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L'art de la soumission

Chapitre 4

jusqu'au bout de sa domination

Divers
L’art de la soumission pendant plusieurs semaines, nous sommes restés sans nouvelle ; notre vie sexuelle avait évolué, et le plus souvent, Nini me sodomisait, posant parfois un bondage sur ma queue et des pinces sur les tétons, ce qui me faisait prendre beaucoup de plaisir ; nous jouions aussi à des jeux bdsm, utilisant le fouet après avoir été enchaînés, sur une croix de Saint-André que j’avais fabriquée, sachant que nous y prendrions plaisir à un moment ou à un autre, comme lors de cette journée avec nos hôtes. Un matin au courrier, nous avons reçu un paquet, contenant plusieurs cartes SM. Grosse surprise, elles provenaient de notre séance chez le couple qui nous avait soumis tous les deux et filmés à notre insu ; après un petit moment de surprise, nous avons lu la lettre accompagnante.
— Ces cartes sont uniques, aucune copie, elles vous appartiennent et nous sommes sûrs que cela vous permettra de constater comment vous nous avez appartenus, combien chacun de vous a bien profité de la situation et que tous les deux, vous êtes sans aucun doute prêts à nous appartenir un peu plus.— C’est pourquoi je donne rendez-vous à Jean et comme je te l’avais dit, ma petite soumise Nicole, ce sera pour lui une belle journée, où il subira, sans hésitation, les hommages, ou les outrages que nous lui réservons.— Comme pour tout contrat, aucun droit à la rétractation après votre accord ; l’après-midi sera filmée comme pour vous et toi Nicole, tu pourras ainsi constater comment ton homme a vécu et accepté sa soumission.
Au risque que la vision de ces cartes ne blesse l’un d’entre nous en révélant les moments les plus chauds, nous nous sommes installés, côte à côte. Sans aucun doute, chacun d’entre nous a réagi à plusieurs séquences, soit les mettant en avant, soit en subissant les commentaires. Si après lors du retour, nous en avions parlé, là nous pouvions constater combien chacun de nous avait, soit profité soit subi la séance. Après avoir visionné la plupart des séquences, un malaise m’a envahi ; il était évident que Nicole avait non seulement apprécié les diverses possessions, mais aussi, et peut- être surtout le plaisir de me rabaisser, de m’humilier devant eux. Se retournant vers moi, le visage fermé, elle m’a dit :
— Manifestement, tu as accepté non seulement que je sois offerte à toutes leurs envies, mais je peux constater que tu t’es soumis à leur volonté, sans essayer de me protéger ; dorénavant, en plus d’être cocu, car j’ai très envie de m’offrir comme j’en aurais le désir, tu seras mon soumis et tu devras te plier, à mes envies, à mon désir de te dresser, sans oublier le fait que je t’offre au Maître, pour qu’il fasse ce qu’il veut de toi. Donc le jour qu’il te fixe, tu devras y aller, sans discussion et pour te prouver que cela m’excite, j’irai passer l’après-midi avec ma maîtresse ou un amant, prenant un double plaisir sachant que tu vas déguster sous leur emprise.
M’attirant vers la croix :
— Mets-toi à poil, vite que je t’attache.
Les poignets et les chevilles ligaturés, elle me pose des pinces sur les tétons et fait un bondage de mes attributs, compressant ma tige qui venait de prendre de l’amplitude.
— Cela t’excite de te savoir à ma disposition ; je ne t’ai pas dit de bander.
Un petit coup de fouet atterrit sur ma queue emprisonnée, avant qu’elle ne se déchaîne ; si les coups ne sont pas très violents, la rapidité et la fréquence deviennent vite une source de douleur, mais aussi de plaisir, d’autant plus que maintenant, ses lanières viennent indistinctement sur le corps, les tétons ou mes bijoux ; je ne peux retenir mes gémissements et malgré la contrainte, ma queue gonfle sous le cordon qui l’enlace ; je ne peux que subir son envie : me soumettre et me faire dominer, tant par la volonté que par la maîtrise de son fouet ; le résultat est là ; je ne peux me retenir, couinant sous les coups, fermant les yeux pour mieux me faire surprendre. ; sa détermination est totale, faire de moi son jouet, son objet son soumis, tout en souhaitant, elle aussi profiter de la domination de ce couple. Elle sait que je l’admettrai, que je le désirerai. Délaissant le fouet puis me libérant une main et le cordon qui m’enserre la queue, l’ordre vient me surprendre :
— Branle-toi comme une petite salope que tu es, fais-toi jouir, car tu ne me toucheras pas.
Il ne me faut pas longtemps pour juter, mes jets s’écrasant sur le carrelage ; avec un petit sourire, elle s’en va, me laissant à la merci de mes liens, que j’ai beaucoup de mal à retirer.Pendant plus d’un mois, elle s’est refusée à moi, sortant très souvent pour rencontrer des hommes ; elle revenait la plupart du temps assez tard, pour m’humilier en me racontant combien, eux ils la faisaient jouir, s’accroupissant au-dessus de la figure pour que j’aie la preuve de ses escapades ; j’aimais ce plaisir de lui fouiller la chatte avec ma langue, ce qui la plupart du temps se terminait par une masturbation et une éjaculation, sous son regard narquois. Un vendredi soir, un message :
— Pour jean : rendez-vous demain à 14h. Pierre viendra te chercher.
Surpris par le texte, car à aucun moment, il n’avait eu notre adresse ; m’en étonnant devant Nicole, sa réponse m’a littéralement terrassé :— Je m’offre à Pierre et à Noa quand ils en ont envie ; je trouve avec eux le plaisir que tu ne peux me donner. Demain tu seras à nouveau soumis et j’en aurai la preuve par le film ; mais sois sûr que moi aussi je m’offrirai à leurs désirs lors d’une future soirée, mais sans toi...
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