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Assassiné !

Chapitre 2

Divers
La journée est calme. Personne pour me rendre visite. Je regarde sans me lasser les feuilles frémir dans la brise légère. Que fait Sophie ? Quand va-t-elle revenir dans la piscine que je puisse me récupérer ? Tout à coup le silence fait place à un brouhaha de conversations juvéniles et une demi-douzaine de garçons et filles déboulent sur la terrasse. — Oh ! T’as une piscine ! s’écrie une jeune fille qui s’avance sur la margelle. T’es un gros dégueulasse. T’aurais pu prévenir, Je me serais baignée avec grand plaisir. — Qu’est-ce qui t’en empêche Brigitte ? rétorque Maxime, le frère de Sophie dont je reconnais la voix. — Oh ! T’es encore plus vicieux que je le pensais ! Vous entendez vous autres ? Il voudrait qu’on se baigne à poil ! — Quel mal il y aurait ? plaide Maxime. Je t’assure c’est drôlement agréable. Demande à Josiane. — Josiane ? Tu… Tu as accepté de te baigner nue ? — Euh… J’avais pas de maillot… Euh… Il faisait chaud… Euh… Maxime a raison, c’est agréable tu sais, répond une autre voie féminine. — Et vous les garçons ? Vous dites rien ? Personne ne daigne répliquer. Je devine que ceux à qui Brigitte s’adresse ne sont pas opposés à admirer les filles à poil sans oser l’avouer, mais cela implique qu’ils se dénudent aussi… Je pense que j’aurais eu les mêmes hésitations ! Je sens des orteils pianoter sur le bord. Une personne puis deux, trois, six s’assoient et trempent leurs jambes dans l’eau. C’est drôle ces pieds qui s’amusent à me bousculer. Je tente de lancer mes ondes. Impossible. Tout ce que j’obtiens ce sont de ridicules vaguelettes et encore je ne suis pas sûr d’en être l’auteur ! Est-ce parce que je suis incomplet que je n’y arrive pas ou Sophie est-elle la seule avec qui je puisse communiquer ? Je dois me résigner au rôle de spectateur. J’identifie trois paires de chevilles féminines et trois mollets masculins dont ceux de Maxime, reconnaissables à un grain de beauté. Je ne perçois pas encore le reste des corps et ne tente pas de me soulever hors de l’eau. Pas question que la fatigue me fasse louper un épisode ! Maxime se lève. — Qui se baigne avec moi ? — Oh ! Mais c’est qu’il le fait ! Il se fout à poil ! s’exclame Brigitte. — Ce n’est pas agréable de conserver un slip mouillé sur soi, affirme-t-il en ôtant le sous-vêtement. Plouf ! Un fuseau bronzé me traverse. — Allez ! exhorte-t-il. Un peu de courage. Venez me rejoindre. L’eau est excellente. Josiane mon chou, montre-leur que tu es au-dessus de tout ça. L’interpellée après une brève hésitation se lève à son tour, se déshabille rapidement et plonge se cacher sous la surface. — Tu viens Brigitte ? demande-t-elle. L’eau est bonne je t’assure. — Ce que vous me faites pas faire ! Malgré sa révolte de façade la jeune fille s’empresse d’ôter ses vêtements et de glisser dans l’eau. — Oooh ! — N’est-ce pas que c’est agréable ? s’enquiert Maxime. — C’est… Euh… C’est la première fois…— La première fois que tu te baignes à poil ? Même pas à la mer ? — Oh non ! Tu n’y penses pas !
— Moi, insiste Maxime, j’ôte souvent mon maillot sous l’eau quand personne me voit. J’aime sentir le courant envelopper mes couilles. — Oh ! T’as pas honte de parler comme ça ! — Non ! Et je regrette qu’ici, dans la piscine il n’y ait pas de vagues. Ça c’est une idée ! Jouer avec les parties intimes du frère de Sophie… Ou d’autres mâles. Quel regret de ne pouvoir utiliser mon pouvoir sur les ondes. Je dois attendre d’être ‘complet’… Patience ! — Bon, assez parlé de moi ! Vous venez vous autres ? lance-t-il aux trois retardataires. Un garçon saute en de grosses éclaboussures. — Bien Cyril ! Je découvre un torse imberbe et une touffe de poils roux qui cache presque une verge au repos. Enchanté de faire votre connaissance jeune homme ! — Marc ! Qu’est-ce que t’attends ? Celui-ci plonge à leur tour. Même vision que son compagnon, à part les poils châtains et le sexe encore plus ratatiné. Il reste encore deux petites jambes qui égratignent l’eau. — Allez Annie ! Viens, t’amuser avec nous. Les pieds se soulèvent, hésitent, replongent pour sortir à la fin. Quelques secondes plus tard, un corps gracile glisse dans le liquide. Je m’amuse à comparer. Les filles d’abord ! Moi qui n’ai connu que Sophie, je suis gâté ! La poitrine de Josiane est la plus développée, les tétins de Brigitte les plus proéminents, les seins d’Annie les plus mignons, deux petits hémisphères quasi parfaits avec au milieu un bouton rose qui se fripe sous la caresse fraîche de l’eau. Coté ventre, rien à redire, privilège de la jeunesse. Les culs se ressemblent, lisses, ronds, bien en chair, peut-être un peu plus gros chez Brigitte. Des fesses, mon attention passe aux cuisses, bien galbées, la peau douce, sans aspérités, juste un grain de beauté près de l’aine d’Annie, ce qui m’amène tout naturellement à admirer leur puberté. La toison brune de Josiane déborde sur le haut des cuisses. Elle devrait se raser, cela doit dépasser quand elle porte un maillot ! Je dois m’infiltrer dans les poils pour découvrir des lèvres gonflées légèrement entrouvertes et plus loin la vulve rougie avec l’entrée du vagin d’où s’écoulent quelques gouttes de cyprine. Ça lui fait de l’effet de se baigner nue ! Le pubis d’Annie est à peine voilé de poils blonds clairsemés qui ne cachent rien de la fente si serrée que je ne peux m’introduire. Je me console en découvrant la chatte de Brigitte, entourée de poils châtains dont aucun ne dépasse le pli de l’aine. Elle se rase elle ! Oh ! La coquine ! La voilà qui glisse un doigt entre les lèvres et découvre un petit appendice qu’elle malmène d’un index précis. Je n’avais jamais vu de près un clitoris. Je devine qu’elle attend beaucoup de cette baignade imprévue. Aux garçons à présent ! Trois torses imberbes, Maxime le plus musclé, Marc le plus fin, à la limite de la maigreur. Trois ventres plats, les bouées de sauvetages, c’est pour plus tard ! Trois culs aussi lisses que ceux des filles mais plus nerveux, on devine les muscles qui se dessinent sous la peau. C’est coté sexe qu’apparaissent les plus grosses différences. La queue de Maxime dépasse des poils, le gland découvert. La verge de Cyril a gonflé depuis son entrée dans l’eau tandis que celle de Marc reste obstinément cachée au milieu de la touffe qui orne son bas ventre. Je suis aussi excité de frôler les attributs masculins que les fentes des filles. Qu’est-ce à dire ? L’état de fantôme rendrait-il bisexuel ? A l’inverse de moi, les six jeunes gens ne voient que leurs têtes qui dépassent, le reste des corps étant voilé par la surface miroitante. Je sens Annie se décontracter. — Attendez ! Je reviens tout de suite, s’écrie Maxime. Un rétablissement sur la margelle et le voilà dehors. Il disparaît de… J’allais dire « ma vue », mais c’est inexact puisque que n’ai plus d’organe visuel… De ma perception pour revenir avec un ballon qu’il lance au milieu de la piscine. Les garçons se précipitent. — A moi Cyril, à moi ! hurle Brigitte. — Non, à moi ! crie Josiane… Aïe ! Espèce de brute ! Tu perds rien pour attendre ! Elle envoie le ballon en direction de Brigitte mais c’est Maxime qui l’intercepte pour le lancer sur Marc etc. Les jeunes gens s’amusent comme des gosses qu’ils étaient il n’y a pas si longtemps. Ils en oublient leur nudité. La petite Annie, réservée au début, se met vite au diapason. Le jeu reste innocent, les contacts accidentels et vite corrigés. La surface de la piscine ressemble à une mer démontée en miniature. Je n’ai pas à regretter de ne pouvoir produire des ondes, les remous actuels les effaceraient. Je m’amuse à envelopper les corps lisses, mais je ne pense pas que dans l’excitation du jeu ils s’en rendent compte. Leur chair est ferme, la peau douce. J’entoure les tétins érigés, m’attarde sur les seins hémisphériques que la pesanteur n’a pas encore déformés, soupèse les testicules quasiment imberbes, tente de saisir les pénis souples qui échappent à mes semblants de caresse. Les cris poussés par les filles effraient les oiseaux du voisinage qui se taisent. Cela ne gêne en rien les baigneurs. J’ai une pensée émue pour mes congénères fantômes du jardin que le bruit doit déranger. Au bout de dix minutes de bataille acharnée, la fatigue tempère les ardeurs. Je souris : Les mains, se sachant protégées des regards par les ondulations de la surface, ne s’écartent plus aussi vite lorsqu’elles touchent une fesse, une poitrine, un ventre, une verge. L’atmosphère va changer, j’en veux pour preuve les queues dont le volume s’accroît, même celle de Marc. Maxime sous prétexte d’empêcher Josiane de lancer le ballon, l’enserre par l’arrière se colle dans son dos et pose les mains sur les seins. Annie reçoit quand même la balle. Cyril se précipite pour la lui faucher mais Marc plus rapide s’érige en défenseur de la jeune fille. Brigitte éclate de rire : — Nous sommes condamnés à nous entendre, n’est-ce pas Cyril ? — Condamnés, pourquoi condamnés ? lui rétorque le garçon qui nage vers elle. Les couples sont formés. A partir de ce moment, les choses s’accélèrent. Un observateur extérieur ne verrait que des têtes dont certaines commencent à s’embrasser mais sous la surface… Les mains de Cyril et de Maxime explorent le sexe de leur partenaires tandis que celle-ci s’amusent à rigidifier les queues des garçons. — Mais c’est qu’on a l’air de bien s’amuser ici ! L’irruption de Pierre, le père de Sophie, jette un froid parmi l’assistance. Seul Maxime s’efforce de relancer le jeu. Les trois filles se précipitent vers l’échelle. Elles s’arrêtent brusquement se consultant du regard. La même idée traverse leur esprit : Pas question de quitter la piscine et sa surface protectrice tant que le bonhomme est là. Pourvu qu’il s’éclipse rapidement ! Il n’en prend pas le chemin. — Martine, appelle-t-il, viens dire bonjour aux copains et copines de Maxime. Une femme d’une quarantaine d’année s’avance. Pierre que les mines gênées des gamines divertissent, se penche. — Qu’attends-tu Maxime pour nous présenter tes amis ? — Euh… Voici Brigitte, Annie, et Josiane que tu connais déjà, dit le garçon en les désignant. — Enchanté mesdemoiselles, sourit l’homme en s’inclinant. — Et eux c’est Cyril et Marc. — Cela me fait plaisir de vous rencontrer. Maxime nous a souvent parlé de vous, déclare Martine. — Est-ce que l’eau est bonne ? ajoute Pierre. — Excellente Papa. — J’ai bien envie de vous rejoindre, qu’en dis-tu Martine ? Il disparait de ma… Euh… J’allais dire vision, ce n’est pas exact, perception est plus conforme à la réalité. Annie se réfugie dans le coin le plus éloigné de la piscine où Marc la rejoint. Elle regarde stupéfaite dans la direction de Pierre. Je devine que le bonhomme se dévêt. — Tu veux pas te déshabiller ma chérie ? — Tout de suite, répond sa femme. Elle reste sur le bord, je la voie donc quitter robe soutien-gorge et slip. Les filles rougissent et les garçons écarquillent les yeux devant le ventre épilé où il ne reste qu’une touffe de poils sur la fente. Son mari pénètre dans mon champs de perception. Effectivement il est nu. Son sexe poilu bien gonflé, presque raide accapare les regards juvéniles. Le couple se glisse à l’eau et entame quelques longueurs pour se décontracter. Cyril peste contre l’intervention intempestive des parents de Maxime. — Quel besoin avaient-ils de venir ceux-là ! grommèle-t-il. Juste au moment où Brigitte se laissait enfin peloter ! — Que dis-tu ? demande celle-ci qui semble aussi fâchée que son copain. — Rien, je pensais tout haut. Je crois que je vais sortir. — J’espère que vous n’en ferez rien, intervient Pierre. Continuez à vous amuser, vous ne nous gênez pas pour nous. Il attrape le ballon qui flotte à proximité et le lance sur Cyril. Celui-ci le renvoie vers Maxime qui le délaisse, trop occupé à caresser sous la surface les fesses et les seins de Josiane qui se colle contre lui. Pierre nage vers le couple. Je perçois le frémissement qui parcourt la fille quand sa main frôle ses omoplates. Elle se colle contre Maxime et l’embrasse avec avidité. La main descend sur les reins, atteint la naissance de la raie fessière, englobe les sphères qui se couvrent de chair de poule. Ce n’est pas la première fois que ces deux là jouent ensemble ! Ces trois là devrais-je dire, car le frère de Sophie ne semble pas étonné par les agissements de son père. Je devine qu’il fouille la bouche de la jeune fille de sa langue pendant que sa main se glisse à la hauteur du ventre entre leurs corps serrés. Les quatre autres jeunes sont moins à l’aise. Annie tremble de tous ses membres. Marc s’adosse avec elle contre la paroi de carrelage, passe la main sur l’épaule et la serre contre lui. Elle se laisse aller sans pouvoir détacher les yeux du trio. Ils ne voient que les têtes qui dépassent mais devinent que l’homme ne reste pas inactif. S’ils avaient la même perception que moi, ils constateraient en cet instant Pierre promène le gland sur la raie et l’insinue entre les cuisses qui se séparent. Tout à coup il disparaît de la surface, seuls ses cheveux flottent. Dessous, la queue guidée par une main sûre se fraye un passage entre les lèvres roses, le gland approche de l’orifice du vagin et s’introduit sans effort. L’homme émerge, Josiane gémit et se colle encore plus à Maxime dont les doigts découvrent le petit clitoris. — Oh ! s’exclame Brigitte, il la… Elle se… Cyril profite de son désarroi pour envelopper un sein. Martine s’approche d’eux. — Josiane est une habituée de la maison, explique-t-elle comme si cela excusait son mari. Elle se place derrière eux partageant ses caresses entre les deux fessiers. Brigitte frémit. Elle devine j’en suis sûr que ce ne sont pas les doigts de Cyril qui glissent dans la raie, il ne porte pas de bague lui, mais elle n’a pas la force de réagir. Elle ne peut détacher le regard des têtes de Josiane et Pierre qui montent et descendent sur l’eau pendant que Maxime, fermement adossé à la paroi, maintient l’équilibre du trio. Un frisson, Brigitte ferme les paupières un instant, d’autres doigts, ceux de Cyril ceux-là écartent les poils du pubis. Un index tourne autour du petit bouton. Derrière les majeurs de Martine s’enfoncent dans les anus. — Aah ! soupirent d’une même voix les deux jeunes gens. Brigitte lance sa main à la découverte du ventre de Cyril. Ses doigts glissent sur la tige raide, tournent autour pour enfin refermer la paume dessus. Les jeunes gens se caressent au rythme des coups de rein de Pierre et des pénétrations des phalanges de Martine dans leur postérieur. Dans son coin de piscine, le dernier couple ne bouge pas scotché au spectacle. La main de Marc qui pend sur l’épaule d’Annie atteint un sein. Le téton qui se fripe ne se dérobe pas. Le garçon tout heureux de la permission s’amuse à triturer le petit bout. Pierre se dégage. Quelle bite il a ! Longue, épaisse, un gland énorme, violacé. Des filaments de cyprine se dissolvent dans l’eau. Josiane grogne son insatisfaction. L’homme la prend à bras le corps, la soulève hors de l’eau pour la laisser descendre sur la queue que Maxime dirige entre les cuisses. — Je te laisse terminer mon fils, je vais saluer tes amis. Il les abandonne pour nager vers sa femme.. Elle interrompt ses pénétrations anales et pousse Brigitte dans les bras de son mari. Brigitte et Cyril séparés ne sont pas de taille à leur résister aux deux adultes. La jeune fille interloquée oublie de réagir aux caresses de Pierre pendant que sa femme embrasse Cyril tout en le masturbant. Marc perçoit comme moi le frémissement qui parcourt Annie quand, avec un ensemble parfait les verges de Pierre et Cyril s’enfoncent dans les vagins accueillants. Il mordille le lobe de l’oreille et, après quelques secondes d’hésitation englobe un sein de sa main libre. — Je… Je veux pas, murmure-t-elle. Avec un soupir il ôte la main. A sa grande surprise elle la maintient contre sa poitrine. — Je veux pas qu’il vienne. — Qui ? Le père de Maxime ? — Oui, je veux pas… Pas lui… Pas pour la première fois. — Tu… Tu es vierge ? — Ou-oui, murmure-t-elle. — N’aie crainte, avec moi tu risques rien, je te protègerai. Je ricane, ils ne feront pas le poids si le couple diabolique décide de s’en prendre à eux ! Pour l’instant il se contente de débaucher Brigitte et Cyril. J’espère pour ces deux là qu’ils ne se sont pas promis l’un à l’autre ! Ou alors, ils l’ont bien oublié ! La fille prend appui sur les épaules de Pierre et danse sur la queue qui la transperce pendant que Cyril coince Martine contre la paroi de la piscine et taraude la chatte béante de sa vigueur de jeune homme. De l’autre coté du bassin Josiane et Maxime n’en finissent plus de se faire plaisir. Un mouvement du coté des jeunots, la main de Marc quitte le sein qu’elle malaxait et se pose sur le pubis, joue avec les poils follets. C’en est trop pour Annie. — Aah ! Elle se jette sur lui et l’embrasse à bouche que veux-tu. Ses mains partent à la découverte du corps du garçon, empoigne une verge qu’elle tente de décalotter. — Aaah !… Qu’est-ce que tu fais ? s’étonne-t-il quand la jeune fille sans lâcher son trophée s’accroche au cou de son cavalier pour se soulever et présenter l’engin entre ses cuisses. Tu… Tu n’es pas raisonnable. Qu’a-t-il à parler raison ? Ne voit-il pas que la donzelle en a marre de son pucelage et qu’elle souhaite s’en débarrasser sur-le-champ ! — Tu veux vraiment ? interroge-t-il inquiet. — Oui, je veux que ce soit toi qui me fasses découvrir l’amour. — Tu… Tu… T’es sûre ? — Oui ! Prends-moi ! crie-t-elle presque en mordant la bouche du garçon. Je délaisse les autres participants : une initiation, voilà qui est plus intéressant ! J’ai beau fouiller dans ma mémoire je n’ai pas le souvenir de ma première fois, plutôt de vagues images qui mêlent, une chambre, un lit et une piscine… Cette piscine ! Se pourrait-il que mon premier acte d’amour se soit passé ici juste avant mon assassinat ? Non ! Aucune douleur n’a entaché mon étreinte avec Sophie, et pas de sang ne s’est échappé de ma queue. Alors ? Pourquoi l’image de la piscine s’impose quand je pense à une première fois ? Foin de mes états d’âme, la vérité m’apparaîtra un jour. Contemplons le jeune couple et voyons comment le garçon se débrouille. Il s’y prend mal. Il devrait caresser la jeune fille, l’entourer de ses baisers sur la bouche, les seins, les tétons, le nombril, le ventre, les poils pubiens. Tout devrait recevoir la visite de ses lèvres avant la pénétration finale ! Mais non, il laisse bêtement Annie se démener. Ah si ! Ses doigts s’insinuent entre les cuisses et remontent vers le sexe. Zut ! Il rate le clitoris. Qu’a-t-il donc appris en cours d’éducation sexuelle ? Puis l’aspect de sa verge qui apparaît et disparaît entre les doigts d’Annie, me renseigne : Marc est puceau ! Malgré les efforts de la fille, la fine peau qui recouvre le gland refuse de reculer. Seul le bout violacé fendu du petit méat dépasse. Cela explique sa nervosité. Annie de plus en plus impatiente s’agrippe au jeune homme et mets les jambes autour de sa taille. Sa vulve est juste au-dessus de la pointe de la verge. Ça y est ! Elles se touchent. Marc comprend enfin ce qu’il doit faire et d’un geste prompt place le gland en face de l’orifice convoité. — Aaah ! La chatte étroite toute rose surplombe le gland. Un peu de liquide blanchâtre suinte de l’orifice, elle est prête ! Le bout disparaît d’un petit centimètre. — Ooh ! — Je te fais mal ? — No… Non… Je… Je… Aaah ! gémit-elle quand quelques millimètres supplémentaires pénètrent. — Tu… Tu veux vraiment ? Quel imbécile ! Ce n’est plus le moment de tergiverser ! Annie en est bien consciente qui d’un mouvement décidé se laisse choir. — Ouussh ! gémit-il lorsque le prépuce se déchire. — AïAïïAaasshmmmh ! Malgré ses efforts, elle n’a pu étouffer le cri arraché quand le gland transperce l’hymen. Elle ne bouge plus collée à Marc comme une patelle à son rocher. Lui serre les dents. Sa queue a disparu avalée dans les profondeurs de la chatte déflorée. Un peu de sang coule que je m’empresse de dissiper dans un remous. Les trois autres couples suspendent leur chevauchée, tous fixent Annie qui ouvre et ferme la bouche sans proférer un son. Elle se soulève de quelques centimètres. Va-t-elle s’échapper ? Non ! Elle redescend dans un gémissement où la douleur se mêle au plaisir. — T’as mal ? interroge Marc toujours aussi mal inspiré. Évidemment qu’elle a mal ! Plus que lui sûrement, mais il devrait comprendre qu’elle supporte la souffrance avec courage pour se consacrer à la découverte de la jouissance qu’elle sent poindre dans son ventre. — No… Non… Ça … Aah !… Ça va. Elle se soulève une nouvelle fois. Elle ne gémit plus en retombant. Peut-être la douleur diminue-t-elle ? C’est ce que doit ressentir aussi Marc qui peu à peu prend la relève des mouvements. — Aah ! Oui ! murmure-t-elle. Les spectateurs rassurés se renferment dans la bulle de leur plaisir. La piscine retentit de borborygmes, de plaintes, de gémissements. Les vagues clapotent contre le carrelage. Heureusement que les hommes n’accordent pas le rythme des coups de reins sinon la résonance ferait déborder l’eau ! Tour à tour Maxime et Cyril éjaculent avec forces plaintes. Pierre les suit à quelques minutes d’intervalle. Les trois couples nagent vers Marc et Annie qui ont pris du retard dans l’éclosion du plaisir. Ils les entourent. La jeune fille ne semble pas avoir conscience des spectateurs. Elle ferme les yeux comme pour emprisonner les sensations qu’elle découvre, qui enveloppent son ventre, qui diffusent dans son corps. Quand Marc reprend son souffle, c’est elle qui danse sur la queue. Elle ne peut, elle ne veut pas s’arrêter malgré les ondes douloureuses provoquées par le frottement de la verge sur l’hymen meurtri. — Aaah !… Aaaah !… Aaaaah ! Brigitte se penche à l’oreille de Josiane. — Ben dis donc ! Elle prend son pied la petite Annie ! Je croyais qu’elle était vierge. — Moi aussi, mais peut-être que c’est la première fois. — Si c’est vrai, je suis contente pour elle. Jouir comme ça pour son dépucelage, y a de quoi en conserver précieusement le souvenir toute la vie !… J’ai pas eu ce bol, soupire Brigitte. — Moi si…— Avec Maxime ? — Non, il y a deux ans en vacances… Un cousin…Je devine que Marc n’en a plus pour longtemps. Ses couilles se fripent, les testicules montent dans les bourses. Elles vont cracher leur semence. Josiane fait le même constat : elle se précipite vers le couple.— Brigitte, aide-moi !— Laisse-les jouir en paix.— C’est pas ça ! Annie prend pas la pilule !Elle retire Marc qui grogne de dépit pendant que Brigitte soutient la jeune fille. Il était temps ! La queue hoquette et lâche sa semence au premier coup de poignet de Josiane. Je provoque un remous qui dissipe les filaments de sperme. Il ne faudrait pas qu’ils entrent dans la chatte encore entrouverte ! — Pourquoi ? gémit la jeune fille déçue. C’était si bon. — T’es inconsciente ma parole ! Un coup à tomber enceinte ! — Je te demande pardon, s’excuse Marc, je te promets de faire attention la prochaine fois.La prochaine fois ! Et Annie qui lui sourit ! C’est bien parti pour ces deux là !…
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