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Un après-midi torride

Chapitre unique

Avec plusieurs femmes
Un samedi après midi torride...
Je me prénomme Kévin... Mon ami et associé dans notre cabinet d’architectes se prénomme quant à lui Ludovic. Cela va faire une petite dizaine d’années que nous travaillons ensemble. Lorsque nous sommes sortis de l’école d’architectes, nous avons été embauchés en même temps dans un grand cabinet parisien puis quelques années plus tard nous avons décidé d’un commun accord qu’il était temps de voler de nos propres ailes.
C’est ainsi que nous avons émigré vers une ville de province où un cabinet était à reprendre... Et le travail ne manquait pas dans cette région en pleine mutation à la suite de l’arrêt quasi complet de la sidérurgie et de l’exploitation du charbon...
Nous y avons fait connaissance avec nos compagnes respectives. Ludovic s’est rapidement mis en ménage avec Sandrine et ils se sont installés dans un immeuble dont nous avions fait les études de réaménagement, transformant les petits appartements en lofts très confortables. De mon côté, après avoir papillonné un peu, j’ai épousé Jennifer, une jeune femme d’origine écossaise, mais établie en France depuis de nombreuses années. J’avais opté pour une belle location très confortable également où nous nous sommes installés peu avant le mariage.
Tous les quatre, nous sommes dans la tranche des 35 / 40 ans et nous sommes très complices, aimant rire et nous moquer des interlocuteurs vus au cours des semaines écoulées. Les filles se sont mises rapidement au diapason en nous racontant les péripéties vécues sur leur lieu de travail.
Mais avant de vous parler de ce fameux après-midi, laissez-moi décrire les principaux protagonistes...
Ludovic est un pur chti’ et il a été heureux de retrouver sa région d’origine dont il ne cessait de parler. Grand et mince, il est cependant remarquable (et remarqué par la gent féminine), son visage ovale perpétuellement orné d’un sourire fait se pâmer les femmes... et ses grands yeux gris-bleu comme la Mer du Nord les font chavirer facilement... Quand nous étions parisiens, je ne comptais même plus ses conquêtes d’une soirée... Ses cheveux châtains sont coiffés en arrière avec un catogan assez long.
Sandrine est elle aussi originaire du nord, mais elle ne peut pas renier son ascendance hispanique (certes lointaine). Elle est brune, avec des formes un peu amples, mais qui visiblement plaisent beaucoup à Ludovic... De longs cheveux noirs légèrement ondulés cascadent sur ses épaules lorsqu’elle les libère, mais le plus souvent ils sont noués en queue-de-cheval, notamment pour aller au boulot.
Jennifer est tout son contraire... Blonde diaphane, elle a une poitrine menue (qui fait mon désespoir et le sien) et des hanches en rapport sous une taille étroite, mais c’est une grande fille délurée qui m’a plu au premier regard. Et depuis notre rencontre il y aura bientôt trois ans, cela ne se dément pas au point que nous envisageons de faire un enfant !
Quant à moi, je n’ai rien de remarquable si ce ne sont mes épaules larges et une musculature discrète. Depuis la fin de mon adolescence, j’ai fait partie de l’équipe de rugby junior puis sénior du Paris Université Club, mais je n’ai jamais eu l’honneur de jouer comme titulaire dans l’équipe phare.

Ce samedi matin en fin de matinée, nous avons conduit nos compagnes respectives à la gare de Lille pour prendre le TGV. Leur arrivée à destination est prévue en milieu d’après-midi... Ainsi, elles auront tout le temps de se rendre à l’agence auprès de laquelle nous avons loué un grand appartement et de s’y installer pour une première semaine de villégiature. Nous les rejoindrons avec la voiture à la fin de la semaine à venir...
Comme nous avions le temps, après avoir mis Jennifer et Sandrine dans le train, nous sommes allés nous promener dans les alentours de la gare pour voir quelles étaient les évolutions de ce quartier qui avait vu pas mal de bouleversements lors de l’arrivée du TGV puis de l’ouverture du tunnel Transmanche... Puis comme il était largement l’heure de déjeuner, nous sommes entrés dans un restaurant typique, le « O THAI », qui comme son nom l’indique servait de la nourriture asiatique que nos compagnes ont en horreur !
C’est là que nous avons fait connaissance avec Cathy et Gladys, deux jeunes femmes qui se sont avérées ne pas être très farouches puisque, après avoir échangé quelques banalités, elles nous ont rejoints à notre table : quatre convives qui ont continué à bavarder et à plaisanter tout au long du repas si bien que nous avons prolongé un peu en faisant une nouvelle promenade à quatre dans le quartier.
Mais ces deux coquines avaient quelque chose en tête puisque chemin faisant, elles nous ont guidés vers leur appartement dans un bel immeuble rénové... Elles savaient ce qu’elles voulaient : nous entraîner vers un épisode bien chaud... Elles étaient fières d’avoir « levé » deux jeunes mâles esseulés qui leur avaient offert leur déjeuner...
En fait, Cathy et Gladys étaient jumelles et vivaient ensemble dans ce grand appartement où elles nous firent entrer.Agées d’environ une trentaine d’années, elles étaient réellement semblables... elles devaient mesurer un bon mètre soixante-dix et avaient visiblement ce qu’il fallait aux bons endroits... Elles portaient leurs cheveux mi-longs et lisses, brunes, elles avaient le visage ovale illuminé de grands yeux gris et une bouche assez large aux lèvres fines.On n’aurait jamais cru que nous avions affaire à deux Anglaises qui travaillaient à la boutique du tunnel Transmanche de la gare de Lille : elles parlaient le français sans aucun accent !Et c’est sans aucune surprise qu’elles nous ont dit :
— avoir envie de baiser,— qu’elles nous trouvaient à leur goût,— qu’elles étaient sûres que nous allions bien nous amuser !

Décidément Cathy et Gladys faisaient mentir l’adage qui veut que les Anglaises soient des « cageots », frigides et sans aucun sex-appeal.Ce sont les files qui ont choisi leur partenaire : Cathy est venue s’asseoir sur les cuisses de Ludovic et Gladys sur les miennes. Passant les mains derrière notre nuque, elles nous ont embrassées langoureusement en se trémoussant pour faire dresser notre sexe...
Les « hostilités » étaient commencées et personnellement cela me renvoyait quelques années plus tôt où j’avais un franc succès après des filles de l’école d’architecture et d’autres... Je verrais bien où voulait en venir Gladys : Serait-elle aussi chaude que ses baisers et son attitude voulaient le montrer ?
Comme dans un ballet bien réglé, les deux sœurs se sont levées et se sont enlacées pour se déshabiller mutuellement... jusqu’à ne plus porter qu’un soutien-gorge bien garni et un string des plus réduits qui masquait un pubis glabre. Puis elles sont revenues vers nous et ont entrepris de nous déshabiller jusqu’à ne plus avoir que notre slip sur nous.
Personnellement, j’appréciais les initiatives de Gladys qui palpait sans vergogne mon sexe pour achever de le faire dresser avant de faire glisser mon slip sur mes jambes. Désormais, j’étais nu, à la merci de cette fille qui ne portait plus qu’un minuscule string (presque un cache-sexe) et un soutif bien galbé ! Il est évident que nos baisers étaient de plus en plus chauds et je sentais le pubis de Gladys frotter contre mon sexe... Elle s’était mise à cheval sur mes cuisses et elle a fait glisser son string sur le côté pour s’empaler sur mon sexe... La question du préservatif n’avait même pas été évoquée !
Je jetais un rapide coup d’œil sur le côté pour voir dans quelle situation était Ludovic... Cathy était agenouillée devant lui et lui faisait une gâterie, plongeant le sexe de mon copain au fond de sa gorge !

Jusqu’à ce jour, nous ne nous étions jamais trouvés dans une telle situation. Certes nous étions très libres, mêlant parfois nos moitiés à nos plaisanteries un peu chaudes, mais jamais nous n’aurions envisagé de faire l’amour les uns devant les autres... Et là, nous sommes en train de baiser deux Anglaises dans leur séjour...

Gladys montait et descendait sur ma bite suivant un rythme lent et les mains passées autour de sa taille, j’avais sous les yeux une jolie poitrine avec des seins bien ronds et des tétons à moitié sortis... Pour mieux ressentir le plaisir qu’elle faisait monter en elle, elle avait fermé les yeux et savourait... mais dans notre position, mon sexe n’allait pas très loin dans celui de Gladys...J’étais bien moi aussi, mais comme la veille, j’avais copieusement baisé Jennifer à plusieurs reprises, j’étais un peu long à venir... Mais cela n’était pas grave, car Gladys était vraiment une jolie fille et je savourais le plaisir que j’avais de lui faire l’amour... et visiblement, elle prenait son pied... Sa chatte était de plus en plus baveuse et chaude et elle s’agitait de plus en plus sur mon mat. Pour l’aider un peu, je passais mes mains le long de sa taille puis je les laissais redescendre pour empaumer ses fesses. Elle a dit alors :
— Oh oui... Je sens que je ne vais pas tarder... C’est bon de te sentir en moi !— Je suis mûr moi aussi !— Alors... Lâche-toi !
Et retrouvant sa langue maternelle, elle a ajouté :
— Fuck me hard !
Et au moment où elle jouissait, je lâchai quelques bonnes giclées au fond de sa chatte en l’éperonnant sèchement... Elle commenta :
— Waouh... You are very good !— You too !
Et elle s’est affalée sur mon buste, masquant Cathy et mon copain... Je n’entendais plus que leur souffle et le fauteuil qui grinçait un peu... quand Gladys me dit :
— Ton copain est à la fête... Depuis le temps qu’elle en avait envie, elle a trouvé le bon partenaire !— Tu crois ?
C’est en tournant un peu la tête que je vis Cathy à quatre pattes sur l’assise du fauteuil et Ludovic collé contre ses fesses...
— Oh that is great ! Fuck me entirely !— Tu ne perds rien pour attendre ! Ton cul est vraiment accueillant ! Merci ! C’est très bon !

Ainsi Ludovic était en train de sodomiser Cathy qui appréciait... C’est vrai aussi que la bite de Ludovic (que j’avais aperçue accidentellement lorsque nous allions ensemble à la piscine) était aussi longue et fine que lui était grand et mince. Il entrait et sortait du sphincter de Cathy suivant un rythme lent, mais à chaque fois, il se collait bien contre les fesses de sa partenaire introduisant son sexe bien au fond... Il semblait prendre son temps. Je dis à Gladys :
— Ta sœur semble avoir trouvé un partenaire à son goût ?— Oh oui... depuis le temps qu’elle cherchait un « bon » partenaire pour se faire sodomiser, elle semble avoir trouvé ! En plus Ludovic ne semble pas pressé... Il ne baise pas comme un bourrin !— Et toi... Tu es aussi un adepte de la pénétration arrière ?— NON, j’ai quelques expériences, mais je préfère sentir le mec s’épancher dans ma chatte... la sodomie avec une capote, ce n’est pas très fun !— Tu as raison... J’ai toujours entendu dire qu’il ne fallait pas sodomiser une fille sans capote !— OUI... Tu as absolument raison... Si tu me faisais goûter ton nectar ?

Gladys s’est dégagée de mon étreinte et en s’agenouillant devant moi, a embouché ma bite encore un peu turgescente, mais abondamment nappée de mon jus pour la sucer... Et c’était bon...
Je pensais que ma femme pourrait prendre des leçons, car elle se contentait généralement de me pomper pour que je me vide sur ses seins... jamais elle ne m’avait prise en bouche alors que je sortais de sa chatte... jamais elle n’aurait admis que je me vide dans sa bouche !
Soudain les deux filles dirent quelques mots en anglais... Cathy en voyant que je bandais à nouveau sous le traitement de sa sœur m’a invité à venir me faire sucer dans sa bouche pendant que Ludovic continuait à la sodomiser... Gladys me dit :
— Vas-y ! Je sais que tu reviendras vers moi après... On n’a pas fini !

En fait, Cathy s’est contentée de me faire dresser en absorbant mon sexe puis de me dire que sa sœur m’attendait, qu’elle devait être prête à se faire sauter à nouveau ! Gladys était désormais intégralement nue, le string et le soutien-gorge avaient disparu je ne sais où et décidément je la trouvais bien belle.
— Viens... Je sais que les Français en sont friands... Tu vas me prendre en levrette !— OK... J’arrive !

Les bras allongés sur l’assise du fauteuil, elle s’était mise à genoux sur le tapis et attendait que je revienne vers elle... Ce que je voyais en m‘approchant était véritablement très bandant et je ne tardais pas à prendre place entre les cuisses de Gladys et à musarder contre son entrejambe... Je la sentais en attente aussi, je ne tardais pas à loger mon gland entre ses lèvres intimes... D’un mouvement brusque de recul, Gladys m’a fait entrer entièrement dans son vagin jusqu’à ce que mon bas-ventre soit au contact de ses fesses. Contrairement à notre premier rapport, là j’étais vraiment au fond de son sexe et je ne tardais pas à sentir les muscles intimes masser le bout de ma queue...
— Go ahead, do yourself a favor ! Fuck me !

Dans les instants intenses, Gladys retrouvait sa langue maternelle... Elle voulait que j’y aille fort, que je me fasse plaisir, que je la baise... et j’en profitais.Cathy et Ludovic qui se reposaient de leur première saillie s’étaient approchés de nous et nous regardaient avec beaucoup d’intérêt et Cathy commentait en disant qu’elle apprécierait bien mon membre dans sa chatte... Serait-elle partageuse ?Oui... car quelque temps plus tard alors que nous nous étions désaltérés tous les quatre en bavardant, elle a dit sans ambages en s’approchant de moi qu’elle était « prête à se faire sauter »... L’invitation était on ne peut plus claire !
— C’est comme tu veux...— Si on passait dans la chambre... le lit nous tend les bras...— T’as raison... Ce sera mieux que les fauteuils...— Alors... suis-moi !

Pas de vêtements superflus... Cathy m’a suçé brièvement et lorsqu’elle a jugé que j’étais réellement prêt à la sauter, elle s’est allongée sur le lit en me tendant les bras, cuisses à moitié ouvertes... Pas besoin de s’embarrasser de fioritures : je me suis approché et dès que j’ai senti ma bite en contact avec le sexe de Cathy, je me suis introduis d’une seule poussée dans cet antre qui n’attendait que cela. Elle a mis ses mains sous ses cuisses et les a relevé le long de son buste... Sa pose était d’une impudeur totale, mais je m’en moquais... Je baisais cette coquine à longs traits, entrant et sortant de sa chatte, faisant claquer mon pubis contre le sien et sentant mes bourses frapper contre son périnée.
— Fuck me hard... I am ready ! I love it ! Your dick is very good... not so long but very strong !

Ainsi, elle voulait que je la prenne fort, elle y était prête, elle aimait ce que je lui faisais et ma bite était bonne, pas très longue, mais très forte...J’allais et venais dans ce sexe très accueillant et comme pour mieux me sentir (ou me retenir) Cathy avait noué ses jambes sur mes reins... Cela ne me gênait pas pour baiser cette coquine, bien au contraire aussi je la baisais à longs traits, autant que je pouvais le faire... sortant de sa chatte pour y entrer à nouveau en force et Cathy m’encourageait toujours mêlant l’anglais au français alors que ses muscles intimes trituraient doucement le bout de mon vit...
Finalement (et c’est ce que nous recherchions) nous avons pris notre plaisir en même temps... mais je ne crachais que quelques pauvres giclées au fond de sa chatte... Jennifer puis Gladys avaient épuisé mes réserves...
Nous sommes restés enlacés quelques instants puis nous nous sommes levés pour aller voir ce que Gladys et Ludovic pouvaient faire... Personne dans la salle de séjour où nous avions commencé nos ébats coquins... mais la porte de la chambre de Gladys était ouverte en grand et nous vîmes que ces deux coquins étaient eux aussi en train de baiser... Ludovic était allongé sur le dos sur le lit et Gladys montait et descendait sur son sexe, les mains en appui sur les genoux... la tête rejetée en arrière, elle prenait son pied...
Cathy me dit que la bite de mon copain devait aller jusqu’au fond de la chatte et qu’ainsi Gladys devait avoir de bonnes sensations... Je n’en doutais pas ! Mais nous sommes retournés dans le séjour où nous avons attendu que Gladys et Ludovic nous rejoignent...
Nous étions nus tous les quatre, mais visiblement les « hostilités » étaient terminées...Nous avons pris un dernier pot et après avoir recherché nos vêtements, nous nous sommes rhabillés et nous avons quitté nos deux Anglaises...Après, qu’on ne vienne pas me dire que celles-ci sont difficiles à décoincer ! Surtout quand elles ont envie de baiser !
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