Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 8 J'aime
  • 0 Commentaire

Assassiné !

Chapitre 3

Divers
Tout le monde est sorti de la piscine. Je ne perçois plus grand chose, simplement des pieds nus quand l’un des participants se promène au bord. Je m’efforce de deviner ce qui se passe en écoutant les conversations. C’est ainsi que j’apprends que Marc et Annie se préparent à partir. — Vous n’allez pas nous quitter si vite, regrette Pierre. Je ne distingue pas la réponse mais je devine que les jeunes gens ont hâte de se retrouver seuls. Je les comprends, un dépucelage en public, cela risque de vous traumatiser à vie si on ne compense pas par quelques câlins dans un endroit intime. Je pense que dans leur cas j’aurais fait comme eux… Au fait ? Comment ai-je été dépucelé moi ? J’ai beau fouiller dans mon esprit, aucune image ne me parvient. Peut-être que ça me reviendra quand je serai complet. Pour l’instant les autres participants à la baise collective de tout à l’heure ne semblent pas perturbés par la défection du couple. Les deux filles piaillent et gloussent à qui mieux mieux. Une flèche rose, non deux… Plouf ! Plouf ! Brigitte et Cyril sautent dans la piscine. Ils sont encore nus. Cela explique les cris excités de ces demoiselles ! Le garçon rattrape la fille qui se débat en riant. — Laisse-moi !… Non, pas là !… Cyril ! Je fais plus attention, le garçon tente d’enlacer la fille par derrière et patouille les seins malgré les protestations. Ne pouvant se soustraire à la caresse (ou ne le désirant pas ?) elle change de tactique. — Tu vois que tu apprécies, dit-il en triturant les petits bouts qui pointent devant les mamelons. La main de la donzelle se glisse entre leurs corps serrés. Je la vois manipuler la queue. — Oui, soupire le garçon… Aah !… Oui !… Aaah !… Aïeuh ! Brigitte se dégage sans ouvrir la paume qui s’est refermée sur les bourses. — Aïe ! Tu me fais mal ! — Tu me laisses tranquille ? — Euh… Aïe ! Oui, oui ! Je promets. — Qu’as-tu Cyril ? Cette jeune fille t’embête ? interroge Pierre. Il saute à son tour dans la piscine et rejoint le couple. Brigitte a délaissé les testicules mais s’amuse avec la verge qui raidi entre ses doigts. Cyril ne rouspète plus ! Les deux jeunes gens sont face à face, ils se rapprochent, se touchent, leurs bouches se soudent. — Oui ! C’est bien mes enfants ! Voilà comment j’aime que vous vous comportiez. Pierre passe les bras dans leur dos et les serre l’un contre l’autre. Du dos ses mains glissent sur les postérieurs, éprouvent le galbe des fesses, s’introduisent dans la raie. Les jeunes n’interrompent pas leur baiser. Je les sens vibrer d’un commun accord quand d’un majeur fureteur, Pierre chatouille l’anus et introduit un bout d’ongle. — Tu n’es pas raisonnable, Pierre, laisse ces jeunes gens tranquilles, intervient Martine. — Mais je ne leur fais pas de mal, je t’assure. Pour lui donner raison, Brigitte et Cyril reprennent le baiser interrompu par manque d’air. — Ah tu vois ! Bien décidé à profiter de la permission accordée, Pierre pistonne les deux trous du cul. Il enfonce une phalange puis deux. — Mmmh ! grogne Cyril qui lance sa main à la découverte du sexe féminin. L’homme joue avec un doigt dans chaque anus. — Aaah ! gémit Brigitte. Elle ne fait rien pour échapper à l’introduction, lui non plus. Je devine que chacun croit être le seul à bénéficier des bons offices de Pierre et ne veut pas le dévoiler à l’autre. Sans se concerter, ils reculent le bassin à la rencontre des doigts qui les fouillent. Cela dégage le devant. Brigitte caresse à deux mains le sexe masculin tandis que Cyril triture un téton du pouce et de l’index gauche et le clitoris du majeur droit.
Pierre ajoute un doigt dans le cul de Cyril. — Aaah ! — Qu’est-ce que t’as ? demande la jeune fille. Je te fais mal ? — Non, non ! Cont… Aah !… Continue. L’homme prend l’ordre pour lui. Un troisième doigt se joint aux deux autres. L’anus résiste un instant puis cède. Le garçon n’est plus vierge coté pile et je devine que le père de Maxime va en profiter ! Et pas seulement avec les doigts ! L’enculera-t-il sur-le-champ en présence de la demoiselle ? Ne va-t-elle pas rouspéter qu’on lui ôte son jouet ? En attendant, Pierre s’amuse avec les doigts et élargit l’orifice. A mon avis celui-ci est prêt à recevoir la pine du bonhomme. Oh ! Que fait-il ? Il retire la main ! — Oooh ! Cyril pour cacher sa déception prend un bol d’air et disparaît sous la surface. Sa bouche attrape un téton. — Qu’est-ce que vous lui faisiez ? interroge Brigitte qui a du lâcher la verge. — Ce que je te fais. — Oh ! vous lui… — Je ramonais son cul avec le doigt comme à toi. — Oh ! A tous les deux en même temps ? — Oui, ça te gêne ? — Euh… Non. Cyril refait surface pour replonger illico. Sa bouche glisse sur le ventre et atteint les poils pubiens que ses doigts écartent. — Il… Il… Ai… Aimait… Mais ççça ? balbutie-t-elle. La double sollicitation sur le devant et dans le cul la fait trembler. — Faut croire, car il ne faisait rien pour y échapper… Comme toi. — Aaah !… Oh ! Pourquoi ? soupire-t-elle déçue quand Pierre retire la main. — Inutile qu’il se rende compte que toi aussi bénéficiait de mes attentions. Pendant ce dialogue, Cyril ne perd pas de temps, les lèvres sur le clitoris, un doigt dans le vagin. — Mmmh ! soupire la jeune fille. — Tu veux pas faire l’amour avec lui ? — Et vous ? Qu’est-ce que vous… Aah… Vous ferez ? — Cyril saura me dédommager. — Vous voulez l’enc…Le garçon à bout de souffle jaillit à la surface. Brigitte le regarde, tourne la tête vers Pierre, puis fixe son copain. — Après tout pourquoi pas ? — Qu’est-ce que tu dis ? demande Cyril. Elle l’embrasse pour éviter de répondre. Pierre nage pour se retrouver dans le dos de Cyril. Ça devient intéressant ! Je vais assister à une sodomie… Tient, je connais le terme. Pour l’instant le garçon ne s’occupe que de Brigitte, négligeant les caresses dans son dos. Il est satisfait, le père de Maxime ne lui dispute pas la jeune fille cette fois-ci. Il ne va pas lui laisser le temps de les interrompre. D’ailleurs Brigitte est de son avis. Elle saute au cou de Cyril, les jambes sur les hanches. Sa chatte est juste au-dessus de la verge du garçon, elle descend doucement. La jeune fille remue le bassin pour que le gland se positionne. — Aaah ! — Aaah ! Double cri de satisfaction. — Ça va toujours là dedans ? interroge Maxime qui s’avance tenant Josiane par la taille. — Oui, oui, déclare Pierre. Excusez-les s’ils ne vous répondent pas. Brigitte monte et descend sur la tige rigide. Cyril s’efforce de maintenir l’équilibre. Ce n’est pas facile, d’autant plus que derrière un puis deux doigts s’introduisent dans l’anus, jouent, s’écartent comme pour préparer… Préparer quoi ? Un tremblement parcourt le garçon. Je devine qu’il réalise ce qui l’attend. Va-t-il accepter ? Oui ! Il campe les deux pieds sur le fond et écarte les jambes. — Merci mon garçon, lui souffle Pierre dans l’oreille. Ce ne sont plus ses doigts mais le gland qui glisse dans la raie. Je vois en première ligne le bouclier disparaître peu à peu en repoussant les chairs. Cela parait plus difficile que d’entrer dans un vagin. — Aaah ! Pierre donne un coup de rein. La verge s’enfonce jusqu’à la garde. Cyril déséquilibré tente de se raccrocher à l’échelle, y parvient in-extremis. Brigitte qui a compris ce qui se passe l’embrasse dans le cou. Pierre s’agrippe aux hanches du garçon et calque des coups de reins sur les mouvements du bassin de la jeune fille. Le pauvre Cyril est ballotté entre eux deux, non pas le pauvre ! Il n’est pas à plaindre, il ne se plaint pas d’ailleurs. Il ouvre et referme la bouche au rythme des pénétrations, de sa queue dans le vagin de Brigitte et de la pine de Pierre dans son cul. Sa main blanchit sur le montant de l’échelle. Je devine que cette possession particulière est une découverte, sûr qu’il la renouvellera ! — Vous en faites un boucan ! les interpelle Martine qui a passé un bras elle aussi autour de la taille de Josiane. — Vi… Aah !… Viens nous… Aah !… Nous aider, ahane son époux. — Tout de suite mon chéri… Allons à leur rescousse, les enfants. Elle plonge suivie de Maxime et Josiane. — Qu’est-ce qu’il faut faire Maman ? — Soutenez Cyril, empêchez-le de boire la tasse. Débarrassé du souci de maintenir l’équilibre du trio, le garçon se laisse emporter par les diverses sensations qui l’enveloppent. Il peut caresser le cul de sa bien aimée et introduit un doigt dans le petit trou. C’en est trop pour la jeune fille. — Aaah !… Aaah !… Ouiii ! — Aahhgghh ! gémit Cyril à qui la jouissance de Brigitte a donné le coup de grâce. — Han !… Haaan !… Arrgghmmh ! les rejoint Pierre. Ils restent immobiles quelques instants. — Est-ce qu’on peut vous lâcher maintenant ? demande Maxime. Brigitte se décroche. Je nettoie le sperme et la cyprine qui se mêlent à la sortie du vagin et sur la verge qui se rétracte. Cyril respire fort les yeux clos. Son cœur bat à tout rompre, j’en perçois les intenses vibrations. Hé ! Il ne va pas me faire une crise cardiaque celui-là ? Non, Les battements diminuent. Pierre toujours embroché le guide jusqu’à l’échelle où le garçon s’agrippe aux barreaux. A son tour il se retire. J’efface les soupçons de matière brune qui macule la tige assouplie et dissipe les filets de sperme qui suintent du cul. Martine suit son mari qui d’un prompt rétablissement s’extrait de la piscine. Avant de mettre le pied à l’échelle, elle se retourne. Maxime et Josiane n’ont pas envie de sortir eux. Ils s’embrassent à pleine bouche et sous l’eau je vois leurs mains s’occuper avec le sexe en vis à vis. J’en déduis que la séance n’est pas terminée… Et une baise supplémentaire, une ! Que vont-ils m’inventer ce coup-ci ? Ah ! Martine nage vers le couple. La mère et le fils ? Non, elle passe derrière Josiane et emprisonne les seins d’un bras. La jeune fille s’étonne. — Que… Que… Aah ! gémit-elle quand Martine fouille la raie d’un doigt fureteur. — Laisse-toi caresser, lui murmure-t-elle, tu verras ce sera encore meilleur. — Qu’est-ce que tu fais Maman ? Tu gênes ! — J’en ai pas l’impression, sourit la jeune femme en enfonçant la première phalange. — Aaah ! soupire Josiane qui reprend les lèvres du garçon. — Laisse-faire ta mère, fiston, intervient Pierre en s’asseyant sur le bord, les pieds dans l’eau. Tu ne le regretteras pas. Encouragée, Martine fait pivoter Josiane et s’empare de ses lèvres. La jeune fille veut résister mais l’aînée est la plus forte et parvient à imposer sa volonté. Aux mouvements des joues, je devine le ballet des langues. Puis ce sont les mains qui entrent en danse, celles de Martine d’abord sur les seins, les fesses, le pubis. Josiane plus timide n’ose descendre au-dessous du ventre et il faut que la femme empoigne la main et la glisse entre ses cuisses. Maxime reste immobile sidéré par l’audace de sa mère. — Mais… Mais… — De quoi te plains-tu ? lui demande son père. — Ben… Euh… Maman m’empêche…— Elle ne t’empêche rien du tout. Il t’en reste assez pour t’amuser. Ta copine a un cul splendide, profites-en ! — T’as raison, murmure pour lui-même le garçon, je vais pas me laisser déposséder de mon plaisir. Il prend place dans le dos de Josiane. Il guide son dard et parcourt la raie fessière. — Aah ! gémit Josiane. Le garçon explore l’entre cuisse de la main. Il rougit et la retire précipitamment : il a touché les doigts de sa mère. Il chatouille la rosette de l’anus, introduit une phalange. L’absence de réaction l’encourage. Il fait jouer un doigt, puis deux. Josiane gémit de plus belle et enfonce l’index dans le vagin de Martine. Maxime retire la main et présente le gland. Il va l’enfoncer dans le cul, je m’apprête à assister à la deuxième sodomie de l’après-midi, mais Josiane reprend ses esprits. — Non, pas là ! D’une main sûre elle guide la queue vers le vagin et recule le bassin pour la faire pénétrer. — Aaah ! Martine sourit. Elle avance les doigts pour toucher la tige qui s’enfonce et ressort au rythme des coups de rein mais la retire. — Non, pas avec Maxime murmure-t-elle, ce serait pas bien. Elle s’attaque au clitoris. — N’oublie pas de me caresser ma petite Josiane. — Excu… Aah !… Excusez-moi… Aah !… tout… Aah !… tout de suite. La jeune fille recommence le ballet de ses doigts dans la chatte de son aînée. Plouf ! Pierre saute à l’eau. Que vient-il faire ? Ne peut-il laisser son fils baiser en paix ? Ah ! Il s’approche de sa femme. Eh ! Il a récupéré le bonhomme ! Sa queue a retrouvé toute sa splendeur. Je m’extasie sur ses dimensions avec un peu de jalousie rétrospective, la mienne n’était pas de loin aussi volumineuse ! Mon soupir ou plutôt ce qui en tient lieu fait frémir l’eau. Cela passe inaperçu au milieu des vagues provoquées par le trio qui baise. Pierre sépare les fesses de Martine. — Tu veux bien ? lui murmure-t-il au creux de l’oreille. Pour toute réponse elle bombe le cul… Les deux femmes se tiennent d’une main à l’échelle pour ne pas couler et de l’autre caresse le sexe en face tout en échangeant de langoureux baisers. Les hommes accordent le rythme de leurs coups de rein. Que c’est beau l’amour ! C’est d’ailleurs l’avis de Cyril et Brigitte qui assistent aux ébats assis sur le bord de la piscine, tendrement serré épaule contre épaule, la main entre les cuisses de l’autre…
A suivre…
Diffuse en direct !
Regarder son live