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Je m'appelle Amélie

Chapitre 7

Divers
Chapitre 7 Les chaises musicales
Les vacances passèrent ainsi, à tenter de séduire et d’être séduite, mais à part ces deux garçons talentueux, je n’eus que peu d’occasions de tester les talents amoureux des gentilshommes qui hantaient cet hôtel pourtant réputé pour sa clientèle sélecte. Je rentrai donc à Paris. Quelle ne fut pas ma surprise de trouver un courrier de ma charmante Emeline qui me conviait à une fête intime pour fêter son anniversaire ! Et, comme pour m’allécher, elle me citait un certain nombre de messieurs de haute volée dont j’avais déjà pu apprécier la finesse et la force, mais aussi d’inconnus dont l’anonymat aiguisa mes désirs.
Je me mis donc en quête d’une toilette à la fois discrète et aguichante. Mon choix se porta sur une longue robe de mousseline mauve seulement fermée à la taille par un petit ferret d’argent. Les pans se chevauchaient de manière à ne rien dévoiler ni de ma poitrine libre ni de mes jambes gainées de bas de soie blancs qui montaient bien haut, retenus par une jarretière aussi mauve que ma robe. Devinez ? Vous avez bien vu. Ou plutôt vous n’avez rien pu voir puisqu’à mon habitude, je n’avais pas mis de culotte. Je me sentais libre dans cette robe dont la légère transparence cachait assez mes trésors pour garder un soupçon de pudeur.
Emeline m’accueillit comme elle savait le faire. Elle m’embrassa à pleine bouche et, sous prétexte de m’aider à me débarrasser de mon manteau, m’entraîna dans son boudoir. Elle m’embrassa encore, faisant rouler sa langue sous la mienne comme au temps de nos études.
— Tu es ravissante, dit-elle, en s’écartant pour me regarder. Je ne trompe ou tu es entièrement nue sous ta robe. Tu ne changeras jamais.— Tu as gagné un autre baiser, lui dis-je en l’enlaçant. Mais toi aussi, tu n’as rien en dessous. Aurais-tu repris les bonnes habitudes du pensionnat ? Je te reconnais bien. Tu es toujours aussi prête à l’amour, n’est-ce pas ?— Bien sûr, c’est aussi pour cela que je t’ai invitée. Laisse-moi t’embrasser encore. Voilà si longtemps que je rêve de t’avoir près de moi.
Se disant, elle ouvre le haut de sa tenue et m’invite à lui sucer les seins tandis qu’elle glisse sa main par la fente de ma robe et découvre ma nudité.
— Ma parole, mais je sens déjà ta liqueur. Je te fais donc tant d’effet ? Dis-moi ?
Je ne réponds pas, mais tout en lui lutinant les mamelons du bout de ma langue, j’ai troussé sa robe et posé ma main sur son con lui aussi tout humide. Je la caresse comme autrefois, introduis un puis deux doigts dans sa fente. Elle n’est pas en reste et me caresse le con de plus en plus vite. Elle m’entraîne sur un sofa et toutes deux nous nous adonnons à la joie de nous faire jouir. J’explose en gémissant tandis qu’Émeline jouit violemment en laissant sa liqueur couler abondamment sur ma main.Nous nous relevons, rectifions notre toilette et, après un dernier baiser, nous quittons le boudoir pour nous rendre dans la grande salle où attendent les quelques privilégiés qui vont passer la soirée ensemble et fêter dignement l’anniversaire de notre hôtesse.
— Tu n’as rien perdu de ton habileté, me glisse-t-elle à l’oreille, j’ai merveilleusement joui comme autrefois.— Tu es toujours aussi douce, répondis-je.
Emeline m’installa à sa table entre son mari et un comte particulièrement séduisant. Je me rendis vite compte que ce dernier était bel et bien l’amant de mon Emeline, ce dont le mari se moquait éperdument. D’ailleurs, il siégeait entre sa femme et sa maîtresse, elle-même assise auprès de son mari. Nous étions donc six à table. Une autre table réunissait six autres personnes. Au cours du repas, Emeline lança un concours de chaise musicale. Chacun devait, comme vous le savez, tenter de s’approprier la chaise vide jusqu’au moment où il n’en restait qu’une seule. Le dernier ou la dernière à s’asseoir avait droit à lutiner devant tout le monde le ou la partenaire de son choix. On installa donc onze chaises en rond autour d’un sofa sans dossier, mais assez large pour deux. Chacun jouait de rapidité et d’adresse pour ne pas rester debout. Au bout de dix minutes, Emeline se retrouva seule sur une chaise. Elle avait donc droit de choisir celui ou celle qui serait son amant (e).
Elle n’hésita pas une seconde, se leva, vint m’enlacer et, me poussant sur le sofa, se coucha contre moi en m’offrant ses lèvres. Nous sachant nues sous notre robe, nous commençâmes à nous caresser à travers le fin tissu qui nous couvrait, insistant sur les pointes de seins déjà érigées puis sur le léger monticule du bas du ventre. A qui mieux mieux, nous nous caressions, nous nous bécotions jusqu’au moment, où n’y tenant plus, je glissai ma main sous la robe et découvrit la fente rose dans laquelle je plongeai mes doigts. Puis, je troussai sa robe jusqu’au nombril et entrepris de montrer aux spectateurs attentifs et excités le savoir-faire de mes doigts sur sa fente dont j’écartai largement les lèvres pour faire découvrir le clitoris turgescent. Emeline avait ouvert mon décolleté et effleurait délicatement mes bouts-de-sein, me faisant frissonner. Oh ! Que sa main était douce !

Elle saisit un mamelon entre ses doigts et se mit à le triturer, tirant de ma gorge des soupirs de plus en plus sonores. Elle aussi gémissait sous la caresse de mes doigts agiles sur sa chatte ouverte et coulante.
— Que c’est beau, gloussa une dame. — Oui, je n’ai jamais vu un tel spectacle, dit une autre. Je crois que je vais me trouver une place entre elles, car ma moule me chatouille très fort. — Je vais avec vous, ajouta une voix mâle.
Aussitôt, la dame et le monsieur nous entourèrent, posant leurs lèvres qui sur les fesses, qui sur le dos, tandis que leurs mains parcouraient nos deux corps en s’attardant sur nos seins. Les deux complices furent suivis d’autres personnes qui se mêlèrent à nos jeux. Je m’étendis sur l’épais tapis qui recouvrait le sol et ouvrit mes jambes puis écartai les lèvres de mon conin, me livrant ainsi aux regards concupiscents de la dizaine de voyeurs. Emeline se coucha sur moi et m’embrassa goulûment, me caressant le clitoris qui ne demandait que cela.
Quelle charmante amie ! Elle fit alors glisser les bretelles de ma robe. Je me soulevai pour lui permettre de me l’enlever et je me retrouvai nue, les seins gonflés et la chatte en feu. Emeline se leva et laissa tomber sa robe sous laquelle elle était nue. Ce fut le signal du déshabillage. En un clin d’œil, tous enlevèrent leurs vêtements.
Je ne restais pas inactive et avisant un quidam qui avait gardé son haut-de-chausse et je l’invitai à s’approcher. Je déboutonnai sa braguette et sortis son membre déjà bien en forme. Ce que voyant, Emeline se releva, avisa un autre homme, le déboutonna et enfourna le membre dans sa bouche jusqu’à la gorge. Ce fut le début de l’orgie. Toutes les dames s’offrirent le membre de celui qu’elles avaient choisi et ce fut un festival de fellations vraiment extraordinaire. Les hommes ne se laissèrent pas faire sans réagir. Pendant qu’ils se faisaient sucer, ils troussèrent les dames et se mirent en devoir de leur rendre un hommage particulièrement impressionnant. Les visages plongèrent entre les cuisses grandes ouvertes et bientôt ce fut un festival de soupirs et de gémissements. Les hommes grognaient, les femmes couinaient. La salle s’emplit de toutes sortes de bruits que les amoureux connaissent. Soudain, je me retrouvai avec une pine en bouche et une autre dans chaque main.
Emeline était prise de même. A l’envie nous astiquions les membres et les sucions en prenant bien garde qu’aucun ne projette trop tôt sa liqueur sur nous. Nous voulions la garder pour notre chatte. Les femmes nous regardaient en se branlant mutuellement la motte, s’embrassaient, se caressaient les seins. Enfin, elles se choisirent un partenaire et la séance de baise reprit de plus belle. Le sol était encombré de corps nus qui se lutinaient, s’embrassaient, se branlaient. Les pines s’enfonçaient dans les chattes avec un bruit mouillé. Les soupirs, les gémissements, les râles fusaient de partout comme une grande symphonie d’amour. Un grand blond plongea sa pine dans mon conin, se retira pour laisser la place à un autre. Un troisième me perfora le ventre avec un membre énorme. Emeline hurlait, serrant entre ses cuisses un quidam aussi membré que le mien. Je m’entendis jouir quatre ou cinq fois en suivant. Jamais, au grand jamais, sauf le jour de ma rencontre avec le petit duc, ma chatte n’avait connu une telle fête. Plus elle accueillait de pines, plus elle en voulait. Pendant les courts moments de répit, je tentais de voir autour de moi.
Ce n’était que chattes béantes, membres gonflés et prêts à lâcher leur foutre. Sans s’être concertés, ce fut soudain le feu d’artifice et nous jouîmes en même temps. Les cris d’amour emplirent la salle. Puis plus rien.
Les hommes demeurèrent affalés à reprendre leurs esprits. Les femmes se mirent à recueillir sur leur langue la liqueur des femmes et le foutre masculin qui s’écoulaient des chattes. Je buvais ce nectar avec délices et en profitais pour faire à ma partenaire du moment une jolie minette qui bien entendu me fut rendue. Jusqu’à bien tard, en changeant souvent de partenaire, chacun et chacune fit de son mieux pour participer à cette fête d’anniversaire. Emeline avait bien fait les choses. Mais ce n’était pas tout. Au moment de se séparer, car le soleil était près de se lever, Emeline m’invita à rester.
— Tu ne perdras rien, dit-elle avec un sourire coquin.— Qu’as-tu encore inventé? m’enquis-je.— Rien de spécial. Simplement dormir à quatre avec mon mari et mon amant. Le lit est assez grand. Viens.
La nuit ou du moins ce qu’il en restait fut mémorable et j’en garde un souvenir à la fois jaloux et merveilleux. Les deux mâles étaient de solides baiseurs au membre impressionnant et très actif. Emeline et moi passions de l’un à l’autre sans aucune gêne, suçant, caressant, accueillant dans nos chattes ces merveilleux outils d’amour qu’étaient les chibres des deux hommes. Je me retrouvai un moment la tête en bas à sucer le mari qui léchait la motte de sa femme tandis que l’amant m’avait courbée en deux en arrière et enfonçait au fond de mon ventre son engin de huit pouces tout en léchant à grands coups de langue la motte d’Emeline qui couinait de plaisir. Jamais je n’avais pratiqué une telle gymnastique.
— Je n’en puis plus, dit Emeline. Je suis morte. Je ne sais plus combien de fois j’ai joui depuis hier. Ma chatte devient insensible tant elle a été frottée, sucée, branlée.— Je suis épuisé, souffla son mari. Vous êtes vraiment des femmes faites pour l’amour et le plaisir. Amélie, revenez le plus souvent possible. Vous êtes aussi prodigieuse que ma femme.
J’étais courbaturée et je m’affalai sur le lit contre l’amant d’Emeline, incapable d’encore m’occuper de lui. Ma moule était cramoisie, gonflée des baisers et des caresses, mes mamelons devenus sensibles restaient enflés et mes seins portaient les marques des dents et des ongles.Il était tard quand je m’éveillai. J’entendais vaguement des soupirs et des rires. Emeline s’assit sur le lit, posant ses mains sur ma poitrine.
— Quelle soirée, dis-je. — Es-tu contente ?— Pourquoi ne le serais-je pas ? Tu as tout fait pour que ton anniversaire soit une réussite. Ce fut superbe.— Merci. Je craignais que tu n’appréciasses pas mes amis.— Que vas-tu penser là ?
Nous nous retrouvâmes à table devant un plateau de pâtisseries qui nous remit en forme. Je rentrai chez moi, l’oreille encore pleine des cris, des soupirs, des gémissements et le corps repu de caresses et de baisers. Cette soirée chez Emeline me donna l’idée de lui rendre la pareille. Mon amie fut comblée autant que je ne l’avais été. J’invitai Gaëtane et son mari qui apprécièrent beaucoup la soirée et promirent de nous inviter. Ils se firent un point d’honneur de tenir leur promesse et la nuit fut tout sauf banale. Comme Emeline avait emmené un couple d’amis, nous fûmes huit à nous amuser follement et à jouer de nos corps jusqu’à l’aube. Je fus tant léchée, sucée, enfourchée, baisée, défoncée que je me retrouvai complètement vidée, incapable d’encore rendre hommage à un vit même le plus résistant.
Je vous fais grâce de toutes les rencontres que j’ai faites et du plaisir que ma chatte a pris en se faisant défoncer tantôt avec douceur et tendresse tantôt avec vigueur. Vous en connaissez maintenant suffisamment sur ma façon de concevoir l’existence qu’il serait sans doute vain et superfétatoire - excusez du terme peu élégant - de vous en dire davantage. Pourtant il me reste une confidence à vous faire. Parmi les parties de jambes en l’air auxquelles j’ai participé ou dont j’ai été l’heureuse instigatrice, l’une m’a laissé à la fois le souvenir le plus émouvant et m’a donné l’impression d’un ouvrage inachevé.
Souvenez-vous de la séance de dépucelage du jeune duc de la Plathecouye. Je pense en avoir fait un amant digne de ses désirs tout en en tirant une jouissance comme jamais il ne m’avait été donné d’en connaître. Et pourtant, j’ai regretté de ne pas en avoir fait mon amant. Ce jeune homme doué, intelligent, plein d’humour et de réserve et de surcroît doté d’un chibre énorme pour un garçon de son âge aurait pu faire de mon corps tout ce qu’il aurait souhaité. Ce soir-là, j’ai connu avec lui la plénitude et les sommets de la jouissance. Son merveilleux membre entrait et sortait comme le piston de la machine de Watt. En outre, il fut d’une résistance telle que je me souviens avoir joui plusieurs fois. Quel formidable amant j’ai eu la joie de rencontrer !
Je vous ai confié quelques-unes de mes rencontres. Ce fut l’objet de ces quelques confidences que j’ai confiées à ces pages. J’avoue que j’aurais aimé vous faire partager mon lit, mais... on ne peut ni tout avoir ni avoir tout le monde. Certes, ma vie n’est pas terminée. Peut-être pourrais-je un jour vous narrer d’autres aventures pour votre plus grand plaisir. De toute manière, adressez-vous à mon éditeur et dites-lui bien que je m’appelle Amélie. Il saura qui je suis et si vous me plaisez, je l’autorise à vous communiquer mon adresse. N’oubliez pas cependant que nous sommes en 1856, sous la deuxième république. Allez, je vous embrasse amoureusement en attendant de vous recevoir. A bientôt peut-être.
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