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l' apprentissage de la prof

Chapitre 1

Hubert (1)

SM / Fétichisme
Cela faisait maintenant deux ans que mes « aventures » de l’année 2003 étaient oubliées. (Voir « LES 5 PETITS COCHONS »).L’ horrible beau-père avait disparu de ma vie, (on pouvait même dire de l’horizon). J’avais en effet appris qu’il s’était « mis en ménage » avec une femme du département voisin. Mon neveu, le beau Romain, fréquentait sérieusement une jeune fille de son âge. En conséquence je gardais mes distances lors de chaque regroupement familial, de peur de replonger dans mes envies de son énorme queue et de ses éjaculations abondantes. Mon mari avait eu une nouvelle promotion et était parti pour DUBAÏ. Il prévoyait de ne revenir que dans deux mois, temps nécessaire à l’implantation d’une nouvelle succursale de sa société.
Bien évidemment, mon tempérament de nymphomane, que j’essayais désespérément de contraindre, n’avait pu résister à cette abstinence forcée. J’étais donc tout naturellement, retombée dans les bras de mon ancien amant, Philippe. Hélas, sa situation d’homme marié, et les contraintes que cela supposait, ne correspondait pas à mes attentes et à ce que j’espérais du plaisir. J’avais donc, à nouveau recours au godemiché, et je pouvais dire que j’en faisais un usage immodéré. Peut-être, me disais-je parfois qu’il faudrait que je rejoigne les GA (les godeuses anonymes) ou que je crée l’association.
C’est dans ces circonstances, qu’ à la rentrée (j’étais toujours professeure), je fis la connaissance d’un collègue fraichement muté, qui répondait au gracieux prénom d’Hubert. Rien que le prénom, ses manières un peu précieuses et surtout sa très grande politesse laissaient entrevoir une origine noble. Professeur de philo, c’était un « beau mec » : grand, très brun, toujours habillé avec élégance. Il était extrêmement cultivé et j’adorais partager ou m’affronter avec lui sur des sujets sociétaux. Il apportait dans nos discussions les arguments philosophiques des grands anciens. J’y opposais ma spontanéité et mes élans. Bref c’était toujours agréable.
Dans le lycée, tout le monde connaissait ma situation de célibataire forcée. Je dois avouer que je craignais également avoir une réputation (hélas justifiée) de baiseuse voire de salope. ..Bien sûr, on ne me le disait pas, mais les attitudes des collègues masculins et les piquantes allusions des femmes ne laissaient aucun doute sur le fond de leurs pensées. Quant à la rentrée, on me disait perfidement
— Alors toi !!! tu as encore un sacré emploi du temps cette année.
J’avais beau essayé de me justifier en rappelant que la matière scientifique que j’enseignais favorisait les plages horaires continues et à fortiori des demi-journées de liberté plus fréquentes que la plupart. Je savais bien que ce n’était pas la seule raison et qu’ils n’avaient pas tort. Pour réussir sa vie, il faut parfois donner de sa personne. Et c’était particulièrement vrai pour avoir une année scolaire intéressante avec des instants de liberté judicieusement placés dans la semaine.
Chaque année, juste après le 15 août, je prenais rendez-vous avec mon proviseur qui préparait les emplois du temps. (Connaissant les habitudes de sa femme, je sollicitais toujours un après-midi où elle était à l’équitation).C’était devenu, une habitude, une sorte d’évènement récurrent, attendu par l’un et l’autre. Ce jour-là, je mettais une robe légère avec un décolleté scandaleux, un soutien-gorge balconnet et un string blancs. J’apportais ma « fiche vœux ». Je me penchais face à lui en tendant le bout de papier et en demandant :
— Vous pourriez réaliser mes vœux ?
Si les premières années, il hésitait, n’osant pas trop user de cette sorte de « droit de cuissage », au fil des ans, il était devenu moins rigoureux sur la déontologie. Depuis trois ans, il me répondait
— Vous connaissez les miens !
C’était le signal. Je faisais le tour du bureau en dégrafant le haut de ma robe, je sortais mes seins du soutif. Il se tournait alors sur son siège, allongeant et écartant ses jambes. Je débouclais son pantalon, sortais sa bite et commençais à le sucer. J’essayais de faire au mieux, car je stressais toujours d’entendre toquer à la porte et de voir débarquer un importun (ou une importune). Il ne m’avait pénétrée que la première fois, en me faisant pencher sur le bureau et en baissant simplement ma culotte sans l’enlever. Ce qu’il aimait par-dessus tout, c’était jouir entre mes seins. Alors quand je sentais les premières gouttes perler au méat, je dégrafais mon soutien-gorge emprisonnait sa bite entre mes nichons et le branlait en les serrant fort. Il éjaculait presque aussitôt. Après m’être essuyée, alors que je me rhabillais, il disait
— Merci,….. je vais essayer de faire le maximum, mais vous savez, ce n’est pas toujours facile.
Je concluais l’entretien par
— Je compte sur vous Monsieur le Proviseur.

Ma « mauvaise réputation »comme aurait dit Georges Brassens, était évidemment arrivée, aux oreilles du bel Hubert. Et aux pauses méridiennes, aux « récrés », il faisait comme tous les autres mâles, il me draguait. Sa « drague » était beaucoup plus subtile, plus élégante que les autres. Moins « Beauf » que le traditionnel
— Tu ne veux pas venir boire un verre, ce soir chez moi.
Des célibataires, ou le
— Tu n’irais pas au théâtre (ou ciné, ou concert) avec moi ce soir. Ma femme n’aime pas ça et j’ai deux billets.
Des hommes mariésTout chez Hubert était en subtiles allusions, en plaisanteries, fines et jamais graveleuses. J’en étais à me demander si « Tirer un coup », l’intéressait. Je découvris rapidement que la réponse était oui.Je le compris, un jour que nous étions seuls, tous les deux, dans la salle des profs.
— Vous n’en avez pas marre de tous ces lourdauds qui ne pensent qu’à vous baiser. Comme un vulgaire coup d’un soir.— Vous avez raison, mais que voulez-vous, la chair est faible et à mon âge avec mon statut de femme mariée, le choix est limité.— Au contraire, vous êtes en plein épanouissement sexuel, vous méritez autre chose qu’un accouplement vulgaire.
Un peu vexée, je rétorquais, moqueuse
— Ah bon, parce que quand vous couchez avec une femme, c’est plus élégant. C’est pour cela que vous n’êtes pas marié ?— Je ne suis pas marié, car je pense que ma perception du plaisir physique ne peut s’accommoder et se satisfaire d’une seule femme. J’aime sublimer l’orgasme, que ce soit celui de ma partenaire ou le mien.— -Seriez-vous philosophe jusque dans les draps, cher ami ?— -Non, sans doute pas, mais j’aime explorer, révéler à une femme ses envies cachées, ses fantasmes !!!— Connaissez-vous les pratiques BDSM ?
Je ne fus pas surprise, car je m’attendais à quelque-chose de ce genre, aussi je lui répondis, mêlant naïveté et curiosité.
— Oui bien sûr, je sais de quoi il s’agit, mais je n’ai jamais pratiqué, si l’on peut dire.— Vous aimeriez tenter l’expérience ?
Je me mis à rire, plus troublée que j’en avais l’air.
— Vous me proposez carrément d’avoir une relation sado-maso avec moi. Et quel rôle me réserveriez-vous.— - Celui de Justine bien évidement. Ne vous précipitez pas pour répondre, prenez le temps de réfléchir, j’ai loué une petite maison en pleine campagne sans voisinage. Quand vous serez prête vous viendrez me rendre visite.
L’arrivée de deux collègues, abrégea notre discussion. Un peu rougissante, je rejoignis ma salle pour deux heures de physique avec des « secondes » boutonneux.
Trois jours plus tard, je lui proposais de m’offrir le café le lendemain vers 16h.
Comme je ne savais pas trop à quoi m’attendre, je m’étais préparée avec soin. Longtemps, je m’étais posée la question de la toison pubienne. Même si ils étaient limités j’avais quelques poils : un petit ticket de métro au-dessus de la fente vaginale et quelques autres, difficilement « épilables » dans la raie fessière et autour de l’anus. Comme Hubert avait fait allusion à la nubile Justine du Marquis de Sade, j’avais décidé de jouer dans le même style. J’avais donc pris rendez-vous « en urgence » avec mon amie esthéticienne pour lui réclamer une épilation intégrale. (La salope en avait d’ailleurs profité pour me mettre deux doigts dans le cul, en me passant le baume apaisant après épilation. Cela s’était terminé comme d’habitude par un 69 torride qui nous avez fait jouir toutes les deux)
J’avais hésité aussi sur la tenue, renonçant aux porte jarretelles qui faisait trop pute et optant pour des dessous, sexy, mais élégants. Une robe noire et un manteau de lainage rouge complétaient une tenue qui me paraissait particulièrement adaptée à cette recontre
Je trouvais facilement la petite maison isolée. Et quand je sonnais Hubert apparu immédiatement sur le seuil. Je gravis les 3 marches et m’avançaient pour lui faire la bise, mais il se retourna et ordonna simplement
— A poil salope, tu as une minute !!!!
Interloquée je voulu demander
— Tout de suite ? Comme ça ?
Il se retourna et me mis une gifle, pas très forte, mais piquante et qui me fit chanceler.
— J’ai dis à poil….il te reste 30 secondes, sinon tu vas être punie.
Je me dépêchais donc de retirer mon manteau ma robe, les jetant sur un canapé. J’en étais à faire glisser mes collants après avoir retiré mes chaussures quand il se retourna. Il s’avança en souriant, et me mis une claque terrible sur les fesses, me propulsant sur le canapé. J’essayais de me relever, mais il avait attrapé ma culotte et me secouant dans tous les sens comme un sac l’arrachait avec les collants. Je me retrouvais nue, haletante, au pied du divan. Prenant mes cheveux, il me releva, accélérant la cadence avec des claques sur les fesses. Quand je fus enfin debout, il m’ordonna :
— Debout, écarte les jambes, mains sur la tête, baisse les yeux, ne bouge plus.
Vicieusement, il me donna un coup de pied dans chaque cheville, car mes jambes ne semblaient pas assez écartées et retourna vers son bureau. J’essayais de voir ce qui se passait en soulevant très légèrement les yeux. Je le devinais, sortant des objets d’un sac, j’écoutais des bruits métalliques, mais ne voyait rien de précis. Dès qu’il s’approcha, je baissais aussitôt les yeux. Il prit mes cheveux me releva la tête. Il avait une cravache à la main et je m’attendais au pire. Un instant j’eu envie de dire
— Stop, on arrête, je ne suis pas faite pour ça.
Mais, je ne dis rien, inconsciemment excitée sans doute par cette situation.
— Regarde ce qu’il y a sur la table, ce sont des instruments de dressage que je vais utiliser sur toi.
Je regardais terrorisée, ces pinces, fouets, menottes, tenailles….. Je repensais instantanément à ces suppliciées du moyen âge et cette phrase célèbre : « montrez lui simplement les instruments, elle parlera ». J’étais prête à tout « avouer », à faire tout ce qu’il voudrait Le seul problème, c’est qu’il ne demandait rien.la « séance » semblait cependant s’apaiser, car maintenant, il me caressait les seins, avec beaucoup de douceur.
— Mon approche du Sado Maso, n’est pas de faire souffrir pour le plaisir, bien que ça me fasse bander, mais d’amener le sujet à la jouissance, non pas par la douceur mais par la douleur.
J’étais immobile, commençant à apprécier ses caresses, quand soudain. Il prit un de mes seins par en dessous serra fortement et surtout attrapa le mamelon et se mit à tirer dessus en le tordant. Je ne pus réprimer un mouvement du corps et un gémissement. Aussitôt, je pris un coup de cravache sur l’autre sein, serrant des dents pour ne pas encourir d’autres représailles.
— Je ne t’ai autorisée ni à parler ni à bouger. Essaie de comprendre ça, sinon tu seras punie.
Et sans doute, pour voir si j’avais compris, il m’enfonça brutalement deux doigts dans la chatte, me soulevant presque tant il allait loin. Je réussis à ne rien dire, ce qui m’évita des coups. Ressortant de ma chatte, me tirant en arrière par les cheveux, il mit les deux doigts dans ma bouche.
— Goute !!!! tu commences à mouiller, tu es sur la bonne voie.
Effectivement, à ma grande surprise, je sentais qu’une sorte de plaisir, montait en moi.Il revint vers moi et commença à « m’équiper ». Il attacha une sorte de barre articulée aux chevilles. Prenant chaque téton, il tira à nouveau dessus et fixa en vissant deux sortes de pinces, d’où pendaient des chainettes.
— Penche-toi en avant, je vais attacher les chaines à tes chevilles.
J’avais le buste plié. Dès que j’essayais de me redresser un peu, les tétons s’allongeaient. C’était horrible, mais le pire, c’était que dans cette position, totalement à la merci d’Hubert, totalement soumise, j’étais de plus en plus excitée. Il ouvrit la porte extérieure. Le soleil se couchait. En plein mois de novembre, un souffle glacé, passa sur mon corps nu.
— Viens, on va aller en salle.
Dans une sorte de rêve cauchemardesque lubrique, marchant en me dandinant, jambes écartées, penchées en avant, je descendis péniblement les 3 marches. Je grelottais de froid, les graviers de l’allée faisaient mal à mes pieds nus. Péniblement j’avançais vers une sorte d’annexe d’appentis. Il me cingla les fesses d’une sorte de verge qui avait remplacé la cravache. En me disant
— Dépêche-toi, on va réellement commencer, je vais te réchauffer.— (a suivre)
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