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A l'armée

Chapitre 1

Gay
Ça fait trois jours que je suis incorporé. Je m’appelle Jean, et fais partie d’un groupe de dix soldats, sous le commandement du sergent Marc. Nous dormons dans le même baraquement. Le soir, en me déshabillant, j’ai surpris des coups d’œil furtifs vers les parties les plus intimes de mon anatomie. Ça m’a fait rigoler et plus ou moins bander. Il y a quelques années que j’ai pris conscience de mon attirance envers les mecs. J’ai eu quelques séances d’attouchements dans des toilettes publiques, et deux fois, je me suis laissé entraîner par des hommes, dans la quarantaine, dans leur voiture. Ils m’ont conduit hors de la ville, dans un petit bois et à chaque fois, les rapports ont été plus poussés. Les deux fois, ils m’ont enculé. Malgré un peu de douleur lié au dépucelage, j’ai pris conscience que j’adorais ça.
La journée a été épuisante aujourd’hui : corvées, marche à pied, crapahutages. En fin d’après-midi, nous nous retrouvons sous les douches collectives, sous la surveillance du sergent. Mon voisin, un nommé Joël, un petit blond un peu grassouillet, se savonne copieusement. Je ne peux m’empêcher de mater son cul, tout blanc et bien rebondi. Je sens qu’il s’est aperçu de mon regard. Il me tourne le dos, et saisissant son savon, il le fait aller et venir dans la raie entre ses fesses. Puis, il se tourne vers moi. Comme moi, il a la bite à moitié bandée, et il me fait un clin d’œil complice. Je jette un œil vers le sergent, qui me semble n’avoir rien remarqué.
Au sortir de la douche, nous avons une heure de repos. Je vois Joël se diriger vers moi :
— Je t’ai vu me mater le cul sous la douche, il te plait ?— Ouais, il est pas mal.— Suis-moi, tu vas pouvoir mieux en profiter.
A l’écart des baraquements que nous occupons, se trouve un bâtiment vétuste, qui n’est plus utilisé que comme entrepôt. Joël se faufile dedans et je le suis. Il me tourne le dos, baisse froc et slip, et se penche en avant, mains aux genoux, et jambes écartées. L’invite est évidente ! Je sors ma queue que je lubrifie d’un peu de salive, et la présente contre son trou du cul. Putain, ça rentrait comme dans du beurre ! Je me mets à le besogner sans autre forme de procès, quand j’entends la voix du sergent derrière moi.
— Alors, les jeunots, on prend du bon temps ? Ne vous gênez pas pour moi, j’aime bien voir ce genre de spectacle !
Un peu gêné, tout de même, je reprends mon enculade. Dans le feu de l’action, mon pantalon et slip ont glissé à mi-cuisses, et j’ai le cul à l’air. Je sens bien vite la main du sergent sur mon cul. Du plat de la main, il me caresse la raie. Puis, je le vois, du coin de l’œil, se mouiller un doigt de salive. Le doigt trouve vite ma rondelle et s’y insère. Le doigt commence à faire des va-et-vient dans le fourreau de mon cul. Ça m’excitait beaucoup d’enculer, Joël, et le doigt du sergent travaillant mon cul augmentait mon plaisir. Je n’y tiens plus et décharge. Le sergent retire son doigt, et s’en va avec un petit rire.
Après le repas, nous avons encore une heure de repos. Je vois trois bidasses se diriger ensemble vers le vieux bâtiment. L’envie me traverse, vaguement, de les suivre pour les mater, mais la journée a été dure, et je reste assis à me reposer. Enfin, nous regagnons notre dortoir. Une fois au lit, le sergent déclare « l’extinction des feux ». A l’exception d’une veilleuse, au bout du dortoir, qui laisse une vague clarté.
Tout à coup, je sens quelqu’un se glisser dans mon lit derrière moi. C’est le sergent, qui me chuchote :
— Tu me laisses profiter de ton petit cul, sinon, demain je vais t’en faire baver !
Docilement, je lui tourne le dos, couché sur le côté. Il a tôt fait de me baisser mon pantalon de pyjama. Il m’enduit la raie d’une substance visqueuse, et je sens son gland contre ma rosette. Ignorant la taille de son engin, je frémis un peu, mais, quand il pénètre, je me détends tout de suite : le sergent a une petite bite ! Mon voisin de lit s’est aperçu de ce qui se passait, et s’est tourné vers moi pour regarder. Voyant cela, le sergent repousse mes draps et tire sur mon froc pour lui donner une bonne vue de ma bite et de mes couilles. L’autre n’a quand tendre le bras pour me peloter les couilles et me caresser la bite ! Je ferme les yeux et me laisse aller, béat, avec le plaisir de sentir la bite du sergent aller et venir dans mon cul, tandis que mon voisin de lit me caresse par devant. Je sens les mouvements du sergent s’accélérer, et bientôt il pousse quelques ahanements étouffés. Il vient de décharger dans mon cul. Mon voisin retire sa main. Le sergent me chuchote à l’oreille
— Tu as un super cul, et visiblement tu adores te faire mettre. Une vraie petite salope ! Je te la remettrai au cul un de ces jours!

Le lendemain matin, le sergent nous annonce une séance de gymn. Il nous entraîne vers le vieux bâtiment, et je devine que c’est pour que nous soyons bien isolés. C’est une chaude journée d’été, et nous sommes tous en maillot de corps et short. Le sergent nous guide vers une salle où se trouvent quelques accessoires de gymnastique, dont une barre fixe. Il ordonne à Joël de se mettre en slip, de s’accrocher à la barre fixe, de lever les jambes, et de positionner ses genoux, agrippés au-dessus de la barre. Le sergent s’approche alors, et d’une main, écarte le slip de Joël à l’entrejambe, mettant à l’air, devant tous ses camarades, sa bite, ses couilles et sa rondelle. Il se rapproche et se met à lui lécher longuement la rosette en y prenant un plaisir évident. Plaisir partagé par Joël, car sa bite est dressée à la verticale. Après s’être lassé de ce jeu, le sergent nous aboie :
— Il est à vous. Selon vos goûts vous pouvez lui lécher le cul, le doigter ou lui sucer la bite. Mais interdiction de le faire jouir avant le dernier !
Nous nous exécutons. Après Joël, c’est mon tour d’être livré à la lubricité de mes camarades. Puis, les autres y passent, l’un après l’autre. La séance dure finalement deux heures, et le sergent nous accorde un repos avant le déjeuner.
L’après-midi, retour à la salle de gymn. Le sergent nous fait mettre en slip, côte à côte, et nous ordonne une séance de pompes. Du coin de l’œil je vois le sergent s’accroupir derrière le dernier de la rangée. Il lui glisse sa main entre les cuisses, et insère ses doigts sous le slip à l’entrejambe pour tripoter ses parties intimes. Nous y passons tous à tour de rôle. J’étais le dernier de la rangée. Se plaçant derrière moi, le sergent aboya :
— Celui-là, je l’ai enculé la nuit dernière. Une vraie salope. Approchez vous !
Je sens le sergent m’enlever mon slip, me plaquer la tête contre le sol, et me pousser sur les jambes, pour me faire mettre sur mes genoux, le cul bien en l’air. Il ordonne à Joël de se placer au-dessus de moi et de bien m’écarter les fesses, exposant mon trou du cul à tous mes camarades, groupés derrière moi. L’excitation l’emporte sur la honte et je me mets à bander sous les ricanements du sergent.
— Je vous avais dit que c’était un pervers! Exhiber son trou du cul à ses potes, ça le fait bander !
Il me lubrifie copieusement. Je sursaute quand il introduit deux doigts à la fois, puis, en bonne salope, me laisse aller à mon plaisir. Bien évidemment, il n’y eût pas que le sergent à me travailler le cul. Fin de l’après-midi et retour sous les douches. Je décline les avances de Joël, et reste à me reposer.
Au dortoir, avant de m’endormir, j’entends le sergent approcher. Je soupire, car j’en ai eu assez pour la journée. Heureusement, il passe devant moi, et s’installe dans le lit de mon voisin. Il repousse les draps, et baisse son pantalon. Son cul nu est à peine à cinquante centimètres de moi, et j’ai une bonne vue dans la lueur de la veilleuse. Légèrement duveteux, rebondi et musclé. Il enfile mon voisin et je vois les muscles fessiers se contracter. Quand il se retire un peu, je vois sa raie du cul s’entrouvrir. Je bande comme un âne. Je mouille un doigt, tend la main et l’introduit dans sa rosette. Il accepte la pénétration comme s’il n’attendait que ça ! Quand je l’entends ahaner, signe qu’il va jouir, je retire mon doigt. Il repart à sa couchette, et je reste rêveur devant la facilité avec laquelle j’ai eu accès à son cul !
Le lendemain, le sergent nous annonce une expédition dans la nature. En treillis, casque et sac à dos ! Une chaude journée d’été… Vers le milieu de la matinée, le sergent nous fait faire une pause à l’ombre d’un bosquet. Nous nous débarrassons du sac et du casque. Le sergent nous fait placer, en rond, à quatre pattes, chacun de nous ayant le visage derrière le cul de celui qui nous précède. Le sergent ne laisse à personne le soin de procéder au déculottage de chacun de nous. Puis il nous ordonne de lécher le cul que nous avons devant nous. Ensuite, il nous fait nous retourner et doigter le cul qui nous est offert. Il est placé au milieu de nous, et nous excite, en pelotant nos couilles ou caressant nos bites. Cet exercice terminé, nous nous rhabillons et repartons.
Pause déjeuner au bord d’une petite rivière. Le sergent nous ordonne ensuite de traverser la rivière, mais sans mouiller notre uniforme. Nous devons donc nous déshabiller complètement, et traverser la rivière, nos affaires sur la tête. Le sergent s’allonge dans l’herbe, sort son portable et filme le déshabillage, puis la traversée. La rivière est peu profonde, et nous n’avons de l’eau qu’à mi-cuisses. Le sergent a donc une jolie brochette de culs de jeunes mâles à filmer. Au retour, nous exposons nos parties viriles. Certains ne peuvent s’empêcher de bander. Le sergent sourit, sort sa queue et se branle doucement.
Une fois séchés et rhabillés, le sergent nous divise en deux groupes, et nous envoie dans la forêt, avec pour mission de ramener un prisonnier du groupe adverse. Il nous attend, assis sur un gros tronc d’arbre. C’est mon groupe qui lui ramène un prisonnier. Le sergent le fait coucher en travers de l’arbre, et le déculotte. Bien sûr, Joël se précipite pour lui écarter les fesses. Le sergent le lubrifie copieusement, et chacun des vainqueurs a le droit de le baiser. Très ancienne coutume militaire : enculer un prisonnier pour l’humilier.
De retour au camp, le sergent m’intime, d’un signe de tête de le suivre dans l’ancien baraquement. Il entre dans une pièce, et me demande d’attendre dehors. Puis, il m’appelle. J’entre pour le découvrir, à poil, allongé sur une table, genoux sous les mentons, cul au ras du bord de la table, écartant ses fesses avec ses mains. Première vision de son trou du cul, dégoulinant de lubrifiant. J’insère un doigt. Il est très souple, signe d’une pratique régulière de la sodomie. J’entre ma bite. Le souvenir de tout ce que ce cochon nous a imposé me fait le baiser « très virilement ». Il apprécie visiblement car il pousse des gémissements de plaisir. Pendant que je l’encule, il se branle d’une main et nous jouissons ensemble.
Le soir, au dortoir, je repense à son cul. Je me lève et vais dans son lit. Il m’accueille volontiers. Tous mes camarades se regroupent autour de nous. Ce n’est pas tous les jours qu’on peut voir le sergent se faire défoncer le cul ! Je le bascule à plat ventre. Il écarte les cuisses pour mieux s’offrir. Je me dresse au-dessus de lui, appuyé sur mes bras, la lui met bien à fond, puis la retire complètement, puis la lui remet, ainsi de suite. Il pousse des grognements appréciateurs. Mes camarades se branlent. Je fais durer pour qu’ils aient le temps d’éjaculer, et m’effondre sur lui pour dégorger mon sperme dans son cul.
Je regagne mon lit. Je suis rêveur. En à peine quarante-huit heures j’ai enculé Joël et le commandant, me suis fait baiser, me suis livré à des attouchements lascifs et pervers de la part de mes camarades, et leur ai rendu la pareille. Cette période sous les drapeaux s’annonçait très chaude !
Fin
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