titille le bout des seins, ce qui me met peu à peu en transe. Sa caresse, douce, mais appuyée, me donnait des frissons qui finirent par me faire couler de la fente. Je pris une de ses mains et la plaquai sous ma fine chemise sur cet endroit très chaud et humide. Camille me lança un petit regard étonné.
— C’est mouillé, dit-elle.— Bien sûr. Cela ne t’arrive jamais ?— Je ne sais pas, je n’ai jamais remarqué.— Ah ! Pourquoi ? Tu n’osais pas poser tes doigts sur cet endroit admirable qui donne tant de belles sensations et qui te fait trouver le bonheur ?— Je n’y ai jamais pensé.— Personne ne t’en a parlé?— Non !— Même pas ta maman ?— Non. Pourquoi ?— Pour rien. Moi, c’est ma mère qui m’a tout appris alors que j’étais encore jeune. — Vous lui aviez demandé?— Non, c’est venu comme ça, dans la conversation. J’ai eu la chance de vivre dans une famille très libre et ma mère me racontait ses soirées avec ses amants. Regarde-moi. Je vais te montrer tout ce que tu dois savoir. Tu as l’âge d’apprendre tout sur l’amour. Ne crains rien, cela ne fait pas mal.
Je la prends dans mes bras et pose délicatement ma bouche sur la sienne. Doucement, je passe la langue sur ses lèvres puis pousse pour les entrouvrir. Elle se laisse faire, mais je la sens frissonner un peu.
— N’aie pas peur. Ouvre ta bouche et donne ta langue à la mienne.
Elle obéit sagement. Ma langue joue alors avec la sienne et peu à peu, je me rends compte qu’elle réagit. Son corps se love contre le mien et ses mamelons durcis pointent contre ma peau. Je fais mine de m’écarter, mais elle m’enlace pour m’inviter à continuer. Notre baiser devient alors très chaud et c’est maintenant sa langue qui se presse contre la mienne. Elle apprend vite. Je m’arrête pour reprendre mon haleine.
— Oh ! Je suis toute chose. Je me sens drôle, comme si j’allais me pâmer. Pourquoi ? Que se passe-t-il ? Je ne suis pourtant pas faible.— Ma chérie, c’est l’envie, le désir. Laisse-toi aller.— Enlève-moi ma petite chemise et caresse mes seins. Viens sur le lit, nous serons mieux. Aide-moi à l’étendre.
Je la couche et m’installe près d’elle, lui prends la main et la porte à mes lèvres. Je commence à l’embrasser d’abord sur le front puis très doucement sur le cou derrière l’oreille. Ma bouche alors descend vers la poitrine où elle s’arrête pour sucer délicatement les mamelons érigés. Elle veut prendre ma tête dans ses mains.
— Non ! Ne bouge pas. Laisse-moi faire.
Mon baiser reprend vers le bas. J’enfonce le bout de ma langue dans son nombril et la fais tourner., j’arrive à la fourche. Je vois sa fente rose, ourlée de petites lèvres longues et fines. Ma langue s’insinue entre elles et je remarque que lentement, ses cuisses s’ouvrent pour me laisser passer. Alors, je me mets à lui masser les bouts-de-sein pendant que j’enfouis mon visage entre ses jambes pour goûter à la liqueur qui suinte de sa chatte. Je l’entends alors soupirer puis gémir. Ma langue accélère son mouvement, car j’ai découvert son petit clitoris vierge qui, brusquement gonflé, vient de sortir de son étui rose. Soudain, elle ne se tient plus, elle pousse un long cri et, s’arc-boutant, elle jouit, déversant dans ma bouche un long flot de foutre onctueux et parfumé. Je me redresse pour admirer le spectacle de cette jeune fille qui vit son premier orgasme, car je suis sûre qu’elle n’a jamais joui avant aujourd’hui.
Ses yeux brillent de mille feux tandis qu’une légère rougeur s’étend sur son cou et ses seins. Elle s’éveille.
— Oh ! Là là! Que m’arrive-t-il, Madame ?— Rien de grave, ma chérie. Tu viens de jouir. N’est-ce pas que c’était bon ! Appelle-moi Amélie.— Oh ! Oui ! J’ai vu des étoiles et j’ai cru m’évanouir. C’est toujours comme ça ?— Oui, si ton partenaire s’y prend bien.— Et vous ? Vous n’avez rien eu ? — Pourquoi me dis-tu cela ?— Vous n’êtes pas jalouse ?— De quoi ?— Du plaisir que vous m’avez donné.— Bien sûr que non, rassure-toi.— Dites, est-ce que je peux vous en faire autant ?— Bien sûr, c’est ce que j’attends de toi. Prends ton temps, nous avons toute la nuit.
Là-dessus, appliquant rigoureusement la leçon qu’elle vient de recevoir, elle se met à poser des baisers sur tout mon corps, joue avec mes pointes de seins érigées, descend vers ma fourche qu’elle force avec une douceur exaspérante. J’ai hâte qu’elle trouve mon petit bouton d’amour pour y poser sa langue. Je m’écartèle. Elle pose sa bouche sur ma fente et lentement d’abord puis très vite, elle fait frétiller sa langue sur mon clito qui devient comme fou de désir. En même temps, elle a saisi mes bouts-de-sein entre ses doigts qu’elle fait tourner. J’en deviens folle. Je sens le plaisir monter, mais je me retiens pour ne pas lui donner l’impression qu’elle ne sait pas s’y prendre. Je gémis, je soupire, je râle jusqu’au moment où, ne pouvant me retenir, je saisis sa tête, je la presse contre ma chatte et je jouis brutalement en hurlant. Sûr qu’on a dû m’entendre dans le couloir. J’ai peine à retrouver mes esprits.
Enfin, j’émerge et je vois Camille penchée sur moi, les yeux pétillants, heureuse de sa réussite. Pour une première fois, ce fut divin.
— Oh ! Camille ! Que m’as-tu fait ? Tu es douée et je me félicite d’avoir accepté de t’accompagner. Comme tu es douce. Mon clitoris a rarement reçu de telles caresses.
Elle rougit et se couche contre moi.
— Amélie !— Quoi, mon cœur ?— C’était vraiment si bon que tu le dis ?— Tout à fait. Tu apprends très vite et je suis convaincue que tu sauras te conduire en femme avec ton mari, plus tard. C’est important de savoir bien s’y prendre pour faire jouir un homme tout en prenant du plaisir.— Mais il n’y a pas d’homme ici, à part le convoyeur et le garçon de restaurant. — Il y aura ton cousin.— Mais mon frère sera avec lui et je n’oserai jamais lui faire ce que tu m’as fait. Il me considérerait comme la dernière des filles.— Ne crois pas cela. Si tu le prends bien, il en redemandera et qui sait... Allons. Caresse-moi encore.— Caresse-moi aussi en même temps. Tu viens de m’apprendre une chose que j’ignorais. Je ne savais pas que les femmes avaient ce petit endroit sensible que tu as appelé clitoris. Regarde-moi, je vais tenter de le retrouver. Ah ! Je pense que je le sens. C’est comme un petit pois qui durcit. Caresse-le, j’ai envie de jouir en même temps que toi.
Camille m’étonne. C’est rare de la part d’une jeune pucelle inexpérimentée de se conduire comme une petite grue. Je la regarde. Elle a entré son doigt dans sa fente et lentement titille son bouton. Elle ferme les yeux pour mieux goûter l’instant. Je m’étends alors contre elle à l’envers. J’écarte sa main et je pose ma bouche entre ses cuisses grandes ouvertes comme si elle m’attendait. Elle me prend les fesses et enfouit sa tête entre mes cuisses elles aussi largement écartées. Je sens sa langue me fouiller la motte. Elle a soudain une intuition. Elle introduit deux longs doigts dans mon vagin bien lubrifié et les fait bouger d’un mouvement de plus en plus rapide. Je fais de même. Nous nous lançons dans une partie de lèche-moule qui finit par nous donner un formidable orgasme simultané. Je tremble comme une feuille et je la sens frémir au moment où toutes deux, nous explosons dans le plaisir. Elle me déverse sa liqueur dans la bouche et nous tombons enlacées sur le lit défait.
Le réveil nous trouve dans les bras l’une de l’autre. On a frappé. Je passe rapidement un peignoir, ouvre et tombe nez à nez avec le garçon qui nous apporte de petit-déjeuner. Camille est nue sur le lit et j’ai à peine le temps de ramener le drap sur elle. Pourtant je pense que le garçon n’est pas aveugle et qu’il a pu profiter du tableau qu’offre mon amante d’une nuit. Elle continue à dormir tandis que le groom dépose le plateau sur la tablette. Il sort, déçu peut-être de ne pas être invité à rester un peu. En sortant, il jette un œil sur mon peignoir qui bée sur mes seins et que volontairement je laisse ouvert. Il bafouille un merci timide pour le pourboire que je lui laisse et sort en refermant lentement la porte. Je tourne la clé.
Je réveille ma compagne d’un baiser mouillé et je lui caresse les seins. Elle s’ébroue, me tend les bras et m’attire sur elle. Puis elle s’écarte et, avisant le petit pot de confiture à l’orange, elle y plonge la petite cuiller et m’en enduit les mamelons d’une bonne dose. Je n’en reviens pas de son audace. Elle se penche et suce mes bouts-de-sein en léchant la confiture puis, trempant ses doigts dans le pot, elle m’enduit la fente et recommence à lécher en insistant sur le clitoris. Elle recommence jusqu’à ce qu’elle ait vidé le pot. C’est la première fois que je reçois un tel hommage. Sa langue frétille de plus en plus vite et bien sûr, je jouis brusquement en criant mon plaisir.
Chère Camille. Elle avait l’air d’une petite demoiselle timorée quand sa mère me la présenta et je découvre en elle un tempérament aussi chaud que le mien. Malgré mon orgasme, elle continue, suçant mes mamelons l’un après l’autre, me caressant la chatte jusqu’au moment où j’explose une nouvelle fois. Je suis pantelante sur le lit, je n’ai plus de forces, je n’ai besoin de rien et pour me récompenser, Camille me donne le spectacle des caresses qu’elle se donne jusqu’au moment où elle aussi s’écroule sur le lit, en proie à un fabuleux orgasme.
Nous avons mangé notre pain sec et nous avons fait une toilette rapide qui nous a permis de recommencer nos ébats amoureux. Mais toute bonne chose a une fin. Nous arrivons à Nice, les yeux cernés par notre folle nuit. Camille me présente son frère et son cousin qui ont tous deux fière allure malgré leurs jeunes vingt ans. Je n’ai pas voulu les inviter, car me connaissant, je n’aurais pas pu m’empêcher de les dévergonder, mais avec les risques que la débauche de mineurs entraîne dans mon pays de puritains. Je pris congé de Camille en lui promettant de la recevoir chez moi dès mon retour à Paris. Ce que je fis, car j’ai toujours tenu à respecter mes promesses. Camille est devenue une tendre amie avec qui j’ai passé des heures très heureuses, vous n’en doutez pas.
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