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Arrêt sur l'autoroute

Chapitre 1

Gay
Il y a deux semaines d’ici, j’avais rendez-vous à la banque dans le cadre de mes activités professionnelles. Je n’avais vraiment aucune envie d’y aller ayant bien d’autres tracasseries en tête mais c’était une étape obligée pour espérer pouvoir faire naître le nouveau projet qui m’était passé par la tête.

Ce jour-là, les minutes passaient à une vitesse folle et l’heure de mon rendez-vous approchait. Je me suis vite rendu compte que je ne pourrais pas être à l’heure au rendez-vous car j’avais encore une fameuse route à parcourir pour revenir dans ma région où se situait mon agence. Sur la route, grâce à mon smartphone relié au bluetooh du véhicule, j’ai téléphoné à la banque pour demander à reporter mon rendez-vous. La personne qui m’a répondu m’a proposé de parler directement à mon conseiller, ce que j’ai accepté même si je ne le connaissais absolument pas.
J’ai expliqué la situation et il m’a assuré qu’il comprenait bien. Il m’a demandé si je désirais reporter le rendez-vous. Je lui ai répondu que je devais le faire mais que mon emploi du temps était tellement rempli que je ne pouvais plus me libérer aucun jour avant 18 heures. Il m’a demandé si je voulais venir le jour même vers cette heure-là m’expliquant qu’il avait également beaucoup d’administratif en retard et qu’il allait rester tard de toute façon. Appréciant sa disponibilité, j’ai immédiatement accepté. Le rendez-vous était ainsi fixé.
Sur l’autoroute, ayant du coup un peu de temps devant moi, je me suis arrêté à une pompe à essence pour faire le plein. Je suis ensuite rentré dans la boutique pour m’acheter à boire. Un petit passage obligé par les toilettes m’a permis de fantasmer quelques secondes à la rencontre d’un homme cherchant un moment de plaisir mais les urinoirs étaient déserts. Je me suis lavé les mains et me suis dirigé vers le shop. J’ai attrapé à la volée un de ces sandwichs préparés, une canette d’orangeade et je me suis rendu vers la caisse. Sur le chemin, je passais devant le rayon des bouteilles de vin et j’en ai attrapé une avec l’intention de l’offrir à mon banquier le soir même pour le remercier de sa bonne volonté.
A la caisse se trouvait debout un véritable éphèbe. Ce mec, de début de vingtaine, avait tout ce qu’il fallait pour faire du mannequinat ou presque. Une gueule d’ange, une peau visiblement douce sans le moindre défaut, une coiffure dense maîtrisée au moindre centimètre par du gel en quantité. Son corps était sans doute un peu trop frêle mais rien que son sourire me faisait fantasmer. J’étais dans la file à le fixer ne me rendant même plus compte que les clients devant moi avaient disparu. Tout à coup, une voix dynamique m’interpella. C’était lui pour me faire signe que c’était mon tour. Aucun mot ne sortait de ma bouche, qui était sans nul doute grande ouverte avec un air béat. Le caissier me demanda si tout allait bien. Je balbutiai « Oui… euh… oui… j’ai l’impression d’avoir vu un ange ». Reprenant mes esprits, j’ai vu qu’il souriait, un peu gêné, mais pointait mes articles sans plus dire un mot.
Je me suis senti obligé de lui demander de m’excuser. Il m’a dit que ce n’était pas grave. Il m’annonça le montant que je lui dois et je me suis rendu compte que j’avais oublié mon portefeuille dans ma veste restée dans la voiture. Je le lui ai expliqué et voilà à nouveau son sourire d’ange qui refit surface. Je lui ai promis de revenir immédiatement et m’en suis encouru vers ma voiture. Quelques minutes plus tard j’étais revenu et à ma grande déception, ce n’était plus lui à la caisse mais une jeune fille, certes mignonne, mais beaucoup moins à mon goût forcément. J’ai voulu lui expliquer la situation et elle m’interrompit en me disant que Xavier lui avait expliqué et qu’il était parti nettoyer les douches. Un peu déçu, j’ai payé mon dû et suis retourné vers mon véhicule.
N’ayant rien à perdre, je me suis décidé à retourner vers les sanitaires de cette aire d’autoroute espérant retrouver mon bel apollon dont je connaissais maintenant le prénom. Je ne trouvais pas l’espace douches et arpentais le couloir espérant le retrouver quand tout à coup j’ai vu l’affichette indiquant l’endroit que je cherchais au bout du couloir.
Il fallait introduire de l’argent pour passer le portail automatique, ce que je fis immédiatement. C’était une salle finalement fort propre avec huit cabines de douche mais aucune trace de mon Xavier. J’ouvrais chaque porte l’une après l’autre quand arrivé à la sixième je retrouvais mon fantasme adossé au mur affichant toujours un grand sourire.
Immédiatement, il m’a confié qu’il était bien content d’avoir demandé à échanger avec sa collègue pour venir nettoyer les douches. J’ai considéré ça comme une invitation à le rejoindre. Nous nous sommes directement embrassés fougueusement et il n’a pas fallu longtemps avant que nos mains ne prennent la direction de nos entre-jambes pour caresser nos membres déjà bien en érection.
En reprenant mon souffle, il me fit remarquer que je n’étais pas dans la tenue adéquate pour l’endroit. Ce mec était un fameux coquin finalement. Je lui répondis alors qu’en effet je devais me déshabiller mais qu’il valait mieux qu’il fasse de même pour ne pas inonder son uniforme lorsque je ferais couler l’eau. Un nouveau sourire malicieux apparût sur son visage et ni une ni deux je l’observais en train de se déshabiller avec entrain.
J’y croyais à peine m’imaginant en train de rêver. Il était totalement imberbe ou rasé difficile à dire et son membre se dressait fièrement devant moi, affichant une taille plus que respectable, tout aussi longue que fine comme lui. A mon tour déshabillé il me complimenta sur mon sexe. Je ne tenais plus et me suis mis à genoux pour enfourner sa queue goulûment dans ma bouche. J’ai entendu un petit gémissement suivi d’un énorme frisson lorsqu’il a ouvert le robinet faisant tomber de l’eau encore froide sur nous.
Je ne me laissais pas déconcentrer en continuant à faire des va-et-vient sur son sexe plus dur que jamais. Je regardais Xavier qui pinçait ses lèvres tellement il prenait du plaisir. Il me disait combien c’était bon. Je passais ma langue sur tout son membre en m’attardant sur ses deux testicules. Je sentais son corps se contracter. J’ai repris la succion pendait qu’il répétait des « Oh oui, oh c’est bon ». J’accélérais le rythme de plus en plus jusqu’à ce qu’il me supplie d’arrêter parce qu’il allait jouir. Je suis remonté jusqu’à sa bouche, nous nous sommes à nouveau embrassés avec passion jusqu’à ce qu’il descende à son tour, centimètre par centimètre vers mon sexe.
Arrivé à sa hauteur, il l’a avalé d’une traite en allant directement le placer en fond de sa gorge. C’était trop bon. Je tenais sa tête le temps de faire quelques va-et-vient. Ce mec savait y faire en gorge profonde. Lorsqu’il me repoussa j’ai compris qu’il avait besoin de respirer. Il ne lui a fallu que quelques secondes pour revenir passer sa langue sur chaque centimètre de mon gland. Jamais personne n’avait réussi à me procurer cette sensation. Il y allait avec une lenteur experte qui me faisait vibrer et frissonner à nouveau. Il a ensuite repris un mouvement plus classique de fellation en serrant bien ses lèvres à chaque passage sur la zone sensible.
Il m’a sucé comme ça quelques minutes, j’étais aux anges. Il s’est ensuite relevé, s’est retourné et m’a dit de me faire plaisir. Je me suis immédiatement mis à genoux pour lécher son petit trou déjà bien dilaté. Il gémissait à chaque coup de langue tout en m’ouvrant le passage pour y glisser quelques centimètres. Je continuais à le faire gémir tout en le doigtant. J’étais complètement rassuré sur sa dilatation. D’ailleurs, entre deux gémissements, j’ai entendu un « Baise-moi j’en peux plus ». Je ne me suis pas fait prier. J’ai rentré mon gland rose vif et me suis senti comme avalé par cet antre de désir. Sans traîner, je me suis mis à faire des allers-retours de plus en plus saccadés pendant que Xavier me faisait entendre combien il prenait du plaisir. J’accélérais mes mouvements et je prenais beaucoup de plaisir. Je me suis retiré, il m’a regardé d’un air déçu, je l’ai relevé, retourné vers moi et ai empoigné ses cuisses pour le plaquer face à moi. Pendant que nous nous embrassions à nouveau, mon sexe a retrouvé le chemin de son cul et je l’ai à nouveau baisé contre la paroi de douche en faisant un tel boucan que quiconque passant par-là aurait bien compris ce qu’on faisait.
J’étais tellement excité que je n’ai pas pu tenir des heures. Il a senti mon souffle s’accélérer et mon corps se contracter. Il a sorti mon sexe et s’est mis à genoux devant moi la langue pendante. Quelques gémissements et souffles saccadés plus tard j’inondais son visage et sa langue de coulées de sperme vite effacées par la douche qui continuait à couler sur nous. Reprenant mon esprit je constatais qu’il en profitait pour se faire jouir toujours à genoux et il n’aura pas fallu longtemps avant qu’il n’éjacule à son tour dans le bac de douche en faisant des petits jappements auxquels je n’étais pas habitué.
Il s’est ensuite relevé et m’a à nouveau embrassé et caressé en finissant par un « Merci c’était super ». J’étais partagé entre l’envie de lui demander de le revoir et celle de considérer ça comme une opportunité filante et il m’a finalement sorti de mes pensées en me disant qu’il espérait que je passais souvent par-là.
On a arrêté l’eau, on s’est séchés comme on pouvait et nous nous sommes rhabillés. J’ai sorti une carte de visite et lui ai remise en lui disant « A bientôt ». Il a souri une dernière fois. Une fois la porte de douche ouverte, nous avons vu un homme bien foutu qui attendait de nous voir sortir tout en se caressant le membre. J’ai fait un clin d’œil à Xavier qui empoignait le manche de sa raclette tout en regardant l’individu.
Quelque chose me dit qu’une fois que je suis parti, Xavier a encore pris bien du plaisir…
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