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La quête d’Asia

Chapitre 12

Week-end initiatique – première partie

Hétéro
Nue sous mon imperméable, je suis Monsieur dans l’ascenseur qui nous descend au parking en sous-sol pour un grand saut dans l’inconnu à tous égards. Je ne m’attendais absolument pas à ce scénario. Soudainement, j’ai l’impression de ne plus m’appartenir, de n’être plus maître de mon destin. Et ce sentiment ne m’est pas désagréable. En plus, je n’ai finalement rien à perdre et tout à gagner. J’ai juste à jouer le jeu en m’abandonnant corps et âme à mon maître.
Je suis terriblement frustrée. Sentir sa queue dans ma bouche, tout au fond de ma gorge, la pomper, recevoir son sperme sur mon visage, dans ma bouche, l’avaler… moi qui pensais ne pas aimer sucer un homme, tout ça m’a mise dans tous mes états. Je n’ai qu’une envie : qu’il me prenne. Sans ménagement. Brutalement. Par la chatte ou le cul, mais qu’il me baise enfin ! Hélas, je sais bien que ce ne sera pas si simple.
Nous roulons depuis un peu plus d’une heure en silence. Monsieur m’a juste demandé d’ouvrir mon imper. J’ai une envie furieuse de me branler mais évidemment je ne lui en fais pas part. Les appels de phares de quelques routiers après que nous les avons dépassés me laissent supposer qu’ils ont eux aussi profité du spectacle.
Alors que nous approchons de notre destination sur une route étroite en forêt, il m’explique sur un ton empreint de tristesse et de nostalgie qu’il a acheté cette chaumière isolée avec son épouse, elle aussi médecin, après quelques années d’exercice, quand leurs revenus sont devenus confortables. Ils venaient s’y réfugier pour fuir l’agitation parisienne presque tous les week-ends, accompagnés de Maïwenn et son jeune frère quand ils étaient enfants, puis tous les deux jusqu’à… Je sens une grande émotion dans sa voix. Il s’interrompt avant de reprendre.
Pendant presque trois ans, il n’y est revenu que par nécessité. Puis, quand il a commencé ses activités d’accompagnement un peu spéciales, il a progressivement aménagé et équipé une pièce dont lui seul a la clef.
— Tu vas avoir le privilège d’y accéder, conclut-il sur un ton redevenu dur, qui me laisse présager quelque chose de…spécial.
Nous franchissons une grille télécommandée et la voiture pénètre dans un petit parc bien entretenu : des arbustes décoratifs, des massifs, une mare couverte de nénuphars, des arbres. Au printemps, ce doit être magnifique, me dis-je en contemplant le paysage qui respire le calme et la sérénité. Aucun bruit ne vient troubler la quiétude du lieu, si ce n’est le chant de quelques oiseaux et le frémissement des feuilles mouillées agitées par une légère brise alors que la pluie a cessé.
Une fois la voiture garée sous un abri à quelques mètres de la porte d’entrée, Monsieur me tire de ma rêverie :
— Nous y sommes. Tu n’as plus besoin de ton imperméable.
Sans hésitation, je sors mes bras des manches. Pendant ce temps, il fait le tour de la voiture et m’ouvre la portière dans un geste d’une élégance que je n’ai jamais rencontrée.
— Suis-moi, je te prie.
Aussi nue qu’à ma naissance, en dehors du collier ras-de-cou et de mes bottines, je me dirige vers l’entrée en marchant un pas derrière lui. Curieusement, je ne me sens pas mal à l’aise. En ce lieu clos paisible et discret, qui incite à un complet lâcher prise, je suis comme dénuée de toute pudeur, prête à assumer ce que je suis et délestée du poids de ce sentiment de culpabilité qui m’habitait depuis de nombreuses années.
Après que Monsieur a désactivé le système d’alarme sophistiqué, nous pénétrons dans la demeure, directement dans un vaste séjour. Un carrelage rustique, de nombreuses poutres apparentes et une large cheminée dans laquelle je pourrais presque tenir debout créent une ambiance chaleureuse. Face au foyer, un coin salon avec deux confortables fauteuils, qui entourent une table basse en bois massif. Le tout trône sur un tapis de peaux de vache du meilleur effet. Le reste du mobilier est à l’avenant : vaste table encadrée par six chaises pour les repas, buffet, commode…

La décoration, sobre et de bon goût sur des murs blancs peints à la chaux, donnent un aspect lumineux à cette pièce malgré la grisaille qui règne à l’extérieur ce matin. Un comptoir en bois et pierres marque la séparation avec une cuisine américaine moderne, très bien équipée tout en respectant le style.
À l’opposé, une porte ouverte laisse entrevoir un vaste lit. La chambre de Monsieur, probablement. Enfin, une montée d’escalier indique clairement la présence de pièces à l’étage.
La maison est dans un état de propreté impeccable. L’ensemble de la propriété fait assurément l’objet d’un entretien régulier par des professionnels.
Je remarque la présence de caméras de surveillance. Pas un seul recoin ne doit échapper à leur vigilance. Comme s’il lisait dans mes pensées alors que mon regard saute de l’une à l’autre pour tenter de les repérer toutes, Monsieur se justifie :
— Après le deuxième cambriolage, j’ai installé moi-même le système d’alarme avec l’aide d’un ami sûr. Je peux tout piloter à distance par mon smartphone et accéder à tout moment aux caméras. En cas d’intrusion, elles déclenchent une alarme en se mettant automatiquement à filmer et je suis immédiatement alerté. Tu ne les as sans doute pas remarquées, mais il y en a aussi à l’extérieur pour surveiller les abords de la maison.
Il règne une certaine fraîcheur humide qui me fait frissonner. Peut-être Monsieur l’a-t-il remarqué car il me demande d’allumer un feu pour réchauffer l’ambiance pendant que lui-même s’assure que tout est en ordre par un examen minutieux du moindre recoin. Quand il entend le crépitement des flammes, il rajoute :
— Installe-toi à genoux, à côté du fauteuil de gauche, je me sers un apéritif et je te rejoins.
Même si j’ai perdu la notion de l’heure, mon estomac me dit que l’on ne doit pas être loin de l’heure du repas. Quand il fait son retour, je constate que Monsieur s’est changé. Il a revêtu une tenue plus confortable : un pantalon de jogging et un simple tee-shirt ont remplacé sa chemise et son pantalon. Il porte une mystérieuse sacoche noire qu’il dépose au pied du fauteuil, côté opposé à celui où je me tiens. Dans cette tenue qui le rajeunit, je constate qu’il a su conserver une allure svelte et sportive pour son âge. C’est vraiment un très bel homme doté d’une grande classe, duquel se dégage une grande autorité naturelle.
Une fois assis, sans même me jeter un regard, il contemple le feu qui danse d’un air absent. Il semble ailleurs, comme perdu dans des souvenirs dont je peux imaginer la teneur. Il sirote ce qui ressemble à un whisky. J’en boirais bien moi-même une bonne gorgée…
À nouveau comme s’il avait entendu mes pensées, il sort soudain de sa rêverie, pose les yeux sur moi et me demande.
— Tu aimes le whisky ?— Oui, Monsieur.— Tu en veux ?— Volontiers, Monsieur.
Il trempe son index droit dans le verre avant de me le présenter. Sans me faire prier, je le lèche. Le breuvage est puissant car ce simple contact emplit ma bouche et mon nez d’une saveur persistante, délicatement tourbée.
Il reproduit ce geste plusieurs fois et je tète désormais ce doigt avec de plus en plus d’avidité. J’enroule ma langue autour de lui et le pompe carrément dans un mouvement de va-et-vient à chaque passage. Yeux fermés, je m’imagine que c’est sur son pénis raide que je déguste le scotch.
Un coup d’œil discret me montre que Monsieur n’est pas insensible à ce traitement, si j’en crois la bosse qui s’est formée dans son jogging. Un étrange sentiment m’envahit, mélange de fierté de faire de l’effet à un tel homme et de puissance : je touche du doigt, c’est le cas de le dire, le pouvoir que je peux exercer sur la gent masculine.
— Tu es vraiment une petite allumeuse lubrique et délurée, me dit-il d’un air dépité alors que je m’acharne de plus belle sur son index. Je vais donc te traiter comme la gamine vicieuse que tu es. Va te mettre au piquet debout mains croisées sur la tête le temps que je commande un déjeuner.
Je me dirige très lentement vers un coin du séjour, entre une fenêtre et la cheminée, en tortillant du popotin, toujours juchée sur mes bottines qui accentuent ma cambrure. Une fois en position, je le devine pianotant sur son smartphone. Après quelques minutes, il m’annonce :
— On mange dans une petite demi-heure. Ça me laisse le temps de te chauffer un peu les fesses. Viens t’allonger sur mes genoux.
Le trajet de retour se fait tout aussi lascivement, de manière provocante. J’ai envie de cette fessée dont je rêve depuis plusieurs jours. Monsieur n’a encore jamais touché mon corps nu… en dehors de mon crâne pour me guider vers la perfection pendant que je le suçais. Je m’installe comme demandé et j’attends. Une raideur contre mon flanc gauche confirme mon constat visuel…
Il commence par me caresser et me pétrir vigoureusement les fesses. Hmm... comme c’est bon ! Puis je sens un objet froid au contact de mon anus. Un plug, en verre ou en métal, qui a l’air d’être plus volumineux que le premier. D’une poussée ferme, il le fait pénétrer sans trop d’effort en m’arrachant un sursaut.
Mais il ne s’arrête pas là. Je sens maintenant un objet à l’entrée de ma chatte. Volumineux. Très volumineux, même. Monsieur le fait pénétrer au prix d’une pression constante et soutenue. Même si je suis abondamment lubrifiée sous l’effet de l’excitation qui ne m’a plus quittée depuis que je l’ai sucé, les dimensions assez impressionnantes de l’engin alliées à la présence du plug dans l’orifice voisin ont rendu le conduit vaginal bien étroit. Je me sens remplie quand il arrive en butée contre le col de l’utérus !
La première claque qui s’abat très vite me prend par surprise. Elle est rapidement suivie d’autres, de plus en plus appuyées. Mes fesses commencent à chauffer et la sensation de prime abord agréable laisse peu à peu la place à une souffrance qui monte crescendo. Je me contracte de plus en plus fort sur le plug et le gode à chaque claque, ce qui déclenche à chaque impact une bouffée de plaisir de plus en plus intense dans mon ventre. Le mélange des deux sensations est étrange, désagréable et agréable à la fois.
J’essaie de rester silencieuse le plus longtemps possible mais, sous l’accumulation et l’intensité, la douleur devient trop forte. Au bout d’un long moment, je lâche un gémissement, qui se transforme rapidement en cri à chaque coup. C’est probablement ce qu’il voulait, me dis-je en ne cherchant plus à retenir mes larmes.
Alors que je me demande quand ce traitement va prendre fin, on tape à la porte. Monsieur s’interrompt et me dit simplement :
— C’est le livreur, va ouvrir.
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