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apprentissage

Chapitre 2

Trash
LE PARC
Je me réveillai au petit matin, baignant dans une mare nauséabonde d’urine et de foutre, un goût acre de pisse et de sperme en bouche et rentrai chez moi, les vêtements souillés et puants, après avoir récupéré mon sac et mon cahier. Devant la porte, m’attendait, bien en évidence, un paquet sur lequel une enveloppe était scotchée, adressée au feutre rouge et en majuscules: à "la roulure de pissotière".
Priant tous les diables qu’un de mes voisins n’eut pas vu le colis, je me dépêchai de refermer la porte et ouvris le pli.
« Bonjour roulure de pissotière, comme tu vois, je sais où tu habites à présent, et je dois dire que ce que j’ai vu jusqu’à présent me plaît assez, tu as de bonnes dispositions pour devenir une bonne petite salope accro à la bite de mâle. Dans le colis ci-joint, tu trouveras des vêtements : ce seront les seuls que tu porteras dorénavant, le reste de tes fringues seront mis dans un sac poubelle devant ta porte ce soir, je passerai les prendre durant la nuit, vu que d’après ce que je sais, tu seras occupé à te faire ramoner la bouche et le cul dans les chiottes du parc de C. Il va de soi que ces tenues ne seront jamais lavées, mais simplement mises à sécher pour être remises plus tard. En effet, tu dois apprendre à aimer puer la pisse et pour cela, j’ai déjà mouillé tes draps, tu dormiras ainsi en permanence dans cette odeur qui te rappellera ton rang de truie pisseuse.
Pour le nombre de photos que contient la pellicule, ce n’est pas ton problème, tu verras bien quand elle sera finie. »
Je vérifiai mon lit, et, effectivement, les draps étaient trempés d’urine, souillant le matelas. J’ouvris alors le colis joint et y découvris une collection de slips, de t-shirts blancs, de serviettes blanches également, de collants ouverts et de culottes plastiques transparentes ainsi qu’une paire d’escarpins à talons, une cagoule en vinyle noir avec deux trous pour le nez et un écarteur buccal en guise de bouche, un sac a main marqué "la khaba" (qui signifie "la pute" en arabe) et un long manteau. Les t-shirts étaient marqués au feutre rouge de noms tels que "sac à pisse", "truie", "sac à foutre", "pute", "salope à dispo", "lope à jus" et autres nom humiliants et dégradants. Une lettre était également posée au fond du carton :
" Voici ta nouvelle tenue de salope soumise.
Ce soir, tu te rendras dans les chiottes du parc, dans la dernière cabine, uniquement vêtue du slip, d’une serviette en pagne par dessus et de la culotte plastique pour maintenir le tout, tu mettras un collant par dessus ainsi que le manteau et les chaussures, et une fois sur place, tu enfileras la cagoule et tu attendras, à genoux, les mains derrière la tête. Cette tenue sera désormais ton uniforme, et tu ne porteras plus que ceci. Ce wc deviendra ton nouveau chez-toi toutes les nuits, et je suis sûr que les clients seront de plus en plus nombreux quand la nouvelle se sera répandue".
Sous le choc, je restai un moment stupéfait, mais après tout, n’était-ce pas ce que je voulais ? Je décidai de reprendre des forces après la nuit de dépravation que je venais de vivre et m’écroulai dans mon lit pisseux, tout habillé et m’endormis aussitôt. Émergé de mon sommeil vers 15.00h, je réfléchis à la situation un peu plus sérieusement.
Visiblement, cet homme savait où je logeai et pouvait à tout moment dévoiler ce qu’il savait de moi en public. Il me tenait, mais je dois dire que le souvenir de la nuit précédente, notamment du clochard qui m’avait humilié m’excitait encore terriblement, et j’y avais pris un grand plaisir. Je décidai donc d’aller au bout de cette histoire et acceptai en moi-même de perdre toute dignité et d’aller au bout de ma déchéance. Je commençai donc par trouver une phrase pour me présenter au cas où on me le demanderait et finis par arrêter mon choix sur "je ne suis qu’une vulgaire catin de pissotière, une roulure de chiotte, une souillure à humilier et une lopette mâle sans dignité, juste bonne à enfourner de la bite à la chaîne en marinant dans sa couche trempée", phrase que j’appris par cœur.
Vers 18.00, je mis comme exigé toutes mes affaires dans un sac-poubelle, enfilai ma tenue, remplis les sacs avec l’appareil photo et le cahier ainsi que la pancarte, puis me rendis au lieu indiqué, non sans passer au sex-shop acheter un flacon de poppers sous le regard lubrique des clients présents et du vendeur. Le wc en question était d’une saleté repoussante et il y régnait une odeur abjecte, d’autant plus qu’il était bouché et rempli à ras bord d’un mélange de pisses de plusieurs jours. Sur la porte était marqué "truie à souiller no limite". J’accrochai le manteau au linteau, enfilai la cagoule et me mis en position.
Il ne fallut pas longtemps pour que j’entende des pas derrière moi, puis un silence et enfin un sifflement et une voix :
— Oh putain, ça c’est de la salope !! Tu cherches quoi, t’es un PD qui veut se faire baiser ? C’est ça ?

Je répondis la peur au ventre, mais excité comme une chienne par la phrase apprise :
— Je ne suis qu’une vulgaire catin de pissotière, une roulure de chiotte, une souillure à humilier et une lopette mâle sans dignité, juste bonne à enfourner de la bite à la chaîne en marinant dans sa couche trempée. — Elle est pas trempée, ta couche, salope ! Je vais t’arranger ça : écarte ta couche, que je puisse pisser tranquille.
J’écartai donc l’arrière de la culotte plastique et l’homme urina tranquillement dedans, la remplissant à moitié.
Une fois fini, il me mit sa bite en bouche et me baisa sans ménagement, s’enfonçant bien au fond de ma gueule, enfonçant sa tige en me tenant par la tête. Une bonne dose de foutre s’engouffra bientôt au fond de ma gorge, que je dus avaler si je ne voulais pas étouffer. Puis il me plongea la tête dans la cuvette pleine de pisses, et me la maintint quelques secondes avant de me lâcher et de s’en aller sans un mot. J’eus à peine le temps de reprendre mon souffle qu’une main se posa sur ma couche gonflée, appuyant dessus en faisant remonter le liquide jusqu’au bord, et tandis que j’entendais une fermeture éclair s’abaisser, l’inconnu cria haut et fort :
— Hé les mecs ! Regardez-moi quelle belle pute offerte qui n’attend que nos bites !!
Aussitôt, des hommes arrivèrent de partout et la curée se déchaîna : ma couche se retrouva très vite sur mes chevilles, suivie du lange et du slip, je fus rempli en permanence par la bouche et le cul, noyé sous des flots de pisse et de sperme, suçant les bites qui sortaient de mon cul, je n’étais plus qu’une poupée aveugle, dont on usait et abusait à loisir, sous les insultes de toutes sortes :
— Sac à pisse, lape-moi toute cette bonne pisse, tu dois avoir soif — Son cul est bien lubrifié à la pisse, ma bite y entre toute seule —Oui, on va y rajouter une bonne dose de foutre, on voit bien qu’elle aime macérer dans ses déjections —C’est sûr, vu la façon qu’elle a de prendre nos queues, elle est faite pour ça, cette truie — Faut continuer à remplir ce chiotte, les gars, on lui fera vider régulièrement, à cette lope.— Vous inquiétez pas, cette espèce de merde sera à votre disposition tous les soirs pendant un moment.— Super, je connais justement quelques potes bien vicelards qui ne demandent que de s’amuser avec une merde sans dignité— Justement, il faut le formater en pute à jus et pissotière, ce bâtard, alors ne vous gênez pas avec lui — T’inquiète, on va totalement la déshumaniser cette salope — On devrait lui jeter sa couche dans la cuvette des chiottes, ça lui donnera plus de goût — D’accord, mais avant, on va lui demander de l’essorer par terre et de nettoyer le sol avec.
J’obéis sans discuter, enlevai la couche trempée et l’essorai, avant de frotter le sol autour de moi avec, ne sachant pas dans quoi ni de quoi je l’imprégnais, alors même que des sexes anonymes continuaient de passer de mon cul béant dégoulinant à présent d’un mélange de pisses et de foutre à ma bouche offerte.
Totalement avili à présent, je me laissai aller, toute honte bue, au plaisir de n’être qu’une pute de bas étage, gémissant à défaut de pouvoir parler, la figure régulièrement trempée dans la cuvette, obligé de laper cet infâme contenu sous les moqueries et les humiliations incessantes durant une bonne partie de la nuit. Les rares moments où mes orifices n’étaient pas utilisés, je récupérai à même le sol ce qui avait coulé de mon cul, me régalant de cette situation abjecte, sûr à présent que c’était là la vie qui allait être la mienne dorénavant. Je réalisai soudainement que l’homme ayant affirmé que je serai là tous les soirs ne pouvait être que mon dresseur, et me pris à rêver qu’il était là, jouissant du spectacle de ma déchéance, ce qui ne fit que m’exciter davantage encore.
Je ne sais combien de litres de foutre et de pisse j’ai avalé cette nuit, obligé de faire sous moi devant tout le monde, de laper mes déjections à même le sol crasseux, sodomisé encore et encore, certains allant jusqu’à me pisser directement dans le cul, comme si je n’étais qu’une simple pissotière sur patte, sans jamais en avoir assez, jusqu’au moment où un homme me dit : — Ça suffit pour cette nuit, serpillière à foutre, remets ton lange et ta culotte plastique, que je te remplisse une dernière fois, et tu gardes la cagoule encore dix minutes avant de rentrer dans ta porcherie.
Et c’est ainsi que je rentrai chez moi ce matin-là. Mon dresseur était passé, car le sac avait disparu et une nouvelle flaque de pisse trempait à présent mon oreiller. Je me couchai heureux dans ces draps pisseux encore humides, le nez dans l’odeur de mon dresseur, la pisse s’ecoulant peu à peu de ma couche totalement saturée.
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