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Je m'appelle Colette

Chapitre 1

Zoophilie
Colette,
— Un de ces jours, je vais te faire prendre par un chien !
Non, mais il est fou, me faire prendre par un chien, qu’est-ce qu’il me raconte ? J’ai un amant qui me fait grimper, comment dit-il ? Grimper aux rideaux. Il me fait fantasmer dans toutes les situations aussi excitantes les unes que les autres qu’il me fait imaginer.Bon il m’a aussi entraînée dans l’amour saphique, c’était délicieux et je ne m’en lasse pas. Il m’a fait prendre dans un gang bang, je crois que c’est comme ça qu’il appelle ces parties fines où sept à huit hommes me prennent partout, et ce pendant des heures. Je jouis comme une folle quand je suis avec lui et je me sens en sureté, car il sait où s’arrêter et il respecte mes désirs et mes fantasmes. Il fait tout pour me les faire vivre. En fait, je crois qu’il m’aime.
Je dois aller faire quelques courses dans le quartier et je me prépare pour cette balade dans les magasins.Je m’appelle Colette, j’ai cinquante-cinq ans, un tout petit peu ronde, mais à peine, une belle poitrine qui fait rêver les hommes et les femmes que je croise, surtout quand ils ou elles croisent mon regard très sexe me dit-on !Mes fesses sont apparemment appétissantes et parfois je sens dans le bus des mains qui glissent timidement sur le tissu de ma jupe ou parfois carrément y vont d’une véritable poignée de bonheur. Quand on me pelote le cul comme ça, je ne dis rien, mais j’apprécie en mon for intérieur de cochonne.
1,68m, des yeux verts, cheveux blond châtain et une bouche sensuelle, faite comme on me le dit pour faire des pipes.Voilà mon portrait.Une jupe au-dessus des genoux, enveloppante, un chemisier léger, sans soutien-gorge, je n’en ai pas besoin, des bas tenus par un porte-jarretelles et une petite culotte en dentelle qui me moule les fesses et mon sexe, des talons raisonnables et me voilà partie pour ma balade.
Me faire prendre par un chien, ça, il ne m’avait pas encore suggéré cette proposition et jamais je ne me serais attendu à ça. Quand même, il y va un peu fort là. Je vais lui dire qu’il oublie cette idée.
Sur le trottoir devant moi, cette belle femme tient en laisse un magnifique chien noir de belle taille à poil court qui marche à la même allure que sa maîtresse. Ils sont magnifiques tous les deux. Je ne sais pas pourquoi ou pour qui, mais je ressens soudainement un frisson qui me coule le long du dos. Wouah c’est fort.Ils vont tous deux dans ma direction et je m’ajuste à leur allure et les laisse marcher devant moi juste pour les regarder. Passant devant un magasin d’habillement vitres ouvertes, j’entends la voix d’une femme qui interpelle la femme au chien et lui indique que sa commande est arrivée et qu’elle peut la prendre maintenant.
— Oui je veux bien, mais vous voyez bien, j’ai le chien avec moi et je ne veux pas qu’il refasse le même chambard que la dernière fois dans vos rayons !
Oui vous avez raison, le patron ne veut plus le voir dans la boutique, répond la vendeuse.

Arrivée à sa hauteur et ayant entendu la conversation, je regarde la maîtresse de la bête, elle me sourit et avec une petite mimique ose me demander si je n’ai pas peur des chiens.
— Non je ne pense pas, je n’en ai jamais eu, pourquoi ?— Auriez-vous la gentillesse de le tenir en laisse le temps que je récupère mon colis ? Il y en a pour cinq minutes !
Je suis un peu surprise par la demande et j’hésite.Il est très gentil, et affectueux.Bon voyant le regard tendre de la femme, j’accepte de tenir ce chien en laisse devant le magasin.
Je prends la laisse, et sa maîtresse se dirige vers l’entrée. Là, le chien semble s’inquiéter et tire la laisse pour aller la rejoindre et m’entraîne avec lui. Elle, voyant la scène, revient et lui fait quelques câlins pour le rassurer. Elle me prend ma main droite libre et me la pose sur le dos du chien en le caressant et ensuite sur la tête et sur les flancs.Le chien me regarde et se calme et me lèche les doigts qui viennent de le caresser.Ça y est, nous sommes amis. La femme disparaît dans la boutique. Ce grand toutou, après s’être assis sur son arrière-train, se relève et vient tourner autour de moi et commence à me flairer.
Je ne me sens pas pour autant rassurée, surtout qu’il vient nicher son museau sur mes fesses et même carrément dans ma raie. Là je ne sais plus quoi faire, car il semble s’agiter un peu plus. Il tourne encore une fois autour de moi et vient cette fois-ci me renifler devant sur mes cuisses et mon bas-ventre. Le choc de son museau sur mon pubis me déclenche une sensation forte qui pourrait être ressentie comme érotique. Woulala, ça fait drôle.
Il continue à me tourner autour et maintenant son museau semble vouloir glisser sous ma jupe et remonte le long de mes cuisses pour atteindre rapidement mes fesses à hauteur de ma raie. Je ne sais plus quoi faire, quand va-t-elle revenir prendre son chien ? Il devient trop sans gêne et les passants pourraient mal interpréter cette situation.Pourquoi ai-je pensé à ça là maintenant ? Ce n’est pas de ma faute si ce maudit clébard vient me toucher le cul !Et le voilà maintenant qui revient devant moi et recommence son manège en reniflant mes cuisses sous ma jupe et pire, il se met à lécher mes bas en remontant sans que je puisse l’en empêcher jusqu’à mon sexe qu’il appuie fortement en me donnant des coups de museau en remontant de ma chatte à mon clitoris et cela cinq à six fois.
Je pousse des petits cris de surprise, mais je dois l’avouer aussi de plaisir.Il m’a troussé la jupe et cherche vraiment à fouiller à travers ma petite culotte ma chatte.Je réussis à repousser sa tête, mais il est fort et recommence de plus belle sa manoeuvre, mais par derrière et il me lèche les fesses et je sens sa langue passer à travers ma fine culotte sur mon petit trou.
Je m’échappe de nouveau de son excitation et aussi de la mienne qui commence à poindre dans mon ventre et dans ma tête.Je fais mine de me fâcher, car une dame passe à côté de nous et nous regarde avec un air amusé qui me gêne beaucoup. Je tire sèchement sur la laisse et le chien stoppe son manège et s’assoit tranquillement à mes pieds.
A ce moment, je vois sa maîtresse sortir du magasin avec des cartons pleins les bras.Elle a un grand sourire et me dit : “voilà ça n’a pas été trop long j’espère ?” Sam a été tranquille je vois, je vous l’ai dit, il est calme et gentil. Il fait vite connaissance avec les gens qui lui plaisent.
Eh bien si tu l’avais vu ton chien, pensais-je, comment il voulait me connaître !
— Je peux encore abuser de votre gentillesse, ma voiture est à une cinquantaine de mètres d’ici, pourriez-vous tenir le chien jusque-là ?
Au point où j’en étais et que maintenant le chien avait retrouvé son calme devant sa maîtresse, je lui dis “OK, allons-y !”
Après cet intermède particulier, nous nous sommes quittées et je suis partie faire mes courses et je suis rentrée à la maison.

Une bonne douche va me faire le plus grand bien. Sous l’eau chaude, je me savonne et arrivée à hauteur de mon ventre et de mes fesses, les souvenirs des émotions ressenties sous le museau et la langue du chien me reviennent et pas que le souvenir, mais les émotions aussi. Je suis troublée par cette sensation qui renaît de plus en plus et la phrase de mon amant me revient aussi : “Un de ces jours, je vais te faire prendre par un chien !”
Oulala qu’est-ce qui se passe dans ma tête, je déraisonne ou quoi ?Mes mains courent sur ma peau, mes seins qui se dressent et mon ventre qui est secoué par des soubresauts qui m’amènent à commencer à me masturber. Ma main gauche pétrit mes seins et la droite empoigne mon pubis, mes lèvres. Elle frotte mon clito et un doigt s’insinue dans l’antre de ma vulve qui est trempée comme aux meilleurs moments de mes aventures sexuelles.
Le désir se fait de plus en plus violent et je me masturbe comme une damnée. J’ai envie, j’ai envie ! Envie de quoi ? De sentir ce museau fouiller entre mes cuisses et mes fesses. J’ai envie de sentir cette langue me laper et sucer mon jus qui commence à couler sur mes lèvres et mes cuisses. J’ai envie de sentir ce chien fou de désir pour moi. Mon orgasme est démesuré par rapport à tous ceux que j’ai eus jusqu’à maintenant. Je n’arrête pas de caresser mon corps et un deuxième orgasme encore plus violent quand la langue du chien entre au fond de ma chatte. Elle est là, je la sens, elle s’enfonce au plus profond de moi. Mon esprit et mon corps ne font plus qu’un avec ce fantasme délirant.
Oui, fais-moi prendre par un chien, je veux le sentir entrer en moi, le sentir aller au plus profond de mon sexe, je veux sentir ses coups de queue qui me démontent le ventre. Cette fois-ci pour ce troisième orgasme, je hurle de désir et de plaisir.
Je m’écroule sous la douche, anéantie par cette expérience. Je vais m’allonger sur mon lit et planant comme un grand oiseau dans le ciel, je sombre dans un sommeil profond.
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