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L'assistante prête à tout

Chapitre 1

Trash
Ce matin, je me suis levée de bonne humeur et pleine de motivation, en effet, aujourd’hui est mon premier jour de travail au sein d’un grand garage. Étonnement, je n’ai pas effectué l’entretien avec mon directeur, mais avec la personne que je vais succéder à partir de ce matin.
Je ne connais que son prénom, je ne sais pas à quoi il ressemble et comment il travaille, et surtout comment il est avec ses employés. En bref, je n’ai pas pu l’analyser avant d’arriver, ce qui m’embête un peu, mais bon, ce n’est qu’un détail, j’aurai tout le temps de le faire sur les prochains jours.
Je me dirige vers mon armoire et choisi un jean noir moulant et un débardeur qui laisse apercevoir un petit décolleté pour mettre en valeur pour 90C sans être trop vulgaire. Avec ceci, j’agrémente ma tenue avec un blazer noir et des escarpins de la même couleur. En effet, je vais peut être travailler au sein d’un garage, mais cela ne veut pas dire que je ne dois pas être féminine, surtout en étant assistante de direction, ce n’est pas comme si j’allais mettre les mains dans les moteurs...
Bref c’est parti, clés de la maison, sac à main, clé de la voiture et on y va.
Me voilà arrivée, je me gare et sors de la voiture pour m’avancer et entrer dans le garage.Les regards des mécanos sont déjà braqués sur moi, je leur dis bonjour poliment et en souriant, je m’avance vers une porte qui mène à un couloir pour accéder aux bureaux. J’arrive devant une porte et frappe doucement, pas de réponse... Bon...Je vais vers la salle de pause et tombe sur un bel homme d’une trentaine d’années, je dirais, brun, regard un peu ténébreux, bref le fantasme de beaucoup de femmes, du moins, le mien.
— Bonjour, Caroline Lanest, je suis la nouvelle assistante de direction, j’ai frappé à la porte du bureau du directeur, mais je n’ai pas eu de réponse, savez-vous où je peux le trouver ?
L’homme me regarde de haut en bas et sourit, et se retourne pour prendre une tasse de café, et sans me regarder, me demande.
— Et l’assistante de direction, elle prend du sucre dans son café ?
Étant un peu surprise de l’accueil, je reste figée sur place, n’osant pas bouger.
— Oui ou non ?— Euh non merci, excusez-moi.
Il se retourne et me tend la tasse de café bien chaud.

— Voilà, je vous laisse vous diriger vers mon bureau vu que vous savez où il se trouve, nous allons faire le point.— Ah euh c’est vous du coup le directeur, enchantée, ravie de vous rencontrer.— Oui c’est moi. Allez hop hop, on n’a pas de temps à perdre.
Je m’avance devant lui et sens un regard sur moi, je n’ose pas me retourner.Je m’attendais à tout sauf à un directeur comme lui, je ne pensais pas qu’il allait avoir une trentaine d’années et qu’il allait être aussi... Sexy !
Nous arrivons devant la porte de son bureau, il l’ouvre et m’invite à rentrer, je vois deux bureaux dans cette pièce. Il m’invite à m’asseoir devant l’un d’entre eux.
— Bon alors, pour commencer, moi c’est Monsieur Socaste, mais vous pouvez m’appeler Stéphane, ici on se tutoie tous et il y a une bonne ambiance, vous allez donc travailler sur le bureau juste ici, comme ça, ce sera plus simple pour communiquer entre nous.
Je buvais ses paroles et mon cerveau était en train de vriller, je l’imaginais en train de me prendre sur le bureau, c’est fou, ça ne m’avait jamais fait ça auparavant, mais il dégage tellement d’assurance que je m’en mords la lèvre sans m’en rendre compte.
— Mademoiselle, vous êtes toujours avec moi ?— Euh oui oui pardon.— Bon, continuons.
Et pendant environ une heure trente, il me parle et me dicte les choses que je dois faire la plupart du temps, par moment, ses yeux se dirigent vers mon décolleté, je fait l’air de rien puis tire un peu sur mon débardeur pour lui en montrer un peu plus sans non plus que mon petit jeu se remarque.
La journée se déroule parfaitement, les employés sont tous très agréables et sympathiques, je prends vite mes marques et pense que Stéphane est satisfait de mon travail. Il y a beaucoup de retard, donc à l’heure où tout le monde rentre chez soi, je décide de rester un peu.Stéphane entre dans le bureau et se met sur le siège en face de moi.
— Bon, on va faire le point de la journée, tout le monde est parti, tu veux peut-être rentrer chez toi ?— Euh non non, personne ne m’attend.— OK, tu es donc seule alors.— Oui pourquoi ?— Non, c’est important pour moi de savoir ce genre d’information.
Je trouvais cela un peu bizarre, mais je n’y prête pas attention longtemps.
— Bon sinon, tu crois que je n’ai pas vu ton petit jeu ce matin ?— Quel petit jeu ?— En plus, tu fais l’innocente ? Ton petit jeu à descendre un peu ton débardeur pour me laisser voir ce qui semble être une magnifique poitrine.
Merde, grillée.
— Je ne vois pas de quoi vous parlez.— Mais oui, bien sûr, bon, tu as le choix, soit tu restes, soit tu t’en vas, par contre si tu t’en vas tu peux dire au revoir à ton poste.
A ces mots, il se lève et se met derrière moi et enlève mon blazer, mon cerveau s’est éteint et c’est clairement mon entrejambe qui décide de ce que je dois faire comme faits et gestes.
Il me chuchota dans l’oreille.
— Je suis sûr que tu es le genre de salope qui a faim de queues, et tu sais quoi ? J’adore ce genre de femme, j’ai peut-être oublié de te préciser ça ce matin, que tu pouvais avoir des missions, disons en extra ? Alors ton poste te plaît toujours ? Ou tu veux rentrer chez toi ?
Je ne répondis pas et frissonnai à ses mots puis avale ma salive
— Oui il me plaît toujours
Il prend ma poitrine dans ses mains
— Hum ils sont bien fermes, j’adore, enlève ton haut et ton pantalon que je vois comment tu es gaulée.
Sans réfléchir, j’obéis et me retrouve en sous-vêtements devant mon patron.Il me regarde et se met derrière moi et me bascule à plat ventre sur le bureau et me donne une bonne claque sur le cul.
— aie !— Chut sinon je t’en remets une et je peux t’assurer que là, tu pourras dire aie.
Il m’attrape par les cheveux, et en deux secondes, je me retrouve à genoux devant lui.
— Sache que j’aime les femmes soumises, et que si tu veux que cela fonctionne professionnellement tous les deux, tu as intérêt à bien écouter, compris ?— Oui.
Une grosse claque arrive sur ma figure
— Oui qui salope ?— Oui Monsieur.— C’est bien, tu apprends vite, maintenant, pompe-moi la queue, j’ai envie de goûter ta bouche depuis que je t’ai vue débarquer dans la salle de pause.
J’ouvre la braguette de son pantalon et baisse son boxer pour prendre sa queue en main et lèche doucement son gland.Il prend mes cheveux et me fourre sa queue au fond de ma gorge, ce qui me fait tousser.
— Bah alors salope, on n’a pas l’habitude des gros calibres ? Regarde-moi quand tu me suces, vas-y, pompe bien toute ma longueur.
En effet, une bite aussi grosse que la sienne, je n’avais jamais eu, et je n’aurai jamais pensé pouvoir la mettre entièrement dans ma bouche, en même temps, je n’ai pas trop eu le choix...
Je suce sa queue bien comme il veut et donne des coups de langue sur son gland à chaque passage.
— Hum putain ouais, tu suces bien petite salope, t’es bonne à me pomper tous les jours à ce stade, je te le dis.
D’un seul coup, il me soulève et me pose contre le bureau
— Écarte tes jambes.
J’obéis et le regarde.
— Putain, t’as vraiment un regard de salope en chaleur et en manque de bite, tu la veux ma bite hein ?— Oui.
Bam une claque sur la joue
— Oui qui ?— Oui Monsieur.
Il s’approche de moi, enlève mon soutien gorge, décale mon string et d’un coup sans préparation (vu comment je mouillais, je doute qu’il fallait préparer) il me pénètre .
— HANNNN.
Une claque sur la joue et une sur les seins.
— Ta gueule, ce n’est que le début, tu n’as pas fini de crier, je te le dis.
Il me bourre, ses couilles claquent sur moi, il pince mes tétons et me regarde, on ne m’avait jamais baisée comme ça auparavant...
— T’aimes ça hein petite putain, t’aimes qu’on te baise comme une pute.— Oui j’aime ça.— Retourne-toi et cambre-toi, allez.
J’obéis et à peine mise en place qu’il me bourre à nouveau, je me retiens de crier par peur de recevoir une énorme claque sur le cul. D’un coup, il se retire et me tira les cheveux pour me placer à genoux devant lui et me foutre sa queue dans la bouche.
— Ouais, vas-y, pompe salope, fais-moi cracher, et t’as intérêt à tout avaler !
Je pompe à fond comme demandé, et là, d’un coup, je sens son liquide chaud qui arrive dans ma gorge, j’avale tout et suce sa queue pour tout nettoyer.
— Hum t’es douée, et tu encaisses bien, je pense qu’on va bien s’entendre, c’est bon, tu peux rentrer chez toi.
Je me rhabille et vais pour ouvrir la porte pour partir.
— Caroline, j’ai oublié de dire quelque chose.— Oui ?— Ce que je viens de te faire, ce n’était rien et surtout attends-toi à avoir plusieurs bites d’un coup.
Je monte dans ma voiture et réalisai ce qui venait de se passer, mon Dieu, le directeur venait de me baiser comme une chienne et j’ai adoré ça, et quand il m’a parlé de plusieurs bites, cela m’a donné des frissons et des sensations entre les jambes.Et ce n’était que le premier jour...
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