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Armelle

Chapitre 2

Orgie / Partouze
Armelle a été vue pas sa tante Rose quand elle s’amusait avec une copine et un garçon. Mécontente, le lendemain Rose demande à Armelle de venir chez elle. Rose est sévère: en gros quand on ne sait pas bien baiser, on s’en passe. Elle tient quand même à lui apprendre des bricoles. Armelle pense aussitôt que Rose va s’amuser avec elle, lui faire l’amour entre filles. Elle est envoyée dans la salle de bain pour se doucher, elle y vas seule. Étonnée de rester seule, elle voudrait bien se masturber, comme elle le fait toujours. Honteuse, elle reste sage. Trop, peut être ? Elle trouve un peignoir sexy, le passe avant de sortir. Rose l’inspecte comme une mère. Tout va bien. Elle peut aller voir son oncle, le mari de Rose : Yves. Âgé de 45 ans, Yves a vécu pas mal d’aventures avec des partenaires expérimentés, même et surtout en partouzes. Quand il baise Rose, c’est un festival de plaisir. Armelle en est vaguement au courant. L’allure d’Armelle est proche de celle d’une fille amoureuse, alanguie, pleine de souvenirs passionnés. La seule chose que demande la tante à Armelle est d’être dévouée, de prendre le plus de plaisir possible et surtout d’en donner encore plus. Elle va se charger de corriger les défauts. Armelle ne demande qu’à bien se tenir. Dès le dîner elle se frotte à son oncle. Elle n’arrive pas à le faire bien bander. Rose lui montre comment sortir la queue, la prendre doucement dans la main, le masturber lentement le faire bander complètement. Elle lui montre comment arrêter juste avant l’éjaculation. Le tout est une découverte, pour Armelle il fallait tenir la queue serrée dans la main, faire aller et venir le prépuce vite ; comme pour se débarrasser d’une corvée. Pour elle son cul est simplement un vide couille sans qu’elle en tire beaucoup de plaisir, ni de jouissance particulièrement inoubliable. Rose fait la démonstration en caressant doucement l’anus de la nièce. Elle ne se sert que du doigt dont elle se sert elle même. Elle le passe doucement dans la raie. Elle sens au passage la cyprine arriver. Elle en prend à peine pour se mouiller le bout du doigt. Armelle apprend l’attente sexuelle. Le doigt est tout près du but, il n’est pas encore sur l’anus. Pourtant les fesses d’Armelle sont prêtes depuis un long moment. Maintenant assise sur le bord de la table elle attend avec moins de patience. Il lui faut connaître la jouissance par le cul. Elle avance sans pudeur ses fesses vers sa tante qui se rince l’œil en voyant de plus en plus près la chatoune entourée de jolis poils frisés à coté du trou fripé. Elle pourrait même avancer un peu son menton pour toucher le centre du plaisir féminin. Rose mesure l’impatience de la fille. Elle permet le premier orgasme de la soirée. Armelle gémir, se tortille, convoite sans cesse un suite. Elle pousse le désir jusqu’à se toucher le clitoris pour en tirer encore un orgasme, sans se soucier de la présence de sa tante. Le programme établi par la tante et l’oncle passe par la case baise entre un homme et une femme. Armelle n’a jamais été très forte à ces jeux à deux. Il lui fut apprendre des rudiments qu’elles devrait connaître depuis longtemps, puisqu’elle se dit bonne baiseuse. Elle rejoint le mari de Rose qui ne bande pas encore suffisamment. Rose l’embrasse sur la bouche ; lui demande de bien baiser Armelle ! Dans le monde de tous le jours, il est rare qu’une femme demande à son mari d’en baiser une autre encore devant elle qui surveille la bonne marche.Armelle prend seule une bonne décision en prenant la queue dans la bouche : elle lèche le gland doucement, le fait passer dans la bouche, contre une lèvre. Elle voudrais bien le mordiller un peu, n’ose pas ne peur de se faire gronder. Rose tâte les joues de son mari: elle constate que la pine est bien engagée. Elle laisse Armelle faire ce qui lui plaît. Armelle a retenu la leçon elle laisse la queue après en avoir goûter les sucs. Son ventre grouille de désir. C’est comme une colique d’envie. Si elle le pouvait elle se ferait perquisitionner le fin fond du ventre. Qui sait, la grosse bite va la défoncer, l’embrocher, l’empaler pour son bonheur, comme une récompense. Si tout va bien il l’enculera sans doute.Elle se couche, tenue par le dos par Rose avec ses cuisses autour de la taille. Elle la tend à son mari ; il ne veux qu’une simple chose, la baiser jouir d’elle. Il ne se couche pas, il se penche à peine. La queue est prise par sa femme qui après l’avoir un peu masturbé comme pour montrer que la bite est à elle, la rentre elle même. Armelle a une réaction de fille violée. Malgré son désir, elle sent l’envahissement de son ventre par la bite bandée. Pourtant Rose lui caresse les seins lentement avec affection ,en pinçant à peine les tétons. Armelle sens un orgasme au fond de son ventre affamé. Elle remue les fesses contre le pubis de Rose qui la laisse faire en profitant le plus possible de cette faveur. Les lèvres pincées du sexe de Rose ne résistent pas : elles aussi participent à la volupté, à sa satisfaction totale. Rose passe sa main sur le clitoris de son élève. Elle la masturbe pendant qu’elle se fait pénétrer. Armelle ne descend plus sur terre. Sa jouissance est parfaite. Mais les sens d’Yves ont une fin, il éjacule longuement. Il a jouit comme rarement, il en remercie sa femme qui attire encore Armelle.Les filles ne s’occupent plus que d’elles. Rose boit le reste de sperme sur l’entrée du vagin. La langue va plus loin dans le sexe, elle fouille à la recherche point G qu’elle trouve finalement. Leur enlacement dure encore, surtout en 69, position la plus commode entre fille. Si la langue d’Armelle s’attarde dans le con de Rose, l’autre langue trouve le petit trou. Elle y glisse un peu de salive, entre doucement dans le cul. Armelle se laisse faire, elle apprécie la langue dans l’anus. Une trouvaille pour elle. Elle ne fait plus rien elle se laisse lécher calmement. Rose voit qu’Yves bande encore une fois. Elle le veut en elle. Voyant passer la queue, Armelle la prend un peu dans sa main pour la céder à son amante. Elle aide la bite entrer dans le cul, elle l’accompagne pour savourer le suc de ce cul.Ce n’est que le matin que le trio reprend esprit. La première réveillé, Armelle regarde les autres presque accouplés. Armelle, pleine d’envie masturbe doucement la queue qui s’élève, lèche le sexe qui mouille. Le trio repars vers les frontières inconnues des plaisirs partagés.
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