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Après midi foot bière pizza

Chapitre 1

Hétéro
Tinder j’y joue un peu, beaucoup, à la folie – et puis d’un coup plus du tout, sans doute comme pas mal d’usagers de ce truc-là, tant cette appli est addictive et puis qu’après elle nous débecte… avant qu’on y revienne et que ça nous ré écoeure… bref ! – c’était le samedi 14 juillet dernier et je glandouillais sur mon smartphone en me disant que, no way, pas moyen que cet aprèm je me tape cette petite finale dont tout le monde se contrefout, moi qui déjà en temps normal n’est pas spécialement amateur de ce sport.
Et puis alors que j’allais gentiment zapper cette appli du diable pour aller faire quelque chose de constructif de ma journée – un match. Elle est canon. Elle est très canon – asiatique, vingt-six ans, peau très brune, petite mais très très très bien faite, un regard un peu stone mais les traits d’une finesse folle, de grands yeux… J’envoie le premier message, tout en petites flatteries pas trop accentuées mais (me semble-t-il !) bien placées, comme quoi je suis ravi de notre match et que j’aime son charme, son style…etc. Sauf que la miss est cash : « what are you doing this afternoon ? » Dès cet instant je me suis dit (j’ai senti, je ne sais pas pourquoi) que ce devait être une « fille à fond », qui n’a pas froid aux yeux – et effectivement tout est allé extrêmement vite, beaucoup plus vite que tout ce qui m’était arrivé sur une appli de ce genre.
Parce que moi je fais mumuse avec Tinder mais je ne suis pas spécialement « doué » pour ce genre de rencontres – je veux dire que je sais très bien qu’il y a des tas de mecs qui savent très bien faire ça, c’est-à-dire « conquérir » les filles qu’il y a à « conquérir », ou qui savent très bien se connecter très vite avec celles qui ne sont pas à conquérir et qui veulent juste du sexe facile. Non, moi je crois que je suis trop entier, trop intègre (pas assez marlou quoi !) pour « consommer » sur cette appli comme certains font… donc j’ai été surpris du process dans lequel je me suis retrouvé – et qui consista en gros à ce qui suit (et que je retranscris tant, moi qui ne suis pas coutumier de la chose, tout ceci m’amusa et bien sûr me combla) : « Ce que je fais cet aprèm ? Rien de prévu encore. Et toi ? Rien non plus, je vais juste rester chez moi. Ah ! Rester chez toi ! Tu vas regarder le foot avec une bière et une pizza sur ton canapé ah ah ah ?! Oui, pourquoi pas ! ah ah – tu veux venir ? Moi ? Oh je suis pas grand amateur de foot mais… ça pourrait quand même m’intéresser ! Eh ben viens… voilà mon adresse ! Cool, j’arrive ! Et amène à boire hein ! Yes of course » Et voilà comment l’affaire fut pliée… si c’est pas du boulot efficace ça !
Bon franchement j’étais moi-même un peu halluciné et ne savais pas trop si c’était « du lard ou du cochon » comme on dit – et j’ai été content quand la jeune fille m’a demandé de faire un appel Facetime histoire de se parler un peu plus et de se voir. Notre coup de fil a été très cool. Elle avait l’air un peu stone mais me disait qu’elle venait de se lever et qu’elle allait vite prendre une douche pour se réveiller – mais par contre elle était encore plus jolie que sur les photos de son profil… ça devenait vraiment fou cette histoire !
Bref je suis arrivé devant un superbe immeuble du XVIème arrondissement de Paris, juste en face de l’hippodrome de Longchamp et Christelle est venue m’ouvrir… vêtue d’un petit short ultra court et d’un minuscule top – elle était outrageusement sexy. Je lui ai tout de suite dit que je n’avais pour elle aujourd’hui ni cadeau ni argent, elle m’a souri et m’a dit « no no it’s ok, no problem »… Suite à ça je me suis dit : c’est bon, les choses sont claires et pas de malentendu sur cette question de prostitution ou de « suggar daddy » entre nous.
Son appartement était en sous-sol, avec juste une fenêtre soupirail et il était dans un bordel monstre : des monceaux de fringues, de bibelots, des cartons, des éléments de muscu ou de gym, des meubles en kit pas montés… n’importe quoi ! Ca n’a pas été sexuel tout de suite : on a bu un peu bu le vin blanc que j’avais amené, on s’est un peu jaugés l’un l’autre (je la trouvais bien audacieuse de faire venir comme ça un inconnu chez elle !) et puis au bout d’un moment j’ai détendu l’atmosphère en faisant une blague sur le fait que je ne voyais ni bière ni pizza et que le match (cette petite finale dont tout le monde en fait se contrefout !) devait être commencé. On a ri et je me suis approché d’elle. Elle s’est un peu moqué de moi : elle s’étonnait de ce que les Français étaient « so feminine »… j’ai dû lui caresser les cuisses d’une façon que j’espérais assez virile pour elle en lui disant que je pouvais être « very masculine » – et c’est vrai que ses cuisses blanches, soyeuses, et ce tout petit short m’hypnotisaient depuis que j’étais entré dans sa chambre. J’ai voulu l’embrasser mais elle m’a refusé ses lèvres – alors je me suis coulé entre ses cuisses, j’étais fou de désir : j’ai commencé à lécher l’intérieur de ses cuisses, à la lisière de son short que j’ai bientôt soulevé pour glisser ma langue vers son intimité. Son parfum intime gagna mes narines et m’enivra complètement. Je la retournai pour admirer sa croupe délicieuse – ce à quoi elle consentit en se cambrant outrageusement. J’étais fou : j’adore ce moment où l’on bascule dans du sexuel alors qu’un instant avant on parlait encore de façon « fort civile ». J’ai écarté son petit short et le petit string blanc qu’elle portait en dessous et lancé ma langue à l’aventure ce qui m’amena (hasard de positionnement !) directement dans son cul ! Elle est tout de suite entrée dans le jeu, me tenant fort la tête, me caressant les cheveux : elle avait un peu minaudé au début mais ça y est, on y était – on voulait tous les deux baiser et le feu vert était lancé !
Ca a été un peu sauvage. C’était sans doute une fille un peu paumée – je dis ça, elle avait l’air un peu stone, peut-être en descente de MDMA, ou bien alors c’était quelqu’un qui avait pris pas mal de produits dans sa vie, et qui en restait un peu marquée. J’ai bouffé sa chatte comme un affamé – elle était sublime : entièrement rasée, très brune, très fine et très bien dessinée… Elle disait un peu n’importe quoi à ce moment-là, me demandant à plusieurs reprises si j’étais gay ou pas ! Je crois que je ne correspondais pas à ses standards de virilité. N’empêche que je l’ai baisée fort, puissamment, et que ses questions sur mon homosexualité, dans le côté un peu bête de leur répétition a déclenché chez moi la parole : je lui ai dit « I’m not gay : I’m gonna show you ! » pour me mettre (à vulgairement parler !) à la défoncer. Curieux : elle a refusé de m’embrasser tout du long de notre baise – mais quand j’ai fait jaillir ma queue devant ses yeux elle l’a embouchée sans hésiter. De toute façon on était à fond à ce moment-là, c’était vraiment la logique de l’instant. Elle avait été nurse aux Philippines et m’a répété mille fois qu’il fallait mettre des condoms, qu’elle connaissait les dangers… etc. Je lui ai dit que j’en avais et que je me protégeais toujours. J’ai donc mis une capote et l’ai prise avec vigueur sur son lit couvert de fringues, de nounours, de câbles… !
On a baisé comme des dingues je ne sais pas, une grosse demi-heure. Je l’ai prise dans toutes les positions – elle était extrêmement menue (mais tellement bien faite, avec des petits seins magnifiques et un petit cul bombé à tomber par terre !) : missionnaire, levrette, Andromaque et reverse cow girl, cuillère (oui oui, je connais bien mon alphabet !) mais aussi (et là je ne connais plus les noms !) debout, contre un mur ou en une sorte de « brouette » (oui je l’ai « punaisée » au mur, la clouant et la culbutant fort contre la cloison !). Elle était à fond demandeuse de tout, continuait de me taquiner avec ses « fuck me harder ! » ou ses « are you gay ? »… et moi qui la prenais toujours plus fort. A un moment on a roulé par terre et je l’ai prise sur un tas de fringues. Je lui disais « that’s what you wanted ? To be fucked like this ! » et la belle me répondait « I’m a whore… I’m your little bitch ! » bref on était en plein délire porno… Elle criait vraiment fort, j’hallucinais : on était chez elle, en plein après midi, juste en dessous du jardin commun de son immeuble ! Enfin moi je m’en foutais, c’était son problème avec ses voisins à elle !
J’ai joui deux fois : une première fois sur le lit alors que je la prenais en levrette – j’ai enlevé d’un coup ma capote et lui ai juté sur le dos en râlant comme un fou dans un plaisir dingue. On est reparti ensuite dans un long soixante-neuf qui m’a redonné ma vigueur et dix minutes après je la rebaisais en étant de nouveau dur comme du bois. La seconde fois que j’ai joui c’était dans sa bouche : je voulais trop la voir avec mon sperme sur sa langue, sur ses lèvres et son visage, ça m’excitait trop… Elle a été un peu réticente. Je lui ai dit « I wanna cum on your face ! » Elle a dit « I dont know » avec une moue un peu indécise. Mais je lui ai dit (et ça a eu l’air de lui faire de l’effet) : « you and me, we desserve it ! » et elle m’a laissé me branler au-dessus de son visage, mais sans me sucer. Sauf que quand je me suis senti partir j’ai placé ma queue sur sa bouche et elle l’a tout naturellement ouverte, recevant tout mon foutre chaud sur sa langue, et en en laissant échapper quelques gouttes qui s’écrasèrent sur son visage… Elle a tout recraché, me décevant un peu mais en fait je m’en fous : chacun fait comme il le sent dans ce genre de choses, et l’on avait déjà été très loin elle et moi dans ce délire sexuel…
On s’est remis vite fait, on s’est fait un brin de toilette et avons bu un grand verre d’eau. On était un peu chaos, et elle était un peu fébrile : je crois qu’elle était un peu gênée, ou je ne sais pas, qu’elle voulait « en finir » au plus vite avec moi ! C’était vraiment un rendez-vous pour la baise, dont encore une fois je ne suis pas coutumier du tout. Et puis ça a fini dans un numéro complètement rocambolesque : son téléphone a sonné, elle m’a dit que c’était sa mère et a décroché – puis au bout de dix secondes, cachant le combiné, elle m’a dit l’air complètement alarmé : « go, go ! » en me faisant signe de me tirer, « she’s coming, she’s coming right now ! ». J’ai pris mes affaires et suis sorti en catastrophe de chez elle, me retrouvant sur le trottoir ensoleillé de cette charmante avenue du XVIème, un peu halluciné et finissant après quelques instants par éclater d’un grand rire joyeux : cette aventure, finalement, avait été tout simplement extra !
J’ai rejoint le métro dans ce beau quartier chic de Paris, sur mon petit nuage… Dans le café d’en face résonna un coup de sifflet final. Ah oui ! Le match ! Eh ben… moi je n’avais eu ni foot, ni bière, ni pizza, mais y’a pas à dire, j’avais passé une bien belle après-midi !
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