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Après-midi récréatives

Chapitre 3

Orgie / Partouze
LA ‘RECOMPENSE’ DE BERNARD

Le lendemain Line sonne chez Marjorie. Elle ne voulait pas venir. Qu’est-ce que ces manières de disposer de son temps ! Il ne faudrait pas que Bernard s’imagine qu’il peut tout exiger ! Elle est sortie se promener se promettant de ne pas aller chez sa tante, mais comme un fait exprès, à trois heures moins cinq elle tourne dans l’avenue et quelques minutes après elle s’arrête devant la porte tremblante d’appréhension et d’impatience. Elle réalise que la veille, il n’a pas profité d’elle ni de ses compagnes tant qu’il y avait de la visite. Qu’est-ce que Bernard demandera ? Jusqu’ici, il ne l’a pas baisée, se contentant de son cul et de sa bouche. Elle sonne à la porte palière.
— Entre, c’est ouvert ! La voix de Bernard ! Elle pénètre chez sa tante. — Referme à clé s’il te plait. Elle obéit. Du vestibule, elle a vue sur le salon. Marjorie entièrement nue, est agenouillée entre les genoux écartés de l’homme. Les mouvements de haut en bas de sa tête trahissent son occupation. — Déshabille-toi… Plus vite que ça et rejoins ta cousine… Tout ! ordonne-t-il quand Line en petite culotte fait mine de s’approcher… Bien, viens aider Marjorie. Celle-ci cède la place avec empressement. Ce n’est pas dans sa bouche que Bernard va éjaculer, tant mieux ! Line docile, empoigne la verge frémissante et la lèche à petits coups. — Aah ! C’est un plaisir de se faire sucer par d’aussi jolies personnes ! Il tire sur les cheveux de Marjorie, l’oblige à se lever et l’attire contre lui. — Continue à me sucer toi ! lance-t-il à Line qui s’active sur la hampe raide. Il serre entre ses lèvres le téton proche. — Aaah ! La jeune fille avance la poitrine. La main de Bernard descend sur les fesses, s’introduit dans la raie. Un ongle gratte l’anus tente de s’introduire. — Aaah ! soupire Marjorie en remuant pour que le doigt pénètre. Line avale le gland pour en extraire la semence. — Doucement ma toute belle, doucement… Mmmh !… Oui !… Aah !
Tout à coup, Bernard se redresse et pousse Marjorie à plat ventre contre le canapé. Il guide sa queue luisante de salive entre les fesses. La jeune fille qui a compris ce qu’il désire, bombe le cul. — Line ! Aide-la ! Bien que dépitée de voir son jouet lui échapper, celle-ci tire sur les lobes fessiers et fait saillir l’anus. Le directeur pose le bout du sexe dessus. Il pousse.
— Aaah ! Double gémissement lorsque le gland s’enfonce et disparaît à la vue. — Caresse-la en même temps, ordonne-t-il en amplifiant ses coups de rein. Line glisse la main sous le ventre de Marjorie et s’amuse à titiller le bouton sensible. — Aaah !… Ouiii !… encore !… Ouiii ! — Tu aimes ça… Han !… te faire… Han !… trouer… Han !… la rondelle. — Ouiii ! — Dis-le… Han !… que tu aimes… Han !… ma queue. — Ouiii !— Dis-le … Han ! — J’aime… Aah … ta queue. — Où ça ? — J’aime… Aah !… ta queue… Aah !… dans… Aah !… dans le cul… Aaah ! — Aaagghh ! Bernard donne les derniers coups de rein avant de s’affaler sur le dos de Marjorie. Line le repousse et libère sa cousine qu’elle entraîne dans la salle de bain.
A leur retour, l’homme essuie son sexe avec des mouchoirs en papier. — Excuse-moi, Line de te laisser tomber aujourd’hui. J’ai encore Lucille et Daphné à visiter, je dois me ménager. Je te promets que la prochaine fois je me consacrerai entièrement à toi… Peux-tu me passer mon porte-documents ? Il l’ouvre et extrait deux enveloppes. — Voilà pour toi Line, et pour toi Marjorie, dit-il en les tendant aux deux filles. — Qu’est-ce que c’est ? demande celle-ci. — Ouvre, tu verras. — Oh ! s’écrie-t-elle en découvrant des billets, un, deux trois, quatre, cinq ! Cinq cents… euh… Quatre cent cinquante euros ! Pourquoi ? — C’est la récompense pour votre participation moins l’amende de cinquante euros pour m’avoir obligé à sévir. Vous en aurez autant à chaque après-midi récréative. — Samedi prochain aussi ? — Samedi et les fois suivantes. — Tu entends Line ! On va pouvoir se payer ce qu’on veut ! Merci Bernard ! La jeune fille saute au cou du directeur et inflige deux baisers sonores. — Bon, ça va, ça va. Le meilleur remerciement sera de bien vous comporter quand je vous demanderai de venir. Il récupère son slip et son pantalon. — Je vous quitte. Comme je vous l’ai dit, je dois passer chez Lucille et Daphné… Non, inutile de vous rhabiller, j’aime bien vous voir ainsi, puis, Marjorie, je compte sur toi pour dédommager Line. Elle a été brimée, fais-la jouir. C’est un service que je te demande.
Line est perturbée. — Tu te rends compte de ce que cela veut dire ? dit-elle en agitant l’enveloppe qu’elle n’a pas ouverte lorsqu’elles ont refermé la porte à clé. — T’es pas contente ? — Nous sommes des prostituées ! — Mais non ! On ne fait pas le trottoir. — Recevoir de l’argent en échange de services sexuels, t’appelles ça comment ? — On l’a pas demandé ! C’est un cadeau. Oh ! Puis fais ce que tu veux ! Moi je le garde. Marjorie court dans sa chambre et pose l’enveloppe dans le tiroir de la table de nuit. — T’as pas peur que ta mère le découvre ? demande Line qui l’a suivie. — T’as raison, il faut que je le planque. Elle glisse la liasse dans un classeur de son bureau. Sa cousine l’enlace par derrière et caresse la poitrine. — Excuse-moi pour tout à l’heure, je ne voulais pas te faire de la peine… Dis… Tu devais pas me faire jouir ? Marjorie se retourne et tend les lèvres…
— Que comptes-tu faire de tout cet argent ? demande Line qui se rhabille. — Je sais pas… Si ! Me payer la jolie robe que j’ai vue en vitrine dans une boutique. — Faut pas que tata ni maman la voient, elles pourraient se poser des questions. — T’as raison, je ferai gaffe. Et toi ? — Moi ? Je le garde pour plus tard. Les deux cousines se séparent. — Je te vois avant samedi ? demande Line en embrassant Marjorie. — Je crois pas. On se donne rendez-vous à l’entrée de l’immeuble à deux heures ? — Si tu veux.
La séance du samedi ressemble à s’y méprendre au premier après-midi. Même nombre d’invités mâles, même discrétion de Bernard qui se garde de participer, même succès des deux cousines qui subissent avec vaillance huit ou neuf étreintes successives, même fatigue en fin de séance. Seules leurs deux partenaires féminines sont différentes. Elles n’avaient jamais vu auparavant Renée et Josiane. Par la suite, elles sont convoquées une à deux fois par semaine. Elles apprennent à se ménager, à simuler la jouissance au lieu de se laisser aller. Au courant du mois d’août, Bernard les fait participer séparément, mais les retrouvent ensembles chez l’une ou l’autre pour la distribution des enveloppes précédées par une sucette ou une sodomie ou les deux lorsqu’il est en forme.
Line ne se pose plus de question, elle accepte la situation. Elle vend ses charmes ? Et alors ? Elle n’est pas la première ! A part une fois où elle n’a pu se libérer, elle n’a refusé aucun rendez-vous à Bernard. Cela ne lui fait plus rien d’offrir son corps devant et derrière aux sexes des participants pendant les après-midi récréatives comme les nomme Bernard. Elle en a connu des verges, soupire-t-elle, des courtes, des longues, des fines, des grosses, mais aucune n’atteignait les proportions de celle de Désiré. Quand aura-t-elle cette chance ?…
…C’est courant septembre en plein milieu de l’après-midi, pendant qu’elle se faisait sodomiser qu’elle l’a aperçu…
A suivre…
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