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Ashram Shambala

Chapitre 1

Trash
J’avais alors 25 ans. J’étais un jeune homme sans histoire, chômeur sans qualification et je me désespérais. Ce que je vivais le plus mal, c’était mes rapports avec les filles, toutes celles que je trouvais étaient fades, ennuyeuses.
Ce qu’elles m’offraient était indigne, je n’avais jamais pu pratiquer la sodomie, je n’avais jamais éjaculé à la figure d’aucune (ce qui me semblait quand même le besoin rudimentaire de tout mâle)… Mais même celles qui acceptaient de me sucer le faisaient du bout des lèvres en n’introduisant que le gland et se détournaient dès que ma jouissance s’annonçait, m’abandonnant tristement au seuil du bonheur sans même me finir à la main. La misère ! Surtout pour moi qui ai depuis toujours des fantasmes de domination.
Il devrait y avoir une loi contre ces filles, elles disent qu’elles sont amoureuses et font un air dégoûté quand on leur parle d’avaler en jurant qu’elles ne le feront jamais. Drôle de conception de l’amour ! Surtout qu’elles traitent notre semence comme si c’était dégueu, alors qu’elles sont si contentes d’en trouver pour avoir des marmots… Toutes ces femmes qui ne vivent pas comme de vraies femelles, des femelles qui devraient être dévouées à leurs mâles et tout accueillantes, c’est sans doute parce qu’on n’est pas assez mecs pour les révéler à elles-mêmes, on n’ose pas sauter le pas, on a stupidement peur de perdre quelque chose alors qu’on a rien à perdre puisque ce que l’on a ne nous satisfait pas.
J’aurais dû leur imposer la faciale, j’avais pas assez de couilles, j’étais trop gentil garçon et les femmes n’aiment pas les gentils garçons, ne les respectent pas. Une fois l’acte sexuel à deux consommé, j’étais obligé de m’isoler aux toilettes avec mon ordinateur pour m’y branler devant des vidéos d’éjacs faciales pour calmer ma rage et ma frustration. Je me maudissais de me laisser imposer de tels affronts, surtout venant de filles sans saveur et sans sensualité qui ne faisaient même pas l’effort de se faire belle et qui devraient être bien contentes que l’on daigne s’intéresser à elles.
Je ruminais mon spleen quand je fus attiré par une affichette postée sur la vitrine du magasin bio en bas de chez moi. C’était la pub pour une conférence sur le chamanisme Sibérien. Ce qui m’avait phénoménalement attiré, c’était la photographie de la conférencière, elle s’appelait Ramona. J’étais intrigué de cette latina qui prétendait présenter une discipline slave. Je suis resté un moment béat devant cette quintessence de la féminité. Elle était tout ce qui manquait dans ma vie, tout en elle était féminité, elle irradiait la sensualité délicieuse qui avait toujours été étrangère à mon existence. C’était une femme semblant à la fois jeune et mûre, elle était très maquillée mais, contrairement à la majorité des femmes, serait bandante même sans ça.
Une fois mon trouble passé, je remonte en quatrième vitesse dans mon appartement allumer l’ordinateur pour faire une recherche sur celle qui vient de totalement s’approprier toutes mes pensées. Les résultats de mes recherches sont dantesques. A la recherche « Ramona chamanisme sibérien », je trouve une multitude de liens plus prometteurs les uns que les autres. Je suis fasciné, on dit sur internet que la belle couche avec des ours et d’autres animaux sauvages, qu’elle participe à des orgies obscènes. J’apprends qu’elle a une vingtaine d’années de plus que moi. Il ya des photos d’elle dans des poses et des tenues affriolantes (affriolantes mais décentes bien sûr), je découvre qu’elle est en fait représentante d’un mouvement prônant chamanisme, yoga, etc… mais qui est en fait surtout une « école de la féminité » (« école de geishas » de son nom original) accusée d’être une secte et un vaste réseau international de prostitution. Leur chef, présenté comme un surhomme d’origine extraterrestre a des problèmes avec la justice russe. Je me branle allégrement sur les images de cette fille et me jure de la ramoner la Ramona, de lui faire bouffer ma jute, je suis déterminé.
Le lendemain, j’attends impatiemment toute la journée cette conférence qui aura lieu le soir dans un bâtiment municipal. Il fait un temps caniculaire. La transe me gagne, mon érection est quasi-constante et je me vidange à plusieurs reprises en jouissant comme jamais à l’idée de ce paradis m’étant promis.
Je suis sur les lieux avec une heure d’avance, manque de pot la Mexicaine a quant à elle un quart d’heure de retard. La voir en chair et en os n’est pas une déception, bien au contraire, tout en elle est lascivité et douceur exquise. Je n’avais jamais vu un truc pareil en vrai, pas même dans un film. Sa tenue noire est très moulante et assez transparente, j’ai donc tout le loisir d’étudier en détail toutes ses courbes durant la conf’ (son corps ne semble être fait que de courbes, tout dans son anatomie est rond, relâché, offert). Sa voix est également des plus capiteuses, surtout dans ce français aux forts accents latins, elle parle de niaiseries new-age mais on croirait qu’elle murmure des cascades de mots doux. Mon sexe inlassablement dur ne cesse de s’agiter dans la jambe de mon bermuda.
Quand la séance se termine, chacun se dirige vers la sortie et je me retrouve con l’espace d’un instant. Voilà, j’aurais bien fantasmé mais je vais rentrer seul chez moi et je ne reverrai peut-être jamais la milf-bomba latina. Celle-ci, grande voyageuse, va repartir faire son perpétuel tour du monde et ne me restera d’elle que quelques clichés sur le web. Bien sûr, j’avais laissé mon e-mail comme tout le monde au début sur un papier, mais cela ne m’amènerait probablement rien de plus que de la publicité pour des stages à la con et hors de prix. Se produisit alors le miracle que je ne rêvais même pas, j’entends derrière moi sa suave voix articuler « Monsieur ! Monsieur ! »… J’étais le seul homme venu seul (les autres étaient en couple) et je me retournai, elle me fit un grand sourire toutes-dents-dehors assorti d’un regard complice. C’était bien moi qu’elle avait appelé. Tout mon corps chantait d’extase et ressentait un goût de triomphe. Je m’approchai d’elle et elle me demanda de rester après que tout le monde fut parti, qu’elle avait quelque chose à me dire. J’attendais donc, ce fut long, un trio de bonne-femmes squattait ma belle, posant des tas de questions, semblant ne jamais vouloir se résoudre à s’en aller. Ramona était extrêmement patiente avec elles et leur vantait avec insistance la Sibérie et les miracles qu’il s’y passait. Quand je fus enfin seul avec l’objet de mon désir, je me sentis un peu gauche, j’étais trop émotionné, je ne savais même plus si j’avais de la voix pour parler normalement. Heureusement, elle ne semblait bizarrement pas trop à l’aise elle non plus, son regard était fuyant. Elle me posa des questions futiles puis planta ses yeux dans les miens (Ramona est une toute petite femme et je suis plutôt grand, je pourrais manger sur sa tête) et avec intensité me demanda « Est-ce que tu voudrais travailler pour moi ? ». Il est évident que je veux répondre oui sur-le-champ mais je suis un peu abasourdi et ne répond pas tout de suite. Elle continue sur le même ton : « Tu es à l’étroit ici. Je peux te changer ta vie, te faire devenir l’homme que tu aspires à être, te faire trouver ta puissance, exaucer tes rêves les plus intimes, les plus fous… ». Mon cœur, ma queue et ma tête réagissent comme s’ils avaient alignés les trois 7. Avec fougue, je lui assure qu’elle peut compter sur moi 24/24. Elle me sourit avec satisfaction.
Je suis dès lors en contact quasi-constant avec elle par internet. Les mois passent, j’organise ses venues en France et celles de ses amis, je lui trouve du monde, des réseaux… Je ne trouve jamais l’occasion de me rapprocher physiquement d’elle, lorsqu’elle remarque mes tentatives, elle me dit avec bienveillance qu’il faut que je sois patient et que je comprenne bien la vie qui est la sienne et son sacerdoce avant de pouvoir espérer être plus proche et qu’elle ne serait jamais à moi véritablement puisqu’elle appartient au Maître (je me jure de la faire mentir).
Un jour, elle me contacte (il était quatre heures du matin chez moi, elle était en Thaïlande où il était déjà neuf heures, je devais ainsi toujours m’accommoder aux horaires de l’endroit toujours différent où elle se trouvait) et me dit que si je suis près à lui payer 10.000 euros, elle m’invite dans le Q.G. de l’organisation pour une semaine afin d’y vivre une expérience très spéciale que je ne regretterais pas et ainsi être officiellement des leurs. Je vide mon livret et mon compte, arrivant tout juste à rassembler la somme (à laquelle il me faut ajouter le prix des billets d’avion) grâce à un héritage récent. Je ne sais pas vraiment ce qui m’attend, mais je compte bien lui faire m’en donner pour mon argent.
J’arrive au petit matin dans l’aéroport Tolmachevo de Novosibirsk. M’accueille le jeune ami de Ramona (environ cinq ans de plus que moi), le soi-disant « chamane » dont je la soupçonne d’être amoureuse. Comme à l’habitude, il ne se montre pas chaleureux à mon égard. Heureusement, je ne l’apprécie pas et suis jaloux, j’aimerais le provoquer en duel, montrer à Ramona combien je suis supérieur à cet avorton prétentieux. Il me fait monter dans une limousine avec chauffeur (chauffeur caché de l’extérieur par les vitres teintées et de l’intérieur par un épais rideau noir). Dehors, il fait nuit, il neige et gèle, dans la voiture c’est une fournaise, on se croirait dans un sauna. Mon jeune chamane m’annonce alors d’une voix lacunaire que je fais désormais partie des leurs et que commence officiellement ma formation. Il m’annonce que c’est lui qui va se charger de celle-ci… je suis déçu, je pensais que Ramona s’en occuperait personnellement mais c’est vrai que la logique veut que ce soit un homme pour un homme. Elle, coache les jeunes filles.
Après vingt minutes de route de nuit, mon compagnon claque des doigts ostensiblement et sort de sous la banquette arrière une jeune fille blonde à la poitrine généreuse. Elle nous servit du chocolat chaud avec déférence. Mon nouveau maître me demande si je la trouve à mon goût. Difficile de dire le contraire, la créature a des courbes parfaites, de longues jambes et est en sous-vêtements de dentelle noire, je suis déjà en érection. Tout dans le corps de cette créature frêle et pâlichonne renifle la soumission. Ses grands yeux très clairs semblent humidifiés de larmes. Mon nouveau maître met jouer de la musique. Un lourd beat sensuel de R’n’B se met à résonner à fond la caisse et la meuf enlève son soutien-gorge et se met à danser lascivement, la croupe tendue vers nous. La limousine a beau être très spacieuse, notre danseuse n’arrive pas à se tenir debout dans celle-ci, elle est donc toujours penchée en avant, ce qui fait ressortir sa lourde poitrine et son admirable fessier. Un fessier qu’elle agite avec brio sous notre nez, à portée de nos mains. Je n’ose pas la toucher, il m’est pourtant de plus en plus difficile de retenir ma volonté de la fesser. Je n’en fais rien car j’attends les consignes, je me dis qu’il se peut que l’on cherche à éprouver ma résistance. La jument slave tortille son cul de plus en plus près de moi, jusqu’à presque fourrer mon nez dans sa raie où la ficelle du string est tellement enfoncée qu’on ne la voie plus. La seule réaction que je m’autorise est celle d’humer à pleins nasaux ce qui se présente en essayant d’en imprégner tout mon corps en manque. Notre showgirl se retourne alors et vient cette fois-ci agiter à notre figure ses deux magnifiques mamelons aux tétons généreux entourés d’une auréole toute lisse et rose tendre. Je croyais préférer les peaux bronzées mais je me damnerais là pour cette peau blanche immaculée semblant territoire inviolé. Un autre titre se met à jouer, beaucoup plus rapide, les mouvements de notre danseuse privée se font différents, beaucoup moins langoureux. Ses seins s’agitent à toute vitesse comme si elle baisait frénétiquement. Elle me lance un regard incendiaire et colle ses deux globes mammaires de chaque côté de mon visage. Je suis étouffé au milieu des seins avec lequel elle me gifle. Le moelleux ferme de ces nibards comble mon cœur d’enfant. Je ne suis pas friand de cette expérience inédite, certes le contact de ces seins sur mon visage est un pur ravissement mais elle me serre trop et la sensation d’étouffement gâche le plaisir, je fais de mon mieux pour ne pas montrer que je suis au bord de la panique. Fort heureusement, elle met fin à son manège avant que cela ne devienne pour moi définitivement insupportable. Elle se retourne alors et fait bouger ses fesses de manière spasmodique et effrénée à la manière des bitches de Snoop Dogg et Dr D.R.E. (une spécialité plutôt afro qui est là pourtant bien réalisée par cette garce de coton-tige). Le spectacle devient encore plus chaud lorsqu’elle retire la ficelle de sa raie culière, nous offrant tout le spectacle de son intimité. La ficelle sur le côté, nous pouvons admirer en gros plan son sexe et son tout petit trou semblant presque hermétiquement fermé. Sa fente est sèche, ce qui est un peu décevant et étonnant (il fait une telle chaleur dans cette voiture, je dégouline de partout et il me semble que ce serait le cas même sans le spectacle érotique), ses lèvres sont tendres et fines, d’un rose de nouveau-né aussi tendre que ses tétons. Elle est intégralement épilée (ce que j’apprécie, quoique j’aurais aimé voir pour la première fois en vrai des poils pubiens féminins blonds, j’ai l’impression que mon aversion pour la pilosité dans l’anatomie féminine serait moins forte en blond), son clito est minuscule, il faut pencher la tête d’une certaine façon pour le voir. Alors que je me disais qu’il était cette fois-ci établi qu’il ne s’agissait pas de teasing mais qu’il y aurait bien de l’action dans cette voiture, nous ralentîmes et, immédiatement, notre stripteaseuse remit en place son string.

Une fois la voiture stoppée, je pris une grande respiration en essayant de retrouver mes esprits. La tentatrice repartit se terrer dans la trappe sous la banquette arrière où elle s’installa en position fœtale. Mon compagnon referma la banquette en ricanant, il m’annonça que nous étions arrivés à ma résidence Russe et que je devais prendre mes affaires. Quand j’estimais mes sens à peu près apaisés, je me jetais hors de la luxueuse voiture.
Je vais dans l’imposant coffre retrouver mon modeste bagage qui a dû être bien balloté durant le trajet.
Je suis accueilli à l’hôtel où je vais passer la nuit par Ramona. Elle est toute heureuse de me voir et je dirais même un peu excitée. Cette nouveauté dans son comportement m’enchante même si je me fais un devoir de lui faire la gueule, je n’ai pas avalé qu’elle ne soit pas venue me chercher à l’aéroport et je compte bien pour la peine lui faire avaler autre chose. Elle me dit de la rejoindre en bas dès que je me serais installé. Je me dépêche de mettre mes affaires dans ma chambre pour redescendre en courant la retrouver. Je suis déçu au passage que le lit qui me soit attribué soit un lit une-place dans une chambre simple. Dans l’euphorie, je me dis qu’après tout, nous y serons plus serrés l’un sur l’autre. Elle me reçoit dans un petit cabinet à l’entrée du bâtiment, je me prends à rêver mais la chute est brutale, c’est pour l’argent. Elle demande à ce que je la paye tout de suite, elle n’est pas très à l’aise de me demander ça. Je sors ma grosse liasse de biftons, même en billets de 500 euros, cela représente un certain volume de papier. Elle ne me fait pas l’affront de recompter, dit qu’elle connait ma loyauté. Elle voit ma vexation, elle me fait un clin d’œil mi-gêné, mi-complice, mi-coquin. « Ne t’inquiète pas, tu seras pas déçu, tu vas vivre beaucoup de choses que tu ne croyais possible que dans tes rêves, tu vas découvrir beaucoup de nouvelles choses, tu ne seras plus jamais le même ». Sur ces mots, elle prend congé de moi et monte à l’étage tout en haut où je suppose qu’elle a ses quartiers.
Mon mentor m’attend dehors, je le retrouve et il m’annonce que nous devons maintenant nous rendre chez Biven Mamonta, le responsable international de la diffusion et du recrutement. Celui-ci va m’expliquer ce que j’ai à savoir. Je n’ai jamais vu cet homme qu’en photo mais on m’en a fait des récits redoutables, c’est un homme assez âgé, chauve, libidineux, doté d’un regard perçant et intimidant. Je connais son goût pour la chair bien fraîche.
Nous prenons la route et cheminons sur un peu plus d’un kilomètre jusqu’à arriver à une masure lugubre. Nous entrons sans frapper dans cette habitation, cela sent l’encens et des herbes fortes qui me tournent un peu la tête. Nous allons au fond de la pièce principale et mon maître frappe à la porte. Une voix grave rugit un mot bref probablement en Russe.Nous entrons dans la petite pièce et la scène s’offrant à ma vue me laisse la mâchoire par terre. Biven Mamonta me regarde fixement et fièrement, il est nu, se tient debout, bedaine tombante sur le menton d’une jeune disciple Mexicaine de Ramona que je reconnais malgré sa position. Celle-ci est nue elle aussi, elle est étendue sur une table et totalement soumise à Biven qui lui baise la gorge tout en lui serrant le kiki de l’étau de sa grosse et forte paluche. Le pénis fort large du Russe est totalement disparu dans la bouche asservie. Bouche surréalistement déformée tandis que le nez de la malheureuse est complètement aplati dans l’épaisse couenne pendante en bourrelets. Ses yeux semblent appeler au-secours mais elle est tout bonnement incapable de produire un son. J’étais très satisfait de voir cette fille ainsi, lorsqu’elle était venue en France assister Ramona pour un séminaire j’avais beaucoup rêvé d’elle et Ramona se livrant à un duo sur ma bite. Elle n’était pas trop à mon goût (trop jeune, trop plate, trop fade, trop pâle) mais ce qui m’excitait au plus haut point était la façon dont la traitait Ramona, elle la traitait sans aucune considération, comme une véritable esclave. Cela me faisait d’ailleurs fantasmer à ce que ma belle puisse forcer cette jeune sotte (je ne savais pas quel âge elle avait mais semblait vraiment très jeune) à la gorge profonde sur mon sceptre. Un fantasme qui tombait là à l’eau… Visiblement, elle n’avait pas besoin du moindre cours en la matière et il n’y avait plus rien à forcer pour un mec comme moi. Biven ne détachait pas son emprise, bien au contraire la ressentait encore, il me lâcha du regard pour toiser la proie qui était entre ses griffes. J’eus un violent et merveilleux frisson dans tout le corps : mélange de plaisir, de satisfaction sadique et de terreur. La teen latina n’en pouvait vraiment plus, elle devint de plus en plus cramoisie, puis carrément violette. Ses veines ressortaient sur la peau de ses joues en arborescence, elle était monstrueuse. Comme tout mâle qui se respecte, je n’avais aucune envie de la secourir, j’aurais même eu la sotte pulsion d’aider à lui tenir fermement la tête pour ne pas qu’elle puisse se dégager et repousser au plus extrême la limite.
Dans un dernier sursaut de survie, ma jeune amie réussit à faire vaciller quelque peu l’emprise du « grand chamane » qui consentit à la laisser se dégager. Dès qu’elle fut libre du gourdin l’étouffant, la pauvre jeune latina se retourna le plus vite qu’elle put pour dégueuler sur le sol. Un haut-le-cœur plus violent que les précédents la fit tomber au sol où elle se reçut piteusement dans son vomi. Elle dégueula encore et encore, c’était surtout de la bile mais on pouvait aussi y voir des morceaux de courgettes et parfois quelques grumeaux plus sombres. Ses yeux étaient explosés, elle tremblait, pleurait. Une fois qu’elle eut fini de régurgiter, elle haleta encore un long moment comme une agonisante. Les trois salauds que nous étions rigolions grassement avec vifs satisfaction et ravissement de la voir ainsi. Petit à petit, la petite disciple reprit sa respiration et ses couleurs normales. La bite du sieur Mamonta est vraiment énorme, encore bien plus qu’il ne m’avait semblé au début. Lorsqu’elle fut recrachée, cela paraissait incroyable qu’elle ait pu disparaitre. Ce bâton de chair luisant de bave et de sucs gastriques était vraiment monstrueusement impressionnant, de quoi donner des complexes. Je n’avais jamais rien vu de tel en vrai, la p’tite puta devait l’avoir jusqu’à l’estomac, vu sa morphologie miniature. Mon coach personnel souleva ma jeune amie avec une facilité déconcertante et la reposa sur la table en prenant soin de ne pas marcher dans le dégueulis ni se salir. Il la plaça le cul en l’air et Biven pressa immédiatement son énorme gland sur l’anus de la pupille de Ramona. Il la pénétra à sec, ce qui ne se fit pas d’un coup, il a fallu rudement forcer. L’enculée avait un air terrorisé et poussait des plaintes déchirantes avec le peu d’énergie qui lui restait. Tandis qu’il la pilonnait tranquillement jusqu’aux couilles, notre boss s’était retourné vers moi et le plus naturellement du monde m’exposait ce que j’avais à faire. Il insistait sur le maintien de la condition physique que j’allais travailler avec mon coach personnel. . Il m’expliqua le recrutement, me dit que j’avais jusque là fait preuve de remarquables aptitudes en la matière, que l’on allait me parfaire pour le rôle, que je serai officiellement recruteur et instructeur de portée nationale pour la partie centre de la France. Puis, il cessa de s’exprimer dans son anglais de cuisine et dit quelque chose en Russe qui vraisemblablement nous invitait à quitter les lieux.
Nous sortions du bureau où le bourreau poursuivait son office tandis que sa victime semblait de plus en plus faible, dans la dernière image que j’ai eu d’elle avant que mon maître ne ferme la porte, il me semblait voir ses yeux tout blancs sans pupille, je pensais qu’elle était peut-être tombée dans les pommes. Mon mentor, impassible, m’invita à le suivre jusqu’à l’Ashram en lui-même où nous allons festoyer ce soir. Festoyer, festoyer… me dis-je, j’espère qu’il n’est pas seulement question de bouffe… parce qu’avec toutes ces émotions, c’était vraiment un supplice de ne pas pouvoir se vider les couilles.
A 100 mètres sur la droite se tenait la fameuse bâtisse dont on trouvait les images sur le net. Ce dont on ne se rendait pas compte sur les photos, c’était qu’il y avait devant celle-ci un immense parking. Un parking d’une centaine de places peuplé par quelques autocars, des rutilantes Benz, des voitures de course, des 4*4 Range Rover et d’autres limousines extra-longues. Tous ces véhicules étaient très bien cachés, aucun angle ne donnait sur eux de la vue, et une toiture les recouvrait, une toiture semblant recouverte de terre se fondant sûrement dans le paysage vu d’en haut.
Nous entrâmes, je retrouvais une jeune ukrainienne blonde à l’entrée, je la trouvais toujours aussi vulgaire malgré sa meilleure volonté à se montrer gentille et élégante. Nous étions dans un long corridor sombre empli d’odeurs d’encens. Nous laissions nos chaussures là au milieu de centaines d’autres (minimum, on ne pouvait pas tout dénombrer dans la pénombre). Il y avait aussi différents types de godes alignés sur les bords de la pièce. Nous ôtames nos vêtements pour enfiler des robes de chambre blanches floquées au « S» doré de Sotchidanandana. Nous allions passer la porte de la pièce d’où nous entendions les clameurs et la musique et d’où nous voyions la lumière. A ce moment-là, mon mentor crut bon de me prévenir que j’allais là reconnaître des gens, qu’il fallait bien entendu que je ne manifeste aucun signe particulier envers eux et que je n’évente jamais leur présence ici. Il me prévint aussi que nous pouvions être filmés à tout instant, qu’il y avait en permanence des vidéos tournées de nos fêtes. Des vidéos qu’ils revendaient ensuite sous le manteau dans le monde entier. Il me confirma que c’était bien là une des sources premières de la colossale fortune de l’organisation.
A l’entrée dans la pièce, c’est une explosion de délices visuels qui s’offrent, le tableau est merveilleux, c’est une vision céleste. Au fond à droite, des créatures de rêve exécutent en sous-vêtements des danses du ventre, recouvertes de paillettes et de bijoux (cascades de bracelets de poignets, de chevilles, de tailles qui retentissent tel des sons ensorcelants et désaltérants), d’autres sucent avidement toutes sortes de mecs, d’autres encore se gouinent ou se font gang-banguer en poussant d’intenses râles d’extase… Toutes sont hyper-surmaquillées comme il sied au goût du Maître Altay-Chi, avec des particularités égyptiennes issues de la tradition de Cléopâtre. Le seul bémol, c’est que toutes les odeurs d’encens ne parviennent pas à gommer les forts relents de foutre qui imprègnent la pièce. Du foutre qu’avalent copieusement deux jeunes sœurs jumelles coincées contre le mur sur la gauche tandis que défilent les shooters. En guise de victuailles sont disposés de ci-de là des verres de tisane et autres thés, des fruits secs et des potions épicées, tout ceci est toujours signalé comme défendu aux femmes qui doivent selon la formule se contenter du « suprême nectar Divin inégalé » (le sperme, bien sûr). Il y a effectivement différentes personnes filmant les différentes scènes qui s’offrent en kaléidoscope et que mon cerveau ne peut pas appréhender toutes en même temps. Parmi les hommes présents, je reconnais certains hommes politiques et autres stars du sport ou du showbiz’ ainsi que de célèbres hommes d’affaires. Nous sommes au moins 300 dans cette pièce. Ce qui m’attirent le plus l’attention est peut-être les filles qui sont à deux sur une queue, se roulant des pelles leurs langues entremêlées autour de celle-ci ou alternant les caresses entre dard et testicules. Des filles contorsionnistes expertes en yoga font des figures improbables de leur corps tout en offrant leurs orifices à des pénétrations sauvages, beaucoup de celles-ci ont dans ces acrobaties la tête en bas tandis qu’on leur défonce la bouche et je me demande bien comment peuvent-elles tenir ainsi... Il y a des filles nues dont le corps semble avoir été conçu industriellement, elles sont aussi phénoménalement larges de tour de poitrine qu’elles sont fines de tour de taille, qui dansent autour de barres tout en prenant soin de temps à autre de téter les glands enfiévrés se tendant vers elles. Toutes les femmes sont appelées « déesses » dans l’organisation mais pour le coup c’est ô combien justifié. Les cameramen sont les seuls hommes avec nous deux à ne pas avoir laissé tomber à terre les robes de chambre. Cette fois-ci, je n’attendrais même pas la permission de mon maître, je m’empressais de défaire la ceinture de la robe de chambre. Mon mentor émit un léger bruit désapprobateur, je me retournais vers lui en m’inquiétant « je suis censé regarder seulement ? ». « - Non, bien sûr, tu vas pouvoir en croquer. Mais pas comme ça, n’importe comment… Qu’allais-tu faire là présentement ? ». C’est vrai que je n’avais pas réfléchi à la question, une fois ma bite sortie, je me serais laissé guider par elle. Un peu hagard, je lui demandai « Que dois-je faire ? ». Il me dit de me calmer, ce qui m’énerva. Puis il me dit que je devais être baptisé, reçu cérémonialement par la « communauté du bonheur ». Il fit alors un signe au groupe de filles en proie aux activités saphiques. Deux d’entre elles accoururent vers nous. La blonde des deux était vraiment très souriante et d’aspect très candide, mon mentor lui parla en Russe et elle se retourna vers moi, admirative : « Tu es Français ? Ca manque par ici… J’adore la France ! » . Je lui souris bêtement, je pensais : « J’espère surtout que t’aimes la saucisse française… » (d’autant qu’elle est si petite que mon sexe bandé n’est pas loin de lui toucher le menton). Mon mentor me fait un signe d’assentiment, je me défais du peignoir et pointe ma queue qui n’en peut plus de toute cette excitation.
Cette pétasse me sourit béatement et se penche pour commencer à lécher mon chibre. Je dois me contenir sacrément pour ne pas me laisser aller à lui mettre tout de suite au fond et éjaculer en vitesse. Cette blonde que je trouvais assez peu appétissante (le genre que l’on voudrait surtout punir) se révèle être une excellente suceuse, elle n’oublie pas de me stimuler le moindre recoin de peau de mes chairs intimes, elle est vive tout en étant délicate. Elle semble synchroniser ses mouvements avec celle de l’érotique musique lounge oriental. Sa pipe devint même hautement prodigieuse lorsqu’elle commença à me prendre en bouche jusqu’aux couilles qu’elle léchait avec malice. Je croyais qu’elle atteignait le must, mais la petite poupée Barbie n’avait pas encore sorti son arme fatale… Ce fut bientôt du travail à la Annette Schwarz qu’elle exécuta, elle me prit l’ensemble bite-couilles dans la bouche et me suça le tout en va-et-vient réguliers. C’était vraiment divin, je me sentais enfin comblé, honoré à ma vraie valeur. Cela me faisait pourtant un peu mal, mes couilles étaient tirées au maximum par sa bouche-vantouse assoiffée et cela était d’autant plus douloureux que mes joyeuses n’étaient pas habituées à telle noce. Je me mordais bienôt les lèvres pour ne pas lâcher un râle de douleur au milieu de mes grognements de plaisir. Je me dois de minimiser le talent de ma fellatrice de poche en signalant que l’entreprise n’est pas si exceptionnelle que dans le cas d’Annette et consors pour la raison que je suis à peine doté des réglementaires quinze centimètres. La brune plus grande qui était venue avec elle ne participe pas à l’ébat mais s’est mise aussi à genoux devant moi et me regarde comme si j’étais la huitième merveille du monde et admire mon membre viril comme si elle me trouvait bien monté (moi qui ne soutiens pas la comparaison avec beaucoup d’hommes ici). Je sens que je ne pourrais plus me contenir et attrape ma travailleuse par les cheveux bien près du crâne et lui tire sèchement la tête en arrière. Celle-ci allait émettre un râle de stupeur et de douleur mais s’arrête pour articuler un roucoulement crétin qui m’excite au plus haut point. Je prends ma pine dans ma main et me branle vigoureusement en visant en plein dans sa gueule (dans les yeux, c’est ça le top). Pour la première fois, je vais pouvoir me laisser aller à ça, elle n’oppose aucune résistance, tend même son visage en offrande. Mes jets ne me déçoivent pas, ils sont massifs et repeignent littéralement la gueule de mon ingénue. Elle avait maintenu la bouche grand ouvert en cherchant à en récupérer au maximum, elle a de quoi manger mais en a autant dans les cheveux, sur le nez, le front, les joues et les paupières (une fois la jouissance retombée, je me dis même que j’aurais pu mieux faire, j’aurais pu lui maintenir les yeux ouverts sous la douche, là elle avait instinctivement fermé les yeux… bah, pour une première fois on ne peut pas tout avoir et qu’ elle ait maintenant les yeux fermés collés par ma glu n’était pas mal non plus). J’observais le jus de mes couilles couler sur le long du visage de ma cible avec la satisfaction d’un peintre venant de réaliser un chef-d’œuvre, rien n’était épargné. Sa copine brune aux seins plus développés sauta alors sur ma queue pour la nettoyer en bonne et due forme (quel régal d’être enfin avalé par deux femelles ! ). Puis, elle me demanda qu’est-ce que je voulais faire maintenant, je répondis que je voulais le cul de celle que je venais d’arroser mais avec elle pour me sucer les couilles en même temps. J’espérais ne pas avoir les yeux plus gros que le ventre, pour une première expérience anale, c’était peut-être un peu beaucoup, j’allais sûrement éjaculer presque immédiatement. La brune m’ouvrit le fessier de sa copine qui n’avait pas pu s’essuyer la gueule, elle téta l’œillet sombre et je m’introduis sans difficulté dans l’intimité rectale de la jeune cruche blondasse. Celle-ci poussait de petits cris stridents ridicules tandis que son amie parcourait toutes mes bourses d’une langue agile experte. L’enculée gisait au sol le cul en l’air et je m’avachissais lourdement sur elle à chaque coup de rein, c’est comme ça que je concevais la sodomie dont j’avais tant rêvé, c’était la position idéale. Quelle joie physique et mentale d’être enfin enculeur ! Ce conduit resserré était encore plus jouissif que je ne le pensais et cette impression de creuser un tunnel avec sa bite, quel bonheur ! Me disant que personne ne comprenait le français, je me lâchais à proférer à mes deux partenaires toutes sortes d’insultes que l’on n’oserait jamais formuler à quiconque comprendrait, des plus crades aux plus ridicules en passant par les plus improbables, je ne cessais de dire aussi « vous aimez ça, la saucisse française, hein ? ». La brune comprenait sans doute à mon ton qu’il y avait une question et me répondait par des espèces de glapissements d’approbation. Je m’arrêtais net lorsque je vis la porte s’ouvrir et Ramona entrer. Je restais figé, la queue ayant même subitement ramollie (ce qui la fit sortir du trou de balle de la blondinette). Non seulement, elle parlait français et il me fallait donc reprendre mes esprits mais surtout je me demandais brusquement qu’est-ce que j’étais en train de faire… Car, après tout, je n’avais que faire de ces deux greluches et de leurs culs et bouches, c’était elle Ramona, que je désirais, seule elle m’importait vraiment, je voulais qu’elle soit à moi mais aussi être à elle. La confusion me gagna, j’aurais voulu rentrer sous terre. Ramona garda son peignoir, elle était venue accompagnée de deux jeunes filles qu’elle tenait en laisse et qui étaient entrées nues à quatre pattes. Elle les montra à mon mentor et s’éclipsa sans m’accorder un regard. Les deux arrivantes au cou entravé étaient magnifiques mais n’étaient pas dans l’ambiance euphorique, des hommes leur sautèrent dessus de part en part et elles semblaient passer un mauvais quart d’heure. Je sentis brusquement comme un serpent se tortiller sur ma couille droite et pris peur. Je me dégageais soudainement, mes deux partenaires me regardaient interdites. C’était tout simplement la langue de la brune que j’avais sentie mais je m’étais tellement coupé de la situation que j’avais totalement oublié celle-ci et la réalité du moment m’était revenue de manière incompréhensible. Pour ne pas perdre la face, je me mis à me branler pour me faire redurcir. Je fis alors signe à la brunette de s’approcher, j’allais juter pour en finir au plus vite de cette situation qui ne me plaisait plus du tout, d’autant que je n’avais qu’une idée en tête : où était Ramona, que faisait-elle ?
Je me finis face au ravissant visage de la brune, je n’étais même pas à ce que je faisais, mon filet de sperme fut très peu fourni et tomba mollement dans le cou de ma partenaire qui en parut désolé comme si elle avait commis une impardonnable faute. Je la réconfortai par une caresse dans les cheveux comme on le ferait à un bon toutou et je ramassais ma robe de chambre pour m’en vêtir. Ma brune me courut après à genoux pour me nettoyer la teub, c’est vrai que c’était mieux ainsi, au moins ça ne collerait pas et de tout çà il n’y aurait plus sur moi la moindre trace. Mais je n’éprouvais même pas de plaisir à ce qu’elle pourlèche ainsi la queue sortant du trou du cul de sa copine, une cavité qui ne semblait pourtant pas impeccablement propre. Je ne comprenais plus la scène, toutes ces extases qui s’entrechoquaient les unes les autres dans tous les coins ne me procuraient plus l’euphorie de tout à l’heure. Je voyais maintenant dans tout cela quelque chose de sinistre et tous ces hommes qui éructaient et exultaient me semblaient vulgaires, dégueulasses, immondes. Ça ne sentait pas que le foutre, ça sentait la sueur, la mauvaise haleine. Je voulais fuir. Quand il me vit habillé de nouveau, mon mentor se dirigea vers la porte d’entrée et m’y attendit. Nous sommes sortis de l’orgie, les deux qui avaient le goût de ma semence sur leurs papilles me regardaient ennuyées, elles se demandaient sans doute si elles avaient quelque chose mal. Elles ne seraient peut-être plus si enthousiastes à l’avenir à la vue d’un français. Nous fûmes dehors dans la nuit froide, l’air pur et pinçant me fit un bien fou. Je retrouvai mes esprits. Des cris de rapaces nocturnes résonnaient. La présence des grands arbres majestueux me remplit le cœur, le vent dans leurs branches était une vie puissante qui m’inspirait plus de respect que celle animant les biroutes.
Mon mentor semblait circonspect, il essayait de deviner mes pensées mais échouait visiblement. Il s’enhardit à me dire que ce n’était pas si mal pour un début, qu’il fallait y aller progressivement. Je lui demandai : « Tout ce sexe… sans aucune protection ! Vous n’attrapez pas tous le SIDA ou autres ?— Non, bien sûr que non ! Le haut niveau énergétique que nous maintenons par nos pratiques énergétiques nous immunisent, nous les hommes et les mentors femmes.— J’ai lu quelque part que Biven Mamonta était séropositif.Mon mentor rigole avant de me répondre :— Oui, c’est peut-être vrai, il est peut-être séropositif, et dans ce cas sans doute que nous aussi… Mais nous ne développerons jamais cette maladie en nous. Après, que les adeptes attrapent des maladies, ce n’est pas notre problème, aucune n’est irremplaçable et courir ce genre de risques fait partie de leur initiation. C’est un bon test, une sélection naturelle. Elles n’ont aucun problème avec ça, elles doivent tout abandonner à leur maître, elles lui ont confié tous leurs biens, leur corps et leur âme.Ma nausée revient quelque peu à ces paroles mais je me suis à nouveau carapacé. Je demande à mon mentor la suite du programme en état (je n’ose pas formuler de question au sujet de Ramona).« Il te reste les bâtiments annexes à l’Ashram à visiter. Ce que tu as vu n’est pas tout, ça c’est la partie qu’on exhibe : celle où s’ébattent dans l’allégresse les plus belles, les mieux dans leur peau, mais tout n’est pas si rose. Tu te demandes probablement où est Ramona en ce moment, elle est en salle de réception de la marchandise. Tu veux venir voir ? »
J’ai un peu peur de ce que je vais découvrir mais voir Ramona est résolument ce que je veux. Mon mentor me fait approcher d’une cabane glauque d’où sortent d’horribles répétitifs cris inhumains entrecoupés de gros sanglots, on dirait qu’on approche une salle de torture ou qu’une créature de l’enfer est en train de violer brutalement une vierge. Mon maître m’invite à regarder à travers une petite fenêtre sur le côté. Le spectacle que je vois me glace. Une jeune fille paraissant toute fragile et frêle se fait méchamment enculer jusqu’à la garde par… Ramona, munie d’un gode-ceinture d’une taille monstrueuse (l’engin bleu marine semble encore plus gros que le braquemart de Biven, la seule consolation pour la pauvre fille est que les coups de hanche de Ramona sur ses fesses sont bien plus lights que ceux qu’elle prendrait avec le quintal chamane). Je claque un peu des dents devant une telle violence, mon esprit nage en confusion : comment une créature si féminine peut-elle se livrer à une telle pratique ? comment puis-je toujours vouloir d’elle-même en assistant à telle spectacle ? Ma belle se montre d’une violence inouïe, une lueur sadique impressionnante éclair ses si beaux yeux. Je demande des explications sur ce qui se passe à mon mentor, il me répond que c’est une vierge que l’on vient de recevoir comme esclave, elle vient tout juste d’avoir l’âge adulte et ses parents ne voulaient plus l’entretenir, ils l’ont vendue à l’organisation. Je demande pourquoi est-ce que c’est Ramona qui se charge de son bizutage et pas un homme et aussi pourquoi s’en prend elle à son fion et non à sa chatte. Mon mentor affiche un air amusé : « C’est une vierge, m’explique-t-il, seul le maître a le droit de la dépuceler et il n’est pas là en ce moment, elle ne peut donc être prise que par l’entrée de derrière. Et c’est Ramona qui s’en charge parce qu’elle aime bien et que c’est plus édifiant pour une jeune fille de subir cela de la part d’une femme, cela ne la pousse ainsi pas à se rebeller contre les hommes en s’inventant une guerre des sexes. Des fois, nous faisons aussi faire cela par un animal, c’est alors Ramona qui guide la verge bestiale dans le rectum de la recrue». La seule question qu’il me reste est « Pourquoi si gros ? ». La réponse se fait un peu attendre « Ramona n’aime pas faire les choses à moitié et elle aime exercer sa puissance, elle aime faire souffrir les autres femmes… comme beaucoup de femmes, ce qui restera toujours un mystère pour nous. Elle est aussi surtout très cruelle avec les femmes plus jeunes car le maître la délaisse depuis bientôt dix ans pour ne se consacrer qu’à des jeunesses, elle le vit très mal et aime se venger de cette mise en quarantaine. Viens, je vais continuer ta visite». Il m’entraîne vers une grande villa d’où proviennent des lueurs bleues, il semble que l’on y regarde la télé. Cette fois-ci, nous ne nous cachons pas et regardons à l’intérieur à travers la baie vitrée. Cette villa est pleine d’une douzaine de femmes à moitié-nues, elles semblent toutes en transe et se gouinent en utilisant pour certaines toutes sortes de sextoys. Elles regardent sur un écran immense des images d’Altay-Chi. Je demande là encore des explications. Elles viennent vite :« Ici, c’est le harem réservé du grand Guru, ces femmes sont amoureuses du maître et veulent se dévouer à lui, se battent inlassablement pour avoir l’insigne honneur de s’occuper de ses parties intimes. Elles ne vivent que pour lui, n’acceptent rien d’autre que de vénérer leur idole. Nous les plaçons sous vidéos du maître dès que celui-ci n’est plus à leurs côtés et forcément en ce moment… Heureusement, depuis que celui-ci est en prison, on à réussi à trouver une drogue qui les fait voir leur maître dans toute présence masculine, elles se mettent alors à vénérer et à sucer tout ce qui est de sexe masculin, tout, des ours, des chiens, des singes toi, moi, n’importe qui… D’ailleurs, j’ai sur moi un peu de cette drogue, si t’en as encore dans les couilles à vidanger, dis-le moi, tu vas voir c’est impressionnant. Sinon, on verra demain. »Je refuse poliment, l’idée de voir ces hystériques se battre comme des chiffonnières pour avoir le privilège de sucer ma queue ne me dit rien pour ce soir. Cette meute femelle me fait plutôt peur, être pour elle comme du miel pour des abeilles me paraît plus une punition qu’autre chose.
Dans tout ça, j’avais tout de même eu ma bonne nouvelle de la soirée : tôle ou pas, Ramona ne baisait plus depuis longtemps avec le grand maître. Ouf ! Cela apaisait quelque chose en moi.
Nous continuons la visite et arrivons dans un hangar semblant désaffecté. « Là, c’est une salle spéciale, ce sont toutes les femmes riches qui nous font d’importants dons, ce sont souvent des cougars, elles veulent des hommes jeunes et vigoureux qui soient à leur merci, à leur service, Ramon a pensé un moment que tu pourrais être un de ces hommes. » Charmant… J’enrage. Mon mentor ajoute : « Je l’ai corrigée en lui disant que tu n’étais pas un soumis mais plutôt un dominant ». La pilule passe encore plus mal, non seulement Ramona me voit comme un toutou mais en plus c’est ce type que je n’apprécie pas qui semble mieux me connaître qu’elle à qui je partage tout. Nous ne nous arrêtons pas à ce bâtiment, n’allons pas regarder à l’intérieur. Nous marchons dans un sentier escarpé, il fait de plus en plus sombre, je me demande si mon mentor n’a pas pour but de me perdre, il semble que nous soyons au milieu de nulle part et je ne saurais pas capable de retrouver le chemin de l’hôtel.
Nous arrivons alors bientôt à un grand portail. Un homme rasé à la mine patibulaire et aux biceps imposants garde la porte. Il est plus grand que moi d’une demie-tête. Il se marre comme une baleine, je comprends bientôt pourquoi… En fait, devant lui se tient une fille nue à quatre pattes qui tient dans sa bouche un morceau de bois. Celle-ci est traitée en chienne et va chercher dans la nuit le bâton que l’homme lui lance, elle le ramène docilement et le pose à ses pieds. L’homme, voulant peut-être faire le malin devant nous, se met cette fois-ci, au lieu de renvoyer le morceau de bois, à envoyer de rudes coups de pied dans les côtes saillantes de la malheureuse « chienne » qui réprime ses cris en baissant la tête. Pour le coup, si l’homme n’était pas si musclé, j’interviendrai en faveur de la femme diaphane.
Je tourne le dos à la scène en hâtant le pas. Une fois passés devant le portail, je demande à mon instructeur où nous allons maintenant, il me répond qu’il se fait tard et que nous poursuivrons la visite et l’apprentissage le lendemain. Il me fait alors remarquer avec un sourire en coin que je ne suis pas allé aux toilettes depuis mon arrivée à l’aéroport et que si j’ai pu soulager mes couilles, je n’ai pas pu en faire autant de ma vessie. Il se retourne alors vers le portail et appelle sèchement « Alexandra ! ». Une pin-up blondinette aux lèvres fort pulpeuses sort de la nuit. Je me demande où était-elle tapie, elle est vêtue d’un lourd manteau de fourrure, peut-être un vison, je suis scandalisé ! (peut-être aussi est-ce un faux, je n’y connais rien…). La créature autour de nous comme une enfant que l’on va gronder, mon coach lui dit quelque chose en Russe. Immédiatement, elle cesse son manège et vient se tenir devant nous juste dans un filet de lumière produit par l’alarme du portail. Elle nous fixe alors dans les yeux avec un regard voluptueux, le ciel de ses yeux est d’un clair majestueux. Elle laisse tomber soudainement ce qui semble être une épaisse peau de bête. Dessous, elle est entièrement nue et épilée. Elle s’agenouille ainsi dans la neige et cambre son corps en une pose d’abandon total. Mon mentor déboutonne sa braguette et sort son sexe que je n’avais encore jamais vu, il ne semble pas beaucoup mieux loti que moi mais je ne me rends pas bien compte car il n’est pas en érection. C’est une nouille pendante qu’il tend vers la créature de rêve offerte à nos pieds. Une nouille dont il va bientôt sortir un gros jet d’urine malodorante qui atteint la miss juste sous l’œil droit, celle-ci ne peut s’empêcher de se pencher en arrière pour protéger son œil. Je sors à mon tour mon zob, qui est quant à lui à moitié dur, et lui pisse dessus. Elle ouvre alors la bouche. Voir sa bouche asservie s’emplir de mon urine me donne des frissons de volupté dans le bas du dos. Enfin, je pisse sur une femme ! un de mes rêves ultimes depuis que j’ai 14 ans. Je n’ai effectivement pas soulagé ma vessie depuis mon arrivée et e peux allégrement , après lui avoir servi le digestif qu’elle a bien avalé, l’arroser méthodiquement : les seins (qu’elle a bien redressés en forme de poire), les cheveux, le front. Je n’oublie pas de lui inonder les mains afin qu’elle ne puisse pas se défaire de mon odeur de mâle, son corps est mon territoire. Mon mentor n’a plus rien en magasin depuis un moment et a rangé le robinet, la créature de rêve est rien qu’à moi. Elle doit être gelée, l’urine chaude sur son corps produit une abondante fumée. Alors que je sens les dernières gouttes arriver, je m’applique à viser les narines et ne manque pas mon effet, elle se met à tousser, le liquide malodorant lui est passé dans l’arrière-gorge voire dans sa trachée. Je me dépêche de remettre mes bijoux de famille au chaud et la contemple encore un moment ainsi, elle est resplendissante, son corps commence à bleuir dans le froid, elle claque des dents. Mon compagnon s’aperçoit du moment où je commence à me lasser du spectacle et ordonne alors immédiatement d’un claquement de mains à la peelover de s’en aller. Celle-ci s’exécute en un temps record, se dépêchant au passage de se lover à nouveau dans son chaud vêtement.
« Maintenant, je vais te reconduire dans ta chambre où tu reprendras des forces pour demain. Réveil à l’aube ! » annonce mon mentor, il me pense satisfait, il me demande d’un air entendu si je suis heureux. Je prononce « oui » mais ce n’est pas du tout le cas, ce que je veux, c’est Ramona, qu’elle m’aime, qu’elle soit à moi et rien qu’à moi. Je crois que pour la première fois de ma vie je suis amoureux. La vie va prendre alors pour moi un tour nouveau et mon appréhension de l’existence humaine et de la sexualité seront toute différentes.
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