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L'apprenti curé et les copines de sa soeur

Chapitre 2

Quel goupillon!

Avec plusieurs femmes
Soirée pyjama. 2

Mes parents étant absents pour le week-end, j’ai obtenu leur autorisation pour inviter mes copines.On se fera une soirée pyjama.
Suite.— C’est la première fois que je vois un garçon tout nu ! Ils sont tous comme ça ?— Et alors ! Lui demande Rachel, t’aimes pas ?— Si, mais... C’est vraiment impressionnant !Clarisse me regarde en déclarant :— Oh putain Sophie ! Tu nous avais caché que ton maigrichon de frère avait un tel gourdin ! C’est le jouet le plus cool que j’ai jamais vu, il éclipse tous les godes que j’ai amenés ! On va bien s’amuser avec !— Sophie ! M’implore Thomas, viens à mon secours je t’en supplie, la tentation est trop forte, elles me rendent fou de désir charnel et je crois que je vais faire une grosse bêtise !Je ne sais que faire. Mais pas les deux furies. Elles se couchent sur le lit et saisissent le pal de mon frère. Il est très pudique et je n’ai jamais eu l’occasion de le voir nu. Je suis sur le cul quand je vois ce qu’il cachait dans son pantalon. Est-ce pour ça qu’il fuit les filles et veut rentrer dans les ordres ?
— Tu veux participer à nos jeux ? Murmure Rachel en redressant l’énorme colonne de chair, puis l’engloutissant rapidement en bouche.Il hoche imperceptiblement de la tête.Elle entame une pipe sous les regards de ses copines. Thomas, complètement affolé, regarde tour à tour cette fille affamée qui dévore sa verge, puis moi.Clarisse veut aussi prendre du plaisir. Elle retire le gros sucre d’orge de la bouche de Rachel et lèche avidement le gland turgescent. Mia et Zaya sont allées chercher leur Smartphone et filment la scène.Le braquemart de Thomas est très imposant sans pour autant avoir une longueur démesurée, mais quand même dans les 20 centimètres minimum. Mais c’est le diamètre du fût qui est impressionnant, je n’en ai jamais vu de si gros, sauf dans quelques films pornos.Pendant qu’elles sucent fougueusement le pal, les autres filles s’occupent des chattes offertes avec leurs doigts. Clarisse est la première à jouir dans un grand râle, s’agrippant comme une noyée au jonc vigoureux.Thomas doit être au paradis, ou bien en enfer. Les deux bouches s’activent sur sa verge.
— Oh mon Dieu ! Pardonne-moi, mais je ne peux plus me retenir, psalmodie-t-il, c’est trop bon !.
Ce traitement réveillerait un mort. Rachel l’a entendu et a retiré sa bouche mais sa main est venue en renfort de celle de Clarisse.Il éjacule si fortement que leurs visages se couvrent de crème éjaculatoire, elles ouvrent leur bouche pour essayer d’en avaler le maximum. A ce signal, les autres viennent à la curée, bientôt cinq bouches avides se bousculent pour avoir droit quelques instants aux faveurs de ce formidable nœud. Les deux gros œufs, le gland cramoisi, la hampe magnifique. Pas un instant sans qu’une bouche, une langue, deux lèvres ne les dévorent, ne les lèchent, ne les engloutissent ou même les mordillent.
— Mon Dieu que ta volonté soit faite, que ton règn... Aaarrrggghhh !Mais il ne peut aller plus loin, son corps se tend, se raidit sous un second orgasme. Je vois jaillir entre les têtes des flots de lave blanche qui dessinent des filaments blancs sur les corps de ses tourmenteuses.Elles le lâchent enfin. Sa verge à peine ramollie est retombée sur son ventre. Il a les yeux fermés.Clarisse reprend la parole :— Bien, dans deux jours c’est Noël, il faut mettre le petit Jésus dans la crèche !Elle monte sur le lit, chevauche son corps, prend en main la teub qu’elle promène plusieurs fois sur sa vulve. La peau du gland est si exacerbée que ce simple contact déclenche une nouvelle montée de sang dans son engin qui redevient une trique droite comme un I.Doucement, elle se laisse descendre engloutissant la totalité du pieu entre ses lèvres vaginales.
— Putain de merde ! Jette-elle, ça c’est du goupillon de curé ou je ne m’y connais pas, je la sens me défoncer l’intérieur !Après un moment d’acclimatation de ses muqueuses au manche de pioche qu’elles accueillent, Clarisse commence à faire du rodéo de plus en plus vite sur le corps de mon frère qui sanglote :
— Maintenant le péché de chair. Oh mon Dieu, aidez-moi ! C’est un péché mais c’est si bonnnn !Les quatre autres filles les entourent. Les mains et les bouches s’égarent sur ces deux corps, qui caressant un sein, qui pétrissant les bourses ou s’insinuant dans un petit trou fripé.Rachel veut lui faire boire le vin jusqu’à la lie. Elle chevauche le corps de mon frère et fait face à Clarisse. Elle prend la même position qu’elle pour coller ses lèvres à celles de Clarisse en collant ses lèvres intimes à la bouche de mon frère.Je crois qu’il a abdiqué sous l’odeur enivrante qui se dégage de ce coquillage qui a déjà fait couler son suc. Les derniers remparts de ses principes s’écroulent et sa langue, comme douée d’une vie propre, part explorer cette cavité si attirante.Elles sont si chaudes qu’il ne leur faut que quelques minutes pour atteindre l’orgasme. Pour la première fois de sa vie, mon frère reçoit l’élixir féminin qui noie ses poils pubiens et gonfle ses joues. Rachel lui pince le nez et maintient entre ses cuisses la tête de mon frère jusqu’à ce qui ait bu en totalité sa liqueur.
Elles ont ensuite interverti leur place pour une nouvelle course au plaisir. Bizarrement, Thomas ne débande plus et il est encore bien raide quand elles finissent leur petite affaire.Les autres filles qui s’étaient embrassées, léchées masturbées entre elles en les regardant, se mettent d’accord sur la suite à donner aux évènements.Anja s’avance et entreprend une branlette espagnole. Le contraste de ces énormes seins noirs parcourus par ce gros dard blanc est extraordinaire de sensualité.Elle entame une petite pipe, puis s’agenouille dos à lui avant de s’empaler d’une seule poussée sur son rostre.
— Aaahhh ! Enfin un homme comme chez nous en Afrique ! Quel plaisir de sentir en soi un VRAI chibre !Avec une infinie douceur, elle monte et baisse sur ce formidable épi pour profiter de chaque centimètre. Puis elle s’active de plus en plus vite, la magnifique poitrine subit la dure loi de la gravité à chacune de ses ruades. C’est aussi la plus expressive et quand elle arrive à la jouissance, les décibels battent des records. Elle en fait profiter tous les voisins.
— C’est à mon tour ! Réclame Zaya, laisse-moi la place !Anja quitte avec regret la poutre qui ne veut décidément plus mollir.Thomas, dans un état second, regarde avec passivité comme si ça ne le concernait pas les filles profiter les unes après les autres de sa virilité dressée.— Dans ma communauté, il vaut mieux arriver vierge au mariage alors je vais m’empaler le fion là-dessus, j’ai l’habitude- Bien que...Elle prend quand même la précaution de s’enduire le trou ridé des sécrétions qui commencent à faire tache un peu partout avant de le présenter au défonce-cul. Elle essaie une fois ou deux pour tester la résistance de son sphincter devant l’intrus qu’elle tient à deux mains.
— Putain, c’est quand même du gros calibre mais « alea jacta est »Et elle plie les genoux, se laissant descendre d’un coup sec sur cette massue qui plie à peine avant de disparaître dans ses entrailles.Un cri atroce traverse la chambre. La sodomie avec un tel engin n’est pas une mince affaire.Une fois que la douleur initiale s’est atténuée, elle se met à haleter de bonheur, faisant manœuvrer la grande verge de mon frère qui fouaille dans ses entrailles, entre ses reins.Elle se sodomise elle-même sauvagement, en appréciant chaque instant. Pendant ce temps, la chambre est devenue le lieu d’une véritable orgie.Les quatre autres filles se caressent mutuellement, chacune se laisse masturber par l’autre et lui rend la pareille, elles ne résistent plus à l’envie de se donner du plaisir, et surtout à en recevoir.Elles gémissent en atteignant l’orgasme tout en ne ratant rien du spectacle qui se passe sur le lit, reluquant leur copine qui se prend dans le fondement la pine de mon frère.
Zaya hurle de plaisir, sentant sa jouissance venir. Elle se retire alors, et inonde les draps de sa cyprine.Mia, ne perdant pas le nord, prend le verre sur la table de chevet et astique fébrilement la lance délaissée, obtenant assez rapidement l’effet désiré. Elle penche le tuyau pour récupérer la semence de Thomas dans le récipient. Véritable eau bénite pour cette dévergondée.Une partie gicle à côté mais une quantité appréciable est quand même recueillie.
— A la vôtre les filles ! Nous allons sceller notre secret en buvant chacune ce philtre d’amour, le nectar du mâle !
(A suivre)
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