Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 25 J'aime
  • 3 Commentaires
  • Corrigée par l'équipe

apprentissage

Chapitre 3

Nouvelle vie

Trash
JE RENCONTRE MON DRESSEUR
Je fus réveillé le matin par le bruit de la porte qu’on ouvrait : un grand black fit irruption dans ma chambre et, avant que je ne pus faire le moindre geste, il arracha mes draps et me plaqua sa main sur la bouche :
— Pas un mot, la catin, ou tu vas la sentir passer ! Je suis ici pour te ramener à ton nouveau domicile. Je vois que tu as gardé ta couche pisseuse pour la nuit, tant pis ! Tu feras donc le trajet trempé, comme la truie que tu vas devenir. Mais avant de m’occuper de ton déménagement, je vais m’occuper de toi. A quatre pattes sur le lit, face à moi, gueule bien ouverte.
Encore à moitié endormi, j’obéis sans discuter à cet inconnu, terrorisé par sa voix et sa carrure. A peine étais-je en position qu’il ouvrit sa braguette et me mit un engin pas possible sous le nez. Son sexe devait bien faire dans les trente centimètres et dix de circonférence... Ce type était monté comme un taureau !! Et visiblement sa bite avait dû servir, car elle était maculée de traces brunes et sentait la pisse à plein nez.J’avalai tant bien que mal cette queue aux dimensions phénoménales, alors qu’il me prenait par les cheveux et me baisait la bouche sans ménagement en grognant de plaisir:
— Mmmhhh salope, tu as vraiment une bouche faite pour sucer ! Je vais t’envoyer ma purée bien au fond, et t’as pas intérêt à en perdre une goutte. Après on verra pour tes affaires. Ouiiii, je jouis, grosse pute... avale bien tout mon jus et ensuite tu me nettoies la bite et tu me remercieras poliment de t’avoir baisé la bouche en m’appelant Monsieur. C’est d’ailleurs ce que tu feras dès maintenant et à chaque fois qu’on te dosera au foutre ou à la pisse, et ceci quel que soit le trou qu’on aura choisi.
J’obtempérai sans hésiter, constatant avec horreur qu’il avait laissé la porte grande ouverte et que mon voisin, un vieux pochtron, gros et répugnant de saleté et qui faisait la manche en rue observait la scène en se caressant doucement. Le grand noir dût voir la surprise dans mes yeux, car il se retourna, puis sans aucune gêne, annonça au voisin :
— C’est une truie en cours de dressage. Comme vous pouvez le voir, elle porte une couche bien trempée d’un mélange de sperme et de pisse de tous ceux qui l’ont baisée par tous les trous hier soir au parc de C, où elle est tous les soirs. Si l’envie vous tente, je viens juste de me faire faire une bonne pipe et cette pute a bien tout avalé, la place est libre.— Oui, volontiers, ça fait bien longtemps que je ne me suis pas vidé les burnes dans la bouche d’une bonne salope, et apparemment, ça a l’air d’en être une.— Oui, dès qu’elle voit une bite, elle ne peut pas s’empêcher de se jeter dessus la bave aux lèvres, comme une chienne en chaleur, ce qu’elle est d’ailleurs.— Je rêve ou en plus cette truie a pissé au lit ? Elle aime être dans la pisse en plus ?— En fait, c’est son dresseur qui est passé pisser dans son lit, mais il y a aussi ce qui a dégouliné de sa couche cette nuit. Elle doit apprendre à aimer être souillée et perdre toute dignité. Son dressage ne fait que commencer. Elle a même un cahier où ses utilisateurs marquent leurs commentaires une fois qu’ils se sont servis d’elle.
Le vieux lut attentivement les divers commentaires de mon "cahier de truies" puis s’approcha de moi, et, sans un mot, abaissa son pantalon et un slip crasseux, exhibant un sexe mou à l’odeur répugnante. Seigneur, il ne l’avait donc jamais lavé ? Je le pris néanmoins en bouche, surmontant mon dégoût et les haut-le-cœur et le suçai de mon mieux. Je dus y mettre tout mon savoir, caressant le gland de la langue, massant les couilles flétries, avalant toute la longueur de ce sexe pour qu’enfin le bout de chair prenne vie et grossisse dans ma bouche. Mon baiseur ne disait pas un mot, se contentant d’apprécier la fellation par de petits grognements de plaisir. Enfin, il se retira de ma bouche et m’envoya une dose de foutre sur la figure. Mes aïeux, quelle réserve !! Ca semblait ne plus vouloir s’arrêter et je me retrouvai la figure couverte de sperme gluant. Puis il me remit sa bite en bouche, pour la nettoyer, et lâcha sa vessie d’un seul coup.
Impossible de tout avaler, je me mis à tousser, recrachant la pisse qui coula sur mon lit, ce qui le fit bien rire. Il me maintint la tête enfoncée sur son sexe et finit de pisser tranquillement, directement dans ma gorge. Enfin, il remit sa bite dans son slip crasseux et moi, déjà bien dressé, je lui dis :
— Merci monsieur d’avoir permis à votre pute de recevoir votre jus et d’avoir pu avaler votre pisse. N’hésitez pas à vous resservir de l’un de mes trous à votre guise.
Il me jeta un regard de dédain, me cracha à la figure et sortit, sur un simple "sale pute dégueulasse". Le black arrêta les rangements de mes affaires et se tourna vers moi :
— Putain salope, tu m’as remis la trique à sucer ce vieux porc. Tourne-toi et baisse ta couche, je vais t’exploser le cul comme tu le mérites. Et comme je veux pas t’entendre crier, tu vas fourrer ton lange pisseux dans ta gueule de truie.
Quel bourrin, ce mec, il me prit par les hanches et enfonça son braquemart à fond d’un seul coup. Je crus qu’il allait me déchirer le cul tellement il me baisait sans retenue, en me tenant par les hanches pour imprimer son rythme.Je serrai les dents sur mon lange pisseux, obligé par la même d’avaler le jus âcre qui coulait dans ma gorge. Mais bientôt, la douleur se calma et fit place à un plaisir inouï et je m’offris entièrement à ce superbe mâle qui me ramonait le cul sans aucun ménagement, gémissant de plaisir, et allant jusqu’à écarter de moi même mes fesses à deux mains pour l’inviter à s’enfoncer encore plus profond dans mes boyaux :
— Salope, grosse pute, cuve à jus, tu aimes ça, te faire défoncer la rondelle par un black !! T’inquiète pas, tu en prendras bientôt des plus grosses encore. Mmmhhhh, je vais te remplir la chatte à raz bord de foutre, sale truie, ton trou à bites restera ouvert un moment après ça, et sous peu, ce sera toi qui demanderas à te faire saillir comme une chienne !! Ca y est, je viens, je te largue toute la sauce au fond de ton cul de chienne.
Des flots de foutre chaud me remplirent, alors que, spontanément, je me retournai pour nettoyer le pieu souillé qui venait de me pilonner, mais il préférera arracher le lange pisseux de ma bouche et s’essuyer avec. Puis il me le jeta à la figure en me disant :
— Allez, la pute, rhabille-toi, et mets tes draps dégueulasses et ton oreiller dans le sac poubelle, on s’en va, tu es attendue dans ta nouvelle porcherie pour continuer ton éducation !!— Mais, mais, je vais pas...
Et vlan, je pris une baffe magistrale qui m’envoya valdinguer à l’autre bout de la pièce. Le colosse m’envoya un sévère coup de pied dans les couilles et me releva par les cheveux, me faisant hurler de douleur, ce qui me valut un deuxième aller-retour aussi sec. Il plongea ses yeux dans les miens et me dit méchamment :
— Ecoute-moi bien, salope ! Quand on te dit de faire quelque chose, tu obéis, point. Ni discussion ni excuses, c’est compris sale pute ? Et comme tu as ouvert ta sale gueule pour autre chose qu’emboucher une bite ou remercier, tu sortiras simplement vêtue de ta couche et ton t-shirt, sans rien d’autre au-dessus. Et tant pis pour toi si on te voit ainsi. De toute façon, une truie comme toi doit pouvoir s’exhiber sans honte, pour montrer à tout le monde que tu n’es plus rien qu’une sous merde dont on use à volonté. C’est bien compris ou je t’en recolle une ?
— Oui, Monsieur, je vous remercie de m’avoir baisée comme la putain que je suis, de m’avoir rempli le cul de foutre et de m’apprendre à me comporter correctement devant les vrais mâles.
A la bonne heure, tu comprends vite, traînée, bon, maintenant, je vais te poser un collier et une laisse, et tu me suivras en portant le sac avec tes affaires. Mais avant de le refermer, j’ai une grosse envie de pisser, alors tu vas te mettre à genoux et me le tenir ouvert pendant que je me soulage.
— Merci monsieur de pisser sur mes habits de truie afin qu’ils sentent bon la pisse et me permettre ainsi de laisser votre jus s’écouler de ma chatte béante dans ma couche.
Ainsi fut fait, et je me retrouvai en laisse et en couche, traîné comme un animal jusqu’à une camionnette garée non loin de là, sous le regard des passants qui me montraient du doigt avec dégoût, certains allant jusqu’à se boucher le nez à mon passage. Je fus jeté sans douceur à l’arrière du fourgon où se trouvaient quatre autres noirs, aussi baraqués que le premier, un sourire vicieux sur les lèvres.
— Youssuf et Abdel, allez récupérer le matelas de notre invité, les deux autres, amusez-vous avec en attendant, je lui ai déjà bien ouvert la chatte et si cette pute n’obéit pas assez vite, vous lui rappelez les règles.— Avec plaisir, une bonne khaba blanche, ça se refuse pas.
La porte s’ouvrit et deux hommes quittèrent, tandis que les deux restants sortaient déjà un sexe aux dimensions aussi impressionnantes que le premier et sans plus de manière, me baisèrent la bouche et le cul en alternance. Bien que déjà bien ouvert, la brutale pénétration fut douloureuse, mais le sperme resté dans ma chatte fit office de lubrifiant et le plaisir prit vite le dessus. Il ne fallut que quelques minutes aux deux mâles pour se vider en moi dans de longs jets puissants alors que les deux hommes revenaient déjà, jetant mon matelas crasseux au sol :
"Putain, vous lui avez bien explosé le cul, à cette pute, il y a du sperme qui lui coule de la chatte. On va se faire un plaisir de la baiser à notre tour !!
— Foutez-moi cette truie sur le dos et tenez-lui les pattes arrières, on va la faire déborder de jus, cette salope.
— Bonne idée, on va voir combien de litres de foutre elle peut contenir.
Je fus donc baisé non-stop par chacun de ces hommes à tour de rôle, plusieurs fois chacun. Mon ventre tendu me faisait mal, celui qui me tenait les jambes se faisant lécher le cul en s’asseyant sur ma figure, mais ils n’en avaient cure, seul importait pour eux de se vider en moi jusqu’à mon arrivée. Enfin, la camionnette ralentit, je dus remettre mon lange et ma culotte plastique et fut entraîné les yeux bandés dans un lieu inconnu. Quand on m’ôta le bandeau, je me retrouvai enchaîné dans une pièce vide, à l’exception de mon matelas, posé devant un mur percé de 6 trous dont l’un était garni d’une petite étagère où se trouvaient deux gamelles en inox, directement fixées sur la tablette au-dessus de l’oreiller. La longueur de la chaîne ne me permettait que de me mettre assis, allongé ou à genoux et l’autre extrémité coulissait librement sur une barre courant le long du mur.
Une lumière crue éclairait l’endroit, et je remarquai une caméra dans l’un des angles de la pièce, et un écran de contrôle au-dessus. Le mur opposé était garni de deux grands miroirs de chaque côté d’une porte en bois sans serrure apparente. Une voix se fit entendre, semblant sortir de nulle part :
- Bienvenue dans ta nouvelle demeure, sale pute. Ici commence ton éducation. Comme tu as pu le constater, il y a des trous au-dessus de ta paillasse, ils sont faits pour que les hommes y passent leurs queues, comme dans les glory holes. Au-dessus de celui de ta gamelle de droite, il y est noté w.c., je te laisse deviner à quoi il sert... Tu suceras toutes les bites qui se présenteront, et ceci à n’importe quel moment. La lumière restera allumée en permanence, et durant quinze jours, tu ne sortiras de là que pour être offerte au parc C, mais cette fois-ci, tu y seras attachée dans les chiottes que tu connais si bien à présent. Après cela, on passera à la phase suivante : ta couche sera cadenassée en permanence durant un mois, pour te rendre totalement incontinent, ainsi, tu te pisseras et te chieras dessus sans pouvoir te contrôler. Tu ne seras changé qu’une fois par jour, et seulement si tu le demandes en termes suffisamment humiliants et avec des mots crus.
La caméra te surveille et diffuse sur plusieurs grands écrans, dont un à l’extérieur, au-dessus des orifices et un dans ta porcherie, pour que tu puisses voir ta déchéance. Les miroirs sont des vitres sans teint pour les spectateurs préférant le live... De plus, la porte n’est pas fermée, ce qui permet à la fois de venir te baiser à loisir et de te remplir ta gamelle. Tu ne boufferas que des restes mêlés de sperme et n’auras à boire que ta gamelle à pisse. Si elle est vide et que tu as soif, tu demanderas qu’on vienne te la remplir, on trouvera bien quelqu’un qui aura envie de se vider la vessie.
Après cela, tu devrais en théorie avoir perdu le peu de fierté et d’humanité qu’il peut encore te rester, d’ailleurs cela vaudrait mieux, car sinon tu passeras entre les mains des cinq hommes qui t’ont amenée ici, et crois-moi, ce coup-ci, ils seront moins tendres avec toi.
Bon, te voilà mis au parfum, sale pute, alors au boulot ! T’as déjà des clients qui ont les couilles pleines.
En effet, trois belles bites se présentaient déjà au travers des trous et le souvenir de la raclée reçue au matin ne me laissait d’autre choix que de les prendre en bouche, l’écran de ma cellule renvoyant l’image d’une truie en couche en train de sucer toutes les bites se présentant. Je passai d’un sexe à un autre, certains propres, d’autres moins et d’autres encore pas du tout, sans rien savoir de l’homme à qui il appartenait, avalant du sperme au goût varié. Des litres et des litres de foutre me tapissaient l’estomac et j’en arrivai à apprécier la pisse de ma gamelle à présent pleine à ras bord pour m’abreuver et ôter le goût du sperme dans ma bouche. Je n’entendais que les commentaires salaces de l’autre côté du mur :
— Putain ! Elle suce bien cette salope.— Oui, je connais des putes qui n’arrivent pas à avaler autant de foutre à la suite.— Et quelle bonne idée cette pissotière juste à côté, c’est très pratique.— Comme cet écran qui permet de la voir sucer nos bites, si elle pouvait se voir ainsi, cette truie.— Je connais bien le proprio, il y a une télé pour qu’elle se voit telle qu’elle est cette truie.— Et vous avez vu l’état de sa couche, cette salope se pisse dessus devant tout le monde.— Normal à force de boire nos pisses mélangées, faut bien qu’elle se soulage.— Et la gamelle qui déborde et mouille son matelas n’a pas l’air de la gêner plus que ça.— C’est vraiment une pute sans aucune dignité.
Et c’était absolument ce que j’étais devenu en à peine quelques jours. Je passai le reste de la journée ainsi, suçant toutes les bites qui se présentaient, m’abreuvant de pisse, ma couche tellement trempée que son contenu coulait le long de mes cuisses, souillant encore un peu plus mon matelas. Seul un homme passait de temps à autre pour m’enculer sans ménagement et repartait une fois soulagé. Le sperme qui coulait de ma chatte séchait dans ma couche et collait mon lange, mais je n’avais guère le temps de m’en préoccuper de toute façon.Enfin, un homme pénétra dans la pièce, un seau dans une main, un torchon blanc dans l’autre :
— Voilà ta pâtée du soir, la pute, tu vas enlever ton lange dégueulasse et l’essorer dedans. Puis tu as dix minutes pour la vider si tu ne veux pas prendre une rouste mémorable et tu n’as pas intérêt à te servir de tes mains : tu bouffes à même la gamelle. Ensuite tu te laves ta gueule de truie immonde avec ton lange trempé, tu le rinces dans ta gamelle à pisse, tu le pends à sécher au crochet et tu mets ton lange neuf. Tu as des clients qui t’attendent au parc, n’oublie pas.
Il remplit ma gamelle d’un mélange pâteux de riz, de pâtes et d’épluchures diverses et y vida le contenu de plusieurs capotes et quitta les lieux non sans pisser à son tour dans mon abreuvoir. Je me dépêchai d’obéir à ses instructions et vidai ma gamelle en moins de cinq minutes, me lavai la figure avec mon lange, le rinçai dans ma gamelle de pisse et le mis à pendre. J’avais à peine terminé que mon geôlier revint, décrocha la laisse du mur, me mit un bandeau et m’entraîna. Cette nuit, le parc allait avoir une pute gratuite à souiller et humilier à son entière disposition.
Diffuse en direct !
Regarder son live