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L'ascenseur lubrique

Chapitre 1

Gay
L’ascenseur Lubrique… 
 Fin septembre 1982, je dois quitter le cocon familial, quitter ma petite ville provinciale, mes amis et même ma copine…Je suis admis à la sorbonne pour étudier le droit, j’aurai dix-huit ans dans quelques semaines !Je ne suis jamais sorti de mon trou, je ne suis pas timide, juste un peu sauvage… J’apprécie ce que je connais… J’ai un groupe d’amis fidèles, depuis de longues années. Pour mes parents faire mes études à Paris est une chance de m’émanciper du foyer familial, de découvrir de nouvelles têtes, d’avoir de nouveaux amis…
J’aime les filles, j’ai perdu mon pucelage, je n’avais pas 16 ans. Depuis j’ai quelques petites amies… J’aime prendre mon temps, j’ai besoin d’être en confiance pour tenter ma chance. J’aime aussi les jeux solitaires et la lecture, en particulier les romans érotiques…Ils alimentent ma libido, et mes petits jeux… Les personnages de ces romans sont mes héros, ils sont presque toujours ce que je ne peux pas être ! Pulsionnel, impudique, libertin, lubrique, indécent, nymphomane, sadomasochiste, grossier, et j’en passe… Bref ils s’envoient en l’air comme on respire, peu importe le lieu, voir le sexe du partenaire, en deux temps, trois mouvements…  Voilà que j’arrive en gare de Lyon… Me voilà tout seul à Paris, dans cette immense jungle hétéroclite, où je ne connais personne, je ne suis pas très fier lorsque je me retrouve sur le quai du RER !L’angoisse est son comble, je dois changer à Châtelet, pour descendre à Luxembourg…Autre angoisse, mon rendez-vous l’agent immobilier qui a loué le studio meublé à mes parents…  Je dois le retrouver au pied de mon futur l’immeuble à 17h30, pour visiter et faire l’état des lieux de mon 18 m2 ! Le quartier est tranquille et bien fréquenté, m’ont-ils dit, un bel l’immeuble haussmannien en face du jardin du Luxembourg, tu verras, il est comme neuf un petit nid d’amour ! Ma mère a toujours le mot pour rire ! En attendant, je stresse, je suis arrivé non sans mal, sur lieu de mon rendez-vous… Rien que de savoir que je vais devoir échanger avec un inconnu, je suis dans mes petits souliers, fébrile est un faible mot… Je fais le pied de grue devant l’immeuble depuis un bon quart d’heure, lorsqu’un homme marche vers moi, puis m’interpelle…
-       Bonjour, serez-vous Dominique X ?-       Oui c’est bien moi…-       Enchanté, Philippe X de l’agence immobilière Y, prêt pour visiter ce petit bijou !-       Oui…-       Alors suivez-moi, je vous présente les lieux et nous ferons l’état des lieux dans la foulée.
Il passe l’énorme portail en fer forgé doublé d’une vitre, il me tient la porte… Dans le hall, un interphone, les boîtes à lettres, en face, un grand miroir et au sol un superbe tapis rouge moelleux.Nouvelle porte vitrée, cette fois en chêne vernit, et nous voilà devant l’ascenseur d’époque ! Il appuie sur le bouton d’appel et plus haut j’entends la machine qui s’ébroue avec des bruits métalliques pas rassurants du tout…
Très courtois, l’agent immobilier m’ouvre la double porte métallique de cette pièce de musée…
-       Après vous, je vous en prie… -       Merci
À son tour, il se glisse difficilement dans la l’étroite cabine, nous sommes face à face, j’ai eu la mauvaise idée de mettre ma valise derrière mes jambes, si bien que je me retrouve collé à lui ! Il me dépasse d’une tête, je suis le nez à dix centimètres de son cou… Impossible d’esquisser le moindre mouvement dans cette cabine exiguë ! Je suis pris en sandwich entre ma valise et cet agent immobilier !
-       Excusez-moi, je vais devoir passer mon bras sous le vôtre pour lancer notre ascension vers le 7e ciel…-       Le 7e quoi !-       Je plaisante, le 7e étage, soyez patient, il n’est pas très rapide… -       Désolé, je n’avais pas bien entendu !
J’ai bien entendu, je ne suis pas fan de son humour ! il glisse son bras sous le mien, trop court, il doit s’avancer, se pencher, et glisser une de ses jambes entre les miennes pour atteindre le tableau de commande.Cela dure une poignée de secondes, la machine s’ébroue, la lente ascension commence…Cette gymnastique a encore réduit mon espace vital, il est encore plus collé à moi !Je n’ose lever les yeux, je dois donc me contenter du haut de sa chemise débraillée ! Il n’a pas boutonné les deux premiers boutons !Sa jambe entre les miennes me gêne, cela ne plaît pas, de plus le haut de sa cuisse appuie par intermittence sur mon pubis ! Deuxième étage, l’ascenseur est vraiment rustique. Il vibre et tremble en permanence, si bien que la cuisse de l’agent immobilier se trémousse en permanence sur mon bas ventre !Les effluves de son eau de toilette embaument la cabine, elles finissent par m’exciter les narines… Mais ce n’est pas la seule, ça sent l’homme, une odeur particulière, celle après un effort, ou peut-être plus intimes…  Un cocktail troublant, mêlant, eau de toilette, sudation, et une touche animale…  Troisième étage, sa jambe frétille de plus c’est insupportable, subitement je pique un fard… J’ai une érection phénoménale ! Quelle honte !Mon Dieu, je prie qu’il ne s’en aperçoive pas !Je suis naïf et con, il s’en est forcément rendu compte ! Sa cuisse est collée contre mon sexe depuis notre entrée dans cette boîte à sardine, il ne peut ignorer le volume de cette raideur significative !Je ne comprends absolument pour quoi, qu’est ce qui m’arrive ! Moi le sauvage, l’anti-aventure… je suis hétérosexuel, certes un peu curieux, mais seulement dans mes lectures ou seul dans mon lit !
Je n’ai jamais ressenti une excitation aussi prégnante, surtout en présence d’un homme, encore moins d’un inconnu, dont je ne reconnaîtrais même le visage si je le croisais dans la rue !Quatrième étage, mon érection est à son comble… je suis de plus en plus mal à l’aise… Je me fais un film ! J’ai l’impression qu’il cherche à amplifier mon trouble et mon érection… Sa cuisse exagère les secousses de l’ascenseur, j’en suis certain, c’est insupportable… Ma verge n’est séparée de sa cuisse que par la fine toile de lin de mon pantalon… Je ne porte aucun sous-vêtement, c’est moche avec modèle moulant ! Cinquième étage, nous n’avons échangé aucun mot, plus aucun doute, les pressions de sa cuisse n’ont rien d’accidentel… Il me caresse ostensiblement, il m’astique avec sa cuisse !Je coule, je sens mon pantalon s’humidifier ! Ma turgescence est douloureuse, mes joues sont brûlantes, je baisse la tête de peur de croiser son regard… Encore deux étages, je ne vais pas tenir, mes jambes flageolent… Il ne cherche plus à dissimuler sa caresse vicieuse, la situation est sous son emprise, moi aussi ! Avec mon manque d’équilibre, je me trouve la joue contre lui, le nez si près de son corps, ses effluves d’homme m’enivrent… Elles m’affolent, un frisson charnel me saisit…  Mes inspirations sont bruyantes et saccadées, je suis comme un puceau qui vient de faire surprendre la queue à la main… Une main m’empoigne, la fesse gauche, la masse, ou plutôt la pétrit, il en prend possession !J’exclame timidement mon émoi d’un cri de pucelle effarouchée, quelle honte ! Sixième étage, je n’ai jamais connu un tel état d’excitation érotique… Avec un homme ! Un inconnu !Je suis perdu, aucune dignité, tel un démon lubrique, je vais au-devant de sa cuisse… Du bout des doigts il s’insinue dans ma raie, sans perdre de temps, il me titille ma prude rosette, vierge, enfin presque ! Mes jeux solitaires ne sont pas tous catholiques, j’ai testé quelques introductions, des légumes, carottes ou petits concombres, en tout bien tout honneur, toujours en douceur, en solitaire et végan !Ma dignité sous le tapis, dans un éclair inconsidéré, ma main se glisse entre nos corps… Totalement désinhibé, je veux savoir… Bande-t-il, est-il aussi excité que moi… Après une ou deux contorsions, ma main, non sans difficulté elle atteint sa ceinture, encore un effort je suis sur sa braguette… Droite comme I, dure comme une barre d’acier, je la tiens dans ma main ! Ce contact déclenche un tsunami ! Un terrible spasme me secoue suivi de quelques autres ! -       Aaaaaaaaah, huuuummmmmm…
Ma jouissance ne passe pas inaperçue, elle est foudroyante, intense, mon éjaculation semble ne pas se tarir… Il doit se moquer, le puceau timoré a joui en moins de deux minutes avec le gras de sa cuisse !La cabine s’ébroue brutalement avant de se stopper, septième étage, tout le monde descend ! Comme au départ, il m’ouvre les portes, et m’invite à sortir. Je sors lentement avec une terrible envie de partir en courant ! Un coup d’œil sur mon pantalon, l’auréole est on ne peut plus visible ! Comment dois-je réagir, que va-t-il se passer, il est excité, ce mâle dans la force de l’âge va réclamer la réciprocité !Il me sort de mes pensées, m’invite à le suivre dans le couloir sur la gauche. Nous sommes devant mon futur chez moi, il ouvre la porte, et m’invite à entrer…Je pose ma valise sur le côté de la porte, la lumière m’éblouit, lorsque j’ouvre les yeux, il est face à moi… Il est bien plus âgé que moi, une petite trentaine, pas moche, viril, un visage doux, bien qu’il exhale une certaine maturité, un côté mâle sûr de lui, autoritaire ! -       Déshabille-moi Je marque un temps d’arrêt, ai-je bien entendu ?Je ne me suis jamais retrouvé dans ce genre de situation, je n’ai jamais ressenti une telle emprise lubrique, une excitation aussi intense. Moi je suis du genre à attendre que ma partenaire fasse le premier pas, voir à remettre au lendemain, et s’il doit se passer quelque chose, je préfère l’obscurité… Qu’est-ce qui m’arrive, je n’ai jamais couché avec une fille avant 3 ou quatre semaines ! Avec un copain ou un homme, jamais ce n’est arrivé ! Mes rares petites expériences, c’étaient des copains, rien à voir avec cette situation… Devant une revue ou une vhs porno, des branlettes assistées, un kleenex à la main… Dix secondes passent, ce n’est pas moi, c’est un double, un avatar dévergondé ! Je lui ôte sa veste, la pose sur le canapé, un à un, je déboutonne sa chemise, je tire sur les pans de celle-ci, et lentement je la fais glisser de ses épaules.Une pause, je l’observe, bronzé et velu, il s’entretient, le poil est fin et taillé avec soin ! Mon regard se fixe sur son torse, pas question de croiser son regard ! Son magnétisme attire mes mains, elles partent à la découverte de ses pectoraux ! Une hardiesse inimaginable ! Je l’effleure, je touche à peine ses tétons au passage avant de surfer sur ses abdos… Je suis si près de lui que je peux ressentir la chaleur de son corps… Ce mâle exhale de puissantes phéromones sexuelles, elles bouleversent mes sens, elles m’enivrent, je n’ai aucune chance de lui échapper ! Spontanément, m’agenouille, déboucle sa ceinture, un bouton, le zip de sa braguette et son pantalon choit sur le sol… Je délasse ses chaussures, j’ôte ses chaussettes, il ne lui reste que son boxer bien rempli ! Alors que je m’apprête à lui retirer ce dernier vêtement, il décide de s’asseoir dans le canapé, et m’ordonne…  —       Lèche-moi les orteils ! J’hallucine, personne ne m’a demandé de lui lécher les pieds ! Je n’imaginais même pas que cela puisse être un jeu érotique… Malgré mon appréhension, sous le joug de son emprise implicite, j’obéis… Je relève son pied et le guide jusqu’à mes lèvres, je suçote ses orteils, l’odeur n’est pas repoussante, juste un mélange de transpiration et les restes de son gel douche…Mon érection s’épanouit, je bande très fort, cette situation m’affole, son emprise me stimule, mes lèvres se montrent plus sensuelles, ma langue presque coquine, je me prends au jeu… Un jeu dont j’ignore les règles… Ma main va au secours de ma verge douloureuse… -       Ne te touche pas, laisse mon pied, et suce-moi les mains dans le dos…  Ses paroles me font frissonner, Il baisse l’élastique de son boxer au-dessous de ses couilles !Sa verge est aussi bronzée que son corps, pas un poil, une longue tige régulière, seules quelques veines troublent la surface de sa peau tendue. Elle n’est pas effrayante, d’ailleurs la mienne est plus longue, un peu moins épaisse peut-être !  -       Approche-toi, prend-moi entre tes lèvres…
Je suis tellement excité par ce scénario improbable, irréaliste, je n’hésite pas même une seconde, sa requête coule de source, le sucer est une nécessité !Je pose mes lèvres comme un baiser sur le bout de son gland…  Encore une odeur troublante… J’embouche mon premier gland avec une infinie précaution ! Ma salive afflue naturellement, lorsque son bassin propulse son vit au fond de ma cavité buccale, je l’engloutis sans aucune difficulté… Quelques coups de bassin et je comprends, il attend que je pompe ! Je l’avale sans difficulté, je pompe ce dard ou je le lèche sur toute sa longueur de sa tige… La douceur de sa peau est enivrante, j’avale ses bourses une à une, je les embrasse, les titille de ma langue… Je me surprends moi-même, j’aime sucer ce sexe, je prends du plaisir ! Je suce un homme pour la première fois de ma vie ! c’est follement excitant, je n’ai jamais atteint un tel niveau d’exaltation charnelle ! Est-ce l’instinct, le désir, je me jette sur sa verge, comme une véritable gourgandine, ma sensualité s’exacerbe, je me déchaîne comme les bombasses de mes pornos préférés, elles dévorent les braquemarts géants de leurs amants comme des mortes de faim !Je veux qu’il jouisse, je suis avide de découvrir sa semence, je veux sentir sa chaleur sur ma langue… -       Doucement, petite salope…
De la main il repousse mon visage, se lève, et retire son boxer, et s’adresse à moi…  -       Baisse ton pantalon et ton slip !-       Je me déshabille alors ?-       Non… C’est inutile, je veux simplement avoir accès à ton cul ! Mets-toi à genoux sur le canapé et le cul tourné vers moi ! 
Salope ! Baisse ton pantalon ! Cru ! Concis et précis le mec ! Même sans expérience des hommes c’est clair ! Sans grandes expériences hétéros, non plus… Mais, tout de même je ne suis pas totalement naïf ! C’est un mâle, il ne va pas se contenter d’une fellation !  Ma docilité, mon ignorance, l’excite, il va me posséder jusqu’au trognon ! Malgré une fébrilité certaine, mes craintes sont modérées par une intense curiosité et une excitation hors norme ! Mes timides sodomies véganes vont me paraître bien fades ! Cette fois c’est un vrai chibre, un bâton de chair turgescente va m’enculer, me perforer, fini le végan, c’est barbaque à aujourd’hui !A genoux sur l’étroit canapé je me dandine pour baisser mon pantalon en bas de mes cuisses… Lorsqu’il s’aperçoit que je n’ai pas de sous-vêtement…  -       Coquin, toujours prêt le sans culotte !-       Pas du tout, ça n’a rien de sexuel, avec ce pantalon c’est moche…-       Alors ça tu le racontes ça à ta copine, à tes parents, mais pas à moi… Aller, cambre-toi, offre-moi ton joli petit pétard !
Ses mains effleurent mon dos un instant, avant de rejoindre mon cul, il me pétrit les lobes fermement, les tâte, les écartent, les massent… Un véritable maquignon, son visage est à quelques centimètres de mes fesses, ses mains écartent largement mes lobes. Je sens son souffle sur anus, mon œillet se raidit… Lorsque sa langue m’effleure la rondelle, j’exhale une interjection signifiant clairement mon émoi… Ma rondelle se détend instantanément, au premier contact de ses lèvres… L’émotion est à son comble lorsque sa langue les rejoint pour baiser aussi troublant qu’obscène. Mon Dieu, il me dévore l’anus, c’est divin, il me déguste comme un amateur averti, un critique gastronomique… Une folie érotique que mes fantasmes les plus lubriques n’envisageaient pas ! Je serre la mâchoire de toutes mes forces, je tente de contrôler la moindre expression vocale, je ne veux pas le conforter dans son jugement, je ne suis pas une petite pédale ! Je ne me suis jamais fait enculer ! Je rêve, ce n’est pas moi, je ne suis pas comme ça… Comment en suis-je arrivé là, un ascenseur trop étroit, une cuisse maligne, cette odeur de mâle troublante…Et me voilà en levrette, le cul offert sur le canapé de mon futur petit studio, je vais me faire posséder avant d’en prendre possession !J’ai un mal de chien à contenir ma béatitude, sa bouche, sa langue sur ma rondelle m’affolent, ce délice de Sodome est insupportable… Ce contrôle est bien inutile, mon anus me trahit, il cligne sans retenu conquis par les attentions buccales de ce mâle…  Il délaisse mes lobes fessiers, un doigt habile enduit de salive, force mes sphincters, une résistance de circonstance, bien vite vaincue !Une phalange, deux, puis un doigt ! Il me pistonne tout en prenant soin d’évaser ma rondelle… Très vite, il déserte mon trou ! Ses mains se déplacent sur le haut de mes hanches, il se redresse, l’instant suivant sa verge triomphante abouche mon œillet !La peur m’étreint, une chance, mon désir la modère ! Son gland se fait pressant, il multiplie les petits coups de reins, je m’entrouvre timidement, stressé comme une pucelle… Puis d’un seul coup, tout s’emballe… Il se crache à plusieurs reprises sur son nœud et ma rondelle, une claque cinglante s’abat sur ma fesse gauche… Et d’un puissant coup de reins, il me perfore ! -       Aiiiiieeeeee, Aaaaaaah…
Une douleur incommensurable, aiguë, stridente, des larmes coulent, je n’ai que le bout de sa queue dans le cul, et c’est énorme, insupportable, rien de comparable à mes timorées sodomies véganes…  -       Détends-toi, la douleur c’est le prix à payer, patience, le meilleur est à venir ! 
L’instant suivant, il s’extirpe de mon fondement agonisant, à genoux, il écarte mes fesses, et m’injecte une dose de salive dans le fion… Cet interlude arrive à point, la douleur s’estompe doucement, j’essaie de me détendre…   Il me faut déconnecter le cérébral du physique… Mon désir sodomite et la douleur de cette pénétration contre nature !L’interlude est terminé, la pine en main, il s’enfonce très lentement, millimètre par millimètre, cette fois plus tolérable. Je ressens chaque millimètre de la progression de cette chair sulfureuse… Elle étire, déforme mon intimité sur son passage… La douleur est sournoise, mais supportable… Je prends sur moi, je désire ce mâle, je veux qu’il m’honore, sans filtre, sans retenue ! J’assume mon désir sodomite inopiné ! Néanmoins cet acte reste un supplice, son sexe pourtant comparable au mien, me paraît hors norme… Quelle naïveté, mes fantasmes, entre mes sodomies véganes et la réalité il y a un monde, déterminé j’irai au bout…Ses couilles flirtent avec les miennes, il est totalement en moi, je suis enculé, comme un petit pédé ! Si la réalité est douloureuse, les conséquences risquent d’être honteuses et culpabilisantes ! Il ne bouge plus, il caresse mon dos, mes fesses sensuellement… Brusquement, il saisit mon catogan, le tire relevant mon visage, cherche mes lèvres et me roulent une pelle gourmande que j’accueille sans sourciller !Il me repousse, extirpe sa grosse bite de mon cul, crache à nouveau dessus, l’étale sur son gland, m’abouche et me perfore d’un trait sans autre forme de politesse…  -       Ooooooh, 
Cette fois l’introduction est presque … Indolore, du moins la douleur est tolérable… Il me fourrage profondément, calmement de toute sa longueur, il prend soin de s’extirper complètement de mon cul à chacun de ses va-et-vient… Il m’alèse la rondelle, la dilate, la formate à son pieu. Son rythme lent est relativement constant, mais il s’autorise quelques fantaisies, ses hanches ondulent lascivement…Les translations de sa verge associées au travail de son bassin domestiquent ma rondelle et son conduit, désormais sodomite ! Mes sphincters vaincus se relâchent, il coulisse dans mon intimité anale avec fluidité, étonnante, les sensations négatives se dissipent... Mais le plaisir n’est pas encore de la partie… En revanche l’absence de douleur libère mes neurones… Leur liberté me plonge dans l’introspection des trente ou quarante minutes précédentes ! Un scénario fantasmagorique, l’atmosphère lubrique de la cabine d’ascenseur, ma docilité, cette attraction pour ce mâle inconnu… Mes pensées érotiques m’excitent terriblement, instantanément, je bande… Aucun scrupule, il m’excite, j’aime qu’il me possède, malgré ce début douloureux !
Le mâle pose une main sur le creux de mes reins, et d’une légère pression, il me cambre davantage, de l’autre il m’agrippe le catogan, et me tire la tête en arrière !Cambré le cul offert, cette fois il me porte l’estocade, il baise comme un étalon, un laminage intense, le rythme est élevé, ma bouche grande ouverte, aucun son n’en sort…Une sensation de chaleur s’éveille dans mon boyau sodomite, un frémissement accompagne une envie naturelle, les toilettes ! C’est exaspérant, énervant… inconfortable, mais pas seulement… Petit à petit, imperceptiblement, mon corps et mon esprit se libèrent, les impressions parasites se dissipent, elles laissent place à de timides sensations agréables… Instinctivement, mes fesses vont à la rencontre de son pieu, elles se coordonnent avec ses coups de bite ! Cette connivence implicite avec mon enculeur ouvre la voie vers des plaisirs inconnus !Pour lui, l’expert sodomite, tous les indicateurs sont au vert, sa petite pédale vient de capituler…Il se transcende, le mâle perforateur n’a plus aucun scrupule, il laboure, saillie sa pouliche, la baise comme une truie… Il me pourfend comme une vulgaire poupée gonflable…   Les premières sensations agréables se muent lentement, émoustillantes, puis voluptueuses… Il faut dire qu’il ne ménage pas ses efforts, l’intensité de sa fornication est exponentielle… Des vagues, des bouffées de délices voluptueux, m’assaillent au rythme de sa copulation… Ce plaisir ignoré est époustouflant ! Je soupire… Pour la première fois depuis mon cri de détresse, je m’exprime ! Je gémis, j’extériorise, je me sens bien. Pour ce mâle mes expressions sonores sont un aveu ! La femelle, la petite pédale se pâme, sous les assauts de sa verge… Mon émoi le stimule, ce sont des rafales de coups de bite qui me défoncent à présent, fini les gémissements timides, cette fois je couine, sans retenue ! J’émets des sons jamais exprimés à ce jour, ma verge est douloureuse, c’est sûrement ma plus belle érection, des frissons me parcours le corps, puis suivent de spasmes incontrôlables…Les décharges lubriques se multiplient, mon corps est irradié, je ne maîtrise plus rien, mes muscules m’abandonnent ! Une ultime exhalation, et un orgasme éblouissant me terrasse ! -       Uuuuummm, Aaaah, Ooouuuuui, oui, ouiiiii… 
Je m’écroule en éjaculant, ma décharge n’en finit pas... Lui, mon orgasme ne le perturbe pas ! Il me laboure encore et encore… deux minutes plus tard, il donne les premiers signes de faiblesses, et enfin, après une fornication de plus d’un quart d’heure… Il jouit ! Il brame son orgasme, comme un cerf à l’apogée de sa virilité, gorgé de testostérone… Il se bloque dans les abîmes de mon cul, et féconde sa jeune victime… Je glisse comme une feuille morte du canapé, il m’accompagne, toujours planter en moi, en me caressant les épaules…  Une ou deux minutes s’écoulent, je reprends mes esprits alors qu’il se désaccouple. J’ai rêvé, impossible, ce n’est pas réel ! Je viens de vivre le moment le plus irréel de ma vie, une heure d’une folie inimaginable… Fantasmagorique ! -       Viens te, doucher… 
Il m’aide à me relever, sa semence coule sur mes cuisses, comme une fille, je mets ma main sur ma vulve anale béante ! je le suis dans la douche à peine plus confortable que la cabine de cet ascenseur lubrique !Le mitigeur réglé, les premières gouttes froides me saisissent… Je réalise, c’était bien réel… Je viens de me faire enculé par un homme dont j’ignorais tout il y a moins d’une heure ! J’ai joui comme une salope, une pédale, Dominique n’est pas vraiment à l’image de ce que pensent de lui ses proches. Quelle honte ! Personne ne doit l’apprendre ! Il me savonne, il est doux… Je me laisse bouchonner… Mes mains sont irrésistiblement attirées par sa verge, je suis son obligé ! À mon tour de toiletter ce mâle, une attention toute particulière pour sa verge si jubilatoire !Après s’être séché, il se rhabille, je reste nu, je l’observe, incapable de croiser son regard ou de lui dire un mot.Une fois sa tenue d’agent immobilier revêtue… 
-       Dominique voici l’état des lieux, comme tu peux le voir, tout a été entièrement rénové, les meubles, l’électroménager sont neufs.         Je te laisse le temps     vérifier… Je repasse demain vers 19h, si tu es chez toi… Mon petit doigt me dit que tu le seras là…         Moi, je suis libre jusqu’au lendemain matin… -       Ben oui, je n’ai rien de prévu, et je ne connais personne ici !-       Rassure-toi cela ne durera pas, avec ton physique et ton appétit pour le sexe… Un peu de travaux pratiques… Et tu ne manqueras pas d’amis !—      Tu te trompes, tu me juges mal, c’est un moment d’égarement, de folie, je suis aux antipodes de ce qui vient de se passer avec toi, ce n’est pas moi !-       À demain alors… 
Je n’ai pas le temps de répondre, du moins je ne suis assez rapide ! Il tourne les talons, ouvre la porte et referme derrière lui !Allongé dans le canapé, nu, les images me reviennent en boucle ! Je revis chaque seconde… De notre poignée de main, à ma jouissance sodomite… En quelques secondes je rebande, je file sous la douche froide, hors de question de me branler en pensant à cet homme, à ma dépravation contre nature !Dix minutes plus tard, je me masturbe comme un fou… Ma jouissance passée, je culpabilise, j’ai honte de moi, mais je suis toujours excité ! Finalement, je me décide à faire connaissance avec les 18 m2 de mon mini studio, histoire de penser à autre chose…  Ma nuit est agitée, je m’astique trois fois, sans vraiment réussir à apaiser ma libido ! Je revis chaque minute de mon ascension au 7éme ciel ! j’analyse chaque étape qui m’ont amené à lui offrir mon cul !Fin de matinée, j’émerge, le contact des draps sur ma verge est insupportable… Je ne peux que constater les stigmates de mes pollutions nocturnes ! Des marques rougeâtres sur mon gland en témoignent… Une douche, un peu de crème hydratante et je vais me changer les idées, me balader au jardin du Luxembourg et faire quelques courses, mon frigo est vide !17h, je regagne mon home… je n’ai pas vraiment réussi à penser à autre chose qu’à cet homme, au trouble sexuel qu’il a fait naître en moi, et la perversion que je lui ais offerte… Je ne suis pas très à l’aise avec mes ébats homosexuels d’hier, le plus perturbant, le plaisir que j’ai éprouvé en le caressant, en le suçant ! Et que dire de ma sodomie et de l’orgasme incroyable qu’il m’offert de sa verge sodomite ! Ce coup de folie pourrait n’être qu’une simple expérience, un one shot, et on passe à autre chose, on oubli… Mais quelque chose me dit que plus rien ne sera comme avant cette aventure !Dès mes achats rangés, la fébrilité me gagne… J’attends la visite de cet homme…Dans une heure il sera là ! Son alibi, l’état des lieux de mon studio et sans aucun doute, celui de mon cul ! 19h, on toque à ma porte… Vais-je ouvrir ?
À suivre, ou pas !
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