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Après le week-end

Chapitre 9

Erotique
Plusieurs mains écartent ses fesses, triturent l’anus. Il se laisse envahir par une lassitude bienheureuse. Il sent qu’on l’enduit de crème, enfin, d’un corps gras. Il en éprouve une réelle satisfaction, ses « bourreaux » ne veulent pas qu’il souffre ! C’est Elodie qui voyant que Luc acceptait le traitement est allée quérir du beurre à la cuisine, souvenir d’un film, Le dernier tango à Paris, dont ils ont visionné récemment le DVD. Elle badigeonne le cul de son époux. Un doigt pénètre. Jusqu’ici c’est plutôt agréable, pense Luc. Il laisse Christophe s’installer, les femmes écarter ses fesses et se prépare mentalement à recevoir la queue du garçon. — Aïe ! Malgré le beurre, l’introduction est douloureuse. Sssh ! Que ça fait mal ! — Hein que ce n’est pas du gâteau ? Toujours Fabienne qui se moque de lui. C’est elle la meneuse dans cette histoire. Il se promet de se venger de la jeune fille. Christophe se retire à moitié, puis revient à la charge. Tout compte fait, ce n’est pas si terrible que cela. Les gestes du garçon ne sont pas brusques. Le manchon correctement lubrifié par le beurre, coulisse sans heurt dans le cul dont les muscles se détendent et prennent la juste mesure du diamètre de la queue. Luc ressent sur la sienne de queue les premiers effets de l’émoi qui le gagne. — Dis, Christophe, si tu te souviens, je ne me suis pas contenté de prendre mon seul plaisir avec toi ! Le garçon ne comprend pas le sous-entendu, par contre Lisette si ! — Le gros matou qui se fait… euh… comment tu dis Elodie pour enculer ? — …Sodomiser, souffle celle-ci. — C’est ça, sodomiser, voudrait-il s’occuper de moi en même temps ? — Je n’osais pas te le proposer ! Fabienne échange un coup d’œil complice avec Elodie. Elles peuvent lui passer ce caprice. La jeune fille donne des ordres : — Christophe, recule avec Luc. Un peu inquiète, elle demande à ce dernier : — Tu n’en profiteras pas pour fuir hein ? — Tu as ma parole ! Le couple s’écarte du canapé. Luc s’appuie sur les poignets. Lisette se glisse devant lui, la jupe relevée, cuisses écartées, les fesses au bord du siège. — Tu ne pourrais pas te tourner… euh… coté pile ? — Pas question ! rétorque Fabienne, c’est une punition, pas une partie de plaisir ! Lisette approuve, elle préfère de loin la pénétration normale, même si elle a de bons souvenirs d’étreintes annales : — Tu n’as qu’à me prendre ainsi, sinon rien ! — Je m’incline ! Il s’avance à quatre pattes, suivi dans son dos, par Christophe. Il se redresse entre les cuisses de la bonne. Il aimerait que le garçon tienne sa verge et la présente au bon endroit, mais celui-ci, trop préoccupé à ne pas quitter le cul qu’il honore, n’y pense pas. Luc se résout à opérer seul. Il écarte du gland les lèvres purpurines du sexe qui lui fait face. Les divers préparatifs et le spectacle érotique donné par les deux hommes se sont révélé un puissant excitant pour la libido de Lisette. Son vagin est trempé et reçoit sans effort la queue qui glisse. — Ouiiii !
Luc, pris en sandwich, commence à perdre la maîtrise de son corps. Il n’arrive plus à contrôler ses émotions comme à son habitude. La double sollicitation, sur sa queue et dans son cul le propulse vers des sommets du plaisir. Il gémit trois ou quatre fois et s’effondre vidé sur le sol, le cul en l’air, toujours épinglé par Christophe qui n’a pas joui lui ! Le garçon se désengage. Luc s’affaisse en position fœtale. — Regardez-moi cette mauviette ! Un petit coup dans le cul et hop ! Plus personne ! Luc est vexé, mais la remarque de Christophe est de bonne guerre. Il ne s’était pas privé de se moquer du garçon dans des circonstances similaires ! Il décide de faire le mort. Lisette est aussi désappointée que Christophe. Elodie vole à leur secours. Avec un mouchoir en papier, elle essuie la queue maculée de traces suspectes. — Allez, Christophe, remplace mon défaillant mari ! Il saute, c’est le mot juste, sur l’occasion et s’enfonce dans le vagin de la jeune fille sous le regard bienveillant de Fabienne.
Elodie entraîne la jeune fille : — Laissons-les. Occupons-nous de Luc ! Elles se penchent sur lui. Elodie essuie ses fesses et efface les traces de beurre. L’anus est rougi mais semble intact. — Il n’y a pas de mal ! Tu peux continuer si tu veux ! Je rappelle Christophe ? — Non-merci, sans façon ! — Tu as mal ? — Un peu. — Et encore, ajoute Fabienne, tu as eu de la chance par rapport à nous ! — Comment cela de la chance ? — Oui, Christophe est… comment dirai-je ?… Moins bien membré que toi ! — J’espère qu’à l’avenir, tu seras plus tendre envers les pauvres femmes, renchérit Elodie. — Vous allez voir qu’elles vont affirmer que je les ai violées ! — Mais non mon gros ! Simplement, il est bon que tu saches ce que nous endurons… — Endurons… Le mot n’est pas trop fort ? — Juge par toi-même, tu as un excellent moyen de comparaison ! Luc s’assied avec une grimace sur un fauteuil. Son fondement est encore douloureux. Pendant cette conversation, Christophe a satisfait Lisette et termine d’éjaculer : — Aaah !… Ahhh !… Aaahhhh ! Elodie se lève. — Bon, puisqu’il a fini, je vous propose mesdemoiselles, de monter dans la salle de bain et de laisser les hommes ensembles. Ils pourront se raconter leurs malheurs en toute tranquillité !
Les trois femmes s’échappent. L’écho de leurs rires parvient aux oreilles de Luc et Christophe. Celui-ci est gêné. Il ne sait quelle attitude prendre. Il n’est pas fier de son exploit. Il n’a pas retiré de sa performance une grande satisfaction. Cela ne l’a pas ému outre mesure de tenir un homme dans ses bras. Il a préféré Lisette. Si Fabienne s’était présenté à la place c’eut été parfait ! Est-ce que Luc lui en voudra ? Est-ce qu’il lui en tiendra rigueur ? Il coule un regard inquiet sur son ami. Il est soulagé de voir que celui-ci sourit. — Tu as peur que je t’en veuille n’est-ce pas ? Christophe baisse la tête. — Ce serait le cas si tu ne m’offrais pas une compensation ! Le garçon regarde ses pieds. Il tremble sur ses jambes. Il sait quelle compensation exige Luc. Il est furieux contre lui, furieux contre la montée du désir, furieux de constater que s’il n’a pas aimé sodomiser Luc, il adore l’être. Luc devine le combat interne que se livre Christophe. Il l’attire entre ses genoux. Le garçon laisse faire et accepte en se traitant de lâche que les mains diligentes défassent la ceinture qu’il vient juste de boucler.
Du haut de l’escalier, à la vue des fesses nues de Christophe, Elodie lance : — Eh bien ! Tu n’as pas mis longtemps à t’en remettre ! — Que veux-tu, ce pauvre garçon était tout désespéré de vous voir partir. Je me suis dévoué pour le consoler. — Le consoler ! Mon œil ! Ce qu’il ne faut pas entendre ! Tu es bien sûr, Christophe ? C’est ce qui s’est passé ? Les caresses prodiguées par Luc ôtent toute réaction au garçon. — Bon, je vois que notre présence est inutile en bas. Vous venez les filles ? Allons nous amuser entre nous puisque la gens masculine nous ignore ! Fabienne accoudée à la rambarde ne peut détacher les yeux de son ami. — Vas-y avec Lisette, moi, je reste. — Tu restes ? — Oui. — Tu restes à regarder ? Seulement à regarder ? La jeune fille ne répond pas. Elle est incapable de s’en aller. Il lui faut participer. Sa décision est prise. Elle aidera Luc et en contrepartie offrira ses fesses à Christophe. Elle descend lentement les marches. Luc lui sourit ainsi que Christophe. Le garçon est heureux que Fabienne, sa bien-aimée, assiste à son plaisir. La jeune fille le prend dans ses bras et murmure à son oreille : — Tu sais… si tu veux… Pendant que Luc… Tu… — Tu acceptes que je te fasse pareil ? Il devine plus qu’il n’entend le oui qui le transporte de plaisir. — Oh ! Merci. Il scelle leur accord d’un langoureux baiser.
Le trio s’est déshabillé. Enlacés, ils se caressent, promenant leurs mains sur le corps de leurs amis. Elodie et Lisette appuyées à la rambarde, regardent, tandis que leurs mains s’égarent sous les jupes. Fabienne s’est accroupie. Elle pointe les fesses. Christophe complètement rétabli de ses prouesses précédentes, lubrifie sa verge sur le sexe de la jeune fille. Luc l’écarte un instant. — Laisse-moi faire pareil ! Il enduit à son tour sa queue de cyprine et reprend sa place derrière Christophe, qu’il maintient en condition par de savantes caresses. Il attend patiemment que le garçon enfile Fabienne avant de le sodomiser. Christophe a placé son dard. Il a poussé Fabienne contre le canapé où la jeune fille repose la tête. Un dernier scrupule l’arrête : — Tu es bien sûre que c’est ce que tu veux ? — Oui ! Vas-y ! Fort de cette autorisation il s’enfonce. Fabienne grimace. L’introduction est toujours aussi pénible, mais la sensation de douleur s’estompe rapidement. Christophe s’appuie des mains sur le canapé pour ne pas écraser la jeune fille, et tend le cul. Luc écarte ouvre les fesses et enfonce sa queue luisante dans le trou. — Aahh ! — Bon, Christophe, tu as l’habitude, tu sais ce qu’il faut faire. Oui, il a l’habitude d’être pris en sandwich. Il pousse du cul Luc pour sortir à demi de Fabienne et se renfonce dans la jeune fille pendant que la queue de Luc se retire. Il retrouve toutes les sensations découvertes lors des précédentes étreintes. De leur perchoir Elodie et Lisette contemplent la scène sans un mot. L’acte de possession est toujours beau quand il est fait avec amour. Leurs caresses se font discrètes puis cessent. Les deux jeunes femmes regardent de tous leurs yeux…
Dans la salle de bain, Elodie confesse Fabienne : — Reprends-moi si je me trompe, mais il m’a bien semblé que tu jouissais. — Non, tu ne te trompes pas. — Deviendrais-tu adepte de ce sport ? — Non, je ne crois pas. Je n’ai pas envie de Luc par exemple. — Serait-ce donc uniquement Christophe qui aurait tes faveurs ? La logique du raisonnement d’Elodie frappe Fabienne. Deux fois Christophe l’a sodomisé, deux fois elle a joui ! — Peut-être, je ne sais pas. — Tu es comme moi. Il n’y a qu’avec Luc que je peux jouir du… euh… du cul. — Que Luc ? Pourtant tu as demandé à Christophe l’autre jour ? — Oui, je l’ai provoqué… l’ambiance tu sais, la jouissance qu’il avait avec le godemiché, je me suis dit pourquoi pas moi ?… Puis cela lui faisait tant plaisir… Mais je n’ai pas joui. Il n’y a qu’avec Luc et encore, pas toujours. Fabienne est rassurée. Elle n’est pas anormale ! — Nous allons nous en aller Christophe et moi. Je te remercie pour la merveilleuse journée. — Tu pars déjà ? Sans que Luc et toi… — …Ayons fait l’amour ? Oui. Christophe, le pauvre est sur les rotules comme tu as pu le constater. La dernière séance avec Luc… — …Et toi. — Oui, et moi ! La dernière séance l’a achevé. — Luc sera déçu ! — Tant pis pour lui ! Je compte sur toi pour le consoler. — Tu… Tu ne regrettes pas ? — Si… Un peu… Dis-lui que cela fait partie de la punition infligée. Nous aurons d’autant plus de plaisir à nous retrouver la prochaine fois. — Je n’ai pas le courage de lui annoncer. — Je le ferai moi-même.
Les deux femmes retrouvent Christophe, Luc et Lisette. Le garçon a repris quelques couleurs, mais il n’est pas vaillant. Luc commençait à s’impatienter : — Eh bien ! Vous en avez mis du temps ! Fabienne décide de brusquer le départ : — Oui, je faisais mes adieux à Elodie. — Tes adieux ? Tu pars déjà ? — Oui, regarde l’état de Christophe, il est urgent de le mettre au lit. — Vous pourriez coucher ici, n’est-ce pas Elodie ? — Non, je préfère rentrer. Demain nous avons du travail. — Tu t’en vas sans m’avoir fait l’amour ? — Nos retrouvailles n’en seront que meilleures. C’est ce que j’ai dit à Elodie qui m’a fait la même remarque. Christophe serait bien resté. Il appréhende de conduire. Fabienne le tire d’embarras. — Pour rentrer, je prends le volant, je ne tiens pas à me retrouver dans le fossé ! Au revoir tout le monde ! Les deux jeunes gens embrassent leurs amis. Luc refuse les lèvres de Fabienne pour marquer sa désapprobation. Il tente de faire fléchir la jeune fille mais celle-ci reste intraitable.
Luc et Elodie, tendrement enlacés, regardent l’auto s’enfoncer dans la nuit. Elodie frissonne : — Rentrons, il fait frais. A l’intérieur, Lisette range le salon. — Laisse, Lisette, nous ferons cela demain. Monte te coucher. Luc aimerait s’amuser un peu avec la bonne, mais celle-ci se dérobe : — Oui, je monte tout de suite, je suis vannée. Cela a été une rude journée. — Et moi alors ? Elodie se love contre lui. — Je suis là, je serai toujours là pour toi ! Enlacés, ils regardent Lisette disparaître au sommet des marches avant de grimper à leur tour à l’étage.
Dans la voiture, Christophe repose la tête contre l’épaule de Fabienne. Cela la gêne un peu pour conduire mais elle se garde de faire une remarque. Elle est heureuse de l’abandon du garçon. — Tu dors ? interroge-t-elle. — Non. La route est dégagée. Quelques voitures les croisent. Fabienne abaisse l’écran pare-soleil pour éviter l’éblouissement des phares. — A quoi penses-tu ? demande Christophe. — Et toi ? A eux ? — Oui… Dis, poursuit-il après plusieurs minutes de réflexion, tu crois qu’on fait bien ? — Que veux-tu dire ? — Ben, je sais pas, on vient de se mettre ensemble… — Tu regrettes déjà ? — Oh non ! — Que veux-tu dire alors ? Christophe hésite. — Pourquoi ne dis-tu rien ? s’inquiète Fabienne. — J’ai peur, avoue-t-il. La surprise fait faire un écart à la jeune fille. Elle remet la voiture sur le bon chemin. — Peur de quoi ? — J’ai peur que tu me compares à Luc. D’un mouvement de la main il stoppe la dénégation que Fabienne allait formuler. — Je sais que je ne fais pas aussi bien l’amour que lui. J’ai peur qu’après quelques temps tu ne veuilles plus de moi… — Et que je me mettrai en ménage avec Luc ?… T’es pas fou non ? Et Elodie ? Non, mais quelle idée ! Tu n’auras pas cette chance je te préviens. Tu dois te mettre dans la tête que tu me supporteras longtemps. Elle pose la main sur sa cuisse. Christophe ronronne de plaisir. Au bout d’un moment il pose la question qui le turlupine. — Pourquoi en avais-tu après Luc ? — Il m’a énervé avec sa suffisance. — C’est pour cela que tu n’as pas fait l’amour avec lui ? — Peut-être… La caresse sur la cuisse de Christophe se fait douce. Encouragé il pose la main sur le genou. — Dis, on retournera les voir ? Fabienne le regarde sourcils froncés. — Tu ne veux plus ? Tu en assez de Lisette ? D’Elodie ? — Euh… — Et de Luc ? — Ça ne te fait rien ? — Mais non mon gros. Tu peux te faire enculer autant de fois que tu veux. — Tu sais, j’étais heureux quand tu es venu nous rejoindre. Tu n’imagines pas le plaisir que cela m’a fait. — Tu avais tant envie de m’enculer ? — Oh ! C’est pas ça que je voulais dire. Ça aussi m’a fait grand plaisir mais j’étais surtout heureux de ta présence, simplement. Fabienne regarde dans le rétroviseur, rien. Elle arrête l’auto contre le trottoir. — Embrasse-moi ! Ils s’enlacent. Leurs mains ne restent pas immobiles pendant le baiser…
Fabienne se dégage en souriant. Son chemisier bâille sur ses seins découverts. — Rentrons, la voiture n’est pas confortable. Elle va reboutonner le corsage, Christophe l’en empêche. — S’il te plaît, reste comme ça. — Mais s’il y a du monde dans le garage ? — Tant pis pour eux !
Fin des aventures de Luc, Elodie, Fabienne, Christophe et Lisette
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