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Après le week-end

Chapitre 6

Erotique
Fabienne rêvasse. Encore quelques jours avant la reprise des cours à l’université. Depuis qu’il s’est installé chez elle, Christophe n’a plus reparlé de son studio, au contraire ! Il apprécie le confort de l’appartement de la jeune fille. En ce moment, il met de l’ordre dans ses affaires. Elle lui a attribué quelques tiroirs et un coin de penderie dans lesquels il range les vêtements qu’il est allé chercher tôt ce matin. Tout d’un coup, Fabienne pense à Elodie. Elle s’en veut ! Contrairement à ce qu’elle avait promis, elle ne lui a pas téléphoné. C’est impardonnable. Elle aurait du l’informer de leur nouvelle situation à elle et à Christophe. La jeune femme y est pour quelque chose ! Et puis, après quelques jours de folie avec le garçon, la douceur des baisers et des caresses d’Elodie lui manque. Elle s’installe auprès du téléphone et compose le numéro qu’elle connaît par cœur.
A la sonnerie, Elodie lâche le chiffon avec lequel elle essuie les meubles en compagnie de Lisette. — Continue sans moi, le temps que je me débarrasse de cet importun… Allô ! — Bonjour Elodie, ici c’est Fabienne. — Oh ! Bonjour Fabienne. Comment vas-tu ? — Je vais bien, merci. Et toi ? — De même. Cela me fait plaisir de recevoir ton coup de fil. La bonne lui lance un regard ironique. — Si, si, cela me fait plaisir ! — A qui parles-tu ? A Lisette ? — Oui, à Lisette qui met en doute la véracité de mes sentiments. Il faut dire que tu nous surprends en plein ménage… — Je te dérange ? Je rappellerai plus tard. — Non, non, toi, tu ne me déranges jamais… Oui, Fabienne ne me dérange jamais. Ce n’est pas comme une jeune fille de ma connaissance… — Je raccroche, je ne voudrais pas être la cause d’une dispute entre vous deux. — Non, pas avant que tu m’aies donné la raison de ton coup de fil. — Ben, voilà, nous nous proposions… Fabienne s’interrompt, Christophe entre dans la pièce. A l’autre bout du fil, Elodie a noté avec satisfaction le « nous ». Cela confirme la rumeur. — A qui téléphones-tu ? interroge le garçon. Fabienne met le combiné contre sa poitrine : — A Elodie. — Dis-lui que je l’embrasse. Fabienne reprend l’écouteur pour entendre Elodie questionner : — Nous ? Toi et Christophe ?
— Oui… Euh… Tu sais… depuis notre dernière visite… — …Vous vivez ensembles, je sais. Lisette tend l’oreille tout en faisant semblant de frotter les chaises. — Comment ? Tu sais ? Qui te l’a appris ? — Tout se sait dans une ville comme la notre. Pour tout dire, hier j’ai rencontré Sylvie. C’est par elle que j’ai été informée. — Elle n’a pas pu garder le secret, cette chipie ! J’aurais voulu te l’annoncer moi-même ! — Ce n’est pas grave. Je suis bien contente de votre rapprochement. Es-tu installée chez lui ? — Ça va pas, non ? Dans son minuscule studio ? Non, non, c’est lui qui a transporté ses pénates dans mon appartement. Christophe est vexé ! — Qu’est-ce que vous avez après mon studio ? Il est bien mon studio ! Je l’aime bien mon studio ! — Eh bien ! Retournes-y dans ton studio ! Elodie entend les bruits de la dispute dans l’écouteur. — Que se passe-t-il ? — Ce n’est que Christophe qui ne veut pas reconnaître que j’ai raison. — Alors, comment se passe la vie commune ? — C’est un peu la cause de mon appel. Je me proposais venir te le raconter de vive voix. — Rien ne me ferait plus plaisir. Peux-tu passer cet après-midi ? — J’allais te le demander. — Eh bien ! Je t’attends après le déjeuner. Christophe s’impatiente dans le dos de Fabienne : — Qu’est-ce qu’elle veut ? — Que je vienne chez elle cet après-midi ! — Demande-lui si je peux t’accompagner. — Oui. Elodie ne comprend pas ce que disent les deux jeunes gens. — Qu’est ce qu’il y a ? Christophe n’est pas d’accord ? — Mais si, il est d’accord, cette question ! Il exige simplement de venir lui aussi. — Dis-lui qu’il sera le bienvenu. — Il te remercie. Pas besoin de lui demander pour connaître la réponse ! — Bon et bien à tout à l’heure. — Dis, Elodie… — Oui ? — Est-ce que Luc sera là ? — Non, il travaille et ne rentre que le soir. J’espère que vous resterez dîner avec nous, autrement il ne vous le pardonnera pas. — Oui, oui, d’accord… Dis… Te souviens-tu que tu m’avais promis de me consacrer un après-midi de caresses féminines ? — …Non-stop ? Oui je me le rappelle. — Eh bien ! Je viens réclamer mon dû. — Je suis à ton service. Et que ferons-nous de Christophe pendant ce temps ? Fabienne dévisage le garçon qui devine qu’on parle de lui. — Qu’est-ce que vous manigancez ? Et moi dans tout ça ? La jeune fille ne lui répond pas et s’adresse à Elodie au téléphone : — Est-ce que Lisette pourrait le surveiller ? — Attends, je lui pose la question… Fabienne demande si tu peux… euh… comment a-t-elle dit ? Oui, surveiller Christophe cet après-midi ? — Rassure-la, je saurais m’occuper de ce petit garçon. — Fabienne ? As-tu entendu ? — Oui, ça me va. A tout à l’heure. — A tout à l’heure. Elle raccroche. Christophe est tout guilleret. — C’est la perspective d’un après-midi avec Lisette qui te rend si joyeux ? — Eh ! Eh ! Pourquoi pas ? — Tu auras beau faire, tu ne me rendras pas jalouse. — C’est moi qui pourrais être jaloux d’Elodie ! Elle hausse les épaules. Il a entendu le nom de Luc au cours de la conversation. Il croît avoir compris que leur ami est absent mais n’en est pas sûr. — Luc sera-t-il là ? — Non, pas l’après-midi. Elodie nous demande de rester le soir. — Qu’as-tu dis ? — Je n’ai pas osé refuser. Cela t’ennuie ? — M’ennuyer ? Oh non ! Il est furieux de se sentir rougir ! Fabienne ne fait aucun commentaire. Il lui en est reconnaissant…
Elodie raccroche. Elle contemple le combiné comme s’il allait répéter la conversation. Un après-midi entier avec Fabienne… Elle est heureuse que ce soit la jeune fille qui l’ait proposée. Elle se secoue et reprend en main le chiffon abandonné : — Tu as entendu, Lisette ? Nous devons nous presser car l’après-midi sera chargée…
En refermant la porte de l’appartement, Christophe interroge Fabienne : — Quelle auto prenons-nous ? La tienne ou la mienne ? Ou les deux ? — La tienne, je n’ai pas envie de conduire. Elle s’installe sur le siège passager. Elle n’a pas fait de frais de toilette. Elle pressent qu’elle ne restera pas longtemps habillée à destination ! Une jupe, un chemisier léger et un slip, c’est tout ! Pas de collant ni de soutien-gorge. Inutiles ! Il fait encore chaud en cette fin d’été. Au moment de mettre en route, Christophe est pris d’un regret : — L’eau dans la piscine doit être bonne. J’aurai du prendre mon maillot. Fabienne le regarde étonnée. Il aurait des accès de pudeur, le pauvre chéri ? — Pour ce qu’il t’a servi la dernière fois où tu t’es baigné là bas ! — Nous n’avons pas de serviette non plus. — Elodie nous en prêtera. Je ne remonte plus ! La circulation est encombrée. Il est obligé de freiner et d’accélérer souvent, secouant Fabienne sur son siège. A un feu rouge, il la contemple. Le baudrier de la ceinture écrase un sein et fait presque jaillir l’autre par l’échancrure du corsage. La jupe, prise sous la ceinture, est remontée sur les cuisses découvrant la peau fine et satinée. Qu’elle est jolie sa passagère ! Une bouffée de désir l’envahit. Il pose la main sur le genou à proximité du changement de vitesse. Elle sourit, s’enfonce dans son siège et s’étire. Le mouvement fait remonter la jupe. Il s’abîme dans la contemplation et caresse la chair découverte. Un passant jette un coup d’œil par la fenêtre ouverte. Ses yeux s’attardent sur le spectacle que Fabienne offre. Elle éclate d’un rire silencieux car, tout à son observation, le curieux heurte un lampadaire ! Un coup de Klaxon réveille le conducteur. Le feu est passé au vert et les voitures qui suivent s’impatientent. A regret, il abandonne la cuisse de la jeune fille et se consacre à la conduite. Le reste du trajet ne pose pas de problème. Passé le centre ville, la circulation devient fluide et ils arrivent vite à destination…
La jeune bonne empile les assiettes dans l’évier et s’apprête à les laver. Elle suspend son geste avec un sourire. Pourquoi ne pas attendre Christophe et sa manière personnelle d’aider à faire la vaisselle ? Elle regarde ses jambes couvertes par le jeans. — Dis Elodie ? — Qui a-t-il ? Lisette montre son jeans. — Est-ce que je peux… euh ? — Tu peux quoi ? — Me mettre en tenue « Luc ». Elodie la regarde étonnée. — Tenue Luc ? Que veux-tu… Ah ! Oui ! Bonne idée. — Et… Lisette dessine sur son ventre le triangle d’une petite culotte. Elodie sourit. — Oui, tenue Luc totale. Fabienne et Christophe font partie de la famille. — Merci. La jeune fille fonce à l’étage se préparer sous le regard amusé d’Elodie…
Les deux femmes attendent dans le séjour. Lisette est impatiente. Elle ne tient pas en place. Elodie va lui en faire la remarque quand elle est alertée par le crissement de pneus sur le gravier. Elle regarde par la fenêtre. Ce sont bien ses amis. — Viens, allons les accueillir. Lisette s’empresse d’obéir. Elles s’encadrent dans la porte tout sourires pour accueillir leurs visiteurs. — Hello ! — Comment vont les deux tourtereaux ? Christophe bombe le torse et tape sa poitrine des poings fermés : — Les tourtereaux vont bien, comme tu peux t’en rendre compte. Fabienne s’avance, serre Elodie dans ses bras et dépose un baiser mouillé sur le coin des lèvres. Ce simple geste les émeut plus qu’une caresse érotique. Leurs regards langoureux en disent long sur le plaisir qu’elles attendent de leur après-midi. De retarder les caresses rendent celles-ci plus désirables. Christophe ne s’embarrasse pas de ces considérations philosophiques. Il inflige à leur hôtesse, non, il n’inflige pas, il administre un patin de première catégorie. Sa langue fouille la bouche forçant la jeune femme à lui répondre pour se libérer ! — Pffou ! Tu n’as pas perdu tes mauvaises habitudes, toi ! — Que veux-tu, on ne se refait pas ! Lisette subit à son tour ses assiduités, sans déplaisir. Il se colle contre elle et prend possession des lèvres. Elle a oublié une main entre leurs corps serrés et teste la grosseur de sa braguette. Les heures qui suivent promettent d’être passionnantes. - Entrez ! Venez prendre une tasse de café. — Ce n’est pas de refus, nous avons tout notre temps. Ce n’est pas l’avis du garçon, impatient de commencer les réjouissances, mais il consent à suivre le mouvement.
Le premier, il termine sa tasse. Il a observé Fabienne et Elodie. Les deux femmes ne se sont pas quittées du regard. S’incruster entre elles, serait mal séant. Il s’étire : — Aaahh ! Ce fait du bien. Quand passons-nous aux choses sérieuses ? Je croyais que nous étions venus pour cela. — Ce que nous avons à faire, Fabienne et moi, ne regarde pas un petit garçon. Un petit garçon bien sage écoute Lisette qui va en prendre soin, n’est-ce pas Lisette ? — Oui, je veux bien, s’il accepte de venir avec moi dans la cuisine. Fabienne enchaîne sur le même ton qu’Elodie. — Tu entends Christophe ? Va jouer avec ta petite copine et laisse les grandes personnes tranquilles. — Oui, viens avec moi dans la cuisine, mon petit ! Cela ne le gêne pas d’être traité en môme, si cela les amuse ! — Dans la cuisine ? Je pourrai t’aider à faire la vaisselle ? — Si tu veux. Il emboîte le pas à la jeune bonne qui ondule de la croupe vers l’évier. Pour sûr ! devine-t-il, elle se souvient de la séance lors de leur dernière visite et en espère la réédition ! Christophe décide de ne pas la décevoir. Il se colle à Lisette et soulève la jupe. Comme il l’espérait, elle ne porte pas de culotte. Il patouille les fesses qu’on ne lui refuse pas. Sa verge, coincée dans son slip le gêne. Il se recule pour la libérer mais se prend les pieds dans le tapis. Il se retrouve les quatre fers en l’air. Lisette rit aux éclats.
Dans la salle, ni Fabienne ni Elodie ne bougent. Elles ont peur de rompre le charme de leur rencontre. Ensemble, elles posent la main sur le genou de l’autre. La simultanéité du mouvement les fait rire. — J’ai tellement envie de toi ! — J’ai honte de le dire, mais ma jupe doit être tachée tant j’ai mouillé dans l’auto à la pensée des caresses que nous allons faire. Elles se rapprochent l’une de l’autre. Leurs lèvres se touchent, se soudent pour le premier vrai baiser de l’après-midi. — Viens ! Elodie entraîne la jeune fille vers l’escalier. Un bruit de chute et des éclats de rire parviennent de la cuisine. — Que font-ils ? s’interroge Fabienne. — Je n’en sais rien, allons voir si tu veux. Elles passent la tête dans l’encadrement de la porte. Lisette, devant l’évier, lave une assiette et le garçon penché derrière elle fourrage des deux mains dans le corsage. — Christophe a trouvé des jouets de son âge. Tu peux être tranquille, il ne s’ennuiera pas ! Elodie farfouille sous la jupe de Fabienne. Elle glisse les doigts entre l’élastique de la culotte et les fesses et la fait descendre. La jeune fille tremblant d’émotion, s’adosse à la cloison. Elodie s’agenouille et ôte le petit bout de tissu qu’elle respire. — En effet, elle est mouillée ! Fabienne rosit. La jeune femme se redresse et lui murmure à l’oreille : — Je suis comme toi, ma chatte dégouline. Une envie irrésistible de la tenir nue dans ses bras la fait trembler de tous ses membres. Elle l’agrippe par le bras. — Viens ! Fabienne s’arrête au pied des marches. A son tour, elle s’agenouille et enlève le mini slip de sa compagne. Elle rampe contre le corps. Leurs bouches se rejoignent. Leurs langues se visitent pendant que leurs mains arrachent presque les chemisiers. A son habitude quand Luc est absent, Elodie porte un soutien-gorge. Elle en fait la remarque à Fabienne en triturant les globes tendres de la poitrine de la jeune fille. — Pourquoi ne mets-tu pas de soutien-gorge ? Ce n’est pas raisonnable, tu sais ce n’est pas bon pour les seins. — Je sais. J’en porte la plupart du temps au grand dam de Christophe, mais aujourd’hui j’avais tellement hâte de sentir tes caresses que je l’ai enlevé ! Elles poursuivent leur déshabillage en grimpant les marches, laissant sur place les vêtements, témoins de leur impatience. Dans la chambre où elles parviennent enfin, Elodie pousse Fabienne dénudée sur le lit. La jeune fille s’y étale impudique et tend les bras vers son amie. Elles roulent sur le couvre-lit, enlacées pour la première étreinte de l’après-midi…
A suivre…
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