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Un arrangement très particulier

Chapitre 3

Hétéro
Un détail avait échappé à Julia : OK, elle allait gagner de l’argent, mais tout ne pouvait être utilisé pour le remboursement de sa dette. Il lui fallait en garder pour compléter la faible pension de retraite du papy. Ce qui voulait dire que sa dette allait encore courir longtemps… sauf si elle se décidait à aller plus loin pour gagner plus. De son côté, Richard l’observait de loin sur son PC via son réseau de caméras. Tous les matins, il la regardait sous la douche en train de se tartiner le corps avec le fameux gel-douche. Henri lui ayant dit qu’il lui faudrait attendre un bon mois pour constater des effets visibles sur la poitrine de la demoiselle, Richard semblait déjà en déceler certains. Il y avait autre chose qu’il avait remarqué. Tout d’abord, elle semblait mal à l’aise. La raison ? Ses règles ne sont pas venues, ou en tout cas si peu par rapport à d’habitude. La deuxième chose qu’il avait vue, c’était qu’elle s’était gardé un concombre de petite taille et qu’elle s’en servait de plus en plus souvent sous la couette pour se faire du bien.
Le gel-douche commençait à porter ses fruits, et Richard en était ravi. Le fait qu’au début elle se laissait caresser en faisant un peu la moue et que maintenant elle acceptait de se faire peloter partout avec le sourire voulait dire beaucoup. L’aphrodisiaque du gel-douche devait sûrement lui faire de l’effet, compte tenu qu’elle se faisait du bien de plus en plus souvent avec son accessoire végétal. De plus, il avait bien remarqué qu’elle était de plus en plus serrée dans ses uniformes. Ça faisait deux semaines qu’elle ne mettait plus de soutien-gorge car ses mamelons durcissants la gênaient et qu’elle voulait gagner le peu de place qu’elle pouvait dans son corsage. Ayant justifié la chose par un rétrécissement des vêtements au lavage, Richard savait que ce n’était pas les vêtements qui étaient en cause, mais plutôt sa poitrine qui augmentait de volume.
C’est un soir que Julia fit un grand pas en avant. Ça faisait plus de deux mois qu’elle travaillait chez Richard. Comme chaque soir, quand elle préparait le repas, Richard se glissait derrière elle, une main lui caressant les fesses et vagabondant sur sa raie, l’autre main partant de la taille et remontant le long de ses hanches pour arriver jusqu’à sa poitrine. Cette pratique était devenue quotidienne, et sans savoir pourquoi, elle l’appréciait de plus en plus. Elle appréciait de se sentir désirée. Après le dîner, Richard avait l’habitude de prendre son café devant la télé. Ce soir-là il eut l’agréable surprise de voir Julia arriver avec sa tasse sur un plateau, mais topless. Elle avait retiré le haut, ce qui ne manqua pas de faire apparaître un large sourire sur le visage de Richard et une belle érection dans son pantalon.
— Il semblerait que vous ayez décidé de faire valoir votre prime topless ?— Oui, j’ai l’impression que mes hauts d’uniformes sont devenus trop serrés. J’aime bien le contact de l’air sur ma peau douce ; le gel-douche, sûrement. Et puis j’ai les mamelons douloureux. Comme je sais que je vous ferais plaisir en apparaissant seins nus et que ça me donnerait une prime en plus, je me suis dit…— J’apprécie l’initiative. Dites-moi, vous me disiez que vous avez les mamelons douloureux ? — Oui, pourquoi ?— Auriez-vous un désordre dans votre cycle menstruel par hasard ?— Effectivement. Mais comment le savez-vous ?— Une intuition. Veuillez vous pencher au-dessus de ma tasse de café, s’il vous plaît.— Pourquoi ?— Je voudrais vérifier quelque chose. Voyez-vous, j’ai récemment vu un reportage sur une femme ayant déménagé pour suivre son mari au Chili. Il est astronome et a été muté dans un observatoire isolé dans le désert d’Atacama. Ce changement d’environnement fut un tel choc pour elle qu’elle fut frappée d’une sorte de crise... non, plutôt de désordre hormonal. La suite de ça fut que… Attendez que je vérifie…
Ne finissant pas sa phrase, il empoigna de suite les mamelons de Julia, et après quelques tentatives infructueuses, parvint à en faire jaillir quelques jets de lait et, en visant bien, à les faire arriver dans sa tasse. Au fur et à mesure qu’elle se faisait traire, Julia poussait des soupirs de soulagement comme si elle sentait la pression – et avec elle la douleur mammaire – diminuer. La manœuvre de Richard portait ses fruits. L’ayant un peu soulagée de ce trop-plein de lait et voyant qu’elle avait apprécié, il allait pouvoir mettre cette situation à profit.
— C’est bien ce que je pensais : vous faites une montée de lait ; et visiblement, vous avez apprécié que je vous soulage.— Oui, c’est vrai, je dois l’avouer. Mais comment ça se fait ? Je croyais qu’il fallait être enceinte ou avoir un enfant pour ça ?— Si on se réfère au reportage que j’ai vu, c’est le changement d’environnement qui en est responsable. Changement de nourriture, nouvelle façon de vivre…— Moi, ça me fait peur. Je ne veux pas être malade ou qu’il m’arrive quelque chose.— Si vous le voulez, je peux vous faire suivre par mon médecin.— Et ça va me coûter combien ?— Rien du tout : c’est pour moi.

Quand il prit rendez-vous avec son toubib, il l’avertit de l’état de santé de sa domestique, mais aussi de se qu’il se passait en secret chez lui, à savoir la prise de substance médicamenteuse à dose réduite par application du gel-douche sur la peau.
Suite à la consultation et à des analyses, le médecin ne décela rien d’anormal. Tout du moins rien d’anormal hormis ce qu’elle absorbait régulièrement sous la douche. Il mentionna tout de même une potentielle baisse de la fertilité, mais que dans ce genre de cas le retour à la normale devrait se faire avec le retour de son cycle. Il s’engageait à la suivre régulièrement pour s’assurer de son bien-être et réconforta Julia sur le fait qu’en aucun cas sa santé n’était compromise.
Rassurée, Julia retourna à ses obligations. Pour Richard, voir déambuler cette jolie naïade topless chez lui l’excitait. S’il n’avait pas l’intention de la soumettre à lui en douceur, il l’aurait déjà violement culbutée dans toutes les pièces de son appartement, qu’elle le veuille ou non. Mais heureusement pour elle, il préférait faire ça en douceur pour qu’elle vienne à le demander d’elle-même plutôt que de devoir la forcer et l’entendre hurler et pleurer à chaque fois. Sa méthode était peut-être plus lente, mais le résultat au final allait valoir le coup.
Le soir même, après un délicieux repas, Julia apporta son café à Richard qui regardait un film érotique à la télé.
— Vous voulez du lait dans votre café ?— Oui, bien sûr.
Alors elle se pencha et essaya de se traire, mais n’y arrivant pas, Richard prit la direction des opérations, et d’un geste assuré fit jaillir plusieurs jets de la poitrine laiteuse de sa domestique. Cette sensation de soulagement mêlée à cette excitation qui se faisait chaque jour plus intense mit Julia dans un état second. Quand ce fut fini, encore toute émoustillée, elle s’aperçut que Richard était en érection. Il ne s’en cachait même pas. Était-ce ce qu’il venait de faire, ou le film dans lequel on voyait une jeune secrétaire se faire prendre par son patron qui lui faisait de l’effet ? Mystère. En tout cas, Julia y vit une occasion de se faire plus d’argent, se souvenant que Richard lui avait dit espérer une nouvelle fellation de sa part.
— Excusez-moi, Monsieur, c’est moi ou c’est le film qui vous met dans cet état ?— Un peu des deux. Vous savez, avoir une domestique comme vous exhibant sa jolie poitrine devant moi… Ce serait hypocrite de dire que vous ne me faites pas d’effet. Pourquoi cette question ?— Je me demandais combien vous me donneriez si j’acceptais de vous faire la fellation que vous semblez espérer depuis mon premier jour. — Ah ! Vous semblez vouloir attaquer les choses sérieuses ? J’aime ça ! Le remboursement de votre dette ne va pas assez vite ?— Répondez juste à la question, s’il vous plaît.— Eh bien, que diriez-vous de… cinquante euros chaque fois que vous voudrez m’accorder ce petit plaisir ?— Seulement cinquante ? Ce n’est pas assez. Ça en vaut au moins cent.— Là, c’est vous qui exagérez. Je veux bien monter à soixante quinze, mais pas plus. Du moins, à l’aveugle.— Ça veut dire quoi, ça ?— Que c’est à vous de me convaincre de vous donner cent euros en faisant de votre mieux.— Marché conclu.
Julia se mit alors accroupie entre les jambes écartées de Richard et, avec un sourire gourmand et malicieux tout en passant le bout de sa langue sur ses lèvres, elle déboucla la ceinture de Richard, abaissa la braguette avec les dents, ses mains défaisant le bouton du pantalon. Après avoir baissé le caleçon, elle se retrouva devant la verge dressée de Richard. La voyant hésitante, il lui demanda d’aller chercher une petite bouteille de lotion parfumée dans le tiroir de sa table de nuit, bouteille qu’elle finit par trouver au milieu d’un capharnaüm composé d’anneaux vibrants, préservatifs, gels intimes et autres jouets.
Richard n’avait pas d’autre intention que de lui faciliter la tâche, l’ayant vu hésitante devant son sexe dressé. Peut-être qu’un léger parfum fruité pouvait l’aider. Il prit la bouteille, étala quelques gouttes de cette lotion parfumée tout le long de son engin, et laissa Julia faire ce qu’elle devait.
— Oh oui… Mmm… Oh, Julia, c’est bon… Dis-moi, n’est ce pas plus agréable avec ce petit goût fruité ?— Si, Monsieur, c’est nettement meilleur.— Si tu le veux, je te fournirai des bouteilles de cette lotion. Tu pourras même choisir les parfums qui te plaisent.— Ce serait parfait.— Bien. Mais surtout ne t’arrête pas ; continue, tu es très douée. Par contre, je ne veux pas de simulacre. Telle que je la conçois, la fellation, c’est la bouche qui coulisse sur tout le long. Ce n’est pas juste le gland embouché et les doigts qui montent et qui descendent.— Bien, Monsieur.— Mmm… c’est délicieux ! On sent que tu as envie de bien faire et que tu t’appliques : les 100 € sont amplement mérités. Ta bouche est absolument divine ; je sens que je ne vais plus tenir bien longtemps… Oh oui, je viens, je viens… Aaaah ! … Pffff…. Je confirme ce que j’ai dit. Si tu fais aussi bien à chaque fois, les cent euros seront réguliers.— Glurp ! Merci ; ravie que ça te… que ça vous plaise.— Oui, voilà un détail qu’il convient de clarifier également. En tant que maître de maison, je peux m’octroyer la liberté du tutoiement. Par contre, pour toi, comme tu n’es qu’une employée, ce sera « Monsieur » et « vous ». C’est clair ? — Absolument. J’aurais juste une question : à quelle fréquence voulez-vous que je…— Quand tu veux : je ne t’impose rien, de même que je ne t’oblige en rien à avaler. Tout ce que je te demande, c’est de ne pas tacher mes vêtements. Si jamais la moindre goutte souille mon pantalon ou autre chose, ce ne sera que cinquante.
Même si elle n’était pas partante au départ, parce qu’elle l’avait déjà sucé pour faire oublier sa tentative de vol dans son bureau quelques mois auparavant, elle savait que c’était une chose qu’il aimerait. Elle savait aussi qu’elle allait pouvoir fortement monnayer toutes ses petites attentions. À cent euros, une par jour – voire même plus si elle était motivée – le montant de sa dette allait pouvoir fortement baisser.
De son côté, Richard était ravi. Ce gel-douche était magique. Il savait qu’en lui accordant ce qu’elle avait demandé sous condition qu’elle s’applique, il se garantissait de purs moments de bonheur.
Depuis ce jour, Richard bénéficiait de sa petite pipe quotidienne. Lui laissant toute liberté pour ça, Julia rivalisait d’inventivité pour donner un maximum de plaisir à cet homme. Ainsi Richard pu avoir le plaisir de se faire sucer sous la table au moment du repas avec un peu de chantilly au bout du gland en guise de dessert sucré, sur le canapé après une danse orientale des plus sensuelles. Il eut même la surprise de trouver Julia l’attendant accroupie derrière sa porte d’entrée, poitrine bien en évidence, les yeux fermés et la bouche ouverte, attendant son goûter. Autant vous dire que Richard ne s’est pas fait prier pour sortir son engin et l’introduire dans ce délicieux fourreau chaud et humide.
Actuellement, Richard était dans son bureau, affalé dans son fauteuil, la jolie Julia sous le bureau en train de faire son office. Richard savourait ce moment les yeux fermés, laissant sa main faire de petits signes au gré du concerto pour violon que l’on entendait, comme le ferait un chef d’orchestre.
Visiblement, que ce soit pour Richard ou Julia, la situation les contentait. Richard se faisait régulièrement sucer par sa bonne et pouvait la ploter à loisir. Julia, quant à elle, n’aurait jamais cru cela possible ; mais finalement, elle aimait se faire caresser. Elle se sentait belle et désirable, mais en plus elle réduisait sa dette. Elle ne savait pas d’où lui venaient ces montées de lait ni pourquoi cette situation l’excitait terriblement, mais… elle s’en foutait, au final. Pour elle, c’était devenu un moyen d’exciter son patron et ainsi de gagner plus de fric. Les deux y trouvaient leur compte.
Un soir, Richard arriva avec une grande nouvelle : une soirée avec certains de ses amis fortunés était organisée, et il voulait leur présenter Julia. Lui et ses amis avaient fondé une sorte de club, un peu comme un club de Maîtres. Chacun venait accompagné d’un ou plusieurs partenaires, et durant cette soirée il n’était pas rare que le Maître s’amuse devant les autres convives avec celui ou celle qui l’accompagnait. Si le genre n’est pas précisé, c’est que parmi ces hommes fortunés l’un d’eux préfère les hommes. Il participe donc à ces soirées accompagné de son mignon du moment. D’ailleurs, cette soirée s’organisait chez lui cette fois.
À peine avait-il passé la porte de son appartement que Julia arriva pour débarrasser Richard de ses affaires. Après une petite tape sur les fesses, il la convia à le rejoindre dans son bureau avec son bourbon. Comme souvent alors qu’il savourait son verre, Julia s’occupait de son ver à lui en le déstressant d’une manière tout à fait personnelle… et buccale. Ce n’est qu’après avoir terminé que Richard lui annonça le programme.
— Julia, samedi qui vient, je suis convié à une soirée, et j’aimerais que vous m’y accompagniez.— Oui, d’accord. C’est le genre de soirée à cinq cent euros comme convenu, donc ?— Si l’on veut. Pour cela, il va falloir vous apprêter. Afin que vous soyez parfaite, demain après-midi nous irons faire du shopping. Ce sera votre après-midi « Pretty Woman ».— D’accord, mais ça risque d’être hors de mes moyens.— Rassurez-vous, je vous en fais cadeau. J’ai oublié de vous préciser une chose : cette soirée est privée. Juste moi, des amis, et ceux et celles qui nous accompagnent. Nous y avons pour habitude de faire un concours. La dernière fois, c’était celui qui avait le partenaire le mieux apprêté qui a reçu mille euros de chaque participant.— D’accord.— Si jamais je gagne, je vous en donne la moitié.— C’est vrai ?— Bien sûr. Après tout, si je gagne, ce sera grâce à vous.
Le lendemain, ce fut un après-midi shopping. Julia devait choisir une robe de soirée, la plus belle possible donc forcement la plus chère, et pas forcément la plus habillée. La boutique, privatisée pour l’occasion, s’est transformée en défilé de la fashion week. Portant successivement chacune des robes, Julia défilait devant Richard accompagné du directeur du magasin qui lui donnait son avis. Sur chaque modèle que Julia essayait, le directeur lui faisait l’histoire du vêtement jusqu’à ce que Richard finisse par choisir le modèle qui lui convenait. C’est au moment de payer que le directeur fit une petite boulette.
— Vous avez fait un excellent choix, Monsieur. Avec ce modèle, nul doute que votre fille sera la plus belle de la soirée.— Cette charmante demoiselle n’est pas ma fille.— Ah, je vois... Dans ce cas, laissez-moi vous montrer quelque chose ; regardez bien cette boucle, celle qui maintient le haut en place.— Oui.— D’ordinaire, le tissu est placé de telle manière qu’il est impossible de retirer le haut sans déchirer la robe ou défaire le bas avant. En fait, si l’on presse sur la boucle comme ça… une partie de la boucle se détache, et ainsi le haut tombe et entraîne le bas avec lui. Ça peut s’avérer utile dans des moments d’intimité.— Merci pour l’info. Je n’osais vous demander si ça se retirait facilement. Au moins, maintenant je sais.
Le patron de la boutique, qui pensait avoir affaire à un père habillant sa fille pour l’occasion, s’était bien trompé. Comprenant que ce duo était en fait un homme riche et sa jeune et jolie partenaire, il essaya de se racheter en lui donnant une petite astuce pour le déshabillage. Ils rentrèrent chez Richard, et le samedi de la soirée ils se préparèrent. Richard portait un smoking classique noir avec une chemise blanche. Quant à Julia, elle portait une magnifique robe de soirée laissant apparaître son sublime décolleté, une paire de talons hauts et une parure de bijoux, dont l’imposant collier attirait de suite l’œil. Ce n’est que durant le trajet que Richard apporta quelques précisions sur cette soirée.
— J’ai oublié de préciser que lors de cette soirée, certains de mes amis risquent de se laisser aller à certaines « libertés » avec celui ou celle qui l’accompagne. Il est possible que j’en fasse de même durant la soirée.— Ça m’inquiète un peu : ça ressemble à une partouze déguisée, votre truc.— Techniquement… oui, c’est vrai qu’on s’en approche ; mais on ne va jamais jusqu’à l’acte. Du moins pas devant les autres.— OK. Donc, si j’ai bien compris, chacun de vos amis peut se faire sucer par celle qui l’accompagne à n’importe quel moment ? — Voilà. Celle ou celui. Je précise juste que celui qui nous accueille est plutôt attiré par les jeunes hommes.— En plus... Eh bien, ça promet !
Une fois arrivé dans la luxueuse propriété où allait se tenir la soirée, Richard gara sa Bentley flambant neuve et se présenta devant la porte au bras de Julia qui, quant à elle, se demandait où il l’avait entraînée.
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