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Aquaplaning en outing

Chapitre unique

Hétéro
Deux fois par an, notre entreprise organise un mini-séminaire sur deux jours dans un endroit un peu sympa pour regrouper tous les managers de la boîte et échanger sur les sujets stratégiques. On ne va pas se mentir, c’est l’occasion de passer deux jours au vert, travailler un peu et surtout profiter de moments sympathiques avec les collègues.
Nous sommes arrivés le soir dans un magnifique château au fin fond de l’ile de france, piscine, activités en pleine air, tous frais payés, que demander de plus. Nous partageons un grand dîner tous ensemble, l’ambiance est bonne, bien arrosée, certains collègues ne se sont pas vu depuis plusieurs mois, télétravail oblige. Seul point noir au tableau, les chambres sont partagées. En soit ce n’est pas si gênant mais je gardais un petit espoir que si peut-être il y aurait pu y avoir éventuellement l’opportunité d’un petit évènement improbable avec une colègue du sexe opposé, je n’aurais pas été contre.
Et en parlant de collègue du sexe opposé il y a la belle Sara. Sara c’est le genre de femme forte, canon, grande, sociale avec tout le monde, sure d’elle, le genre de femme complètement hors compétition pour moi. Mais pourtant, petit à petit nous avons commencé à tisser des liens, à apprendre à nous connaître, à bien nous entendre au point même je pense, d’être devenu de bons amis. Cette relation amicale n’enlève rien au fait que Sara est extrêmement sexy, de longue jambes, de formes athlétiques, une peau dorée, des tenues toujours chic qui la mettent en valeur… bref une bombe.
J’aime passer du temps avec elle, on arrive à parler de tout, y compris de nos vies amoureuses, de nos histoires de sexe. Je me permets quelques compliments de temps à autre, il y a ce petit quelque chose qui me fait dire que nous pourrions être plus que des amis mais sans en être vraiment sûr.
La soirée continue avec les derniers couche tard, nous discutons beaucoup avec Sara, nous nous éclipsons un instant pour aller fumer à l’extérieur. Elle n’a pas l’air de tenir très droit mais je ne dois pas être mieux. 
— ça fait longtemps que je n’avais pas bu autant ! — Ah oui, pas trop de soirée en ce moment ?— Non pas trop, le calme plat…— Même niveau mec ?— Même niveau mec… dis toi, ça doit faire au moins un mois sans rien du tout ! — Une femme aussi canon que toi j’ai du mal à y croire— Merci c’est gentil, mais tu peux le croire— Et bah c’est peut-être la bonne soirée pour se relancer ;)— Quoi ? avec toi ? T’es sérieux ?— Euh non c’est pas ce que je voulais dire, enfin il y a plein de personnes ce soir, peut-être que l’un te plait— Ahah j’ai cru que tu me faisais du rentre dedans, je sais pas, compliqué avec un collègue quand même— Oui tu as raison…
Nous terminons notre cigarette et rentrons rejoindre les autres. Un peu refroidi par cette conversation mais je me dis qu’elle n’avait pas l’air si gênée en croyant que je lui faisait des avances. Nous terminons la soirée sagement, je croise son regard à de nombreuses reprises, toujours accompagné d’un sourire. Sara est très tactile avec moi, je ne m’éloigne jamais très longtemps, et la soirée finit par se calmer.
Je la raccompagne jusqu’à sa chambre qu’elle partage avec une autre collègue. Nous passons quelques minutes en silence, ne sachant pas comment prolonger cette soirée. L’envie est là mais mon imbécile de cerveau embrumé ne trouve rien, paralysé par un mélange de peur et d’excitation.
— Bon bah bonne nuit alors…— Oui bonne nuit à toi aussi…
Sara me gratifie quand même d’un léger bisou sur la joue, un sourire avant de disparaître derrière la porte. De mon côté je repars vers ma chambre, un peu penaud, conscient d’avoir laissé passé ma chance. Je retrouve mon collègue déjà couché, petites ablutions habituelles et me voilà en boxer dans mon lit, repassant en boucle le fil de la soirée pour savoir où j’ai encore merdé. Toudoudoum. L’écran de mon téléphone s’allume, message de Sara.
[SMS]> Merci pour la soirée, c’était chouette :-*
Son petit emoji me redonne le sourire, je m’empresse de répondre.
[SMS]< Yes très sympa, j’aurais bien continué mais il faut se lever demain> On a plus l’âge pour les folies…< ça va je trouve, je ne suis pas encore à mettre à la casse !> J’avoue, tu es plutôt pas mal dans le style beau brun ténébreux.< Merci :) Tu étais à tomber ce soir, ta robe te va super bien.> Tu es un amour, mais là j’attends que Laetitia termine sa douche pour enfin pouvoir me mettre à l’aise, j’en peux plus.< Tu peux toujours venir la prendre ici si tu veux :p> Ahah pour que tu puisses matter par le trou de la serrure ?! bien tenté !< J’avoue, ma proposition n’était pas complètement innocente..> Douche libre ! A tt !
 Toujours ce jeu, toujours ces allusions. Je reste de longues minutes à attendre, relisant notre échange, à essayer de percer les pensées de ma collègue. Mon esprit s’égare également sous cette douche avec elle, j’imagine son corps fin ruisselant d’eau, ses caresses sur ses longues jambes bronzées. Toudoudoum.
[SMS]> Tu as vu il y a même des peignoirs ! Le kiff…
Joint à son message, une photo d’elle prise dans le miroir de la salle de bain, les cheveux humides, un décolleté très échancré, la peau perlée de quelques gouttes. Tout ça en me tirant la langue. J’aperçois sous son peignoir un bout de dentelle rouge, l’a-t-elle fait exprès ?
[SMS]< Oui, l’endroit est assez dingue. Et le rouge te va très bien au fait…> Ahah je me demandais si tu le verrais< J’ai l’oeil pour les jolies choses ;)> Flatteur ! Mais tu juges un peu rapidement, tu ne vois pas grand chose.< Libre à toi de m’en montrer plus…> Si on a le temps de faire une session piscine demain, tu pourras peut-être me voir en maillot rouge ;)< Pourquoi pas maintenant ?
De longues secondes d’attente.
[SMS]> Ok rdv à la piscine dans dix minutes…
Wow je m’attendais à une nouvelle photo, pas à une proposition de se retrouver seul à seul. Je suis dans un état second, mon corps tremble tout seul d’excitation. Je lui réponds ok et prends les plus grandes précautions pour me mettre en maillot, enfiler un peignoir et quitter la chambre sans réveiller mon collègue. Je m’oriente tant bien que mal dans l’hôtel, je me perds une ou deux fois, me cache pour esquiver d’autres collègues regagnant leur chambre, mais je fini par aboutir à la piscine, la porte est miraculeusement ouverte.
J’entre, l’air est chaud, chargée d’humidité et des bruits des bains à remous. Pas de trace de Sara. Je l’appelle discrètement et quelques secondes plus tard elle émerge de derrière un pilier à quelques mètres de moi, vêtue de son peignoir. L’instant se fige.
— On pique une tête ?
J’acquiesce d’un hochement. Je retire mon peignoir, espérant l’inciter à en faire de même. Sara se mord la lèvre, agrippe la ceinture nouée devant elle et lentement me dévoile son corps à tomber couvert d’un mince bikini rouge qui la met diablement en valeur. Je bloque devant cette vision, c’est sans nulle doute la femme là plus sexy que j’ai pu voir. Elle ne bouge pas, me laisse l’observer, suit mon regard qui glisse sur chaque parcelle de sa peur. Elle me sourit, l’effet qu’elle me fait semble lui plaire. Son regard à elle se pose sur mon short qui doit commencer à se déformer discrètement.
Je ne sais pas quoi faire, m’avancer vers elle, poser mes mains sur sa peau, capturer ses lèvres, ou détourner le regard et entrer dans l’eau ? J’ai peur de briser ce moment que je n’espérais plus. Le choix ne viendra pas de moi, nous entendons une porte claquer dans le couloir, la peur s’empare de nous. En une demi-seconde Sara attrape nos peignoirs au sol, me tire par la main et nous barricade dans une cabine juste à côté.
Nous attendons, faisant le moins de bruit possible, tentant de contenir notre respiration qui s’est accélérée d’un coup. Un des employés de l’hôtel semble faire sa ronde, passe une tête par la porte de la piscine et repart comme si de rien n’était. Le coup de stress passé, je me rends compte de la situation dans laquelle nous sommes. Sara l’oreille collée à la porte de la cabine, moi juste derrière elle, la main posée sur sa hanche, son corps pressé contre le miens. 
A partir de là tout s’est enchaîné très vite, Sara s’est redressée, un regard jeté en arrière, un mouvement de hanche pour épouser la longueur de mon membre tendu entre ses fesses. De mes mains je prends possession de son corps qui m’a tant fait rêver, je l’encercle, glisse sur son ventre musclé, remonte rapidement vers sa poitrine qui pointe à travers son haut écarlate. Je m’empare de la pointe d’un de ses seins tandis que mon autre main continue son chemin pour m’emparer de son cou gracile. Son visage se tourne vers le mien et nous échangeons un long baiser fougueux, traduction de toute la tension accumulée depuis des mois, sa langue joue avec la mienne, son goût emplit mes papilles. 
On sait qu’on a peu de temps, à tout moment un employé peut nous surprendre ou un de nos collègue se demander où nous sommes passés. Impossible pour moi de la laisser repartir comme ça. Ma main fait rapidement le chemin inverse sur son corps, de son cou jusqu’à son entrejambe, Sara me facilite le passage et mes doigts glissent sous son bas de maillot et viennent se poser sur sa fleur déjà bien humide.
Je la découvre intimement, joue avec son sexe, lui arrache des gemissement étouffés contre mes lèvres. Sara n’est pas en reste, pendant tout ce temps elle n’a cessé de jouer avec son corps contre le mien, nous arrachant à tous les deux des soupirs de frustration. Une main appuyée sur la porte pour se maintenir, de l’autre elle vient plonger dans mon short et réclamer son dû. Sentir des doigts fins et froids s’enrouler autour de ma verge dressée m’envoie des shots de plaisir pur à travers tout le corps. Ses caresses me transportent dans un autre monde, j’y répond en plongeant un doigt dans son intimité bouillante. La situation ajoute encore à l’excitation du moment.
— Vas y, prends moi
Je me rends compte que ce sont les seuls mots échangés depuis que nous sommes là. Il n’y a rien de plus à dire, nous en avons envie tous les deux. Mon short se retrouve à mes pieds, Sara se cambre juste ce qu’il faut, son bas est écarté et d’un long mouvement je la prends de toute ma longueur. Nous ne pouvons pas retenir un pur cri de plaisir. La sensation est à couper le souffle, Sara et moi nous nous envoyons enfin en l’air.
— Putain c’est bon, vas y baise moi…— Oh oui…
Mes mouvements sont longs, calmes, le temps de ressentir chaque instant, chaque contact entre nous. Sara vient à ma rencontre à chaque fois, son corps épouse le mien, le réclame, cette nana m’excite tellement. De mes mains je capture une image de tout son corps, je ne sais pas si ce moment se reproduira, je veux m’en souvenir le plus longtemps possible. Le plaisir monte en flèche, je la tiens fermement et me mets à la prendre sauvagement, son bassin claque contre le miens à chaque coup de rein.
— Ah putain oui… vas y… plus fort…
Sara est déchaînée, nous avons du mal à retenir nos gémissements qui raisonnent dans cette cabine. Nos mouvements sont erratiques, le plaisir monte à toute vitesse, mon membre dur va et vient en elle, toujours plus fort. Sa main glisse entre ses jambes, Sara se caresse pendant que je la prends par derrière, elle ne cherche plus à retenir ses cris de plaisir. Je plaque ma main sur sa bouche, je ne sais pas si ça marche mais putain que ça m’excite, dominer ma collègue me rend dingue, l’effet semble pareil pour elle, je sens son corps se tendre, être pris de tremblement et dans un long cri Sara jouit sur ma queue plantée en elle.
Je recommence rapidement mes mouvements, la prévient que je ne suis pas loin à mon tour. En un instant elle est à genoux devant moi, ses mains s’attaquent frénétiquement à ma verge sur le point d’exploser et je joui dans un long râle, Sara accueille mon plaisir sur elle, entre ses seins. Je pense n’avoir jamais pris autant de plaisir et m’écroule sur le banc de la cabine. Sara se relève, se nettoie, on se sourit comme deux enfants qui viennent de faire une bêtise.
— Bonne nuit cette fois, à demain.
Puis elle quitte la cabine, Je la rattrape pour un dernier baiser avant de la laisser partir. J’attends quelques minutes et regagne ma chambre à mon tour, plongeant rapidement dans les bras de morphée.

Le lendemain il faut bosser, de longues séances plénières auxquelles je ne prête pas beaucoup d’attention sauf quand c’est Sara qui anime bien sûr. Nous n’avons pas beaucoup eu le temps d’échanger, juste quelques sourires qui me rassurent, je ne veux pas qu’il y ait de gêne entre nous suite à la nuit dernière, ne sachant pas ce que nous réserve le futur. Je suis même rassuré une deuxième fois après la pause déjeuner quand en traversant un couloir je suis happé par Sara qui m’entraine dans une buanderie juste à côté. J’ai à peine le temps de comprendre ce qui se passe qu’elle se jette sur moi.
— On a dix minutes.
Les ceintures s’ouvrent, les caressent fusent, les mains se glissent dans les dessous. Nous sommes deux ados se caressant mutuellement, les yeux dans les yeux, le plaisir grimpant à chaque instant jusqu’à jouir ensemble dans un baiser puissant, étouffant nos gémissements. A nouveau un grand sourire échangé et nous regagnons notre journée de travail avec les autres, jusqu’à la prochaine pause…
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