Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 107 J'aime
  • 0 Commentaire

Un arrangement très particulier

Chapitre 5

Hétéro
Suite à cette soirée, la routine reprit. Julia travaillait toujours en tant que bonne à tout faire topless (du moins quand il était là) chez Richard ; elle se faisait peloter avec le sourire à n’importe quelle heure, et elle le suçait au moins une fois par jour. Tout ceci était devenu routinier, et Richard en était ravi. Mais il aspirait à plus : il voulait en faire sa maîtresse, mais il voulait que ce soit elle qui vienne à lui. Et pour ça, il avait prévu quelque chose.
Un soir, après être revenu chez lui, alors qu’il bénéficiait des bienfaits de Julia sur son membre, il annonça le programme pour le week-end.
— Julia j’ai quelque chose à vous dire. — Quoi donc ?— Voilà : j’ai une amie qui va venir passer le week-end ici.— D’accord.— Donc, durant le week-end, même si j’adore pouvoir vous admirer seins nus, il va falloir vous couvrir.— Je comprends. — Ne vous étonnez pas si vous la voyez partager mon lit. Même si vous me faites un bien fou, je suis un homme, et j’ai besoin de plus. Et comme vous m’avez bien fait comprendre que je n’aurais jamais l’honneur de vous avoir dans mon lit…— Ne vous en faites pas, j’ai compris.— Parfait.
Voilà quelque chose qu’elle n’avait pas envisagé. Elle se doutait bien que si Richard recevait du monde, elle devrait se couvrir par une tenue adéquate ; mais elle ne s’attendait pas à recevoir une de ses conquêtes. Enfin, bon, c’est lui qui décidait, et il disait vrai. Elle lui avait bien dit qu’elle n’était pas disposée à franchir le pas. Toutefois, depuis cette fameuse soirée chez Louis avec le club des Maîtres, elle commençait à fantasmer sur lui, et elle ne savait pas pourquoi.
C’est le vendredi soir suivant que Richard rentra accompagné de la jeune femme en question. Julia faisait bonne figure afin de ne rien laisser transparaître, mais sa présence la gênait. Avant, elle était seule avec lui, et c’était elle qui lui faisait du bien. Elle commençait à voir cette fille comme une rivale, une concurrente, d’autant plus que durant ce week-end elle n’aurait pas l’occasion de lui prodiguer ces petites attentions, et donc il ne lui donnerait pas la somme qui y correspondrait.
Elle jouait son rôle de domestique modèle à la perfection. Durant le dîner, elle vit l’invitée faire du pied à Richard alors qu’il lui caressait la main ; elle en fut presque jalouse. Une fois le dîner terminé, le couple se retrouva assis sur le canapé pour y prendre le café. Comme à son habitude, elle lui posa la question : « Voulez-vous du lait dans votre café ? » Elle savait qu’il allait accepter, mais que cette fois elle ne se ferait pas traire, ce qui voulait dire « Au revoir, cette sensation de soulagement. » Une fois servis, elle les a laissés et, alors qu’elle ramassait les restes du repas, dans le reflet de la fenêtre, elle vit la nouvelle amie de Richard se blottir contre lui et, tout en l’embrassant, elle lui ouvrit la braguette pour pouvoir y glisser une main à l’intérieur. Ne supportant pas cette situation, elle informa Richard qu’elle allait prendre congé. Au même moment, elle vit l’invitée se baisser sur le sexe de Richard pour le sucer. La situation était claire : il l’avait remplacée pour le week-end, et cette fille allait partager son lit. Tout ça parce que cette fille ne lui avait pas dit non.
C’était un aspect du métier qu’elle n’avait pas prévu, car du coup elle gagnait moins et ça entravait le remboursement de sa dette. Après une bonne douche, elle partit se coucher. Elle essayait de trouver le sommeil quand elle commença à entendre des « Oh oui, Richard, encore, vas-y... » Elle sortit de sa chambre et, par l’ouverture de la porte de chambre de Richard qui avait été mal fermée, elle pouvait voir la scène.
Cette jeune fille était allongée sur le dos, un large sourire sur le visage, dans le lit de Richard ; et lui, il la recouvrait de son corps. De là où elle était, elle voyait les fesses du maître de maison s’activer entre les cuisses de son invitée, parfaitement en rythme avec les gémissements de plaisir qu’elle poussait. Elle les vit changer de position et, à chaque fois, l’invitée semblait en redemander en lui demandant de ne pas s’arrêter.
Julia commençait à mouiller. Elle tenta de se calmer en se masturbant, mais ça ne semblait pas lui suffire. Elle est donc retournée dans sa chambre et a sorti son jouet végétal afin de s’en servir. Est-il besoin de préciser comment ? Je pense que tout le monde aura compris. Elle ne savait pas pourquoi, mais durant sa petite séance privée, elle s’imaginait à la place de l’invitée du week-end à se faire labourer l’entrejambe par Richard. Cette sensation lui rappelait ce qu’elle s’était imaginé lors de la soirée avec les amis de Richard. Inconsciemment, elle ne voulait pas l’admettre, mais à force de le sucer tous les jours, de se laisser tripoter comme il le voulait, et surtout le fait qu’elle ne fréquentait aucun homme à part lui, elle ressentait l’envie d’avoir un homme entre les cuisses. Elle était loin de s’imaginer que tout ce qu’elle ressentait était le fruit des semaines d’utilisation de ce gel-douche. Gel-douche dont l’effet cumulatif de l’aphrodisiaque commençait à la rendre toute chose. Même si elle était contrariée par la présence d’une femme la remplaçant durant deux jours, elle avait bien compris que Richard avait des besoins à assouvir et que, comme elle s’y refusait, il était parti chercher une partenaire pour satisfaire ses envies.

A la fin du week-end, une fois l’invitée partie, Julia put enfin reprendre ses petites habitudes. Étant donné que Richard la payait à la prestation, ces deux jours avaient été une perte sèche qu’elle ne souhaitait pas voir se reproduire. Même si Richard voulait se faire dégorger le poireau à domicile, la venue de cette professionnelle qu’il connaissait avant pour l’avoir déjà pratiquée avait aussi pour but de lui montrer que tant qu’elle se refuserait à lui, il pouvait faire appel à une autre et ainsi ne pas avoir recours à ses services. Alors qu’il s’amusait avec la demoiselle dans sa chambre, il avait mis en enregistrement les caméras du couloir et de la chambre de Julia afin de voir comment elle allait réagir. Il fut surpris de la voir les espionner derrière sa porte en se touchant, mais ce qui le surprit le plus ce fut de la voir utiliser son jouet alors qu’elle semblait marmonner quelque chose. Le son étant étouffé, il monta le volume, tenta de réduire le bruit de souffle et les parasites, et le résultat fut plus qu’inattendu : à chaque va-et-vient du légume entre ses lèvres, elle prononçait son prénom, Richard, le tout accompagné de petit gémissements qu’elle tentait d’étouffer.
« Si je m’attendais à ça ? Mais si elle semble fantasmer sur moi, pourquoi ne se lance-t-elle pas ? Je n’attends que ça, moi : lui donner du plaisir. » se dit-il devant son PC. Étant donné qu’il l’observait depuis un bon moment, il savait que ce légume qu’elle utilisait comme sextoy n’était là que pour calmer ce feu qui lui tiraillait l’entrejambe, résultant de son excitation devenue constante. Richard, voyant cela, ne voyait qu’une solution : lui confisquer son jouet qu’il savait caché sous le lit.
C’est un soir, après le café du dîner, alors que Julia faisait le ménage dans la cuisine que Richard est intervenu. En fouillant sous le lit, il trouva le fin concombre et appela sa domestique.
— Julia, vous pouvez venir s’il vous plaît ?— Oui Monsieur ; qu’y a-t-il ?— J’ai remarqué que vous surchauffiez un peu trop fort votre chambre pour la saison. Alors je suis entré pour couper le chauffage quand j’ai entendu ceci tomber sur le sol. C’était visiblement caché sous le matelas, et il est sûrement tombé entre les lattes du sommier.— Je…— Oui ? Vous vouliez dire quelque chose ? Peut-être vouliez-vous m’expliquer ce que fabrique ce légume sous votre lit ? Peut-être allez-vous m’expliquer ce que sont ces traces sur sa peau ainsi que les taches que j’ai remarquées sur vos draps quand vous les étendez sur le fil ?— Je ne pense pas devoir vous expliquer quoi que ce soit. Je suis certaine que vous avez déjà la réponse.— Oui, mais je veux l’entendre de votre bouche.— Oui… j’utilise ce légume comme sextoy pour me faire du bien. — Bien, voilà qui est dit. Vous le savez, j’aime les personnes bien élevées. Pour moi, ce type de pratique vulgaire n’est digne que d’une seule personne : Charles-Édouard.— Vous exagérez. Je suis tout de même plus polie que lui. — Je vous le concède pour la parole. Mais pour ce qui est de vos actes, je me dois de sévir.— Comme vous voudrez, Monsieur.— Je vais vous le confisquer… Non, je vais plutôt le jeter, vu l’odeur. Et gare à vous si vous vous en procurez un autre. De plus, pour un mois, je diminue le montant de vos prestations de moitié.— Bien Monsieur, dit-elle d’une voix tremblante.— J’espère que vous réalisez que ce n’est pas contre vous que je le fais. J’ai édicté des règles de bonne conduite et de bienséance, que ce soit pour le langage ou pour l’attitude à tenir ici, et je tiens à ce qu’elles soient respectées. Quand on s’impose une rigueur de vie – ou dans mon cas personnel une rigueur vestimentaire en plus – ça déteint sur tous les aspects de la vie, y compris dans le travail. On devient soi-même plus rigoureux et plus efficace. Vous comprenez ?— Oui Monsieur, je m’excuse.— Que cela vous serve de leçon !
De retour dans son bureau, Richard observa la réaction de Julia via sa caméra. Il pensait ce qu’il disait sur la rigueur, et il est vrai qu’il trouvait cette pratique vulgaire ; mais sur ce coup, il comptait s’en servir comme prétexte pour qu’elle n’ait plus – ou peu – de moyens de se satisfaire. Ainsi, avec ce qu’elle lui faisait quotidiennement, il espérait bien qu’un jour elle finisse par sauter le pas et accepter qu’il s’occupe d’elle.
Richard n’eut pas à attendre plus d’une semaine. Ne pouvant se satisfaire pleinement, elle sentait une envie de jouir lui tirailler le ventre. C’était, pour elle, comme ce que ressent un homme plâtré de la tête aux pieds : il ne peut se gratter, et il lui faut l’assistance de quelqu’un pour se soulager d’une démangeaison.
Un soir, après le dîner, comme tous les soirs, Richard savourait tranquillement son café sur le canapé du salon ainsi que la douce gâterie que Julia lui prodiguait. Julia se souvenait parfaitement lui avoir dit que jamais elle ne coucherait avec lui, ne voulant pas être prise pour une simple pute de banlieue. C’est en retirant sa bouche de cette colonne de chair qu’elle finit par sauter le pas, mais pas gratuitement. Elle était là pour rembourser sa dette, et elle comptait bien faire monter les prix.
— Monsieur Richard, je peux vous poser une question ?— Oui, bien sûr. Qu’y a-t-il ?— Je voulais vous demander… Ce n’est pas facile à dire…— Malheureusement, je ne vais pas pouvoir vous aider si vous ne le dites pas.— Voilà : imaginons que finalement j’accepte un jour de coucher avec vous. Combien vous me donneriez ?— Intéressant… Je croyais pourtant que jamais vous n’auriez envisagé la chose.— C’est juste une question.— Je pourrais monter disons à… deux cent euros pour chaque prestation.— Seulement ? Oh non, ce n’est pas assez ! Ça vaut au moins le double.— Là, c’est vous qui exagérez. Si c’est pour votre cas personnel, compte tenu que vous êtes déjà nourrie, logée, blanchie, c’est un prix qui me semble honnête. Je peux même monter à trois cent. Mais de toute façon, comme vous le disiez, ce n’est qu’une question, n’est-ce pas ?— …— Votre silence en dit long ; envisageriez-vous de finalement accepter ? Auriez-vous changé d’avis ?— Ce n’est pas impossible.— Aaaah ! Mieux vaut tard que jamais. Comme pour le reste, je vous laisse l’initiative. C’est à vous de voir et… visiblement, vous semblez être d’accord ? dit-il en constatant que Julia retirait sa jupe et sa culotte devant lui.
Richard se retrouvait assis dans son canapé, l’outillage sorti et au garde-à-vous, en face de sa domestique complètement nue. Julia s’approcha de lui en écartant ses lèvres vaginales avec deux doigts. Richard voyait bien qu’elle était toute mouillée, prête à être saillie : l’instant qu’il espérait tant. Elle se positionna à genoux, à califourchon sur lui, le bout du gland à l’entrée de sa grotte intime.
— Visiblement, Julia, vous semblez rester hésitante. Voulez-vous que je vous aide ?— S’il vous plaît, Monsieur.— Bien ! Vous allez voir, je pense que ça devrait bien se passer, dit-il avant d’appuyer sur les cuisses de sa partenaire afin de faire pénétrer son sexe dans le sien.
Au moment de la pénétration, Julia poussa un long soupir de soulagement. Elle resta là, un sourire de satisfaction aux lèvres, avec le sexe de Richard enfoncé jusqu’à la garde durant quelque secondes, ses mains en appui sur les épaules de Richard, puis elle se décida à monter puis descendre, puis remonter et redescendre. Elle continua les va-et-vient de sa fente sur la verge dressée de Richard, droite comme un I, et commençait à accélérer la cadence.
Richard, lui, était aux anges. Il allait enfin pouvoir coucher avec elle. Il se doutait bien qu’elle y était venue à cause de la privation de son sextoy et qu’il allait falloir lui laisser le temps qu’il faudrait pour que ce qu’elle lui offrait ne soit pas qu’exceptionnel. Il comptait surtout sur son envie de ne pas voir se reproduire ce week-end avec son invitée-surprise. Depuis qu’il l’avait vue en train de se masturber dans sa chambre en prononçant son nom, il savait qu’inconsciemment elle fantasmait sur lui. Il savait qu’elle n’avait pas apprécié non plus le fait de ne devoir s’en tenir qu’au rôle classique de la femme de ménage. Ça représentait pour elle une perte d’argent non négligeable si cela se reproduisait. Travaillant ici pour gagner de l’argent et rembourser sa dette, ce n’était pas dans l’intérêt de Julia de laisser à une professionnelle le soin de donner du plaisir à son patron.
Pendant qu’elle se démenait afin de soulager son excitation, Richard léchait ses seins gonflés par les montées de lait qu’il voyait bouger devant lui grâce aux mouvements de bassin de sa bonne. Il sentait qu’elle allait très vite jouir. « Tant mieux ! » pensa-t-il. Il ne concevait pas qu’elle n’en retire pas un certain plaisir elle aussi. Elle a continué à se donner à lui jusqu’à l’orgasme, et Richard a pris le relais afin de pouvoir se finir.
Ce n’est que lorsque tout fut fini qu’elle réalisa pleinement ce qu’il venait de se passer. Elle prit également conscience que Richard avait joui en elle sans protection. Ayant peur de tomber enceinte, elle se rappela ce que le toubib avait dit : « Tant que votre cycle ne sera pas rétabli, il n’y a aucun risque de grossesse. » La prise de sang de sa visite médicale n’ayant rien démontré de fâcheux, elle savait qu’elle ne risquait rien. Ayant calmé ce feu qui lui tiraillait le ventre, ce n’est qu’une semaine plus tard qu’elle consentit à réitérer l’expérience, étant de nouveau excitée. Ces nouveaux rapports étaient hebdomadaires au début, puis leur fréquence s’est accrue jusqu’à devenir quotidiens. Julia, ayant de plus en plus de mal à supporter cette sensation d’excitation trop forte, elle avait finalement consenti à partager le lit de Richard tous les soirs de la semaine (en contrepartie de trois cent cinquante euros à chaque fois) afin de se soulager par un orgasme salvateur.
Richard avait atteint son but : il avait sa jeune et jolie bonne dans son lit et pouvait assouvir ses fantasmes à loisir. Enfin, à loisir, non, car il se cantonnait dans la limite des goûts de sa partenaire. Par exemple, ayant voulu essayer la sodomie avec elle, il dut se résigner à ne plus réitérer l’expérience car elle avait eu mal et ne voulait pas recommencer. Qu’à cela ne tienne. Ne risquant pas qu’elle tombe enceinte, il n’était pas fainéant quand il s’agissait de la saillir de manière classique.
Maintenant qu’il était parvenu à la mettre dans son plumard, une nouvelle vie commençait pour eux. Au départ, réticente à l’idée de la moindre intimité avec Richard, Julia avait finalement choisi de profiter de tous les « bienfaits » qu’il pouvait lui prodiguer. Pour Richard, il ne restait plus qu’à consolider l’ascendant qu’il avait sur elle. Pour cela, il avait une méthode toute trouvée ; mais pour l’instant, il fallait la préparer pour une soirée qui s’annonçait un peu inquiétante : une soirée du club des Maîtres chez ce goujat de Charles-Édouard.
Diffuse en direct !
Regarder son live