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L'ascension de Jean

Chapitre 1

Une tente chaleureuse

Gay
Salut, je m’appelle Arnaud, j’ai 29 ans et je vais vous raconter comment se sont déroulées mes retrouvailles avec mon vieux pote de lycée Jean T.
Nous étions dans un lycée privé Montpelliérain, et ne discutions finalement que très peu. Nos points communs étaient le sport. Jean et moi-même, on s’amusait dans les vestiaires à savoir lequel des deux était avait le dos le plus musclé.
Jean était un grand grimpeur, un féru d’alpinisme qui passait son temps dans la nature pour gravir les parois les plus difficiles. Il mesurait un peu moins de 1m80 à vue d’œil, svelte et musclé, les cheveux châtain clair, des yeux verts et des taches de rousseurs qui déjà me faisait craquer. De mon côté, c’était la natation qui occupait mes temps libres. Pour me décrire, je suis plutôt petit (1m70), fin et musclé, j’ai les cheveux bruns et les yeux marron. Classique.
A la fin du lycée, nos routes se sont séparées et ce n’est que presque 10 ans plus tard que j’ai repris contact avec Jean après avoir vu une interview de lui dans l’actualité. Grâce à cette interview, j’apprenais que le bougre vivait maintenant près de Chamonix et c’était précisément à cet endroit que j’allais me rendre dans quelques jours pour rendre visite à des amis.
Une fois sur Chamonix, j’écris à Jean pour savoir s’il est libre, histoire de partager un verre, sa réponse se résume en un grand oui. Il m’envoie l’adresse d’un bar qu’il aime particulièrement et je l’y retrouve quelques heures plus tard.
Jean n’a pas changé, il est toujours aussi beau, aussi athlétique, aussi souriant. Mon cœur s’emballe un peu, je crois. Nous discutons de tout et de rien, partageons des souvenirs de l’époque du Lycée et racontons ce qui nous est arrivé pendant ces 10 années. Au fil des conversations, Jean me parle sentiment, qu’il a failli se marier, mais que cela ne s’est finalement pas fait, un peu au dernier moment.
De mon côté, je lui révèle mon homosexualité... Il est surpris et curieux, il me pose beaucoup de questions sur le sujet. Je réponds avec plaisir sans pour autant être indiscret ou graveleux. Mes réponses semblent l’intéresser particulièrement, il arbore un sourire en coin particulièrement séduisant, mais à ce moment-là, je n’ose imaginer qu’il pourrait avoir quelques tendances gay. Quelques verres plus tard, nos échanges portent sur le sport. Jean m’invite finalement à passer un week-end en montagne avec lui pour découvrir les paysages qui entourent le Mont-Blanc.
Quelques jours plus tard, nous voilà, Jean et moi, au pied de la randonnée du Lac Blanc, et c’est parti pour l’ascension. Le parcours est assez simple pour le novice que je suis, et les paysages sont à couper le souffle. Nous arrivons finalement au Lac Blanc pour manger et nous décidons de continuer sur les flancs de la montagne. La nuit arrive rapidement... Il est temps de monter la tente.
Nous nous installons et continuons à discuter tous les deux, de tout et de rien. Je m’entends bien avec Jean et suis très à l’aise avec lui. Après avoir partagé un dernier verre de Génépi, nous décidons d’aller nous coucher pour être levés aux aurores. Installés dans nos sacs de couchage respectifs, nous essayons de trouver le sommeil.
Alors que je suis immobile et les yeux fermés, j’entends un bruit de frottement à l’intérieur du sac de couchage de Jean. Je pense au départ qu’il se gratte tout simplement, mais le bruit de frottement persiste. A ce moment-là, je fais volontairement du bruit pour faire comprendre à Jean que je ne dors pas encore. Je suis gay et Jean me plaît, mais je ne veux pas qu’il y ait de malaise entre nous.
Mais avoir signalé que je ne dormais pas n’a pas fait ralentir les mouvements de Jean, au contraire. Il rompt le silence et me questionne à nouveau :
— Je repensais à ce que tu m’as dit ; comment tu as su que tu étais gay ? — Ben, pendant longtemps, je remarquais que j’étais attiré par le corps d’un mec, quand je nageais notamment. Puis, un jour, j’ai rencontré un gars en répondant à une annonce, car je voulais essayer, et ça m’a plu.
— Ça doit être compliqué de faire son coming-out. J’ai jamais eu ce problème moi, dit-il en rigolant. — T’as jamais été ; ne serait-ce que curieux ? Juste une fois ? — « Ben, je dois t’avouer que te savoir gay m’a un peu intrigué. Je veux dire, on se ressemble, t’es pas efféminé, enfin, tu as l’air hétéro, donc j’imagine que d’autres amis autour de moi le sont aussi peut-être. — Oui, y a des chances, j’ai vu pas mal de mecs soi-disant hétéros vouloir tester un plan gay notamment sur des applis de rencontre. — Et si je te dis que j’ai envie d’essayer maintenant ? — Ah... ben, je ne sais pas trop quoi te dire. On vient de se revoir, je veux pas qu’il y ait de gêne entre nous. — Ouais, mais regarde [Jean défait la fermeture éclair de son sac de couchage], maintenant je suis tout excité.
Jean me regarde avec des yeux emplis de tendresse. Je vois bien qu’il en a envie, mais qu’il ne se vexera pas si je refuse. Comme je le disais plus haut, je m’entends vraiment bien avec Jean. Je plonge à mon tour mon regard sur Jean et observe son torse musclé, ses taches de rousseur, et sa queue dressée devant moi. Je sors alors une main de mon duvet et la pose sur son torse.
Encore hésitant, je me contente d’effleurer ses pectoraux et m’assure de son consentement. Je descends doucement ma main vers l’intérieur du sac de couchage jusqu’à arriver à la base de sa queue que j’attrape finalement.
Jean esquisse un sourire, repose sa tête sur son coussin, et ferme les yeux en lâchant un premier râle de satisfaction. Je commence alors à le branler tout doucement. Sa queue doit faire 16 centimètres, et est fine ; quand ma main arrive au niveau de son gland, je sens qu’il est déjà humide, j’enroule alors mon pouce autour de son gland et vois Jean se tordre de plaisir.
Jean est trop excité, alors que je me trouve juste au-dessus de sa queue pour le branler, il m’appuie la tête doucement pour m’intimer l’ordre de le sucer et... Je m’exécute.
Je pose d’abord mes lèvres sur le gland de Jean pour embrasser sa queue. D’un coup de langue, je nettoie tout le liquide qu’il a déjà pu rendre de plaisir. Je lèche son sexe de haut en bas doucement afin de faire monter le désir et cela fonctionne. De nouveau, Jean tente d’attraper le haut de ma tête pour me coller sa queue au fond de la bouche.
Je me laisse faire, Jean me tire par les cheveux doucement pour me ramener jusque sur sa queue que j’engloutis d’un coup, d’un seul. La pression de sa main ne diminue pas, et à cette pression s’ajoutent des mouvements de bassins secs. Jean, cet ami si charmant est en train de baiser ma bouche et j’adore cela. Nous sommes seuls sur une montagne, au fond d’une tente, et je suis en train de sucer mon pote du lycée.
Après de longues minutes sensuelles, je sens Jean s’agiter pour sortir ses jambes du sac de couchage. Une fois totalement sorti, il se redresse et me pousse pour m’embrasser. Je suis surpris par sa démarche, mais pas mécontent. Je l’attrape donc par la nuque, et enfonce ma langue dans sa bouche. Nous nous embrassons sauvagement pendant quelques secondes avant que Jean ne retourne à sa position initiale. Je l’accompagne, collé à sa bouche, et me retrouve à moitié allongé sur lui. La chaleur de nos torses qui se touchent m’excite terriblement et je décide de me mettre à califourchon sur Jean.
Je sens sa queue frotter contre mes fesses alors que je continue de l’embrasser, et son bassin se soulever régulièrement. Je me redresse afin d’observer Jean et ses beaux yeux verts, et savourer la situation. Qu’il est beau !
Je me relève un peu et attrape la queue de Jean qui a déjà parfaitement humidifié mon intimité. Je me positionne dessus et m’empale doucement sur ce pieu. Jean pousse des râles de plaisir qui me font vibrer. Une fois ce membre totalement entré en moi, j’entame des va-et-vient en me relevant légèrement. Jean est aux anges et me regarde faire, souriant bêtement. La scène est parfaite.
Après quelques instants, et enfin habitué à ce corps étranger dans mon intimité, Jean commence le travail et me pénètre avec vigueur. Je ne ressens que du plaisir et ai envie que cela dure jusqu’au matin. Jean me pousse soudainement sur mon sac de couchage et se relève pour me pénétrer dans une autre position. Il relève mes jambes et reprend le pilonnage. Je suis dans un état de transe.
Jean, au bord de l’extase, me prévient :
— Je vais pas tarder à venir.
Moi, conscient de l’inconfort que cela peut être qu’il se vide en moi, en pleine montagne, je lui intime l’ordre de venir s’asseoir sur mon torse.
— Viens te mettre sur moi pour baiser ma bouche.
Jean s’exécute, il se place au niveau de mon torse, sa queue n’est qu’à 1 ou 2 centimètres de mon visage. Il se masturbe puis enfonce à nouveau sa queue dans ma bouche qu’il baise à nouveau. Je sens son membre viril au plus profond de ma bouche, j’en ai les larmes qui me montent tellement certains de ses mouvements m’étouffent.
Je sens sa queue se gonfler, je pensais que cela finirait en faciale, mais apparemment, Jean en a décidé autrement. Je l’entends pousser de petits gémissements de plaisir et ses derniers mouvements sont plus violents que les précédents. Puis, l’orgasme. Jean pousse un ultime râle et des flots de spermes inondent ma bouche, j’ai du mal à tout avaler, mais Jean s’en moque, il poursuit ses assauts jusqu’à ce qu’il soit totalement vidé. Jean reprend son souffle, sa queue est encore dans ma bouche et je m’active à aspirer et avaler la moindre goutte de son précieux nectar. Puis il se retire, tout en se masturbant devant mon visage. Il se penche finalement pour m’embrasser amoureusement. C’était une merveilleuse randonnée avec Jean.
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