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Un après-midi à la campagne

Chapitre unique

La défonce sans tabou

Trash
C’est la récolte du maïs dans cette région vallonnée, aux vastes champs entrecoupés de petits bois et émaillée de quelques fermes isolées, comme plantées au hasard. La moissonneuse batteuse est en panne et deux hommes s’agitent autour. Deux puissants tracteurs aux remorques pleines de grains sont à l’arrêt. J’ai toujours fantasmé sur ces superbes engins et leurs coquins de pilotes, comme si ces énormes machines faisaient d’eux des amants plus performants. Je contemple la scène et laisse monter en moi cet habituel désir de m’exhiber à eux tout en haut de ces véhicules démesurés. Je m’arrête un moment, me caresse un peu, bien en vue, mais personne ne me remarque. Je reprends mon chemin, excité et un peu encombré par une érection que le frottement du jean entretient. Je traverse un petit bois touffu sans retrouver le calme. A sa sortie, la plaine céréalière reprend avec un petit village dans le lointain. Le chemin s’élargit. Au bout de quelques minutes arrive face à moi un énorme tracteur moderne doté d’une vaste cabine. J’ai envie qu’il s’arrête devant moi, qu’il me propose de monter. Je veux qu’il remarque mon excitation et m’oblige à m’exhiber… ou pire. Je sors du chemin pour le laisser passer et le salue chaleureusement ; mon sourire s’essaie à dire mon envie. Le paysan qui le conduit me rend courtoisement mon salut sans s’arrêter. Je ne me contiens plus et me rue à l’abri de balles de paille posées au bord du chemin. Je baisse mon short en jean et trousse mon T-shirt et commence, à demi nu, à me branler rageusement. J’ai beau m’agiter, mon geste reste peu efficace et le temps passe sans résultat. Au bout de quelques minutes, j’entends à nouveau un bruit de moteur. Est-ce l’engin que j’ai croisé ? Je crains qu’il ne revienne vers moi et me trouve dans cet état. Mais je suis incapable de m’arrêter. Le bruit s’amplifie puis le moteur ralentit. Claquement de portière dans mon dos… Mon cœur s’accélère et je me sens ridicule en pareille posture. « Allez monte ! » dit une voix grave. Je tourne face à lui en pleine érection et je me sens honteux. Je fais mine d’ajuster ma tenue.  « Non, ne sois pas bégueule, enlève tout ; lâche-toi ; fais ta salope ! »  Curieusement, je suis heureux qu’il me traite ainsi, comme s’il s’agissait d’une reconnaissance. Je lève un regard déjà soumis et découvre un petit homme mince, sans âge, au visage osseux, en combinaison grise, sans attrait particulier. Pourtant j’ai terriblement envie de lui plaire, de faire tout ce qu’il pourra demander, et même pire. J’essaie le striptease langoureux mais ne réussis qu’à être pataud. Il rit, m’aide à me dévêtir, me déchausser et jette mes affaires dans la cabine de son engin. « On y va ? » propose-t-il. Je mets maladroitement un pied sur le marchepied, totalement nu, obscène. Il en profite pour me peloter les fesses puis par glisser sa main entre mes jambes pour me saisir par les couilles. J’écarte les jambes et reste ainsi figé par l’émotion autant que par le plaisir. Mon sexe durcit encore.Lorsqu’il me pousse à l’intérieur du véhicule, je suis aux anges. Il monte à mes côtés et, me prenant par les hanches, me tourne vers les grandes vitres latérales pour me rendre bien visible de l’extérieur. Le contact de ses mains calleuse m’est paradoxalement agréable. Il démarre. « On va au village te montrer un peu. Mes amis aiment bien regarder les putains de la ville ! » Je devrais encore être choqué, mais, tout au contraire, je ne suis que fierté ! Je me dresse comme un coq. Dès les premières maisons, il ne conduit plus que d’une main, caresse à nouveau mon cul et enfonce brutalement deux doigts dans mon trou de balle. Je me tords de douleur et de plaisir et me donne en spectacle, lascif, aux villageois présents. Le succès est total. Un jeune et joli paysan enthousiaste saute sur le marchepied et fait mine de me rouler une pelle à travers la vitre.A la sortie du hameau, l’engin s’immobilise à l’entrée d’un pré bordé de hautes haies. Les deux hommes me font descendre en me portant presque. J’imagine la suite et m’échauffe encore. Une fois au sol, je les vois déboutonner tous deux leurs braguettes et sortir leurs bites. Le paysan en a une courte et trapue, le jeune longue et fine. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, me voici courbé, jambes écartées, la grosse pine dans le cul et le long engin au fond de la gorge. Je bave, j’étouffe et mon fondement peine douloureusement à se dilater. Je suis violemment bousculé. Les longues couilles du paysan claquent entre mes jambes et rejoignent les miennes. Mon autre bourreau s’enfonce dans ma bouche dans un effort contraire. Je vais défaillir ! Et puis le rythme devient plus doux et les deux agissent en cadence et dans le même sens. L’un enserre doucement ma tête tandis que l’autre se tient fermement à mes hanches nues. En accompagnant le mouvement leurs mains ils me caressent et me massent doucement. Mon anus, maintenant dilaté, se rappelle qu’il est ma zone érogène favorite. Ma langue et mes lèvres ont trouvé une position satisfaisante autour du vit et je suce avec délice ce qui m’est offert. Je sens le plaisir monter par tous les orifices. Ma bite suinte de jouissance contenue. Etonnamment, tout s’arrête et je reste là vacant, indécent, cul dilaté bouche ouverte, à la limite du déséquilibre, carrément obscène.Puis sans que je les aie vraiment vus permuter, la longue queue s’enfonce dans mes intestins jusqu’à la garde et la courte dans ma bouche, si grosse qu’elle l’envahit. Je me laisse encore ballotter et m’applique à les satisfaire. De longues minutes passent, savoureuses. Le plaisir monte et je le laisse entendre par des petits cris suraigus, à peine entravés par l’occupation de ma gorge, avant de cracher mon foutre. Le jeune dit : « C’est bien de nous remercier ainsi vieille salope ! » Là encore, sa répartie m’excite plus qu’elle ne me choque. Je m’applique ! C’est presque de concert que le long jet chaud des deux protagonistes va m’envahir. J’avale avec bonheur et sans difficulté et me régale de la sensation d’être aussi profondément inséminé. Ma mâchoire est douloureuse et je me sens transpercé jusqu’au milieu de mes organes.  J’exulte ! Je suis leur chose, leur jouet sexuel ; je leur appartiens totalement. A ce moment, je pourrais être leur esclave, leur chien fidèle, leur animal de compagnie, prêt à tout pour les satisfaire. Lorsqu’ils sortent de mon corps, je ressens comme un arrachement, un grand vide…Le temps, pour eux, de reprendre une tenue correcte et nous voici repartis sur le luxueux tracteur. Ils m’exhibent nu, couché sur la remorque plateau, dans un état physique et mental qui ne laisse nul doute sur ce qui vient de se passer. Nous traversons à nouveau le village et j’attire quelques regards lubriques ou haineux. Quelques minutes plus tard, nous arrivons dans une grosse ferme isolée du voisinage. Mes agresseurs me posent doucement sur le sol de la cour fermée de murs et s’attablent, un peu plus loin, devant un verre. Je reste allongé et me demande ce qui m’attend. Je suis fatigué et ne demande pas mon reste. J’entends des animaux qui bougent dans l’étable toute proche. Soudain un grand chien roux, venu de la grange voisine, s’approche et commence à s’intéresser à moi. Il a l’air plutôt gentil et respire tout d’abord mes odeurs corporelles de sa truffe. Sa queue mobile dit son humeur joyeuse. Il me lèche abondamment le visage puis mon corps trempé de sueur. Sa langue semble intéressée par le foutre qui orne mes lèvres, mon sexe et mon cul. Ces « toilettes » me réveillent un peu et m’excitent. Je bande ! Lui aussi semble stimulé et plein de désir pour ma personne. Il redouble d’ardeur. Sa longue langue arrive à pénétrer ma bouche puis mon cul encore dilaté. Il m’échauffe les sens le bougre ! Sans vraiment y penser, je me soulève et me positionne à quatre pattes, jambes écartées. Il n’attendait que ce signal pour me traiter comme une chienne. Le voici sur mon dos. Sa longue bite se frotte et s’excite sur mon entrecuisse. J’adapte ma posture et m’en saisis pour l’aider à entrer en moi. Ce troisième ramonage de la journée est aussi plaisant que les précédents et je me laisse aller à couiner doucement d’abord, puis de plus en plus fort. Voilà qui l’encourage et lui donne de la vigueur. Il s’agite de plus en plus violemment. Ses ergots blessent mes flancs nus, mais je ne le sens pas vraiment.Lorsque son bulbe gonfle dans mon ampoule rectale et que son foutre commence à se répandre dans mes viscères, je suis à nouveau au comble du plaisir. Il bouge encore un petit moment alors qu’il enfle. La sensation du va et vient de son organe dans mon cul serré me crée une telle jouissance que tout mon corps vibre violemment. De nouveaux cris aigus sortent de ma bouche. Je me sens prêt à m’évanouir. Il le sent et s’arrête brutalement. Mon cerveau est embrumé et je ne suis plus moi-même. Ma bite tressaute et ce qui me reste de sperme se répand sur le sol. Bientôt, il se retourne, quitte mon dos, et nous nous retrouvons cul à cul. J’apprécie la chaleur de ses poils sur mes fesses. Mes flancs sont maintenant soulagés mais toujours un peu douloureux. Ces longues minutes, complétement dilaté, valent encore le détour. J’ai tout accepté de lui et ne suis nullement honteux de respecter ses positions sexuelles habituelles. Tout au long de la scène, mes partenaires humains, morts de rire de me voir ainsi, n’ont cessé de m’adresser de nombreuses invectives : « Chienne en chaleur… Tu n’es qu’un cul sur pattes… Saloperie sodomite… Pédéraste débauché de la ville… Sale putain zoophile… Tu es un goret, tu hurles comme une truie… » Je ne les blâme pas, c’est vrai, mais j’aime ça ! Je ne me sens ni sale ni ridicule. Pour l’instant, je suis chienne et j’accepte avec bonheur mon destin. Qu’importe ce que pensent les autres !  Et puis, je suis si fatigué par mes performances que je ne pense plus qu’à m’endormir là, aux côtés de mon ami canin au pelage si soyeux.Après ce bel après-midi, je me dis que je reviendrai bientôt voir ces trois amants, s’ils veulent encore de moi. Sinon, j’irai en draguer d’autres. Je me soumettrai à nouveau à tous leurs caprices. Ils me rendent si heureux !
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