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April et ses amies en quête de sexe

Chapitre 1

April se met en chasse

Erotique
Assise au fond de ma classe, je souriais d’un air content. L’année s’annonçait prometteuse, question sexe. Ma classe était en effet bien fournie pour ce qui était des mecs, il y en avait pour tous les goûts : des beaux gosses musclés, des timides, des mecs normaux, des blonds des bruns, bref, de tout. J’étais assez excitée, car je savais bien qu’entre tous ces mecs, je n’avais que l’embarras du choix : tous ceux que je voudrai, je les aurai.
En effet, j’avais un physique plus que taillé pour mon sport favori : la chasse aux mecs. Blonde avec de longs cheveux qui m’arrivaient aux épaules, j’avais une taille moyenne (1m 68), de beaux yeux bleus saphir, un corps parfaitement sculpté par des années de gym et de sports en tout genre, et des formes qui faisaient tomber les hommes comme des mouches, un fessier rond et ferme, et une grosse poitrine (95D).
Cela faisait une semaine que les cours avaient commencé. Jusqu’ici, j’étais restée en observation, détaillant chaque mec, me demandant lequel allait être le premier à passer à la casserole. On pouvait clairement parler d’heureux élu, car pour mes 20 ans, j’avais une très grande expérience.
Je passai en revue chaque mec de la classe. Je me sentais tellement puissante, à choisir ma future « proie », tout en sachant très bien que peu importe le mec que je choisirai, je l’aurai... Ça me faisait presque saliver.
Je finis par jeter mon dévolu sur Scott. C’était un garçon brun qui avait de beaux yeux bleus, assez grand, ni trop maigre, ni trop gros. Ce n’était pas un Apollon musclé, mais ça ne me dérangeait pas, au contraire, j’aimais beaucoup les mecs timides.
Dès la sortie du cours, je lui mis le grappin dessus.
— Salut Scott ! lançai-je.
Il se retourna, et fut surpris en voyant que c’était moi qui lui parlais.
— Salut April... — Ça va ?
On se mit à marcher. Scott semblait toujours un peu hésitant, ne comprenant visiblement pas ce que je lui voulais.
— Super, ouais.
Plus je le regardais et plus je le trouvais mignon. Il fallait absolument que je me le fasse. Je décidai d’accélérer un peu les choses.
— T’arrives à suivre, toi les cours ? — Ouais bien sûr, pourquoi ? Pas toi ? — Non, dis-je avec une moue piteuse bien préparée, j’ai rien compris là. — Ah... mince. Tu... veux que je t’aide ?
Je retins un sourire machiavélique. C’était presque trop facile.
— Oh oui Scott, minaudai-je, ça serait top ! On se dit dans ma chambre, ce soir ?
Là, il marqua clairement un temps d’hésitation. Il devait se demander ce qu’il pouvait oser espérer d’une telle proposition.
— Ouais... ouais bien sûr, finit-il par me répondre. — Super ! Alors à ce soir !
Je lui adressai un sourire lumineux, puis allai à mon prochain cours. A midi, je retrouvais mes amies au déjeuner. C’étaient des filles que je connaissais depuis des années et des années et avec qui je m’entendais très bien. Et même très très bien... Et même très très très très bien... Bref, je couchais régulièrement avec elle, quoi.
— Salut ! leur lançai-je. — Salut April ! répondirent-elles toutes les trois en choeur. — Ana, j’aurais besoin de la chambre ce soir.
Ana, une belle brune qui partageait ma chambre étudiante me jeta un coup d’œil suspicieux.
— Pourquoi ? — A ton avis ?
Sandra, une rousse à forte poitrine, rigola.
— April, elle perd pas de temps, elle a déjà choppé un mec. — Pas encore, mais ça ne saurait tarder. — Et pourquoi tu te contenterais pas de moi, ce soir ? répliqua Ana.
Je hochai la tête. Ana était très sexy, c’est sûr, avec ses beaux cheveux noirs, sa gueule d’ange, et ses formes généreuses (90D), mais j’avais envie de mecs.
— Non ma belle, je me suis déjà bien occupée de toi cette semaine, là j’ai un peu envie de changer. — OK, je te laisse la chambre, mais pas toute la nuit. C’est qui que tu vas baiser ? — Scott.
Mary, une belle métisse, eut un petit rire.
— Ah bah alors t’inquiète pas, Ana, April risque pas d’en avoir pour toute la nuit. — Non, renchérit Sandra. Dix minutes maximum. — En vrai, t’as intérêt à ce que je m’occupe de toi après, ajouta Ana. Cette crevette va jamais réussir à te faire jouir correctement. — Scott est pas une crevette, répliquai-je, je suis sûre qu’il sera très doué.
Une fois les cours finis, je rentrai chez moi, me préparant pour une soirée torride. Je sortis l’artillerie lourde : un débardeur blanc très très court, qui dénudait mon nombril et avait un décolleté très large, laissant admirer ma poitrine, et un minishort. J’allais faire craquer Scott instantanément.
Il arriva quelques minutes plus tard, après avoir toqué comme un garçon bien élevé.
— Salut April ! Tu... euh...
Il eut un léger bug en voyant ma tenue. Je le vis loucher sur mon décolleté et rougir légèrement.
— Salut Scott ! Tout va bien ? — Oui, oui... Euh... on s’y met ? — Oui bien sûr ! Tu viens te mettre là ?
Je tapotai sur mon lit. Il hésita un moment.
— Y a pas assez de place sur mon bureau, insistai-je.
Il vint s’asseoir près de moi, assez lentement, réservé. Il me faisait craquer à être timide. On se mit au travail, mais autant dire qu’on ne fut pas productifs. En même temps, Scott était obnubilé par moi, ne parvenant pas à détacher ses yeux de mon corps, louchant en permanence sur mon décolleté. Et je ne faisais rien pour l’aider à se concentrer, au contraire, je passai mon temps à le toucher, à faire des sous-entendus, à lui mettre mon décolleté bien en vue, etc.
Scott était de plus en plus troublé, il essayait de toutes ses forces de ne pas me regarder, mais ne pouvait s’en empêcher.
— Ça va Scott ? T’as l’air un peu distrait. — Non, non, ça va. — C’est moi qui te mets dans cet état ? — Quoi ? Non, non, pas du tout quelle idée ! répondit Scott précipitamment. — Allez, avoue que tu me trouves sexy. T’arrêtes pas de me mâter depuis tout à l’heure, je te vois tu sais. Y a pas de honte à avoir.
Il rougit de plus belle et ça me fit craquer. Sans même attendre sa réponse, je me penchai vers lui et l’embrassai doucement.
— Tu vois ? Ça me dérange pas du tout de savoir que je te plais...
Il me regardait avec intensité. Je pouvais sentir son excitation et son désir. Il se rapprocha de moi, me prit par l’arrière de la tête et avec passion, m’embrassa à son tour. Je lui rendis son baiser, accélérant peu à peu le rythme. Scott était tout tremblant, visiblement dépassé par les évènements. Je le poussai en avant, l’allongeant sur le lit, et m’installai sur lui.
— April... attends, c’est... ça va trop vite.
Je le pris par le menton et l’obligeai à me regarder en face.
— T’en as envie ou pas ?
C’était une question rhétorique. Sous mes fesses, je pouvais sentir son sexe durcir à travers son jean. Il me détailla un moment et dit :
— Oui... j’en ai envie, mais... je l’ai jamais fait alors... — T’inquiète, moi je sais comment faire.
Je me mis aussitôt à déboutonner son jean, et sans plus perdre de temps, je lui retirai son caleçon. Je pus admirer un beau sexe, d’au moins 15 centimètres et avec une bonne grosseur. Je l’embrassai encore un coup, avant de m’installer près de son sexe, et de commencer à le pomper doucement. Il se raidit, et je sentis son sexe devenir totalement dur dans ma bouche. J’accélérai légèrement le rythme, pressant bien mes lèvres contre sa hampe, et il commença à haleter.
— Tu aimes ? lui demandai-je en le branlant. — Je... oui c’est super bon !
Je souris, contente que ça lui plaise, tout en sachant en mon for intérieur qu’il n’avait encore rien vu. Je repris ma fellation, accélérant encore le rythme, y allant cette fois-ci à un rythme élevé, jouant en même temps de ma langue. Là, Scott se mit carrément à pousser des cris de plaisir, et à se tortiller dans tous les sens. Je sentis l’excitation me gagner : c’était tellement excitant de faire autant de bien à un mec ! Je continuais ainsi pendant un petit moment, bien décidé à lui faire vivre un moment inoubliable.
Je m’interrompis assez rapidement néanmoins. Scott était encore fragile, il risquait de jouir prématurément si je le suçais trop longtemps. Je me levai du lit, lui laissant quelques secondes pour se remettre. Il était étendu, haletant, visiblement un peu sonné par ce que je venais de lui faire.
— Regarde-moi, ordonnai-je.
Il s’exécuta, et sous ses yeux émerveillés, je commençai à retirer mes vêtements, me dénudant pour lui.
— April, t’es... tellement sexy. — Merci.
Je vins sur lui et le plaquai à nouveau contre le lit. Je m’empalai ensuite lentement sur son sexe, le faisant entrer en moi avec délice. Puis, je lui retirai son t-shirt, histoire de voir de quel bois il était fait. Je poussai un petit sifflement d’admiration en découvrant son corps. Ce n’était certes pas un Apollon musclé, mais il avait malgré tout un torse pas trop trop mal dessiné et un ventre plat.
— T’es appétissant Scott, lançai-je. — Appétissant ? releva-t-il. — Oui. Une proie de choix, ajoutai-je avec un sourire carnassier.
Avant qu’il n’ait répliqué quoi que ce soit, je lui donnai un grand coup de reins qui le fit crier de plaisir. Souriante, j’enchaînai avec une série de va-et-vient rapides et forts, le chevauchant avec sauvagerie. Je savais qu’à me comporter comme ça, je risquais de le faire craquer rapidement, mais j’avais envie de le tester... et de lui faire bien sentir qui était la patronne ici.
C’était sans doute réussi. Scott était ballotté par mes assauts, et criait à chacun de mes coups de reins. Je le tenais par le torse, le clouant contre le lit, le tenant en mon pouvoir et tout ce qu’il pouvait faire, c’était subir. Je le regardais bien droit dans les yeux, histoire de le provoquer et de guetter ses réactions. Ça m’excitait tellement ! J’adorais dominer les mecs, et là, me sentir en pleine maîtrise de la situation. Et là, j’étais comblée. Je dépucelais un beau garçon, j’y allais à fond, il se tordait et gémissait sous mes assauts de plus en plus forts, je me sentais comme une déesse du sexe.
A ma grande surprise, Scott se montrait bien endurant. Malgré la sauvagerie de mes assauts, il n’avait pas encore joui. Je sentais toutefois qu’on commençait à atteindre ses limites, aussi je ralentis. Je me mis à me déhancher de gauche à droite, sensuellement, effectuant une belle danse du ventre son sexe.
— Oooh April ! C’est tellement... oh oui continue !
Je souris, ravie de lui faire du bien. J’allais plus lentement, mais les sensations étaient profondes, et nous faisaient vibrer. Scott commença à passer ses mains sur tout mon corps, me caressant les hanches, les fesses et les seins. Il avait l’air d’adorer mon corps, et j’aimais bien voir son air émerveillé en me le découvrant. Pendant ce temps, mes déhanchés nous faisaient de plus en plus vibrer, nous amenant toujours plus proches du septième ciel. Scott lâchait des cris rauques, et moi même je commençai à gémir. Il faut dire que sa queue était bonne, bien épaisse et qu’elle me remplissait bien.
Lorsque le plaisir fut bien haut, je décidai d’entamer le sprint final. Je mis à lui asséner de gros coups de reins, allant d’avant en arrière à un rythme élevé. Plus question de le ménager, là, je voulais le faire jouir. Scott se raidit et poussa un nouveau cri. Je vis ses yeux chavirer sous le plaisir, et je compris qu’il n’en avait plus pour très longtemps. Je saisis ses mains et les mis sur ma poitrine, lui intimant l’ordre de la malaxer, et il s’exécuta bien gentiment. Il me pétrit les seins avec passion et je gémis sous la sensation de ses mains qui saisissaient mon 95D avec autant de ferveur. J’accélérai encore le rythme, et le sentis frémir de la tête aux pieds. Encore quelques coups de reins, qui amenèrent son sexe jusqu’au fond de mon intimité, et il fut aux portes de l’orgasme. Décidée à asseoir mon autorité pour le grand final, je lui saisis les mains et les plaquai contre le matelas, avant de donner une ultime série de coups de reins qui eurent raison de lui.
Il se déversa en moi dans un orgasme libérateur, poussant un cri de jouissance sous mon regard satisfait.
Un peu haletante, mais fière de moi malgré tout, je le retirai de moi. Scott, encore sonné par son orgasme, mit un peu de temps à se remettre.
— C’était... incroyable April. — Je sais, dis-je sans fausse modestie. — Tu... tu as joui, toi ? — Non, mais t’inquiète, c’était bien quand même.
Il fronça les sourcils.
— Non, ça va pas si t’as pas joui.
Je souris. Je le trouvai craquant.
— T’inquiète mon beau, je m’arrangerais, dis-je en pensant à Ana qui n’allait pas tarder. — Mais... je peux peut-être te lécher pour que tu jouisses, non ? — T’as jamais fait de cunni, ça m’étonnerait que t’y arrives... dis-je un peu condescendante. Mais OK, si tu veux.
Je m’allongeai sur lit. Scott vint vers moi et se pencha sur mon intimité. Sans hésitation, il démarra son cunni. Immédiatement, je compris que j’avais fait une grosse erreur en le sous-estimant. Dès ses premiers coups de langue, étonnamment adroits, je sentis un grand plaisir se répandre en moi. Me sentant réceptive, il sut qu’il était sur la bonne voie et continua, faisant tourner et retourner sa langue, fouillant mon intimité. Je lâchai un gémissement.
— Oh Scott ! Oui là tu... c’est ça ! C’est boooon !
Il ne s’interrompit pas pour me répondre, se contenta de me fixer dans les yeux, tout en continuant à jouer de sa langue. Il se mit bientôt à titiller mon clito avec, et ça me fit littéralement sombrer. Je passai mes mains sur mon visage, me tortillais, lâchai des gémissements, pendant que Scott, encore et encore faisait tourbillonner sa langue, allant de plus en plus vite. C’était incroyable. Dès son premier cunni, il se hissait sans doute au niveau des meilleurs que j’ai jamais reçus.
— Continue ! Continue, continue, continue ! criai-je.
Prise de folie, je lui enserrai la tête avec mes cuisses, et le saisis par les cheveux, prenant la direction de cet incroyable cunni.
— Plus vite ! lui ordonnai-je tout en raffermissant ma prise sur ses cheveux.
Docile, Scott s’exécuta et alla à fond. Je rejetai la tête en arrière et poussait un grand cri.
— Je vais jouir, je vais jouir ! hurlai-je.
Mon corps était tremblant, couvert de sueur, je ne tenais pas plus de quelques secondes avant de gémir. Je n’en pouvais plus, rarement j’avais pris un tel pied.
— Allez Scott, fais-moi jouir, j’en peux plus ! Viiiite !
Je le collais encore plus contre mon intimité, et Scott se déchaîna, sa langue devenant une tornade. Une nouvelle vague brûlante de plaisir me submergea, et j’eus un orgasme démentiel qui me fit hurler tandis que j’explosais de plaisir.
Je m’effondrai sur le lit, hors d’haleine, épuisée, comblée.
— Ça va ? demanda Scott un peu étonné. — C’était... énorme. C’est incroyable Scott, pour un premier cunni, c’est juste incroyable ce que t’as fait. — Eh bah... merci. — Allez, file. Et on va se revoir, ça tu peux en être sûr.
Une fois Scott parti, je filai à la douche. De l’eau chaude, c’était exactement ce qu’il me fallait pour me remettre de mes émotions. En me douchant, je repensai à cette première fois avec Scott. Les filles qui s’étaient moquées de lui avaient eu tort : il s’était montré plus qu’ à la hauteur.
Soudain, les rideaux de la douche s’écartèrent. Ana, totalement nue, entra dans la douche, sourire aux lèvres. Je frissonnai d’excitation : même si je venais de baiser, j’étais déjà chaude, et Ana me faisait bien envie. Elle vint se caler dans mon dos, et commença à me caresser de partout.
— Hmm soupirai-je. — Alors ? Scott ? C’était comment. — Très très bon, notamment le cunni. — Ah oui ? — Oh oui. Jamais vu un mec aussi doué de sa langue pour une première fois. — Hmm je devrais peut-être te le piquer alors à l’occasion... — Si tu veux, on est pas en couple.
Ana se colla encore plus à moi, et commença à m’embrasser la nuque, l’épaule, la clavicule. Je frissonnai d’excitation, et collai mon fessier contre elle. Elle enroula ses bras autour de moi, et commença à malaxer mes seins. Je poussai un gémissement, savourant ce traitement, tandis que l’eau chaude continuait à tomber sur nous.
Je me retournai et plaquai Ana contre le mur de la douche. Elle poussa un petit gémissement, adorant ma sauvagerie. Je passai ma main sur le corps de la belle brune, admirant sa perfection, pressée de le dévorer de partout. Je me collai contre Ana, et, doucement, je me mis à l’embrasser, d’abord sur la bouche, puis le cou, puis le buste, avant de descendre jusqu’à son généreux 90D et de le dévorer, embrassant, léchant ses seins, les mordillant même parfois, savourant leur rondeur et leur fermeté à toute épreuve.
Puis je me redressai, et regardant Ana bien en face, je me mis à la doigter, allant et venant dans son intimité à un rythme de plus en plus élevé, lui tirant des gémissements de plaisir.
— Oooh April ! C’est... oui continue c’est... TELLEMENT BON !
Je souris et accélérai le rythme. Je n’étais pas d’humeur à faire traîner les choses, je voulais faire chavirer Ana le plus vite possible. En même temps que je la doigtais, je pétrissais de mon autre main sa poitrine, la stimulant de partout. Ana rougissait sous le plaisir, gémissait, se tortillait, m’offrant une vision incroyablement sexy qui m’excitait plus encore. Ana prenait trop de plaisir pour que ça ne dure éternellement : elle finit par sombrer dans un orgasme ravageur qui la fit crier et s’effondrer dans la douche, hors d’haleine et comblée.
— On a pas fini, dis-je d’un ton autoritaire, j’ai pas joui, moi. Alors tu te remets et tu me fais du bien et plus vite que ça.
Docilement, Ana s’exécuta. Elle était plutôt dominante avec les garçons, mais avec les filles elle se soumettait totalement. A genoux devant moi, elle commença à me lécher l’intimité, entrant sa langue en moi et la faisant tourbillonner. Je saisis ses cheveux noirs, et dirigeai le cunni lui imposant le rythme et l’intensité que je voulais.
Rapidement, le plaisir monta en moi et je commençai à lâcher des soupirs, puis des gémissements de plaisir. Ana accéléra et je me sentis trembler et vaciller. Je me tenais au mur pour ne pas tomber, mais Ana se mit à titiller mon clito, et ça en fut trop pour moi. J’eus un nouvel orgasme qui me fit exploser dans un délicieux feu d’artifice d’extase et je poussai un cri aigu.
Heureuse de m’avoir bien servie, Ana se releva, tandis que je reprenais mon souffle.
— Satisfaite ? demanda Ana. — Oh oui.
Ana me fit un clin d’œil puis quitta la douche.
Je m’adossais au mur pour reprendre mes esprits, avant de finir de me doucher. Je me disais, en mon for intérieur, que l’année commençait très très bien...
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