Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 97 J'aime
  • 11 Commentaires

Après, il faut nettoyer...

Chapitre 1

Orgie / Partouze
Par le passé, étant célibataire, j’avais l’habitude de sortir fréquemment dans les bars et les boites de nuit avec deux de mes collègues de travail, Élise et Andrea. En couple et extravertie, la première affichait fièrement une taille fine, de longues jambes et une poitrine de taille 90C qui complémentaient à merveille ses cheveux noirs coupés courts et ses yeux bleus perçants. Pour sa part, Andrea était une jeune femme du même âge, disponible pour une relation amoureuse. Elle était plutôt petite physiquement, arborait une petite poitrine (80 A) et de petites fesses rondes, mais au-delà de sa peau basanée, on pouvait y déceler un visage fin aux iris d’une rare teinte de topaze doré. Ces détails m’avaient charmé chez elle, et le faible galbe de sa poitrine ne m’inquiétait guère, ne considérant pas le buste d’une femme comme unique critère de sélection. Au contraire d’Élise, Andrea était de nature plutôt réservée, s’effaçant même parfois dans l’ombre de son amie. Andrea et moi passions énormément de temps ensemble, se côtoyant tels le feraient les membres d’un couple, mais à vraie dire, notre la relation tendait plutôt à être platonique, mêlant sentiments d’affection et une pointe de désir qui rarement faisait surface. Lorsqu’elle consommait un peu d’alcool, elle témoignait d’un certain appétit, se collant près de moi et m’embrassant sans retenue, alors qu’elle était plus distante à son habitude. À force de la connaître, je compris qu’Andrea avait le goût de découvrir les plaisirs de la chair, mais peu sûre d’elle, elle était en même temps terrorisée à l’idée de s’abandonner à un homme, même si elle lui faisait confiance. Lors de nos sorties en groupe, Élise, Andrea et moi-même discutions ouvertement de nos joies, de nos peines et bien entendu, de sexe. La grande à la chevelure noire nous relatait souvent son passé sexuel garni qui entrelaçait baises érotiques avec son copain aux orgies interminables. Bien qu’elle soit prompte à la séduction et affamée de sexe, elle partageait sa vie avec Alexandre et m’apparaissait avant tout comme une femme fidèle et amoureuse. Amie de longue date avec Andrea, elle désirait que cette dernière ait des relations sexuelles et connaisse enfin cette divine sensation, mais elle ne pouvait la forcer. Je patientais et j’attendais qu’Andrea se dévoile davantage à moi, même si cela devait prendre énormément de temps.Un soir d’été, vers 21h00, Élise et Andrea eurent l’idée de se présenter sans invitation chez moi, alors que je résidais toujours chez mes parents. J’écoutais paisiblement un film dans ma chambre à l’étage lorsque les deux demoiselles y entrèrent, à ma grande stupéfaction. Élise était vêtue de son traditionnel manteau de cuir noir, d’une camisole blanche laissant la chance à tous d’avoir un léger visuel sur le contour de sa poitrine et une jupe en denim, montrant en partie les longues jambes que la nature lui avait accordé. Andrea portait un chemisier bleu foncé et une paire de jeans ajustée à sa silhouette. Aussi bien apprêtées, les deux étaient délicieuses à regarder. Fidèle à son habitude, Élise s’avança près de moi et déclara, d’un ton assuré, que nous sortions ce soir avec son copain et sa sœur, et que je n’avais qu’une vingtaine de minutes pour me préparer. Andrea me sourit timidement et je leur dit, en attrapant une serviette de bain et chemise au passage :— Entendu, je fais du plus vite que je peux!Je jetai un regard vers Andrea avant de descendre au sous-sol prendre ma douche. Je m’exécutai rapidement, question de ne pas les décevoir, me brossai les dents et avant de m’habiller, retouchai quelque peu mes cheveux à l’aide de pâte capillaire. Ainsi préparé, je remontai à la chambre pour retrouver les deux demoiselles dans le même état que je les avais laissées. Andrea posa son doux regard sur moi, me contempla quelques secondes et me félicita d’avoir fait tant en si peu de temps.Immédiatement, la plus grande des deux se leva et vint me rejoindre près de la porte et me mentionna qu’on prenait ma voiture. De ce fait, je me retrouvais à être le conducteur désigné de la soirée. Une fois dans la voiture, Élise s’installa sur le siège passager alors qu’à ma grande tristesse, Andrea fut reléguée à l’arrière. Pendant le trajet, les deux femmes discutaient et je crus comprendre que l’on allait rejoindre Alexandre, de même que Ève, la sœur cadette d’Élise et son copain Simon, dans une boite de nuit. Vers vingt-deux heures, nous trouvions un stationnement en ville et dans un acte de galanterie ou pour me faire pardonner de ne pas avoir insisté pour qu’Élise soit assise à l’arrière du véhicule, j’ouvrai la portière d’Andrea, qui dessina un timide sourire.Nous nous dirigeâmes vers l’endroit spécifié et nous parvînmes à l’intérieur en quelques minutes seulement, la soirée étant encore jeune. J’aperçu alors Alexandre du coin de l’œil accompagné d’une jolie châtaine qui indubitablement était la sœur de Élise. Un peu moins grande et élancée que cette dernière, elle semblait en contrepartie avoir hérité de davantage de poitrine et d’un visage angélique à en faire craquer plus d’un. Son copain, Simon, était plutôt bel homme, à l’image de sa douce moitié. Après présentations, nous nous retrouvâmes à commander des verres et à jaser entre hommes, alors que les demoiselles attiraient l’attention sur la piste de danse et semblaient s’échanger quelques mots en laissant échapper des éclats de rire. À un moment pendant la soirée, nous les perdîmes de vue, sans doute puisqu’elles étaient allées aux toilettes ensemble, ce qui n’avait rien de très particulier. Après quelques dizaines de minutes, les demoiselles entrèrent à nouveau sur la piste de danse, et de manière presque synchronisée, nous firent signe de les rejoindre. Sentant que notre présence était requise, nous ne nous fîmes pas prier. Dès que j’entrai en proximité avec Andrea, je sentis que quelque chose avait changé. Elle n’avait pas réellement bu beaucoup d’alcool, mais elle semblait déjà plus affectueuse, me dirigeant des regards sensuels et se laissant aller à des mouvements de bassin qui auparavant, l’auraient rebuté. Se collant le dos sur mon ventre, je ne puis empêcher d’effleurer lentement mes mains près de ses épaules et de descendre vers sa taille. Elle retourna sa tête vers moi, plantant son regard sur le mien. Hypnotisé par la lueur reflétée par ses iris, je ne détournai mon attention que lorsqu’elle dessina un sourire franc sur son visage. Déconcerté par ce changement soudain d’attitude de la part d’Andrea, je posai mon regard sur Élise qui me regarda avec complicité. Peut-être avait-t-elle convaincu Andrea que j’étais une bonne personne pour elle? Je lui souris légèrement, et elle me répondit par un mordillement de lèvres suivit d’un rire muet.Alors que nous étions toujours prisonniers de la piste de danse, Élise se dirigea vers la sortie, nous invitant à en faire de même. Je saisis la main d’Andrea et nous suivîmes la trace de la grande à la chevelure d’ébène. Une fois parvenus à l’extérieur, Élise nous mentionna qu’elle ne pouvait plus endurer le vacarme provoqué par la musique de boite et qu’elle préférait que l’on se retrouve dans un endroit plus calme pour la fin de la soirée. Elle proposa que l’on se retrouve tous chez elle pour prendre un verre ou deux, ajoutant qu’il y avait assez de place si je désirais y passer la nuit. Comme nous avions déjà passé de sympathiques fin de soirée chez elle par le passé, j’acquiesçai à la demande. Elle dit à Andrea :-Embarques avec Tom! On se retrouve dans quelques minutes.Tenant la main d’Andrea, nous nous dirigeâmes vers ma voiture sans échanger de mots. Puisqu’Élise et Alexandre résidaient à quelques minutes de voiture de la boite de nuit, le trajet fut de courte durée. Parvenus à destination près d’une vingtaine de minutes avant l’autre groupe, nous attendîmes en silence avant qu’ils nous rejoignent, se regardant dans les yeux et se rendant de manière réciproque nos sourires. Ils prétextèrent avoir eu de la difficulté à sortir du stationnement, cloitrés entre deux voitures. À l’intérieur, je m’installai sur un canapé modulaire et Andrea s’assied à mes côtés quelques secondes plus tard, main sur ma cuisse. Élise décapsula plusieurs bières, qu’elle nous servit immédiatement et avant-même que l’on soit en mesure d’en boire le contenu, elle apporta un plateau de verres à shoot contenant de la vodka qu’elle déposa sur la table basse. Une fois tout le monde réunit et confortablement assis sur le canapé, nous en saisîmes chacun un et d’un seul trait, nous l’engloutîmes. La chaleur me traversa la gorge et au même moment, je fixai Ève qui se tordait de douleur, sa généreuse poitrine faisait de légers bons de haut en bas. Je m’esclaffai et je demandai à Élise de nous en servir à nouveau. Ève refusa, mais sous la pression des pairs, elle saisit son verre au même moment que les autres et le porta au gosier. Nous commençâmes alors à discuter de divers sujets, tout en consommant tranquillement notre bière et enchainant au passage quelques verres d’alcool fort. Andrea se collait près de moi, sa main parcourant ma cuisse de manière dangereuse. Après près d’une demi-heure de discussion et de beuverie, Élise se dirigea vers le téléviseur et à l’aide d’un fil, y brancha ce qui était visiblement mon appareil photo numérique. Que voulait-t-elle faire avec cet objet anodin? L’avait-t-elle subtilisée alors qu’elle était dans ma chambre avec Andrea, plus tôt en soirée? Au même moment, elle saisit la télécommande de sa chaine stéréo et de la musique rock à volume modéré s’échappa des haut-parleurs. À regarder autour de moi, les autres ne semblaient pas affectés par ce comportement. Étais-je le seul à me demander ce qu’elle faisait exactement? Maintenant l’appareil photo en mains, Élise déclara :-Tom, regarde!Sachant qu’il s’agissait de mon appareil photo, je n’y prévoyais rien d’intéressant à prime abord. Je fus stupéfait lors je vis une photo d’Andrea et Élise sur mon lit en sous-vêtements noirs, toutes les deux regardant la caméra. Je tournai mon regard vers Andrea qui mordillait sa lèvre inférieure. Les trois autres membres du groupe regardaient également la photo en question mais contre toute attente, ne semblaient pas surpris de son contenu. Un prochain cliché, beaucoup plus explicite, fit place au premier sur l’écran. On y voyait Élise, main sur un sein et autre main près de ses petites culottes. On y voyait clairement un mamelon rosé à peine dressé. Andrea devait avoir la caméra en main à ce moment puisqu’elle était absente de la photo. Je regardai autour de moi, et alors qu’une bosse se dressait dans mon pantalon, Élise reprit de plus belle en disant :-Ça te fait bander mon Tom? Regarde la prochaine!Elle changea de photo et j’y aperçu un gros plan sur ce qui était inévitablement la poitrine d’Andrea posée contre celle d’Élise. De petite taille, les seins d’Andrea arboraient des mamelles brunâtres dressées qui s’accordaient bien avec son teint basané et contrastait avec la couleur plus pâle de la peau d’Élise. Je me retournai vers Andrea qui au même moment, rapprocha sa main de mon sexe qui se dressait peu à peu.Élise changea de nouveau d’image, et ce coup-ci, on avait manifestement changé d’ambiance. On y retrouvait les trois demoiselles dans une cabine de la salle de toilette de la boite de nuit. Ève, sans soutien-gorge, y serrait ses deux seins l’un contre l’autre en masquant ses mamelons alors que Élise, habillée, feignait d’embrasser de la langue les tétines dénudées d’Andrea tout en maintenant l’appareil photo d’une main.Je retournai mon regard vers Ève et mon je la vis en train de tâter le sexe de son copain. Elle m’adressa un sourire coquin et retourna vers son homme. Étant la seule qui n’avait pas dévoilé entièrement sa poitrine sur photo, j’eue le goût d’en percevoir davantage. Peut-être que les photos suivantes répondraient à mon interrogation?Élise posa son regard sur ma verge. Elle devait apercevoir mon membre gorgé de sang qui tentait désespérément de trouver un peu d’espace pour parfaire son expansion. Derrière elle, je vis l’image à l’écran faire place à une nouvelle scène. Dans la voiture, on voyait la sœur ainée maintenir de sa main la queue de son homme, qui lui, semblait avoir pris possession de l’appareil photo. La queue d’Alexandre devait bien mesurer 25 cm selon ce que je pouvais juger sur la photo. Je me sentis quelque peu jaloux alors qu’Andrea laissa échapper un cri de sursaut, elle aussi sans doute subjuguée par la taille de l’engin. Elle me dit, à l’oreille :-J’espère que la tienne n’est pas comme ça, sinon, oublies ça!Après quelques instants de consternation, mon regard fut asservi par un ultime cliché sur lequel on pouvait nettement entrevoir la poitrine et les jolis mamelons parfaitement dessinés d’Ève alors qu’elle suçotait le gland de Simon. Son visage était magnifique et ses yeux verts fixaient l’objectif tout en maintenant la base d’un pénis de plus petite taille. Je me retournai de nouveau vers Ève : elle avait déjà saisit la verge en érection de son homme et elle semblait vouloir l’apporter à sa bouche.La trame sonore changea vers une balade rock que je reconnaissais bien. Élise nous mentionnait souvent qu’il s’agissait d’une musique de baise par excellence. C’est alors que vis la grande demoiselle retirer sa camisole et laisser place à son soutien-gorge noir alors qu’elle s’avançait près de son étalon, qui lui, l’attendait patiemment sur le canapé.Le cliché d’Ève m’obsédait et je ne puis empêcher de me retourner vers elle alors que Simon retirait le morceau de tissu couvrant sa délicieuse poitrine. Au même moment, la plantureuse châtaine saisit ma main gauche et la porta vers son sein. Je puis sentir son mamelon dressé et j’entrepris alors de serrer quelque peu, la faisant geindre, tout en m’afférant de manière maladroite à diriger ma main droite vers l’entre-jambes d’Andrea. Ève reprit ma main et la déplaça vers le côté, en me disant :-Gros cochon, tu devrais satisfaire Andrea avant tout.À ses ordres, je me retournai vers celle-ci, et tout en maintenant ma main près de sa féminité, je retirai son chemisier déjà en partie déboutonné, laissant apparaitre un soutien-gorge serré. Je portai mes mains vers son buste, le caressant au travers du tissu avant de diriger mes deux mains vers son dos, détachant rapidement sa brassière. Ses seins de petite taille m’invitaient à y poser des baisers, et je ne me fis pas attendre. Rapidement, nous retirâmes tous les deux nos pantalons respectifs et nous retrouvâmes avec nos sous-vêtements uniquement. Posant ma main près de sa féminité, ma main fut humidifiée par la présence de mouille qui imbibait le sous-vêtement. Prestement, elle apposa sa main sous mes boxers afin d’y tâter mon membre, et elle laissa échapper un soupir quand elle le fit sortir de sa contrainte. Mon pénis de 21 cm bien en chair était sans doute plus gros que ce à quoi elle s’attendait au départ.Au même moment, Élise, complètement nue, s’approcha de moi en me lançant un préservatif large taille et dit :— Eh bien, tu ne nous avais pas mentit le grand! Andrea, est-ce que c’est trop gros pour toi? C’est à peu près comme ton gode, laissa-t-elle échapper, en riant.Andrea ne répondit pas à cette affirmation, contemplant ma queue et l’insérant dans sa bouche alors que je portai quelques doigts à son vagin, les imprégnant de mouille avant d’attaquer son clitoris qui se saisissait davantage avec le temps. Contre toute attente, Andrea savait comment sucer et donnait quelques adroits coups de langue sur mon gland tout en caressant mes testicules.Je perdis quelque peu la notion du temps et je fus ramené à moi-même par Élise qui, prise en levrette sur une extrémité du canapé, gémissait sous les coups de fouet provoqués par les rapides mouvements de bassin de son homme. Ses seins valsaient agréablement et sa plainte se mêlait à celle d’Ève, qui elle aussi se laissait pénétrer allègrement par Simon.Andrea, toujours afférée à mon membre, se tortillait sous l’impact de mes caresses. D’une main, j’effleurais sa poitrine et de l’autre, je m’occupais toujours de lui stimuler le clitoris. Je la regardai dans les yeux et lui demandai si elle voulait que je la pénètre doucement. Elle retira ma queue de sa bouche, et regardant ses deux amies se faire ramoner, me fit un timide signe affirmatif de la tête. Je la plaçais sous moi, retirai son sous-vêtement complètement trempé et j’approchai ma verge en érection de son vagin avant d’enfiler le préservatif. J’entrai doucement en elle, mais je m’aperçus que c’était relativement difficile, comme si elle se retenait. La caressant et l’embrassant, je pénétrai à la fois doucement et plus profondément avant de me laisser aller à quelques va-et-vient. Elle gémit quelque peu, mais me demanda rapidement de me retirer puisqu’elle avait trop mal. Ne voulant pas lui déplaire, je répondis à l’appel.Délicatement, Andrea tâta alors de sa main droite ma verge en érection et tout en ayant peine à la saisir entièrement, retira le condom. Elle s’approcha de moi, et murmura à mon oreille que la bande avait tout planifié pour elle, et que me connaissant, ils savaient tous que ça n’allait pas me déplaire. Elle s’excusa de n’avoir pu me laisser la pénétrer, mais elle mentionna qu’elle préférait s’adonner au sexe autrement et que j’étais assuré d’avoir mon dû.Elle se retira du canapé et s’installa à genoux près de moi, me demandant de me retourner vers elle. Elle saisit de nouveau ma queue, qu’elle inséra goulument dans sa bouche. Entre plusieurs gémissements, Ève ricana et mentionna haut et fort qu’Andrea n’avait pas respecté sa promesse et qu’on devait la punir. Andrea la dévisagea et à ma grande déception, cessa de me sucer avant de se coucher de dos sur la table de salon, tassant les quelques breuvages encore présents. Ma queue, désormais sans stimulation physique, commençait à se ramollir. De leur côté, Simon et Alexandre ramonèrent de plus belle leur compagne respective et après quelques secondes, Simon se retira pour s’approcher rapidement d’Andrea. Ève le suivit, lui saisit la queue et le branla pendant quelques secondes. Je posai mon regard sur les seins d’Ève qui bougeaient légèrement avec chacun de ses mouvements de poignet. Sachant que Simon allait jaillir d’une seconde à l’autre, Andrea se ferma les yeux par réflexe, avant qu’il éclabousse sur son buste plat. Alexandre se retira également de la féminité d’Élise avant de s’avancer vers Andrea, en partie enduite de semence épaisse. Alexandre tâta son long membre pendant quelques secondes avant de laisser aller une longue plainte suivit d’une série de courts jets de sperme qui se retrouvèrent plaqués au visage d’Andrea. J’étais tellement hypnotisé par ce qui venait se passer que je ne vis pas Élise approcher et prendre un cliché de la scène avec mon appareil photo. Elle se retourna vers moi, prit ma verge molle en photo, me balança un autre préservatif qu’elle me demanda d’enfiler. Pendant ce temps, Ève astiquait le membre de son homme et Alexandre se dirigeait vers la salle de bain.C’est alors qu’Ève se détourna de Simon. Elle s’approcha du canapé, s’installa sur moi et me saisit par la nuque. Sentant que ma verge se dressait de nouveau, elle s’y imbriqua sans se faire attendre. La maintenant par le dos, je pouvais lui suçoter ses beaux mamelons et lui embrasser les seins, mais elle semblait davantage déterminée à me faire jouir rapidement plutôt qu’à profiter du moment. Elle exécuta une série de mouvements de bassin rapides et puissants destinés à l’atteinte de son but. Apercevant l’extase monter en moi, elle me mentionna à l’oreille que je devais aussi venir sur Andrea pour la punir. Pour seule réponse, je lui répondis rapidement que j’étais sur le point d’éjaculer. C’est alors qu’elle se retira rapidement et me laissant le champ libre près d’Andrea. Je me levai rapidement du canapé et observai la scène. Elle avait de la semence partout sur son corps et ne bougeait pas, les yeux fermés. Je retirai mon condom, et commençai à traire mon gland. Ève se retourna vers moi, attendant sans doute le moment inévitable où je me répandrais sur la jeune demoiselle, mais je ne parvenais pas à éjaculer. Elle saisit alors ma verge remplie et après quelques secondes de branlette, je sentis que je pouvais plus me retenir et tentai de m’approcher d’Andrea en laissant aller une longue plainte de jouissance. Dû à mon manque d’activité sexuelle au courant des semaines précédentes, une bonne quantité de foutre liquide fut projeté en direction d’Andrea, atteignant en partie sa poitrine, son visage et son ventre. Andrea ne bougea pas, sauf pour tenter d’essuyer des mains la semence qui approchait de ses yeux et de sa bouche. En lui tendant une serviette, Alexandre lui facilita sans doute la tâche.
Diffuse en direct !
Regarder son live