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L'assistant

Chapitre 1

Hétéro
Je travaille pour elle depuis 12 ans. Elle, c’est cette avocate d’affaires, impitoyable et caractérielle, avec laquelle j’ai connu des hauts et des bas qu’une seule vie ne devrait pas suffire à vivre.Derrière ses airs de femme indomptable et à la main de fer, se cache une vraie fleur bleue incapable de vivre autrement qu’à travers les yeux d’un homme. Ce jugement pourrait vous paraître injuste ou hâtif, mais après tout ce que ma patronne m’a fait vivre et tout ce que je lui ai fait subir, je sais de quoi je parle.
Les congés d’été se terminent. La peur m’envahit à l’idée de retourner au cabinet demain. Il faut dire que le soir de mon dernier jour de travail avant les vacances, nous nous sommes séparés dans des termes vraiment déchirants et réducteurs, humiliants pour chacun de nous. Nos cerveaux droits ont encore une fois pris le pas sur nos cerveaux gauches. Et comme toujours, les mots se sont envolés plus haut, bien plus haut que nos pensées. Tout ça parce qu’après 12 ans à lui dire que non, je ne travaillerai pas longtemps pour elle, alors qu’elle aimerait depuis toujours que je lui dise que je lui appartiens jusqu’à la fin de sa carrière, je lui ai encore une fois dit cette même chose : "Tu me donnes l’impression d’être restée bloquée au jour où tu m’as embauchée". Elle a vrillé, m’a traité de tous les noms, m’a rappelé mes échecs et a pensé qu’il suffirait de procéder ainsi pour me faire mal et gâcher mes vacances.
Pourtant, si un peu de tristesse a bien traversé mon esprit, c’est surtout la résignation qui m’a gagnée. Encore une fois, alors que nous pourrions nous contenter de ne prendre que le meilleur dans notre relation de travail et cesser d’attendre l’impossible l’un de l’autre, nous avons encore flirté avec ce qui peut mener tout droit devant les Prud’hommes. Pour ne rien arranger, nous travaillons depuis toujours à 2 uniquement, si l’on excepte cette stagiaire qu’elle a recrutée pour les quelques semaines à venir. Bref. C’est fébrile que je me pointe au boulot ce matin.
Fébrile, jusqu’à ce que je franchisse la porte d’entrée du cabinet...
Je pousse donc la porte. Son bureau est ouvert, j’entends un peu de jazz en fond sonore. Elle aime commencer les journées très tôt et a récemment trouvé de quoi focaliser son attention sur l’essentiel, avec l’instauration quasi systématique de ce fond sonore tantôt plaisant, tantôt excessif, auquel j’ai fini par m’habituer. Je ferme la porte du cabinet derrière moi, mais j’aperçois juste avant de la claquer un écriteau qui n’était pas là avant mon départ. Il y est inscrit "Fermé, ouverture à 14 heures".
Tiens donc Madame (Maître, pardon) aurait donc sanctuarisé ce jour de rentrée ? Je passe devant le bureau de la stagiaire, fermé, et me dirige vers le bureau de ma patronne. J’entre. Etrange, elle n’y est pas. Pour qui a donc été mise la musique ? Deux cafés fumants sont servis sur son bureau. Soudain, j’entends des pas de talon aiguille approcher d’un pas assuré depuis le couloir, et une voix, la sienne, qui s’exclame en entrant dans la pièce et en fermant la porte du bureau : "Tiens donc, revoilà l’insolent et inintéressant assistant. Assieds-toi, on doit parler".
Répondant à son injonction, je m’assois. Mon cœur bat à une vitesse effrénée. Va-t-elle encore vouloir que nous réglions nos comptes ? Va-t-elle me notifier sa décision de se séparer de moi ? A-t-elle passé un été à me chercher un remplaçant ? Elle poursuit sa route en faisant le tour de son bureau jusqu’à gagner son siège, ses talons claquant à chaque pas sur le parquet ancien du cabinet. La peur m’empêche de pleinement profiter de son allure. Elle l’ignore, mais habituellement, je l’aurais déshabillée du regard. Sa tunique, ses collants faiblement opaques et ses bottines courtes à talon lui vont pourtant si bien, et la mettent incontestablement en valeur ; elle semble tout droit sortir de chez le coiffeur, ses cheveux bruns d’avant les congés ayant laissé place à des reflets brique. La prestance et l’aura qui se dégagent d’elle ajoutent encore un peu plus à ma fébrilité.
Elle s’est assise, mais ne dit mot. Je suis perplexe, elle me fixe droit dans les yeux. Va-t-elle jouer à ce jeu longtemps ? Puis finalement, voilà qu’elle prend la parole :
— Rémi, tu as dépassé les bornes. En me délaissant encore et encore, en jouant avec ma confiance et en me donnant l’impression que notre collaboration n’a jamais eu aucun intérêt pour toi, tu as gravement entaché notre relation. Je ne vais pas te le cacher, j’ai passé les congés à me demander si je ne devais pas me séparer de toi et trouver un autre assistant.— Je ne...
— STOP. Je ne veux rien entendre. Je ne te laisserai pas l’occasion de te rattraper avec des mots. Tu m’as déçue et si cela n’est pas encore définitivement irrattrapable, ce ne sont pas tes promesses de mieux faire, ou tes discours consistant à me proposer de "ne prendre que le meilleur dans notre collaboration" qui vont me convaincre de te garder.
Alors que je tends la main pour attraper celle des deux tasses de café que je pensais m’être destinée, d’un geste abrupt elle attrape la première cette tasse, et l’envoyant valser à l’autre bout de la pièce, crie :
— Rémi ! Je ne suis pas ton jouet ! Je ne suis pas ta subalterne ! N’inverse pas les rôles et écoute-moi !
Je ne l’ai jamais vue dans une colère si profonde. Mes minutes au cabinet sont donc comptées, elle va me l’annoncer, et je devrais trouver une autre avocate pour qui travailler. Mais je sais que jamais je n’en trouverai une qui m’inspire autant, qui me stimule autant, qui me donne davantage envie de briller et de me dépasser. Tant pis. Le boulot c’est le boulot.
Elle reprend.
— Je ne vais pas y aller par quatre chemins. J’ai bien réfléchi. Je n’attends plus rien de toi. Tu es mon salarié, rien de plus. Tu fais ton travail, sans faire de vagues, sans autre ambition que de me servir, et c’est tout. Tu es grillé sur la place : n’importe où tu voudras aller, je préviendrai que tu es un assistant déloyal, et je ferai en sorte que tu ne sois pas pris. Rémi, tu es à présent à moi. Tu finiras par l’accepter, car au fond de toi, tu l’as toujours voulu.
Je ne comprends pas où elle veut en venir. Tout cela me semble absurde. Mon esprit cherche en vain à rationaliser les choses. Elle se lève de son fauteuil.
Elle fait à nouveau le tour de son bureau, quasiment jusqu’à me rejoindre, et finalement s’assied sur le rebord du bureau, face à moi, à quelques décimètres de moi tout au plus. Malgré la terreur qui règne en moi, je ne peux m’empêcher de porter mon regard de bas en haut sur ses jambes élancées, sur sa tunique très courte, puis sur son décolleté qui ne cache que le strict nécessaire, fort heureusement aidée par de nombreux colliers et pendentifs...
— Lève-toi, me dit-elle.
Je m’exécute, et m’approche dangereusement d’elle, la frôlant sans la toucher. Je reste immobile et attends de savoir ce qu’elle va exiger de moi. Au lieu d’instructions, elle me fixe du même regard que celui avec lequel elle m’a accueillie quelques minutes plus tôt. Elle ne me lâche pas du regard, et je sens qu’avec une habileté et une rapidité déconcertantes, elle défait ma ceinture, ouvre le bouton de mon chino, et passe la main dans mon boxer.
Mon cerveau ne fait qu’un tour ; mon sang se glace. Mais surtout, mon sexe s’érige en une vraie lance entre ses doigts.
J’en profite pour poser mes mains sur ses fesses et les caresser doucement, puis les palper avec plus de fermeté, lui baisser ses collants aux chevilles, glisser ma main entre ses cuisses et remonter jusqu’à son sexe glabre pour y introduire un doigt, délicatement, mais profondément et fermement.
Ce qui se passe est irréel, mais je n’ai pas le temps pour comprendre, analyser, réaliser cette folie qui nous gagne. Elle est trempée. C’est à ce moment-là qu’elle pousse un petit soupir et m’empoigne plus fort encore les testicules, me défiant du regard, comme pour me prouver qu’en tout état de cause, c’est elle qui garde le contrôle sur moi et non l’inverse. S’ensuivent des va-et-vient délicieux, au rythme du jazz qui continue à jouer dans le bureau.
Elle s’agenouille finalement pour mettre sa tête au niveau de mon mât, continuant à me branler et faisant finalement mine de l’avaler, jusqu’à suffoquer d’avoir trop rempli sa bouche. Elle lève les yeux tout en continuant ce traitement, et les plante dans mon regard. Elle est belle, que dis-je, magnifique, et n’en finit pas de m’époustoufler et m’exciter.
Soudain, elle se relève et m’ordonne : "Mets-toi à genoux, la bouche ouverte, et regarde ce que je vais faire". J’obéis sans protester. Elle se rassoit sur le rebord du bureau, écarte les jambes et pose un pied sur la chaise, l’autre étant posé au sol. J’ai une vue dégagée sur sa chatte, dont les effluves gagnent mes narines et titillent mes hormones. Je voudrais me toucher, mais elle me l’interdit. Gauchère, elle descend sa main droite sur son sexe, écarte les lèvres laissant apparaître une cyprine déjà abondante. De sa main gauche, elle vient frotter le gland de son clitoris, et alterne en insérant deux puis trois doigts en elle, augmentant la cadence très fort.
Ses gémissements se sont transformés en de véritables cris qu’elle tente sans réussite de camoufler en se mordant les lèvres. Son vagin émet des bruits aqueux... La bouche toujours ouverte sous sa chatte, je profite de chaque instant du spectacle. Soudain, elle se raidit, son corps, ses doigts et son visage se tendent. Elle jouit, et un véritable jet de cyprine sort de ses entrailles, inonde mon visage. Le goût, acide, me plaît et je ne peux m’empêcher de plaquer ma bouche à sa vulve, pour lécher et aspirer son clitoris devenu ultrasensible, ma tête fermement tenue par ses mains dont les ongles sont plantés dans mon cuir chevelu. Je suis excité comme jamais par cette patronne que j’admire secrètement depuis si longtemps.
Elle me repousse, m’attrape par les cheveux pour me relever, me plaque contre elle, et me dit : "Baise-moi exactement comme je vais te l’ordonner".
Soudain, le bruit d’un dossier qui tombe à terre : regardant l’endroit d’où provient le bruit, nous découvrons effarés la stagiaire sur le pas de porte, bouche bée, choquée de ce qu’elle vient de découvrir.
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