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Un après-midi avec les filles

Chapitre 1

Comment j'en viens à m'humilier devant ma femme et ses copines

Voyeur / Exhibition
Audelyse, Aurélie, Marie et Mathilde (ma femme) sont à la maison à discuter dans le salon, lorsque je reviens de course. Mais dès que j’ouvre la porte, j’entends quelques éclats de rire, qui s’interrompent quand elles s’aperçoivent que je suis là.Elles sont toutes quatre assises sur le canapé, absorbées par la lecture d’un magazine ouvert sur les genoux d’Audelyse.
— Je vous dérange les filles ?— Non, non, me répond Audelyse d’un ton surjoué.— Des trucs de fille, ajoute ma femme.
S’ensuit un conciliabule à voix basse tandis que je rentre les sacs et commence à ranger les courses dans la cuisine.J’entends juste Aurélie insister un peu plus fort: "tu veux savoir ou non ?", Marie de surenchérir d’un "allez..." et Mathilde de répondre après quelques hésitations: "OK..."Audelyse m’adresse alors la parole :
— Tiens Fred, tu serais dispo pour un test psycho ?
Je ne suis pas très test psycho, mais comme j’ai fini de ranger les courses et que je n’ai pas de projet...
— Dis toujours...— C’est un peu particulier, commence-t-elle, d’un air précautionneux, mais avec une pointe d’excitation dans la voix. C’est un test pour les maris. Si on le fait, pendant toute la durée du test, Mathilde n’aura pas le droit d’émettre un seul son. Il faut juste que tu saches qu’elle a lu tout le test et qu’elle est juste curieuse de savoir ce qu’il peut donner. Ca te va ?
Je sens un peu la gêne mêlée d’excitation d’elles toutes, surtout ma femme, mais elle est bien dans le jeu: elle ne dit rien, et me regarde juste, se demandant ce que je vais répondre.
— Alors ?— OK, je t’écoute.— Alors, d’abord pour le test, ce serait pas mal que tu prennes un tabouret et que tu le mettes au milieu de la pièce.
Je vais donc chercher un tabouret, un peu intrigué, mais elle m’interrompt alors :
— Pour le jeu, il faut maintenant que tu me demandes la permission de faire avant de pouvoir le faire.
Un peu surpris, je réponds: "ah euh, OK. Est-ce que je peux aller chercher le tabouret, ça te va ?"
— Parfait, me répond-elle.
Une fois le tabouret ramené,
— Assis-toi.
Je vais pour m’asseoir, mais je joue le jeu d’abord :
— Euh, est-ce que je peux m’asseoir ?— Oui, tu peux, me répond-elle comme s’il était naturel que je demande la permission.— Alors, première question: es-tu pudique ?
Mathilde refrène un rire,
— Oui, plutôt. Ca dépend. Mais je dirais oui.
Elle coche une case.Aurélie enchaîne la lecture du test :
— Est-ce que t’as déjà eu une... érection à la piscine ? Et est-ce que quelqu’un s’en est aperçu ?
Je les regarde, un peu gêné.
— Je crois pas, quelquefois à la plage, mais j’ai pu me cacher.
Au tour de Marie :
— Est-ce que quand t’étais enfant, d’autres enfants t’ont baissé le pantalon ou le slip devant tout le monde ?
La tournure du test est étrange, mais la présence de ma femme fait que je ressens la pression et je réponds donc :
— Ca a failli deux fois, et un mec m’a baissé le pantalon, quand j’étais plus vieux.
Audelyse à nouveau :
— T’as souvent rêvé que tu te retrouves complètement à poil, le squèque à l’air à l’école, ou au travail ?— Ca a dû m’arriver ouais. Pas vous, ajouté-je, un peu bravache, mais je sens que ce sont elles qui portent la culotte en cet instant.
Audelyse poursuit :
— Comment on pourrait te convaincre, qu’est-ce qu’il faudrait te dire pour que tu te mettes en slip ? De manière purement hypothétique bien sûr, ajoute-t-elle avec un sourire.
J’ai un rire nerveux :
— Je sais pas. Ca dépend des circonstances.— On te l’a déjà demandé ?— Euh, non.— Et t’aurais aimé qu’on te le demande, qu’on ait envie de voir ton paquet ?
Elle laisse sa phrase en suspens, j’hésite, elle poursuit :
— D’après cet article, tous les hommes, si on leur demande gentiment, ne verraient pas d’inconvénient à montrer leur paquet, genre un peu homme-objet. Le plus dur, semble-t-il, c’est pour eux de le reconnaitre. Du coup, on se demandait si t’étais comme tous les hommes.
Là encore, sa phrase s’arrête dans un souffle.Je n’ose pas regarder ma femme, mon regard est rivé à celui d’Audelyse, puis je regarde Aurélie et Marie. Toutes sont dans l’expectative et la situation m’a clairement excité sans que je sache comment le gérer. Enfin, je croise le regard de Mathilde et elle est comme les autres. Pour elle, je suis toujours son mari, mais elle aussi veut savoir...
— Ecoute, si tu veux, on arrête le test, ou alors on te laisse réfléchir 5 minutes, comme tu veux.
Je respire un peu plus. Ne pas avoir répondu a montré mon trouble. Je me lève, et le regard d’Audelyse me fait dire au dernier moment, avec un sourire: "est-ce que je peux me lever ?"
— Oui, répond-elle.
Je pars donc dans la cuisine, excité, un peu penaud de n’avoir peut-être pas eu le cran de répondre dans un sens ou dans l’autre. Revenir pour répondre maintenant serait un peu humiliant, mais ne pas le faire ne serait finalement pas mieux. Et puis, je me demande où elles veulent en venir. Je les entends discuter à voix basse. Je reviens alors dans le salon :
— Est-ce que vous voulez que je me mette en slip ? dis-je dans un souffle, un peu rouge. J’ai l’impression d’affirmer ma virilité, je suis comme tous les hommes ; c’est un piège tendu par Audelyse bien sûr. Car en même temps, à cet instant, j’ai envie de leur montrer... mon paquet.
Audelyse regarde les autres, l’air de dire: "je vous avais dit..." Marie a un petit rire, Aurélie lève les yeux au ciel, l’air de se demander comment Audelyse pouvait savoir, et ma femme regarde alternativement tout le monde, ses copines, puis moi.Elles me laissent mijoter 30 bonnes secondes, moi quémandant debout devant elles confortablement assises à échanger des regards.
— Oui, et ensuite assois-toi.
Je réalise que je vais me déshabiller devant ces filles, que je connais par ailleurs, dans un contexte un peu étrange d’homme-objet. La situation est gênante et très excitante...J’enlève mon short, sans réelle grâce. Je sens que ma verge est un peu gonflée et elles doivent s’en rendre compte aussi. Je m’assois.Mes jambes sont plutôt serrées. Alors Marie fait un geste des doigts sans ambiguïté et j’écarte alors les jambes.
— Lève-toi et fais des étirements, tu sais pour toucher le sol avec tes doigts, dit Aurélie après quelques dizaines de secondes où je sens les regards sur moi et mon corps.
Je me lève, j’écarte les jambes, et je m’interromps pour dire: "vous voulez que... est-ce que je peux vous tourner le dos ?"J’ai l’impression d’anticiper la prochaine question, mais je comprends que j’ai de moi-même ajouté un peu d’exhibition à la scène. Auraient-elles osé ? On ne le saura pas. J’ai souhaité de moi-même leur montrer mon cul. Je commence à bander sérieusement, même si pas encore complètement. Je sens que mon gland n’est pas encore décalotté.
— Oui, excellente suggestion, me répond Audelyse. Après la première surprise suite à ma question, je sens à son ton qu’elle a vu s’ouvrir un nouveau territoire et je sens, j’espère même, qu’elle va en profiter.
Je fais donc une dizaine d’étirements, gardant bien la position basse, sentant mes fesses se tendre vers elle, et mon paquet apparaître entre mes jambes.
— C’est bien, estime alors, satisfaite, Marie.— T’as un joli petit cul bombé, ajoute Aurélie.— Je me demande s’il est poilu ou pas. J’ai l’impression qu’il l’est, et, j’ai beau être du genre velu, j’aime pas trop, dit alors Audelyse aux autres filles. Ajoutant : "Mathilde, t’as pas le droit de répondre".
Je saisis sans hésiter la perche qu’elle me tend:
— Si vous voulez, je peux baisser un peu mon slip.— Oui, si tu veux. Mais pas trop. Je ne veux pas voir ton... sexe, répond Audelyse d’un air gourmand. Ce serait trop humiliant pour toi, je pense... non ?
Elle est maligne, j’ai bien sûr envie de leur montrer mon sexe malgré l’humiliation, et presque surtout à cause d’elle, de reconnaitre que j’aime être humilié. Mais ma femme est là et je suis déjà sur le point de baisser mon slip devant ses copines.Je baisse donc un peu mon slip pour qu’il se retrouve à couvrir encore mon sexe, mais qu’il laisse un large écart avec mon fessier.De devant l’illusion est que je ne montre que mon cul. Mais quand je me retourne, il y a cinq bons centimètres entre mon anus dissimulé et le slip.
— Difficile de savoir...
Je propose alors d’une voix tremblante :
— Vous voulez que je refasse des étirements ?
Ma tête est tournée à l’opposé du canapé, je ne les vois donc pas, et encore moins ma femme. Ce que je viens de leur proposer ne va pas rendre mes poils plus ou moins présents, même si mon intonation semble répondre à la remarque d’Audelyse. Par contre, vu l’espace du slip, je vais montrer une vue plus intime de moi que jamais personne n’a vu, ma femme comprise, je pense.Après vingt bonnes secondes de tension et un bref conciliabule à voix basses :
— Oui, mais tu écartes bien et tu gardes la position à chaque fois quelques secondes. Répète si tu es d’accord.
Sans hésiter, je répète: "J’écarte bien les jambes et je garde la position, oui."Puis je m’exécute, écartant largement les jambes et leur présentant mon cul nu, les fesses légèrement écartées, et probablement la vue de mes couilles.Pendant un des étirements, Audelyse dit :
— Ne bouge pas, j’attrape mon téléphone.— Moi aussi, ajoute Marie.
Quelques secondes après :
— J’en reviens pas, dit Aurélie. Tiens, Mathilde, attrape mon téléphone. Par contre Fred, est-ce que tu peux tourner la tête vers nous ?
Je sais ce que cela signifie, mais je suis trop excité. Je tourne la tête.Toutes les trois sont avec leur téléphone à prendre une photo de moi, avec probablement mon anus nettement visible. Les regarder dans les yeux chacune ajoute à l’humiliation et donc à l’excitation, surtout quand j’arrive à ma femme : elle a la main devant la bouche, mais a l’air un peu amusée en même temps. Quand nos regards se croisent, elle ne flanche pas, ne me fusille pas. Elle me fait comprendre qu’elle accepte cette humiliation choisie: je me laisse photographié nu, l’anus exposé, par ses copines les plus proches.Mes exercices sont finis.Audelyse et les autres se détendent et commencent à parler entre elles, comme en m’ignorant:
— Eh ben, si j’avais su.— Oui, je pensais pas.— Jamais vu un mec qu’est pas mon copain sous cet angle.— Il n’est pas si poilu du cul, mais par contre, de l’autre côté, y a l’air d’avoir du poil.
Je me retourne vers elles, le slip cachant toujours ma queue, et j’essaie une première fois de leur dire :
— Est-ce que je peux vous montrer mon sexe s’il vous plaît ?
Sur le coup, seule Mathidle entend et se fige, puis les autres s’interrompent, comprenant que je viens de leur parler.
— Oui ? me dit alors Audelyse qui je pense a en fait très bien entendu.
Ma gorge racle un peu.
— Est-ce que je peux vous montrer mon sexe s’il vous plaît ?
Audelyse sans pitié :
— Pourquoi ?
Mon trouble augmente, mais l’envie et l’humiliation sont trop fortes, après quelques secondes :
— Pour que vous voyez ce que je fais... quand personne n’est là.
Mon ellipse m’infantilise un peu plus, mais ça fait partie du jeu :
— T’es sûr. Tu sais que je pourrais prendre une autre photo de toi avec la bite dans les mains, que je pourrais la montrer à d’autres. Que quand on se reverra à d’autres occasions, on aura toujours en tête aussi cette humiliation honteuse ?— Oui, réponds-je en les regardant une par une dans les yeux. J’ajoute : "s’il vous plaît..." semblant craindre un refus.— OK... attends.
Elle se lève et va ouvrir les rideaux du salon, avec la splendide vue sur les balcons d’en face. Elle revient se rasseoir et prend son téléphone.
— On te regarde toutes...
Répond-elle en reprenant son téléphoneJe pense que je les surprends alors un peu en m’allongeant sur le sol.Je retire mon boxer, puis j’écarte largement les jambes et les plie légèrement pour exposer toute mon anatomie. Mon sexe est en pleine lumière.Je commence à le caresser pour qu’il soit dur.Instinctivement, je commence à me cabrer, allant à la rencontre d’un vagin invisible, mais désespéré de n’avoir que ma main. Je suis pathétique, humilié de m’exhiber ainsi. Mon excitation monte, et je les regarde à nouveau. Elles ont leur téléphone braqué sur moi, et je comprends qu’il ne s’agit pas d’une photo.
Je sens que je vais jouir. Un dernier regard pour ma femme qui n’en croit pas ses yeux.Je jouis alors longuement sur mon ventre,Et une seconde après, je réalise ce que je viens de faire...
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