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Après-midi lubrique

Chapitre 1

Divers
histoire écrite à la fois par Catlie et l’amant du moment
L’amant    C’est l’été. Il fait chaud, la pièce est fraîche dans la pénombre. Tu es nue. Tu es accroupie et en hauteur un peu comme si tu avais les pieds sur deux chaises écartées..; ou deux fauteuils    En dessous j’ai la place pour passer en m’allongeant... J’ai envie de te mater par en dessous comme ça et de te caresser partout l’entre fesses. Avec ma langue d’abord, puis de te fouiller aussi des doigts doucement, savamment... pour te faire goûter dans ma bouche.    …………………………………………………………………………………………………………Catlie    Nous avons décidé de ranger ta petite pièce du milieu où tu as ta garde robe, mais n’étant pas assez grande pour arriver en haut des étagères, je monte sur deux petits escabeaux de trois marches. Là je suis avec les jambes écartées et vu qu’il fait très chaud, pourquoi ne pas le faire toute nue?    Je sens ton regard langoureux et vicieux posé sur mes fesses et moi ayant la chatte qui s’échauffe, je me penche plus en avant, pour que mes nichons pendent entre mes bras. Je te demande de me faire passer le chiffon à poussière, ce que tu t’empresses de faire en passant ta tête entre mes jambes écartées où une petite langue s’égare sur l’intérieur de mes cuisses.    C’est comme une brûlure que je reçois et je te fais comprendre que cette langue vicieuse devrait vérifier si mon petit trou du cul n’a pas trop chaud. Une main vient palper mes seins et une bouche se colle sur le téton qu’elle grignote sans pudeur. Je sens en moi cette envie irrépressible de me faire baiser comme une chienne en chaleur. Mes tétons durcissent sous ta langue et je sens que ma chatte est en accord, car elle commence à suinter la femelle en rut...    …………………………………………………………………………………………………………L’amant    C’était une excellente idée de ranger mon placard, trop de cartons qui s’entassent. Et cet escabeau est bien pratique. Te voir monter là-dessus et enlever les vêtements qui t’encombrent me laisse penser que tu es en train d’allumer tes sentiments de salope... ça me fouette le sang... et à voir ta peau, les chairs de tes jambes et ton cul qui s’offre je commence à me sentir envahi d’un tas de très vicieuses pensées, au point que c’est un peu la confusion...     Par où commencer pour te faire monter dans ton vice...? Je me trouve sous toi, tes cuisses écartées m’offrent cette chatte qui m’attire... lèvres encore closes mais qui attendent de s’ouvrir toutes seules, la raie de ton cul qui cache un trésor que je veux faire gémir... un flot d’images lubriques m’envahit encore... et là ce sont tes seins que tu fais pendre , provocatrice qui connaît mes vices et les cherche!! j’aime ces galbes lourds et qui aiment qu’on les salopent, ces bouts qui réagissent... je glisse entre tes cuisses, mes doigts effleurent ta peau, sur les cuisses doucement, progressivement... et ma bouche vient prendre un téton pour le sucer, pour le sentir durcir et pour guetter ta réaction... ta voix dans ta gorge me fait comprendre que tu aimes ça... mes doigts prennent l’autre téton...et le massent dans le même rythme que mes lèvres... mon autre main court doucement sur ta peau jusqu’entre tes cuisses... je suis pris d’envie de te violer, de te forcer, de t’écarter comme un salaud pressé et de te fourrer, je ne sais pas quoi encore … de t’ouvrir l’entre cuisse comme pour laisser pisser ton jus lubrique sur mon visage, pour m’en délecter...     mais je veux aussi te faire bander, lentement, progressivement que tu profites bien de ton plaisir en le sentant monter, que ça viole ta tête et te donne des envies pires que ça... J’échange mes lèvres et ma main... mes deux mains prennent tes bouts de seins salauds et durcis, je griffe un peu, je masse, je pince sans brutalité, comme pour faire pulser le sang qu’ils contiennent et pour qu’il te monte au cerveau.. et pendant ce temps là j’assouvis ma fringale de bouffer délicatement ta chatte et le reste... je sais bien déjà que je vais m’en foutre plein de visage... partout, enfourner nez et menton dans tes trous...mais pour cela il faut que tu ruisselles d’abord… et ça me semble bien parti... je passe mes lèvres sèches sur les lèvres de ta chatte, je sens ton odeur que j’aspire au fond de moi comme une drogue qui alimente le vice... ma langue encore timide s’immisce... j’ai envie d’écarter large tes fesses avec mes mains...mais je me retiens encore... je t’écoute gémir... je vais te conduire au point où tu seras obligée de descendre de l’escabeau pour ne pas perdre l’équilibre… pour le moment je me barbouille l’âme de ce vice qui commence à couler de ta chatte qui s’ouvre.    …………………………………………………………………………………………………………Catlie    Je sens que ma chatte est trempée et tu me fais descendre de l’escabeau, car à tout moment, je risque de tomber. Je vais n’affaler sur le canapé, les cuisses bien ouvertes et ma main s’égare sur ma chatte qui appelle le mâle. Mais toi, vicieux comme tu es, tu m’enlèves les mains et me les attachent dans le dos, "Ceci est mon domaine, je vais te faire supplier de venir entre tes jambes pour goûter le jus de ta chatte".    Je ne peux qu’attendre ton bon vouloir en gémissant car tu passes et repasses avec tes mains lentement sur mon clito qui gonfle et cette foutue chatte qui mouille de plus en plus, je me renverse en arrière et gémit "viens me sucer, je t’en prie". Tu viens et je sens ta langue et ta bouche se coller sur ma mouille, je serre les cuisses comme pour te fondre en moi et je me sens de + en + excitée, mais tu me laisses au bord de la jouissance en te levant.    Je crie, je gémis, je n’en peux plus. Tu vas chercher daisy dans mon sac, tu l’introduis juste au bord de mes lèvres et moi en salope que je suis, je lève mes reins pour le laisser s’infiltrer dans mes entrailles de salope. Mais tu le rentres et le ressort doucement alors que j’aimerais qu’il me défonce pour me donner la délivrance. Sale vicieux que tu es de me laisser dans cet état, tu connais pourtant tout ce qui "pue" en moi ce vice de jouir en criant et de pouvoir en redemander encore et encore quitte à n’être plus capable de réfléchir tant le sexe s’est bon....    …………………………………………………………………………………………………………L’amant    Je me recule un peu pour regarder cette femelle écartelée devant moi, la chatte gluante, toute frémissante, les yeux à moitié clos et un râle dans la gorge qui dit ses envies.     J’ai la figure barbouillé de sa mouille. Je me délecte de son goût et de son odeur. Avec ses bras attachés, ses cuisses écartées, elle est offerte à mes caresses et à mes fantaisies.    Je sens bien qu’elle voudrait jouir. J’ai envie de la faire jouir, pour mon propre plaisir de la voir exploser, pour elle bien sûr, elle rebanderait de toutes façons quelques minutes après, tant elle aime ça... mais... la voir morte d’envie, le clito outrageusement gonflé m’incite à être salaud et encore salaud. Au fond je sais bien qu’elle aime tout, bander bander bander... à vouloir jouir... mais à sentir qu’on la fait encore bander un peu plus avant de jouir... et elle aime aussi cette explosion, cette libération qui secoue le ventre, remue les tripes, fait gicler tous les jus en libérant un peu l’esprit... elle ne sais même plus ce dont elle a envie...alors moi... je laisse mon vice parler. Au fond, qu’elle éclate sans le voir venir, si ça arrive, et la meilleure façon que ça arrive est de la saloper tant que je veux, tant que je peux !!     Et là j’ai envie de sa bouche. La mienne, mon menton, mon nez, sont plein de mouille... attachée elle ne peut se défendre.. je me penche sur elle, approche mes lèvres de sa bouche, sans toucher.. tout près, pour qu’elle sente l’odeur de son jus.. pour qu’elle se saoule de sa propre excitation... je frotte mes lèvres sur ses lèvres.. sur ses joues, je m’essuie sur elle et j’enfourne tout d’un goût ma langue vorace dans sa bouche, cherchant sa langue, la léchant à pleine langue, mélangeant nos salives... ça m’excite comme un dingue de sentir comme elle répond à ce baiser, à cette pelle énorme pleine de nos envies vicieuses... je ne la lâche pas, mais mes doigts cherchent ses tétons, je veux les masser pendant que je lui bouffe la bouche .. que tout ça se prolonge dans sa cervelle lubrique, l’allume encore  plus et redescende par la moelle épinière jusqu’au bout de son clito à le faire palpiter, à le faire sortir et pointer pour qu’on le baise enfin... j’ai envie de le triturer, de le pince, de tirer sur lui à faire mal..mais je reste sur les seins.. je veux que ce soit long long long... que ça donne l’impression que ça ne va jamais finir... je sais bien moi que je vais m’en occuper de ce salopard de jouisseur boutonneux!! Mais en même temps le voyeur en moi m’appelle, la table basse, j’aimerais bien voir cette chienne la croupe en l’air, bien écartée... pour pénétrer tout ça.    J’hésite, en lui suçant la langue.. en tirant sur les tétons.. en griffant les seins... j’ai envie de la mordre... je pince un tétons et de l’autre main je prends ses cheveux, à pleine main, pour les tirer en arrière, qu’elle offre encore plus sa bouche si bonne à baiser! je vais me baiser des baisers de sa bouche.... et ensuite je vais la reluquer comme elle le mérite!!
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