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L'art de la soumission

Chapitre 3

domination taiotale

Zoophilie
L’art de la soumission Récit de NiniJean, attaché par la chaîne, vient de quitter la pièce ; assurant une fellation au maître, je n’ai pas eu un regard pour lui ; en une après-midi, je venais de le voir soumis et supporter sans réagir, les diverses situations, nouvelles pour moi ; j’avais été fouetté, sodomisée, baisée en double les deux hommes ; certes, j’y avais pris ensuite beaucoup de plaisirs, mais j’aurais aimé qu’il se rebelle ; pas un mot. Plusieurs fois, je l’avais provoqué, insulté, lui assurant de ma soumission à nos hôtes, mais aussi lui prouvant combien je prenais plaisir à le voir subir et même pleurer lors de la sodomie avec ce gode qui avait dû lui éclater l’anneau. Mais j’ignorais ce qui m’attendait.
Après son départ, et ma fellation, sans que j’aie réussi à le faire juter, Noa nous a apporté rafraichissements et friandises ; j’ai pu profiter du repos, tant pour ma chatte que pour mon cul. Par contre, lovée contre le maître, me laissant doucement caresser surtout les seins d’ailleurs, j’ai eu la surprise de voir que les serviteurs étaient aussi des participants actifs avec leurs maîtres ; en effet, alors que Noa, en 69 sous sa maîtresse lui bouffait la chatte, Pierre est venu derrière elle, et sans aucune hésitation, il a enfoncé sa queue dans le vagin. Noa devait ainsi pouvoir à la fois sucer les couilles et la chatte, accompagnée par les gémissements de sa maîtresse. Alors qu’elle venait de jouir, Pierre s’est retiré du con plein de cyprine et glissant sa tige sur le sillon, il a forcé l’anneau qui s’est ouvert très facilement, prouvant qu’il servait très souvent.
Alors qu’il la limait avec ferveur, le maître à nouveau a repris vigueur, me fourrant sa queue dans la bouche ; cette fois, bien décidée à le faire juter, j’ai accompagné cette fellation par un doigt sur son anneau, m’enfonçant dans le passage pour le fouiller. Cette fois, le résultat ne s’est pas fait attendre et de longs jets se sont déversés dans ma gorge. Sa semence s’écoulant encore du méat, il m’a allongée et d’une poussée, il m’a possédée, me limant avec douceur ; je voulais lui faire comprendre mon acceptation, mon désir de lui appartenir totalement ; ma bouche s’est posée sur ses lèvres, pour finir par un baiser fougueux, échangeant ainsi sa semence, signe de notre union. J’avais l’impression d’être sa femme.
Un long moment de détente pour tous, le Maître m’ayant fait jouir plusieurs fois, sans brusquerie, me titillant les seins, alternant puissance et douceur, avant de se répandre une nouvelle fois en moi. Il était évident que les boissons étaient des stimulants, car malgré les nombreuses possessions que j’avais encaissées, j’avais toujours envie ; quant aux hommes, leurs virilités et les semences à répétition en étaient aussi une preuve. Je pensais que la soirée allait se terminer, ce en quoi je me trompais lourdement. Si pour eux, le temps du repos était arrivé, il n’en était pas de même pour moi.
Quand la maîtresse de maison est venue me positionner, à genoux, le buste sur un volumineux coussin, après m’avoir mis un bandeau sur les yeux, j’ai brusquement senti un museau froid venir me renifler le fessier ; Pierre m’écartelant les cuisses, une langue est venue lécher l’intérieur de ma chatte, s’accompagnant d’une décharge électrique tant la sensation était époustouflante. C’est alors que j’ai réalisé que c’était un chien qui me procurait du plaisir et brusquement j’ai voulu me redresser. Maintenue par pierre, je ne pouvais que râler, refuser une telle pratique ; durement, le maître m’a rappelé ma promesse : ne rien refuser.
La langue, râpeuse, longue, s’enfonçant largement dans ma chatte, m’a longuement fouillée, lapant les preuves de ma jouissance avec son maître. Vaincue par le maintien de Pierre, ma résistance a faibli, avant de profiter pleinement du plaisir que me procurait ce cunni imprévu. Mes gémissements leur ont vite prouvé mon acceptation ; me recouvrant d’un épais tapis, ils ont aidé le chien à me posséder ; les pattes sur le dos, donnant d’impérieux coups de bassin, il avait du mal à trouver l’entrée de ma grotte et c’est Noa qui l’a guidé ; soudain, et sans doute enfin, car j’en avais accepté le fait, son dard s’est enfoncé en moi : si ce n’était pas le diamètre de Pierre, son membre a vite empli ma vulve ; donnant de furieux coups de reins, il avait pris possession de moi quand une grosseur m’a écartelée ; son Kock venait de prendre tout son volume et me dévastait la grotte ; ses coups à la fois furieux et puissants m’ont vite transportée vers un plaisir inconnu jusqu’alors et quand sa jute s’est déversée en un long jet, frappant le fond de ma matrice, je n’ai pu retenir un terrible et puissant cri, tellement ma jouissance explosait.
Enfin soulagé, le chien a voulu se retirer, mais le volume de son Kock l’en a empêché ; j’ai dû rester un petit moment, soudée à cet animal qui venait de me faire jouir. Enfin, tout est redevenu normal ; en se retirant, sa semence s’est échappée de mon ventre dévasté, inondant mes cuisses.
Partagée entre la honte d’une saillie immorale et le plaisir que je venais de ressentir, j’ai suivi Noa, me soutenant tellement j’avais les jambes flagellâtes, vers la salle de bain où, doucement elle m’a débarrassée de ce que je pensais dans l’immédiat des souillures. Avant de m’emmener dans la chambre de ses maîtres, où sur un immense lit m’attendaient non seulement mes hôtes, mais aussi Pierre. J’en ai vite déduit que la nuit ne faisait que commencer. En effet, sûr de ma soumission à leurs envies, au cours de la nuit, ils m’ont plusieurs fois possédée, autant en double vaginal, qu’en double complet, fistée et enculée par les deux femmes, soumise à des cunnis alors qu’elles avaient pris leurs pieds ensemble. Jean dans sa chambre avait dû entendre, non seulement mon plaisir, mais aussi mes demandes, car plusieurs fois, je les avais encouragés à me défoncer, souhaitant que mes cris lui ravagent l’esprit.
Ce qui je l’ai appris plus tard avait été le cas et ce que souhaitaient, aussi manifestement nos dominants.
Le matin, j’ai été réveillée par le Maître qui sans aucun ménagement m’a fouillée aussi bien la chatte, que mon cul, avant de se finir dans la bouche. En quelques minutes, il venait de me rappeler qu’il était le Maître ; confirmation quelques instants plus tard, quand me mettant à mon tour un collier, il m’a confirmé que cette nuit, j’avais été une bonne chienne et que sans aucun doute, j’y prendrais encore beaucoup de plaisirs, d’autant plus a-t-il ajouté que ton homme aussi va lui y avoir droit :
— Je suis sûr que mes deux dogues vont aimer vous saillir l’un comme l’autre. Ainsi vous comprendrez que rien n’est plus pareil. A m’en pas douter, l’un comme l’autre cela vous manquera et vous reviendrez vers nous. Peut-être d’ailleurs pour de nouvelles aventures qui laisseront des marques, et d’ajouter :— Plus jamais ton homme ne pourra te faire jouir comme tu auras joui avec nous ; ton corps nous appartient, tu seras maintenant notre petite femelle et je compte bien faire de même avec lui. Il aime les hommes et je compte bien le soumettre à plusieurs de mes amis, bien membrés et aimant posséder des petites femelles comme lui.
Avant de nous ramener à l’hôtel, il a tenu parole ; nous positionnant côte à côte, sur les cousins, ils ont fait venir leurs dogues. Si pour moi, l’appréhension avait disparu, ayant pris mon pied la veille, il n’en était pas de même pour Jean, et il a fallu beaucoup de forces pour le maintenir avant que le chien ne le possède. Saillis tous les deux, côte à côte, ma jouissance a été beaucoup plus forte que la veille, sans aucun doute en raison du spectacle de Jean monté par le dogue et qui finalement s’est laissé non seulement saillir, mais si j’en crois ses gémissements, y a pris lui aussi du plaisir.
En un Week-end, ils avaient fait de nous deux bons soumis, ayant pris, honnêtement beaucoup de plaisirs, chacun à notre façon, mais très sûrement marqué par la vision de notre soumission devant l’autre, particulièrement pour Jean que j’avais plusieurs fois humilié alors que je prenais du plaisir devant lui. Le retour à l’hôtel fut très silencieux. Quand Pierre nous a dit « à bientôt », nous nous sommes regardés, puis pratiquement en même temps nous avons répondu affirmativement.
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