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L'art de la soumission

Chapitre 1

prélude et soumission

SM / Fétichisme
Libertins depuis plusieurs années, nous avons essayé de rencontrer un peu tous les milieux ; étant bi tous les deux, nous avons aussi bien profité des hommes que des femmes, pour notre plus grand plaisir. Plusieurs fois, nous avons été conviés à des soirées privées, mais devant l’inconnu sur le déroulement de ces soirées, nous avons toujours décliné les invitations, même si cela nous tentait beaucoup. Nous avons eu des relations avec plusieurs partenaires, c’était soit dans un club libertin, soit avec nos amants respectifs ; lors d’un séjour au Cap d’Agde, nous avions découvert un club bdsm, mais nous n’avons que très peu participé, prenant simplement notre plaisir de domination l’un sur l’autre. Mais cet essai allait nous faire accepter un peu plus tard une invitation.
Alors que nous passions une soirée fort agréable dans un club qui avait la particularité d’avoir un donjon, Béa, ma douce épouse, m’a provoqué en me rappelant nos jeux lors de cette sortie au Cap, me disant que je n’oserai pas m’offrir à sa domination dans ce lieu. J’avoue que cela m’a surpris, mais quand elle a voulu m’attacher à une grille, je n’ai pas refusé ; avec plaisir, mais aussi retenue, j’ai eu droit au fouet, alors qu’auparavant, elle m’avait fait mettre nu. Je reconnais que le plaisir était là, pour deux raisons : le jeu de la domination, mais aussi le fait qu’elle avait osé pour une fois prendre une décision coquine. Généralement l’idée venant de moi.
Ses coups de fouet n’étaient pas violents, mais ses paroles un peu crues me stimulaient et je dois reconnaitre que cela me faisait bien bander. Arrêtant parfois ses coups, elle se mettait devant moi et sa bouche venait gober mon sexe, s’arrêtant toujours avant que je ne jute dans sa bouche. C’est à ce moment qu’un couple, la soixantaine, est venu près de nous, à distance cependant, pour nous observer. La femme encourageant Béa, puis s’approchant un peu plus, elle lui a demandé la permission de me faire une fellation.
Je m’attendais à un refus, mais je me trompais ; d’un petit signe de tête, elle lui a donné l’accord ; une bouche très active est venue me sucer, s’agrippant en même temps à mes bourses, qu’elle martyrisait un peu. À son tour, l’homme s’est approché, pelotant à la fois les fesses de Béa et les miennes, puis de venir me titiller mon petit trou et d’enfiler un doigt dans sa chatte ; elle n’a pas protesté, bien au contraire, elle a entrouvert ses cuisses, s’offrant ainsi au doigt inquisiteur, pendant que mon anneau commençait à s’ouvrir grâce à cet homme très entreprenant.
Doublement excité par cette femme me suçant et par l’homme nous doigtant tous les deux, je n’ai pas pu me retenir et sans que j’aie le temps de la prévenir, mes jets se sont répandus dans sa bouche, avant de lui inonder le visage ; se redressant et embrassant Béa, lui déposant par la même occasion une partie de ma semence :
— Il mérite de se faire fouetter pour n’avoir pas su se retenir.
Prenant le fouet des mains de Béa, elle m’a appliqué quelques coups, certes beaucoup plus appuyés, mais restant cependant très acceptables. Cette évolution nous a cependant un peu perturbés et nous avons souhaité en rester là, sans que le couple s’en émeuve, nous invitant même à prendre une coupe. Fort courtois, ils ont su accaparer notre attention, nous félicitant de cette soirée, alors que nous venions de leur dire que c’était une première. Finalement au fur et à mesure de la conversation, ils ont rapidement évalué nos aspirations, tout en restant très évasifs.Alors que nous prenions congé d’eux, le couple nous a tendu une carte, en précisant :
— Si cela vous tente, nous pouvons réaliser une soirée, soit basée sur le pluralisme, soit comme ce soir, basée sur la soumission et la domination ; vous êtes libre de choisir ou non, avec cependant une obligation, si vous acceptez, celle, une fois sur place de ne plus reculer, soit par courtoisie avec nos invités, soit pour ne pas nous décevoir ; en un mot, cela doit être un oui total.
Le retour et les jours qui ont suivi ont été très perturbants ; car si nous avions très envie, surtout de cette soirée soumission, l’inquiétude, la peur que ça dérape, nous retenait. Finalement, nous les avons contactés.La date fatidique est vite arrivée ; après un dernier appel, et une dernière précision de leur part, nous avons accepté leurs conditions, à savoir :
— Je viendrais vous chercher à votre hôtel, pour vous emmener dans un endroit discret m’appartenant ; à partir du moment où vous monterez dans la voiture, vous devrez nous obéir sans aucune restriction. Cependant, je vous rassure, il n’y aura aucune séquelle après nos jeux.
Les dés étaient jetés, sans savoir que cela marquerait un tournant dans notre vie.
Une voiture nous attendait à l’entrée de l’hôtel ; le chauffeur nous a demandé si nous étions toujours d’accord sur les conditions, puis a pris son téléphone pour transmettre notre volonté ; avec courtoisie, il nous a ouvert la portière, nous remettant un masque. Aveuglés, le trajet nous a paru fort long, Nini me serrant la main, signe de son anxiété. Quand la voiture s’est arrêtée, après avoir retiré nos masques, nous avons découvert une superbe propriété ; sur le perron, le couple nous a accueillis chaleureusement ; je n’avais que très peu découvert la femme lors de notre rencontre ; par contre là, simplement vêtue d’une superbe robe en voile, je pouvais découvrir ses formes et je dois reconnaitre que cela valait la peine. Les tétons de sa poitrine, un bon 95, pointaient sous le voile et si le fin tissu cachait un peu plus son intimité, il m’était facile de voir qu’elle était totalement nue.

Quant à l’homme, c’était la classe ; un pantalon noir, bien ajusté et une simple chemisette blanche ; si son sourire était très accueillant, ses yeux, noirs, perçants, m’ont vite fait comprendre qu’il serait le Maître.
Nous embrassant chaleureusement, ils nous ont invités à pénétrer dans une superbe et grande pièce, où trônait, en son milieu, un immense lit, au moins 2 mètres sur 2, ainsi que plusieurs fauteuils, ayant pour certains la particularité d’avoir des liens, permettant sans aucun doute d’attacher une personne solidement. Le maître de maison a alors pris la parole :
— Dorénavant, vous êtes à notre disposition, sans que vous puissiez vous défiler ; rassurez-vous, pas de maltraitance, seulement soumission et domination pour vous deux. A partir de maintenant, vous devrez être toujours nus, soumis à nos envies, avant de monter ce soir au donjon ; vous ne pourrez à aucun moment avoir des relations entre vous. Si tout se passe bien, vous ferez partie des nôtres, pour un plaisir nouveau, mais je dois vous avertir que ça laissera des marques dans vos esprits et dans l’avenir de vos relations. Maintenant, nos serviteurs vont vous emmener dans vos chambres, ils vous prépareront ; ensuite vous pourrez nous rejoindre dans cette pièce.
Nous avons découvert les serviteurs, à savoir notre chauffeur, un superbe noir, carré, musclé, simplement vêtu d’un caraco blanc ouvert sur sa poitrine glabre et d’un pagne cachant difficilement un sexe qui sans aucun doute devait être très conséquent, et une très belle femme, manifestement métisse, la poitrine nue, deux beaux seins ronds avec de belles aréoles et de très gros tétons au milieu. Ils nous ont préparés ; à savoir une douche, un lavement et un doigtage savamment effectué de nos orifices ; si la belle métisse a rapidement fait jouir Nicole, lui enfilant très vite la totalité de sa main dans le vagin, mais aussi deux doigts dans son petit trou, il en a été de même pour moi, car si ses doigts se sont invités dans mon anus, il m’a aussi branlé, jusqu’à ce que j’éjacule. Puis nous avons rejoint la grande salle.
Nos hôtes nous y attendaient, nous offrant en guise de bienvenue une boisson certes très fraiche, mais surtout très épicée ; sans aucun doute un breuvage aphrodisiaque, car immédiatement, une douce chaleur a envahi mon corps, avec la même sensation pour Nicole dont les pointes de seins, d’habitude assez rentrées, se sont mises à pointer, signe d’excitation pour elle.
Après que le serviteur m’ait fait un bondage de mes attributs, les enserrant fortement, il m’a ensuite attaché poignets et chevilles sur un siège, peu confortable, car un petit gode, planté sur le siège me rentrait dans l’anus, me maintenant ainsi sans mouvement possible. Pendant ce temps, la belle métisse avait entraîné Nicole sur le lit, l’allongeant, lui écartant les cuisses, dévoilant ainsi son abricot bien brillant, signe de sa jouissance passée.
— Pour la découverte de votre soumission, nous avons décidé d’offrir ta femme à nos serviteurs (qui sont d’ailleurs bien plus que cela) sans que tu puisses bouger ; ainsi ligoté et tes attributs liés, tu ne pourras que subir, sans pouvoir te révolter, ni te masturber si cela t’excite ; c’est pour cela qu’il t’a vidé de ta semence tout à l’heure ; ta soumission n’en sera que plus grande, alors que j’en suis sûr, tu verras ta femme jouir sous tes yeux. Et bien sûr, avant que ce soit toi qui subisses nos assauts.
C’est la femme qui venait de donner le ton à cet après-midi.Le couple de serviteurs, Noa pour la femme et Pierre pour lui, se sont approchés du lit, quittant leurs pagnes, ce qui m’a permis de découvrir un énorme sexe encore au repos pour Pierre et un minou totalement vierge de poil pour elle. Noa a engagé les festivités en plaquant sa bouche sur la chatte offerte ; à ce contact qu’elle aime beaucoup, Nicole a commencé à gémir ; puis, pour la deuxième fois, elle a commencé rapidement à la fister, alors que Pierre, dont le sexe prenait de l’ampleur a présenté sa tige sur la bouche de Nicole ; pour elle, impossible de le gober en entier, car sous l’effet de la fellation qu’elle lui a immédiatement prodiguée (à ma grande surprise, car ce n’est pas sa tasse thé) la queue s’est développée, atteignant au moins 25 centimètres, mais surtout en épaisseur, avec un gros gland violacé.
Sa bouche lui a léché les attributs aussi développés que la tige, avant de l’enfourner le plus possible, pendant que lui, agrippant sa tête, essayait de s’enfoncer profondément. Si elle ne pouvait gémir quand il lui faisait une gorge profonde, lorsqu’elle se retirait, il était facile de comprendre que son plaisir la dévorait, sans aucun doute en raison du fist de Noa.
Finalement, ils ont échangé leurs places, Noa venant à cheval sur sa bouche, alors que Pierre se présentait à l’entrée de la grotte tant convoitée ; peu délicat, il s’est enfoncé brusquement entre les lèvres, certes dilatées par le fist, mais la soudaineté et la puissance de la pénétration ont provoqué un cri, très certainement de douleur, cri vite étouffé par la chatte sur sa bouche. La pénétration, puissante, profonde, venant très certainement percuter le fond de sa matrice a eu son effet : se retirant de la chatte baveuse, elle a commencé à jouir bruyamment, l’encourageant, mais aussi me provoquant.
— Vas-y défonce-moi, putain c’est bon ; ta queue me remplit bien plus que celle de Jean, alors continue, fais-moi jouir... puis me fixant... :— il me fait bien mieux jouir que toi, je lui appartiens, je suis sa petite femelle putain, il me féconde... C’est bon ... je jouis...
Manifestement, le plaisir la dévorait, sans doute augmenté par la boisson aphrodisiaque.Le couple assistait à ce coït sans précédent, me regardant parfois, satisfait de me voir impuissant devant une telle jouissance, mais surtout satisfait de me voir humilié par son plaisir et ses paroles. Contrairement à ce qu’elle devait penser, cela m’excitait, mais avec le bondage, je ne pouvais bander ; ma queue emprisonnée me prouvait ma soumission, cela m’excitait profondément. Même je l’avais vue de nombreuses fois saillie par un ou plusieurs hommes, jusqu’à là, j’avais toujours l’ascendant sur elle, alors que maintenant, je ne pouvais rien faire sinon subir, car il était évident que cela n’était que le début.
Finalement, il s’est retiré de son ventre, la queue toujours bandée ; alors que Noa accompagnait Nicole, jusqu’au pied de sa maîtresse, le maître est venu me détacher, mais me laissant le bondage et m’emmenant jusqu’au lit, il m’a allongé à plat ventre, les jambes dans le vide, ce qui laissait bien accessible mon fessier, m’attachant à des liens sortis du matelas ; entravé, j’ai vite compris ; Pierre n’avait pas débandé, car j’ai senti son membre se frotter sur mon sillon. Son gland se promenait sur l’anneau et brusquement, j’ai eu peur, car si j’aime me faire sodomiser, c’était la première fois que j’allais le subir attaché, mais aussi la première fois par un zob aussi gros ; soudain, j’ai entendu la voix de Nini, encouragée d’ailleurs par notre hôte.
— Dis-lui ce dont tu as envie.— Oh oui Pierre, défonce-le, fais-lui voir que ce n’est qu’une petite lopette, j’ai envie de l’entendre crier son plaisir, comme moi j’ai joui quand tu m’as possédée.
Une nouvelle fois, je me sentais humilié, mais je n’ai pas eu le temps de réagir ; d’ailleurs en avais-je envie. ; devant moi, Noa est venue présenter sa vulve à mes lèvres, alors que Pierre poussant sans se retenir, envahissait mon conduit ; quand l’anneau a cédé, une violente douleur m’a envahi, me faisant à moitié perdre la réalité de ce qui se passait ; vite rappelé à l’ordre par Noa pour que je lui lèche son abricot gluant, car manifestement, elle aussi profitait de notre soumission, Pierre d’une seconde poussée a envahi mes entrailles ; écartelé, dilaté en force par ce pieu, j’avais du mal à retenir mes larmes tant par douleur qui me dévastait, mais aussi par la sensation de ne plus maîtriser la situation.
Finalement, mon conduit s’est ouvert, sans doute aussi parce que je commençais à prendre conscience que j’aimais être soumis ; à partir de ce moment, sa sodomie est devenue certes encore douloureuse, tant elle était puissante, non plus une épreuve, mais une puissante envie de lui appartenir. Noa s’était écarté, se masturbant en nous observant, surtout en voyant ma jouissance se déverser. Sous les coups de boutoirs de son fessier contre le mien, sous les percussions de sa tige contre ma prostate, mon plaisir est arrivé, énorme ; je n’ai pu me retenir ; mes cris ont envahi la pièce, alors que mes attributs, enlacés, me faisaient mal, tellement j’avais envie de juter. Performant, il m’a possédé longuement, prolongeant d’autant mon envie de devenir leurs proies ; quand enfin, après m’avoir fécondé, il s’est retiré de moi, un grand vide s’est ressenti, pendant que sa semence se déversait de mon trou béant.
Détaché, je me suis écroulé, vaincu par le plaisir ; c’est alors que j’ai découvert Nicole, entre les cuisses de note hôte, la robe relevée, se faisant brouter le minou, les cuisses largement écartelées pour lui favoriser son cunni ; elle aussi prenait son plaisir, alors qu’il subissait maintenant les faveurs de la bouche de Noa. Délaissé, Pierre ayant quitté les lieux, je ne pus que constater que je n’existais plus ; nos hôtes prenant leurs plaisirs avec Nicole et Noa. Alors que le calme revenait, Pierre est venu me libérer de mes liens sur ma queue ; enfin libre, elle s’est avachie entre mes jambes, inerte, ce qui n’a pas manqué de me valoir une réflexion de Nicole :
— Dis donc, heureusement que j’ai autre chose pour me faire jouir, car ta queue est vraiment pitoyable mon chéri.
La soirée approchant, Pierre et Noa, redevenus de parfais serviteurs, nous ont servi un délicieux repas. Un repos avant la montée au donjon.
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