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Après-midi théâtre

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
Je suis en couple avec Maryline depuis plusieurs semaines. Enfin...en couple, c’est un bien grand mot quand on est adolescent, qu’on vit chez les parents et encore au lycée. Nous sommes en terminale dans la même classe. Nous débutons notre relation lors d’une sortie en boîte de nuit. Les contacts sont assez rapprochés lors des slows. Les baisers longs et fougueux.
Début Janvier. Le professeur de philosophie organise une sortie culturelle pour aller voir une pièce de théâtre. Nous voilà tous embarqués dans un bus direction Avignon. 
Maryline et moi sommes assis au milieu de la rangée. Tous les sièges ne sont pas occupés. Donc nous sommes un peu isolés. Certains élèves lisent, d’autres écoutent de la musique au calme. Ce n’est pas le cas dans le fond du bus avec des rires, des cris, un chahut assez important. Une accompagnatrice doit venir les voir pour leur demander de faire moins de bruit.
Avec Maryline c’est le contraire. Le silence, le calme, les caresses douces. Je suis assis côté couloir. La petite taille de Maryline lui permet de s’allonger sur mes jambes en courbant le dos. Ses grosses fesses appuyées contre le côté vitre. 
J’écoute de la musique, bercé par les mouvements du bus. Je tape le rythme avec mes doigts posés sur la fesse de Maryline. Mon bras coincé sous sa tête lui sert d’accoudoir. Elle me tient la main qu’elle caresse du bout des doigts. Le trajet se poursuit sur la route départementale sinueuse. On se balance dans les virages, lors des freinages. 
Maryline prend ma main posée sur ses fesses pour la poser contre son ventre boudiné. J’aime caresser cette chair molle, souple et tendre. Elle tire sur ma main pour la descendre un peu plus sur son pubis. Je suis surpris de trouver deux boutons dégrafés de son pantalon et de toucher sa peau douce, chaude. C’est encore plus surprenant et excitant de savoir maintenant qu’elle ne porte pas de culotte. Je me penche sur son oreille.
— Coquine, dis-je dans un souffle.
Pour seule réponse, elle m’embrasse la main sous sa tête. Elle s’empare d’un doigt, puis d’un second avant de les lécher, les sucer. Je me redresse contre le dossier du fauteuil et laisse œuvrer Maryline dans cette caresse buccale. Sa langue tourne sur les doigts. Elle les tète, les mord. 
Elle desserre un peu les jambes et tire plus bas l’autre main entre ses cuisses. Mes doigts touchent les poils de sa toison épaisse et fournie avant de se poser sur sa fente humide et baveuse. Deux doigts s’écrasent sur son clito dur et bandé. Elle suce plus vite mes doigts quand j’appuie sur ce petit organe sensible. Je le pince, je le frotte. 
Quand je glisse deux doigts dans son intimité, elle en enfonce trois de ma main dans sa bouche. Elle les suce, les lèche, les aspire encore dans le même sens que ceux entre ses cuisses. Ma bite gonfle, se tend et s’écrase sur son cou. J’enfonce plus vite, plus profond mes doigts entre ses cuisses. Elle m’attrape le poignet, le garde entre ses cuisses qu’elle serre fort lorsqu’elle jouit. Elle me mord la cuisse pour étouffer ses cris. 
Quand elle libère ma main d’entre ses jambes, elle la garde contre elle et la porte à sa bouche. Elle suce ces doigts couverts de son jus. Elle reste allongée sur mes genoux jusqu’à l’arrêt du bus sur le parking du théâtre.
Quelques minutes plus tard, nous marchons en groupe jusque dans la salle de théâtre. Il n’y a pas de fauteuil individuel mais des gradins en bois en demi-cercle. On patiente pendant que les autres spectateurs entrent et prennent place. Le décor sur la scène est réduit au minimum. Un fauteuil en bois à haut dossier, un pupitre et deux colonnes grecques. Les lumières de la salle s’éteignent, seules celle braquées sur la scène restent allumées. Un homme entre et entame un monologue.
Au début intéressé et captivé par le discours de l’acteur, mon attention s’oriente bien vite sur Maryline. Elle m’attrape la main et la plaque directe entre ses cuisses. Encore une fois, je suis surpris de découvrir les boutons ouverts de son pantalon. Je n’hésite pas et glisse mes doigts dans la braguette. 
Aussitôt mes doigts frottent contre sa fente encore humide, glissent entre les lèvres baveuses. Maryline serre les jambes sur mon bras, se cambre. Elle me mord l’épaule pour ne pas hurler. La semi-obscurité de la salle et notre position au fond des gradins dissimule un peu nos mouvements, mais pas forcément les cris, les gémissements de mon amie. Mes doigts fouillent son sexe, glissent entre les lèvres couvertes de mouille. J’essaie de pincer le clitoris mais Maryline est tellement trempé qu’il m’échappe. 
Pour son plus grand plaisir, elle appuie plus fort et comprime ma main sur son sexe. J’enfonce maintenant trois doigts dans sa chatte. Elle plaque sa bouche contre mon bras, elle se cramponne à moi, elle se trémousse sur sa place et se balance d’une fesse sur l’autre. Parfois elle se penche en avant quand je pousse quatre doigts en elle. Je suis certain que si je continue encore, elle va exploser et jouir.
Heureusement pour elle, les lumières s’allument pour l’entr’acte. Je croise son regard. Les yeux brillants, les joues roses et sa respiration courte sont les signes d’une forte excitation. Tout comme les tétons visibles qui pointent sous son teeshirt.
— Laisse-moi aller aux toilettes, me dit-elle après m’avoir embrassé.
Je constate que les boutons de son pantalon sont remis, mais une tâche plus sombre apparaît sur l’entrecuisse. 
Pendant son absence, je discute avec Morgane, une amie de classe, assise à côté de la place laissée libre par Maryline. Le body qu’elle porte sous son blouson souligne le volume et la rondeur de ses seins. Le fuseau clair laisse imaginer des cuisses musclées et puissantes.
— Sympa comme pièce, me dit Morgane qui se rapproche et prend la place de Maryline.
— Ouais, dis-je sans grand enthousiasme, mais écouter un monologue ce n’est pas vraiment intéressant.
Elle me regarde, sourit. Elle se penche vers moi et prend ma main. Elle la porte à son nez puis à sa bouche. J’essaie de retirer ma main, mais Morgane la tient fermement. Elle prend de grandes inspirations par les narines pour sentir l’odeur piquante de Maryline, gémit doucement avant de lécher et sucer mes doigts pour avaler le jus intime de ma compagne. Je tire plus fort sur ma main. Morgane la lâche.
— C’est vrai qu’il y a des choses plus intéressantes à faire, ajoute Morgane qui se décale à sa place alors que Maryline revient.
— De quoi parlez-vous ? demande Maryline qui s’assoit puis nous regarde tour à tour.
Je tourne la tête vers la scène vide.
— Que c’est une pièce enrichissante, dis-je.
Quelques minutes plus tard, les lumières s’éteignent. 
L’acteur revient dans une nouvelle tenue. Une grande toge blanche enroulée sur un bras, une écharpe rouge sur les épaules. Il reprend son discours. Sa voix parfois forte résonne dans la salle. 
Maryline pose sa tête contre mon épaule. Elle tient ma main posée sur sa cuisse. Elle caresse mes doigts de façon parfois assez significative. La voix de l’orateur est douce, calme, posée avant de monter en puissance sans pour autant crier. Comme la pression des mains de Maryline sur la mienne. Elle me la serre comme dans un étau. 
Je tourne la tête pour regarder si tout va bien. Je vois qu’elle serre les dents, les yeux fermés. Elle ouvre la bouche pour respirer. Elle se mord la lèvre inférieure avant d’y passer la langue. Elle pose sa joue contre mon épaule, lève la tête vers moi. Sa respiration est rapide, courte. Elle me serre tellement fort que je sens ses ongles traverser mon pull, se planter dans mon bras.
Je baisse les yeux. Ce que je vois est surprenant et excitant. Maryline garde les jambes écartées. Dans l’obscurité, je distingue un bras entre ses cuisses. Mais ce n’est pas celui de ma compagne puisqu’elle a les deux mains cramponnées à mon bras. Je suis ce bras des yeux pour m’arrêter sur la poitrine pour voir la veste ouverte avec une main qui presse un sein sur le teeshirt. 
Cette main malaxe, pétrit la chair molle et pendante. Je continue de suivre le bras jusqu’à l’épaule puis sur le visage de Morgane tourné vers la scène. Elle continue de suivre l’acteur qui débite son texte. Parfois elle se mord la lèvre inférieure, passe d’une fesse sur l’autre tout en gardant le bras entre les cuisses de Maryline et la main sous la blouse.
Á mon tour je glisse la main entre les cuisses de Maryline qui libère mon bras. Je progresse sur sa jambe charnue. Je touche le poignet déjà enfoncé dans le pantalon. Un petit mouvement de recul de cette main avant qu’elle ne s’arrête de bouger. Je pose la mienne dessus. Je tourne la tête vers Morgane qui me fixe, un petit sourire aux lèvres. J’aperçois dans la pénombre sa langue passer sur ses lèvres avant un clin d’œil. 
Elle tourne à nouveau la tête vers l’acteur. Elle retire sa main pour prendre la mienne et la glisse dans le pantalon ouvert. La chatte de Maryline est trempée, les poils mouillés, les lèvres intimes gonflées. 
Morgane guide ma main jusqu’à pousser mes doigts qui s’enfoncent dans la fente baveuse de mon amie. Á cette pénétration soudaine, Maryline serre les cuisses sur les deux mains. Elle m’agrippe le bras. 
Morgane pousse sa main contre la mienne. Elle joint ses doigts aux miens déjà enfoncés en Maryline. Les lèvres gorgées de sang s’ouvrent pour laisser les deux mains pénétrer cette cavité chaude en même temps ou en alternance. Les doigts fouillent, dilatent la chatte dégoulinante de Maryline qui bouge de plus en plus sur le gradin. Jusqu’à ce qu’elle se plie en deux, écrase les mains entre ses cuisses. 
Elle tremble, tape du pied, me mord le bras pour étouffer un gémissement. Je sens mes doigts trempés et écrasés dans sa chatte baveuse. 
Morgane retire sa main. Je fais la même chose. Maryline donne un petit coup de rein, se cramponne à mon bras. Je distingue un sourire sur les lèvres de Morgane qui porte ses doigts à sa bouche pour les lécher, les sucer.
La représentation se termine. Je sors de la salle avec Maryline qui marche à petits pas. On monte dans le bus. Elle s’assoit, se couche sur deux fauteuils du bus et s’endort. Je m’installe dans la rangée à côté, mets les écouteurs et ferme les yeux. 
Le trajet en bus se fait, comme l’aller, avec des cris, des rires dans le fond du bus. Je somnole, je suis au calme jusqu’à ce que je sente un mouvement à côté de moi. J’ouvre les yeux. 
Morgane me sourit. Elle jette un regard circulaire puis se tourne vers moi. Sans gêne elle déboutonne son blouson juste assez pour me montrer qu’elle est nue en dessous. Le body a disparu. Ses gros seins aux larges auréoles et gros tétons se révèlent à mes yeux. Elle prend mon poignet qu’elle glisse sous son blouson. 
Le contact avec cette masse souple, chaude est un délice. Je la soupèse avec ma main en coupe sous le sein, puis mes doigts pincent, tirent sur le mamelon dur. Morgane pose la joue sur l’appui-tête, gémit, souffle doucement, ferme les yeux. Je caresse, presse, effleure ces seins. 
Ses doigts disparaissent sous son legging alors que l’autre main monte sur ma cuisse. Avec des gestes précis et rapides, elle déboutonne mon pantalon et plonge ses doigts sous mon caleçon. En quelques secondes je bande. Elle tire l’élastique du sous-vêtement pour faire dépasser le gland et une partie de ma bite raide. 
Morgane sourit en gardant les yeux fermés. Elle me caresse, passe le bout des doigts sur le frein, entoure le gland. Puis elle porte sa main à sa bouche, dépose de la bave dessus avant de la remettre sur mon sexe. 
La caresse est plus douce, plus chaude. Elle lâche ma bite pour bouger sur son siège et s’assoir sur le côté. Au passage, elle regarde Maryline qui dort.
Elle se tourne vers moi. Elle reprend les choses en mains. Elle tire ma main sur son sein. Elle enfouit la sienne sous le legging et attrape ma bite qu’elle branle doucement. Elle presse plus fort le gland. Elle le couvre de salive. Parfois elle glisse ses doigts sous mon caleçon pour caresser mes couilles rasées.
— J’adore, murmure-t-elle dans un souffle à mon oreille.
Elle revient sur le gland qu’elle astique plus fort et plus vite. Ses doigts compriment, tournent sur la base du gland. Je respire plus vite. Je me crispe. Je lâche son sein pour m’accrocher à l’accoudoir de mon siège. Morgane accélère sa main sur ma bite. 
Elle dégage l’autre d’entre ses cuisses pour tirer mon caleçon, mettre ma bite toute entière à nue. Elle est raide, dure. Morgane pose sa tête sur mon torse, malaxe mes couilles pendant que sa main glisse sur mon sexe. Elle baisse encore la tête. Je peux maintenant sentir son souffle chaud sur le gland humide et gonflé. Elle me branle encore plus vite. Elle s’arrête quelques secondes puis poursuit la masturbation. 
La bave qu’elle vient de déposer facilite la caresse. Elle presse mes couilles plus fort. Je me tends sur le siège. Je soulève un peu les fesses. Le bout de ma bite s’écrase sur sa bouche. Elle resserre les lèvres sur le gland. Elle le lèche, le tète, l’aspire. Ma bite se contracte, se gonfle. Elle écrase une dernière fois mes couilles. Je sens mon jus monter dans ma bite. 
Morgane baisse la tête pour enfoncer ma bite dans sa bouche jusqu’au fond de la gorge. Je me repends dans sa gorge avec plusieurs jets de sperme. Je lâche un petit rire nerveux quand Morgane se dresse. Elle garde les lèvres jointes. Elle récupère la goutte de sperme avec un doigt sur le coin de sa bouche qu’elle ouvre pour me montrer ma semence. 
Elle passe sa langue couverte de jus sur les lèvres, me fixe, referme la bouche et avale. Elle s’approche de moi, dépose ses lèvres sur les miennes.
— C’est un délice, dit-elle avant de rejoindre les autres élèves à l’arrière du bus.
Dix minutes plus tard, le bus s’arrête devant le lycée. Chacun descend. Avant de nous séparer, Morgane s’approche de moi.
— La prochaine fois c’est mon tour, me dit-elle.
Et cette prochaine fois arrive quelques semaines plus tard lors d’une représentation théâtrale organisée par les élèves du lycée. 
Tout se déroule dans le gymnase. Une scène est montée, des chaises alignées, des projecteurs positionnés. Tout est en place. Maryline est assise à côté de moi en début de rangée.
— Ils ont vu grand pour les chaises, dit-elle. Tout le lycée ne va pas venir.
— Il y a même les matelas pour la gym au sol pour ceux qui veulent roupiller, dis-je en hochant la tête vers le coin de la salle.
— Ou pour baiser aussi, ajoute Morgane qui nous prend par les épaules, nous rapproche et glisse sa tête entre les nôtres par derrière.
— OOhhh, crie Maryline de surprise.
On rit ensemble.
Quelques minutes plus tard, les lumières s’éteignent. 
Maryline a raison, la salle est au trois quart vide. Le spectacle commence. Les élèves reprennent la pièce connue par beaucoup de monde : le père noël est une ordure. Les scènes se succèdent. Des rires, des applaudissements. 
Au bout de vingt minutes, la main de Maryline devient baladeuse. Elle caresse, presse ma jambe. Remonte, descend, frôle mon entrecuisse. Je lui réponds en exerçant les mêmes caresses sur elle. Mais elle attrape ma main et la dégage de sa cuisse. Elle me fait signe non de la tête. Puis elle se lève et s’en va. Je la regarde s’éloigner. Elle s’arrête devant la porte menant aux vestiaires. Elle me regarde, tape deux fois sur une fesse et passe la porte.
— La coquine, dis-je tout bas.
Au moment où je me lève, une main attrape mon poignet et tire dessus pour que je reste assis. Je tourne la tête et découvre Morgane assise à la place libérée par Maryline quelques secondes plus tôt. Elle se blottit, se colle à moi. Elle pose direct ma main entre ses cuisses, au contact de son pubis sous sa mini-jupe. Elle pousse un petit gémissement.
— C’est mon tour maintenant, dit-elle en pressant ma main contre elle.
Je sens sous mes doigts la peau lisse, chaude et humide de son sexe. Il est déjà visqueux, trempé. Avec ses doigts, elle dirige les miens sur sa fente, entre les lèvres intimes qui s’enfoncent de quelques centimètres. 
Morgane appuie son dos contre la chaise, écarte un peu les cuisses. Elle cambre les reins. La pénétration est rapide. Puis elle se redresse, se plie en deux. Elle frotte ma main contre elle, en elle. Elle bouge son bassin sur ma main en elle. Elle respire plus vite. Elle gémit. 
Elle se lève soudain et me tire par le bras. Elle avance d’un pas rapide vers la porte des vestiaires empruntée quelques minutes auparavant par Maryline. Á peine a-t-on franchit la porte qu’elle me plaque contre le mur. Elle se jette sur moi. Ses mains courent sur moi, agrippent ma tête, presse mon torse, descendent sur mes cuisses. Elle m’embrasse à pleine bouche. Sa langue fourre dans la bouche, elle aspire ma langue.
Morgane se déchaine sur moi. Elle attrape mes mains pour les plaquer sur ses fesses qu’elle presse.
— Alleezzz vas-y caresse-moi, branle-moi, gémit-elle entre deux baisers.
Je réponds à sa demande. Je soulève sa mini-jupe, dévoile ses fesses rondes et fermes. Je les presse l’une contre l’autre, je les claque.
— OOuuiiii plus fooort, c’est ça, dit-elle.
Je recommence encore et encore. Je glisse une main entre ses masses de chairs rougies. La raie profonde est elle aussi humide. Je frotte les doigts sur l’anus, puis descend vers la chatte trempée. Morgane se trémousse contre moi. Elle tord du cul quand j’appuie sur sa fente et introduis plusieurs doigts en elle. Ils se couvrent de mouille et glissent dans sa chatte. Avec le pouce je titille l’anus qui ne tarde pas à céder sous la pression. 
Morgane avance le bassin et se colle à moi. Elle prend ma tête entre ses mains et m’embrasse avec rage. Elle mord ma lèvre et la tire. Elle aspire ma langue, la suce. Je continue de la baiser avec une main quand l’autre tire sur son teeshirt. Elle se dégage un peu et le retire. 
Je découvre sa poitrine nue aux petites auréoles et gros tétons. Elle se jette à nouveau sur moi, tire ma tête vers ses seins. Je les embrasse, les lèche. Je mords les tétons, les aspire. Morgane rit, se tord, se frotte contre moi. Le contact devient brutal. Elle pousse son bassin contre le mien, le percute plusieurs fois. Mes doigts toujours en elle s’enfoncent encore plus profond jusqu’à disparaître entièrement. 
Morgane ne peut retenir un cri couvert par les applaudissements dans la salle. La situation devient trop risquée. Je décide de l’entraîner jusque dans les vestiaires. 
Mais on percute une personne. Pris de panique je suis surpris de voir Maryline debout contre le mur. Mais cette frayeur disparaît quand je la vois une main enfoncée dans son pantalon et l’autre sur un sein qu’elle dévoile, le pull remonté sous les bras. Je suis toujours collé à Morgane qui m’embrasse les joues, le cou, me mord l’oreille. Maryline s’approche, colle ses lèvres aux miennes puis à celles de Morgane. Le baiser entre les deux jeunes femmes est excitant, fougueux, brutal.
Je jette un coup d’œil vers la salle et pousse mes deux partenaires jusque dans les vestiaires. 
Une fois à l’intérieur tout va très vite. Morgane me pousse sur un banc sur lequel je m’allonge. Elle dégrafe mon pantalon et sort ma bite raide. Elle tire sur la peau pour décalotter le gland. Maryline s’approche de nous. Elle regarde Morgane puis ma bite qu’elle engloutit sans attendre.
Morgane lui appuie sur l’arrière du crâne pour que mon sexe pénètre le plus loin possible. Maryline déglutit, recrache ma bite avec un filet de bave. Morgane se joint à mon amie pour me sucer en même temps. Elles jouent avec leurs langues sur ma bite, gobent mes couilles rasées. 
Puis Maryline se lève, retire son pantalon et se place au-dessus de ma tête. Sa chatte blonde poilue suinte, coule de mouille. Elle écarte ses grandes lèvres pour me montrer la chair rose à l’intérieur. Puis elle s’assoit sur mon visage pendant que Morgane pointe et frotte le bout de ma bite contre sa chatte toute aussi mouillée. Elle s’empale dessus en poussant un long gémissement. 
Les deux jeunes femmes se font face. Du coin de l’œil, je peux les voir s’embrasser, se frotter les seins, les tétons les uns contre les autres. Maryline se soulève un peu. Je peux admirer sa fente couverte de mouille, de jus intime odorant. J’empoigne ses fesses, je les écarte, les claque. Elle pousse un cri à chaque coup. J’enfonce ensuite ma langue dans sa chatte. Elle se laisse tomber et s’assoit sur mon visage. 
Morgane continue sa chevauchée fantastique sur ma bite qui la pénètre, la dilate. Elle mord les tétons de Maryline qui de son côté pince ceux de sa partenaire. Puis elles s’embrassent avec passion. Leurs lèvres se frottent, se sucent. Chacune donne du plaisir à l’autre tout en se faisant soit lécher ou pénétrer par ma langue ou ma bite.
Notre plan cul se prolonge pendant plusieurs minutes. Maryline prend la place de Morgane qui vient à son tour s’écraser sur ma figure. Elle roule des hanches, frotte mon nez contre et dans sa chatte dilatée, couverte de mouille et de cyprine. 
Après dix minutes supplémentaires de baise intense, Morgane jouit sur mon visage. Je bois son nectar intime avec délice. Maryline la suit de près et contracte ma bite avec ses parois intimes pendant l’orgasme. Chacune se redresse en écrasant leur poitrine l’une contre l’autre. 
Elles s’accroupissent face à face devant ma bite dressée. Pendant que Morgane lèche, gobe mes couilles, Maryline lèche, tète le gland. Ce supplice a raison de moi. J’éjacule quand les deux demoiselles joignent leurs lèvres sur mon gland pour recueillir et partager mon jus. Elles échangent un long baiser avant de s’écarter l’une de l’autre.
Maryline se penche sur moi et m’embrasse.
— Je t’aime, me dit-elle.
Morgane se penche à son tour sur moi.
— Qui sera la prochaine ? dit-elle avec un sourire coquin et un clin d’œil.
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