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Apprentissage d'une salope

Chapitre 1

La rencontre

Trash
Petite présentation. Je suis une étudiante de 21 ans. Je suis physiquement très mince, voire maigre selon les périodes. Environ 48 kilos pour 1m64. Cheveux châtains, méchés blonds, yeux bleus-gris. Vu mon poids, je n’ai pas particulièrement de poitrine. Par contre, j’ai un très bon cul. Je vais vous conter ici une histoire très très récente.....
Je lui parle depuis à peine 2 semaines, mais je sais déjà à quel point il me domine et à quel point je lui dois obéissance. Première rencontre avec lui, je me suis habillée assez sexy pour lui. Croc top noir avec dentelle sur le bas sans rien en dessous, un short, un string noir en dentelle. J’ai bouclé mes cheveux, légèrement maquillée. Ma journée de cours se passe sans encombre. Une journée habituelle avec les potes et tout ça. Je prends la route en métro jusqu’à Saint-Phi. Il est censé me récupérer en voiture. C’est du suicide. Je ne sais pas qui c’est, à quoi il ressemble, de quoi il est vraiment capable. Je me sens tout de même attirée par lui. Même si ça peut finir très mal, je suis très excitée à l’idée de faire tout ce dont il m’a parlé. Je sors du métro et regarde autour de moi. Il m’envoie un message : « Je te vois, tu es très jolie. Je t’interdis de bouger de là où tu es. Et je t’interdis de regarder autour de toi. Baisse les yeux et ne bouge plus. »
Je m’exécute, trop excitée par la situation. J’attends une trentaine de secondes qui me semblent être des heures. Soudain, je sens quelqu’un m’attraper par la taille derrière moi et me tenir fermement.
Toi, tu ne vas pas regretter d’être venue...
Il chuchote près de mon oreille tout en me serrant contre lui. Je peux déjà sentir l’excitation chez lui. Je ne bouge toujours pas. Je ne sais pas si c’est par peur ou par obéissance. Il fait le tour et se plante devant moi. Il prend ma tête pour la relever. J’en profite pour le détailler. Plus grand que moi déjà. Il doit bien faire ses 1m85-90. Il a une certaine carrure, il ne vaut mieux pas que je doive lui faire face physiquement. Ça risque d’être compliqué. Il est brun, on peut dire d’un physique assez banal, mais il a ce quelque chose. Je le fixe dans les yeux à présent. Je ne vois pas venir la main qui s’abat sur ma joue.
— Sale chienne, on ne fixe pas son maître dans les yeux de cette façon.— Pardon maître...
Je me sens rougir immédiatement. Non pas à cause de la claque que je venais de me prendre, mais surtout par peur que quelqu’un m’ait vu vivre cette humiliation. Je baisse la tête et ne regarde que peu autour de moi.
— Brave salope, tu apprends vite. Avance tout droit devant moi sans te retourner, je te guiderai.
Avec la sensation de la claque que je viens de me prendre, je n’ose discuter sa décision. Je commence à avoir peur, mais surtout à être plus qu’excitée. Je suis avec un total inconnu dans un endroit que je ne connais pas. Il me guide sans insultes, peut-être dû aux gens autour de nous. On arrive sans encombre à sa voiture.
— Rentre ton cul de salope à l’intérieur de la caisse.
Je ne réponds même pas. Je me penche bien pour entrer dans la voiture et le chauffer, je veux qu’il me désire vraiment. Après m’être prise une fessée qui résonne dans tout le parking souterrain, il me laisse monter et referme la porte derrière moi. Il fait le tour de la voiture et y monte également.
Les cinq ou six premières minutes sont extrêmement silencieuses et particulièrement pesantes. Je n’ose pas bouger, à peine respirer. Sa main droite quitte le levier de vitesse et vient se poser sur ma cuisse. J’en ai presque le souffle coupé. Il commence à me caresser tendrement la jambe. Je m’attendais à autre chose venant de lui, mais pas à une telle douceur. Je me détends un peu et commence à apprécier ce moment. Il commence à remonter lentement vers mon entrejambe. Mon short est très court et ne protège pas grand-chose quand j’ai les jambes écartées. Il commence à vraiment appuyer sa main sur mon intimité qui ne demande que ça. Lorsqu’il relâche sa main pour passer ses vitesses, je n’attends qu’une chose : qu’il la remette après. Mais au lieu de remettre sa main entre mes jambes, il déboutonne son jean et ouvre sa braguette.
— Allez suce, montre-moi à quel point tu es une salope. Et après je verrai si tu mérites que je te caresse. Et peut-être même que si tu fais bien ton boulot, tu mériteras que je te baise.— Oui maître.
Je ne me fais pas prier. J’approche ma tête de son caleçon et entreprends de le baisser pour découvrir son engin. Sa bite bondit tel un ressort dès que je retire son sous-vêtement. Je suis impressionnée. Je l’avais bien sûr vue en photo et je savais qu’elle valait le détour, mais là, ce qui m’impressionne le plus c’est qu’il ne bande pas encore à fond.
Je dépose d’abord un timide baiser sur son gland avant de commencer à lécher la hampe sur toute sa longueur. Je crois qu’il s’impatiente parce qu’il se tend et a l’air de se mettre en colère. Je m’empresse alors de la mettre dans ma bouche pour éviter les représailles. Je commençais un doux va-et-vient sur le gland. Je ne pourrais jamais engloutir la totalité de son sexe dans la bouche. Je ne suis pas des plus douées pour les gorges profondes. Mais comme je le redoutais, il attrape mes cheveux de sa main droite et appuie sur ma tête jusqu’à ce que je fasse glisser ma bouche à plus de la moitié de sa bite. Il me guide alors dans un mouvement très énergique. Sa bite gonfle et grossit de plus en plus dans ma bouche. J’attrape mal à la mâchoire. J’essaie de déglutir comme je peux. Il m’avait prévenue par message qu’aucune goutte de salive ou de sperme ne devait atterrir dans sa voiture, sous peine d’une punition que j’allais regretter. Il relâche mes cheveux pour que je continue seule.
Lancée comme je suis, je le suce du mieux que je peux. J’utilise mon piercing à la langue pour lui titiller le frein et le gland. Quand je le sens se contracter, attraper mes cheveux et forcer d’un coup sec sa bite au fond de ma gorge, je sais qu’il va se décharger. J’étouffe, mais si je tousse maintenant, je ne pourrais pas avaler et ça coulera dans sa voiture. Je retiens un haut-le-cœur. Sa semence part à grosses giclées quasiment directement dans ma gorge. C’est vraiment difficile de tout contenir. Une fois vidé, il repousse ma tête et range sa bite à peine ramollie.
— Ça peut aller. J’ai connu mieux, mais j’ai connu pire, tu as du potentiel. J’espère que tu n’as pas mouillé ton siège. Les salopes dans ton genre mouillent rien qu’à se prendre une bonne bite dans la bouche.
Il a raison, j’ai adoré avoir son sexe bien dur au fond de la gorge. Mais heureusement pour moi, mon plaisir n’a pas transpercé mon short. Très peu de temps après, il se gare et m’invite à descendre de la voiture. Le fait qu’il m’invite à entrer chez lui signifie qu’il n’en a pas fini avec moi. Je ne sais pas si c’est une bonne ou une mauvaise nouvelle.....
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