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Un après-midi d'orage

Chapitre unique

Erotique
Un après-midi d’orage.

Je m’appelle Monique, j’ai 60 ans et mesure un mètre quatre-vingts. J’ai des cheveux très longs, d’un noir profond. Mes yeux sont aussi noirs que mes cheveux. Je suis dotée d’une forte poitrine, pour mes soutiens-gorges, je prends un bonnet D. Les hommes se retournent souvent sur mon passage. Leurs yeux ont du mal à quitter ma poitrine. J’adore les exciter en portant des chemisiers semi-transparents, pour qu’on aperçoive mes gros tétons. Mes amants les comparent souvent à de petites olives.
J’aime me promener comme ça et voir tous les hommes se retourner sur moi. L’aventure que je vais vous conter m’est arrivée, il y a une huitaine de jours.
Aujourd’hui ce mardi après-midi, je suis tranquille à lire un bouquin, quand on sonne à la porte. C’est ma meilleure amie et aussi une de mes maîtresses. On se connaît depuis une quinzaine d’années souvent, on fait des sorties ensemble. Il nous arrive d’aller dans des boîtes échangistes. Mais le plus souvent, on reste chez nous des après-midis entiers à faire l’amour.
Je suis surprise de sa présence.
— Bonjour, ma chérie, j’ai décidé de venir te voir. Mon mari est avec ses copains et je m’ennuie. — Ça fait un petit bout de temps qu’on s’est vues. Ça me fait plaisir que tu viennes me voir. Entre et installe-toi dans le salon. Je vais nous préparer un bon thé.
Quelques minutes plus tard.
Je la rejoins avec un plateau, garni de petits gâteaux et la théière fumante. Elle est installée dans le fauteuil qui fait face au mien. Après avoir posé le plateau sur la table basse, je lui serre une tasse. Je m’assois confortablement en face d’elle.
Il faut que je vous décrive mon amie.
Elle s’appelle Chantal, elle a cinquante-neuf ans, c’est un petit bout de femme d’un mètre soixante. Cheveux bruns, coupés à la garçonne, les yeux marron, Poitrine 85 B. Les seins en poire, petites aréoles brunes, des tétons en pointe longue d’un bon centimètre et demi, toujours durs et dressés, d’une sensibilité extrême. J’adore les sucer, les aspirer et les mordiller.
Aujourd’hui, elle est habillée d’un petit t-shirt blanc et d’une jupe courte qui s’arrête à mi-cuisse. Je m’aperçois qu’elle n’a pas mis de soutien-gorge. Sa poitrine tend son vêtement, ses tétons sont prêts à traverser le tissu. Elle est assise, les jambes écartées. Comme pour ses seins, elle ne porte aucun rempart. La vue de sa chatte fraîchement épilée commence à me faire mouiller.
— Dis-moi ma petite salope, tu as envie que je te fasse jouir ?— Oui, je n’ai pas fait l’amour avec une femme depuis deux jours. La dernière fois, c’était avant-hier, avec ma nouvelle femme de ménage. Tu sais la petite jeune de dix-neuf ans. Elle est mignonne comme un chou. Ça y est, j’ai réussi à la déniaiser, je t’assure, c’est une très bonne élève, d’ici quelque temps, elle sera prête à s’amuser avec nous. Et toi, tu as quelque chose à me raconter.
— Oui, la semaine, derrière, j’ai vécu une nouvelle expérience, un truc inédit. Tu veux que je te la raconte ?— Oui bien sûr.— La seule chose que je te demande, c’est de ne pas m’interrompre, tout le temps que je te la raconte.— Je pourrais quand même me branler si l’histoire est croustillante.— Aucun problème.
C’est ainsi que je lui raconte mon jeudi après-midi. Je décide d’aller faire une petite heure de marche. Ce jour-là, le temps est à l’orage. Je décide quand même de partir. Mon but est de trouver un homme pour me faire sauter. Je décide d’aller vers les dunes où il y a souvent des voyeurs qui observent la plage naturiste. Ils sont prêts à faire l’amour avec la première femme qui le désire.
Tu comprends malgré ma collection de godes, ça me suffit plus. Je suis en manque, il fallait que je trouve un homme. Je suis habillée en vraie salope : chemisier transparent, sans soutien-gorge, afin que mes tétons puissent bien paraître, une jupe ample. C’est plus facile pour la relever et me faire prendre.
— Bien sûr, tu me connais, je ne mets rien en dessous.
Avant de partir, je me suis regardée dans la glace. Je laisse mes cheveux tomber sur toute leur longueur. Je sais que ça plaît aux hommes. Il va falloir vraiment que je trouve un homme. Cela fait 8 jours que je n’ai pas eu d’hommes.
Au bout d’un quart d’heure de marche, je suis surpris par l’orage, impossible de trouver un abri, en cinq minutes, je suis trempée. Mon chemisier me colle à la peau. Ma poitrine est complètement collée au tissu devenu transparent. Mes gros tétons donnent l’impression de traverser le tissu, tellement qu’ils sont devenus pointus à cause du froid. Mes cheveux dégoulinent tout le long de mon dos. Je grelotte, je suis complètement gelée.
Je fais demi-tour, pour rentrer chez moi avant d’attraper la crève. À ce moment-là, une voiture ralentit à ma hauteur. Le conducteur m’interpelle.
— Il ne faut pas rester comme ça ma p’tite dame, vous allez attraper froid. Voulez-vous que je vous ramène chez vous ?
Je suis très heureuse de ne pas rester sous cette pluie battante. En plus, un homme tout seul dans sa voiture, ça peut être intéressant.
— Oui merci.
Je le reconnais tout de suite, mais lui ne m’a pas reconnue. Je décide de jouer le jeu le plus longtemps possible. Tout le long de la route, il ne cesse de regarder mon chemisier devenu transparent par la pluie. Je vois dans son pantalon une bosse se former.
Si tu t’y prends bien, ma petite dans peu de temps, tu te fais baiser.
Arrivés à la maison, son expression change complètement. Son visage devient rouge, il bégaye quelques mots.
— Excuss... Excuse-moi, je ne t’ai pas reconnue.— Pour te remercier, je t’invite à prendre un café.
Il hésite, après quelques secondes de réflexion.
— Oui, ça sera avec plaisir.— On rentre à la maison.
Je lui propose d’aller dans le salon.
— Excuse-moi, il faut vraiment que je me change. Je reviens de tout de suite.
Je vais dans la salle de bain. De l’endroit où il se trouve, il a une vue directe sur celle-ci. Bien sûr, je n’ai pas fermé la porte. J’enlève mes vêtements trempés. Dans mon miroir. Je le vois, il ne perd pas une miette de ce que je fais. Sa main caresse son entrejambe. Pendant que je sèche mes cheveux, je joue avec mon corps afin de l’exciter au maximum.
Une fois mes cheveux secs, je me rends dans ma chambre. Je traverse le couloir, nue. Sans hésitation, je sais quelle robe je vais mettre. La petite robe blanche avec un décolleté style Marilyn Monroe, qui se ferme derrière par une fermeture éclair. Au moindre mouvement, mes seins sortent du décolleté. Je l’enfile rapidement. Bien sûr, je ne mets aucune culotte. Je ne ferme pas la fermeture dans le dos. Je retourne dans le salon avec mon air bêta. Je me dirige vers lui.
— Peux-tu m’aider ? Ma fermeture éclair est coincée.
Je lui présente mon dos pour qu’il puisse la fermer. Je m’arrange pour qu’une des bretelles tombe et qu’un de mes seins apparaisse. Ses mains se mettent à trembler, il a du mal à attraper le curseur.
En même temps, ses yeux sont fixés sur mon sein. Il reste, quelques secondes, tétanisé. Je sens sa respiration s’accélérer.
Il lâche le curseur, pose ses mains sur mes épaules et descend l’autre bretelle mon deuxième sein apparaître. Très doucement, ses mains descendent sur eux. Ses doigts arrivent jusqu’à mes tétons et avec ses index les caressent.
Il les pince doucement et tire dessus. Je me mets à gémir et je sens ma chatte couler. Il se penche et me dit à l’oreille.
— Je ne savais pas que tu étais aussi salope. J’ai envie de te baiser. Tu me fais trop bander depuis tout à l’heure.— Oh oui, moi aussi, j’ai envie.
Je me retourne et on s’embrasse à pleine bouche. Pendant ce baiser, il descend ma robe et la fait tomber à terre. Ce long baiser terminé, je m’écarte de lui. Je lui enlève sa chemise. Je dirais plutôt lui arracher, défais sa ceinture et laisse son pantalon tomber à terre.
On se retrouve tous les deux nus, lui bandait comme un taureau, et moi, toute ma cyprine coulant le long de mes cuisses.
Je suis surpris par la taille de son sexe.
Je m’agenouille devant lui et commence à le sucer. Je l’enfonce dans ma bouche afin de lui faire une gorge profonde.
Vu la taille de sa queue, j’ai du mal à la faire entrer jusqu’au fond de ma gorge. Il pose ses mains derrière ma tête pour m’empêcher de revenir en arrière.
— C’est toi qui as commencé salope, maintenant, tu dois aller jusqu’au bout.
En me disant ces mots, petit à petit, il appuie doucement sur ma tête. Je sens son sexe rentrer au fond de ma gorge.
Je suis une habituée des gorges profondes, mais là, vu le diamètre de sa queue, j’ai un peu de mal à l’avaler. Une fois son gland passé, ma luette, tout le reste passe sans problème. Mes lèvres touchent ses poils qui sont très bien entretenus. Je commence mon aspiration et mes muscles se gonflent et se dégonflent sur son gland. Celui-ci se gonfle de plus en plus, j’ai du mal à respirer. Et d’un seul coup, une partie du sperme contenu dans ses couilles gicle dans ma gorge.
Il se retire et le reste de son sperme remplit ma bouche, ce qui me permet de reprendre ma respiration. Avant de retirer son sexe entièrement de ma bouche, il me dit :
— N’avale pas.
Il me soulève en me prenant sous les bras, il m’embrasse à pleine bouche en mélangeant sa salive avec son sperme et tous les deux, on avale ce délicieux mélange.
***Pendant que je lui fais le début de mon récit, mon amie a mis une de ses jambes sur l’accoudoir de son fauteuil.
Cette position fait apparaître son sexe épilé. Elle descend une de ses mains sur celui-ci, un doigt sur son clitoris. Elle me regarde avec ses yeux humides et me fait un grand sourire.
— Vous ne vous êtes pas arrêtés là ? Je suppose que vous avez continué.— Tu m’as promis de ne pas m’interrompre. — Excuse-moi.
Après cette petite pause, je reprends mon récit.
***Après cette pipe majestueuse, sa grosse et belle pine n’a pas débandé.
— Et bien, dis donc toi aussi, tu en avais besoin, vu la quantité de sperme que tu as craché.— Je ne veux pas me vanter, mais c’est toujours comme ça quand je suis excité par une jolie femme comme toi.— On va vérifier ce que tu dis, suis-moi.
Je l’attrape par le sexe et l’amène dans la chambre, arrivée dans celle-ci. Il me prend dans ses bras, caresse mes seins, les suce, les mord, tire sur mes tétons. Il me pousse sur le lit. Je tombe sur le dos, les jambes écartées, ma chatte à sa merci.
Il se met à genoux entre mes jambes, approche sa tête de mon sexe et commence un cunni. Il force mes petites lèvres et remonte sur mon clito, sa langue est agile.
En à peine cinq minutes, je commence à couler et lui remplir la bouche.
Il aspire ma liqueur et l’avale tel un bon vin. Il relève la tête.
— Ta mouille est magnifique, et elle est délicieuse.
Il replonge sa tête entre mes jambes et continue son travail de lèche. Arrive le moment où je n’en peux plus. Là, je crie mon plaisir.
Mon bassin se soulève, à le désarçonner. À ce moment-là, de ma chatte sort une série de jets qui lui arrose une partie de son visage.
Ses yeux sont pétillants de bonheur. Il me regarde avec un grand sourire.
— Une Femme fontaine, tu es vraiment génial !
On se prend dans les bras de l’un de l’autre. On échange un nouveau baiser.
Il me regardait droit dans les yeux.
— Tu ne crois pas qu’on va finir comme ça.
Il s’allonge sur moi.
Il prend mes grandes lèvres entre ses dents, les mordille doucement.
Il remonte sa tête le long de mon corps, passe par mes seins, mort et aspire mes tétons.
Pose sa bouche sur mon cou et là, il commence un suçon.
J’ai beau me débattre, le poids de son corps m’empêche de bouger.
Trois minutes plus tard. Je me retrouve avec une marque rouge pratiquement violet. Elle fait environ 3 centimètres de long sur 1 de large, j’aperçois même la forme de ses dents par endroit.
— Une petite marque pour que tu te souviennes de moi.
***
— Regarde, j’ai encore la trace.

De mon doigt, je montre à mon amie la trace qui s’est à peine estompée, mais toujours apparente. Je pense qu’il faudra encore quelques jours pour que tout disparaisse.
Pendant mon récit, j’observe mon ami, elle a mis l’autre jambe sur le deuxième accoudoir. J’ai en face de moi sa chatte grande ouverte.
Trois de ses doigts entièrement rentrés dedans et sa cyprine coule en abondance. La tête en arrière, la bouche ouverte, elle donne l’impression qu’elle manquait d’air.
— Si je comprends bien, tu m’écoutes plus : tu te branles.— Non, non, continue, je t’en prie, continue. Je n’en perds pas une miette de ce que tu me dis. Qu’est-ce que tu m’excites.— Bon OK, je reprends la suite.
***Toujours allongée sur le lit, je m’aperçois que son sexe est toujours bandé.
J’écarte mes jambes le plus possible. Il s’allonge sur moi.
Sa queue trouve le chemin de ma chatte sans difficulté. Je la sens rentrer doucement dans mon vagin.Une fois rendu au fond de celui-ci, il commence une série d’allers-retours de plus en plus rapides. Son gros sexe gonfle de plus en plus. Une chaleur immense irradie dans mon ventre. Je n’ai qu’une seule pensée, c’est de le garder le plus longtemps possible en moi.
Je passe mes jambes de chaque côté de ses hanches, les croise sur son dos, afin de l’empêcher de se retirer de ma chatte.
Ses va-et-vient sont de plus en plus violents.
Ma jouissance monte dans tout mon corps. Je me mets à crier.
— Oh oui, continue ! Je veux que tu me défonces le plus possible. Oui, oui ! ENCORE, ENCORE, ENCORE ! Ah ah ! Qu’est-ce qu’elle est grosse ! Elle me remplit ! Continue ! continue ! Défonce-moi ! Elle est grosse ! Elle est grosse ! Remplis-moi ah, ah, ah, AH, AHHHH ! Tu me remplis, tu me renplisssss.
Plus fort ! oui plus fort ! super, je sais plus, haaaaa ! Encore ! Ho, oui, oui ! OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !
À partir de là, je ne sais plus où je suis. La seule chose qui compte pour moi, c’est ce sexe énorme qui continue à me défoncer. Sa bouche se met à sucer et à mordre mes seins. Jusqu’au moment où je sens de puissants jets inonder l’intérieur de mon vagin.
Et là un trou noir. Quand je refais surface, il me caresse les seins et les embrasse.***Pendant mon récit, mon amie se masturbe, ses doigts dans sa chatte et son pouce sur son clitoris. De son autre main, elle tire sur ses tétons en poussant de petits cris.
La connaissant bien, je sais que sa jouissance ne va pas tarder à arriver. Moi aussi, le fait de revivre cet après-midi-là, je sens ma chatte couler et ma cyprine mouiller le cuir de mon fauteuil. Entre deux gémissements, d’une voix chevrotante, elle me demande.
— Je t’en prie, n’arrête pas. Je veux savoir la suite. Tu ne peux pas te rendre compte comment cela me fait jouir. Je t’en prie continue.
Je reprends mon récit.
***
— Il y a très longtemps que je n’avais pas disposé d’un homme, capable de me faire jouir tout l’après-midi, tu vas voir, il est super-endurant.
Après cette petite Pause, de caresses sensuelles et de longs baisers. Son sexe reprend de la vigueur, j’approche ma bouche pour le sucer, il me relève la tête.
— Non, c’est à toi maintenant de te faire lécher. Mets-toi à quatre pattes, je veux te lécher et te prendre en levrette.
Je me mets en position. Avec sa langue, il commence à me sucer la chatte. Il l’enfonce profondément dedans. Sa langue caresse mon clitoris, redescend sur mes grandes et petites lèvres. Après cinq bonnes minutes de cette caresse, je commence à jouir pour la énième fois. Il approche son sexe de ma vulve et entre dedans d’un coup sec. Il commence des allers-retours. Et là, ça dépasse toutes mes espérances. Je me mets à jouir en continu. Mon plaisir est tellement puissant que je sens à peine qu’il met ses mains sur mes seins. Il me les malaxe, tire mes pointes et les pince. Il profite de ma jouissance pour poser son gland sur mon anus et sans prévenir, l’enfonce d’un coup sec. Je ressens une douleur vive, vite remplacée par une nouvelle jouissance.Il commence une nouvelle série d’aller-retour, de plus en plus rapides. Ses mains ne restent pas inactives : l’une s’occupe d’un de mes seins et l’autre de mon clito. Je suis dans l’incapacité de déterminer le temps que ça dure.
Ma jouissance est si forte que je voudrais que ça ne s’arrête jamais.
Ses deux mains me prennent les hanches. Ses allers-retours sont de plus en plus forts. Jusqu’au moment que je sens son sexe grossir et s’enfoncer tout au fond de moi. Je sens son sperme inonder tout mon intérieur.
Tous les deux, ensemble, nous crions notre jouissance avant de nous écrouler sur le lit.
Essoufflés, nous sommes trempés de sueur. Il nous faut quelques minutes pour reprendre nos esprits.
***Devant moi, mon amie se met à crier sa jouissance et envoie une multitude de jets de cyprine.
Elle inonde le fauteuil. Quelques flaques se forment sur le parquet du salon.
Il est vrai, je l’ai toujours connue en tant que femme fontaine. À la voir jouir devant moi, je ne peux plus me retenir. Je m’agenouille devant elle. Je mets mes lèvres sur sa chatte. Je lèche et aspire tout ce jus que j’adore.
Dans la minute qui suit, sa jouissance redémarre. Au bout de deux trois minutes, elle prend la tête de ses deux mains et me regarde droit dans les yeux.
— Viens.
Elle me prend dans ses bras et me couche à même le parquet. On se met en position 69.
Elle pose sa chatte sur ma bouche. De ses deux doigts, elle écarte ses lèvres.
Je me mets à aspirer l’ensemble de ce délicieux fruit et mets ma langue au fond de son vagin. De son côté, elle suce mon sexe. On entame un 69 de folie. Après avoir bien joui toutes les deux, on se lèche nos visages maculés de cyprine. Nos cœurs battent très fort. Mon amie pose sa tête sur ma poitrine.
— Raconte-moi la suite.— Il n’y a pas de suite. Il est pratiquement 18 h. Il doit rejoindre son épouse.— Dommage, j’aurais bien voulu qu’il y ait une suite. J’ai joui comme une folle à ton récit. Cet homme dont tu m’as décrit être un si bon baiseur. Tu vas le revoir ?— Il y a de grandes chances.— Tout au long de ton histoire, je me suis vue à ta place. Tu as vu, j’ai joui comme une folle. Tu sais on a l’habitude de tout partager. Tu serais d’accord de le partager avec moi ?— Je ne vois aucun problème ma chérie.— Tu crois qu’on pourrait tous les trois faire un après-midi, comme tu as vécu.— On a parlé de toi. Il est tout à fait d’accord qu’on fasse une petite sauterie, un de ces jours.— J’espère que ce sera dans peu de temps.— Dans très peu de temps si tu le désires.— Dès qu’il veut. Je suis partante. Tu m’as dit que je le connaissais.
Bien sûr, tu le connais très bien.
— Cet homme extraordinaire, c’est qui ?— TON MARI MA CHÉRIE !
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