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Association de bienfaiteurs

Chapitre 5

Erotique
« La moral’ de cette histoire »« Lahirette, lahirette, »« La moral’ de cette histoire »« C’est qu’les homm’s sont des cochons ! (Bis) »

Ses trois copains rejoignent Jean-Luc. — Une bonne journée n’est-ce pas? leur demande-t-il. — Tu l’as dit bouffi! approuve Jean-Louis. C’est un plaisir d’enseigner à ces paysannes l’art de jouir et de faire l’amour. — C’était de bonnes élèves studieuses et avides d’apprendre, renchérit Jean-Marc. Moi au début, j’y croyais pas trop en ce programme en quatre étapes, mais je dois me rendre à l’évidence. C’est toi qui en as eu l’idée Jean-Paul? — Euh… Pas tout à fait, j’ai lu ça dans un bouquin. J’avoue que moi aussi j’étais sceptique, mais le résultat a dépassé toutes mes espérances. J’espère que demain nous aurons la même chance. — On va où? — A Triffouillis, j’ai obtenu de bons renseignements sur ce village. A propos, ajoute Jean-Paul, il faudra qu’on change l’ordre des permutations et puis emporter d’autres couvertures. Vous avez vu avec la dernière fille, ça aurait tout gâché s’il avait fallu attendre que celui qui baise termine pour entamer la première étape. — J’ai vu que tu m’avais remplacé, je te remercie, dit Jean-Louis. Qu’est-ce que tu proposes? — Permuter à l’envers. Celui qui vient de baiser prendra la troisième phase, celui qui vient de sucer, la deuxième, ainsi de suite. Comme ça, il y en aura toujours un de libre pour commencer. — Et si plusieurs filles arrivent ensemble? questionne Jean-Marc. — Hé bien, chacun prendra la sienne pour la totalité du programme. — Je suis d’accord, dit Jean-Luc. — Moi aussi, approuve Jean-Louis. — A quelle heure passe le car? demande Jean-Marc qui plie la couverture. — Nous avons encore une heure devant nous, dit Jean-Paul après avoir consulté sa montre. Pas la peine de se presser de tout ranger, peut-être qu’on aura la chance d’une visite supplémentaire… Hé ! Regardez qui nous arrive! La preuve que nous avons réussi! Plus besoin de prendre des gants à présent avec celle-là… Jeanneton, ma chère, que nous vaut le plaisir de te revoir?
Le sourire sardonique des quatre garçons l’inquiète. Elle a eu tort de revenir et tente de retourner sur ses pas. — Euh… Je croyais avoir oublié ma faucille à l’étang et je viens juste de me souvenir qu’elle est dans le fond de ma carriole. Je vais rentrer au village. — Pas avant de m’avoir embrassé!
Jean-Paul l’enlace. Elle se défend. — Voyons chère Jeanneton, serai-je le seul à ne pas avoir goûté à tes lèvres? Il me semblait que les baisers de mes compagnons te faisaient plaisir tout à l’heure. C’est moi qui te fais peur? Il parvient à la maîtriser et applique la bouche sur celle de la jeune fille. — Aah! Jeanneton ne résiste plus. Jean-Paul embrasse aussi bien que ses camarades. Jean-Luc lui succède. La jeune fille passe de bras en bras, abandonnant à chacun une pièce de vêtement. Elle voudrait bien se rebeller, crier, mais chaque fois une bouche la bâillonne pour un nouveau baiser plus profond auquel elle succombe. Des mains, une profusion de mains parcourent son corps, ses seins, son ventre. Sans comprendre comment elle en est arrivée là, elle se retrouve nue, allongée sur la couverture, un garçon, Jean-Marc croit-elle, entre ses cuisses que deux compères maintiennent écartées. Le sexe qu’il extrait de son pantalon lui semble démesuré. Ce n’est pas possible qu’un tel engin lui ait procuré tant de plaisir! Celui qui l’a transpercé devait être plus petit! — Aaah! Jean-Marc s’enfonce dans un vagin trempé. — Ouais-ais-ais! Elle est chaude à point la gonzesse! — Aaaah! Jeanneton retrouve la sensation de plénitude quand la verge envahie son ventre. — C’était ça… Han!… la faucille que… Han!… que tu cherchais? — Aaaah! — Je vais t’en donner… Han!… des faucilles! — Aaaah! — Tiens!… Han!… Prends ça! — Aaaah! — Encore ça!… Han!… Puis ça!… Aaaaah!… Je jouis! — Ouiiii! Jean-Marc donne quelques coups de queue supplémentaires puis s’effondre sur la jeune fille. Des mains le tirent en arrière. Jean-Luc le remplace. Il s’enfonce dans le sexe de la jeune fille qui n’a pas eu le temps de refermer les cuisses. — Aaah! A nouveau, la bienheureuse sensation d’une queue qui emplit son vagin. De nouveau le frottement délicieux qui déclenche les vagues du plaisir. Jean-Luc ralentit la cadence. Ce n’est pas l’avis de Jeanneton qui noue ses jambes sur le postérieur de son amant. — Hé! s’amuse Jean-Paul. On dirait qu’elle y prend goût! Vas-y Jean-Luc! Pine-la à fond! — Aaaah! Un nouvel orgasme éclate dans le ventre de la jeune fille. Le garçon continue ses coups de rein. — Aah! Quelle est bonne! La meilleure de l’après-midi. Jeanneton est fière de l’appréciation.
— Aaaggrh! Jean-Luc s’effondre à son tour. Jeanneton commence à ressentir la fatigue et se plaint quand Jean-Louis prend place. — Laissez-moi, supplie Jeanneton. Vous n’en avez pas assez? — Mais non, ma toute belle. Je n’ai pas eu le plaisir de te baiser aussi j’en profite. — Aaah! Malgré elle, malgré la lassitude, le frottement de la queue déclenche les vagues de plaisir. — Aah!… Aaah!… Aaaah! — Elle jouit encore! Ça c’est une gonzesse! s’extasie Jean-Paul. J’ai envie de remettre ça! — On aura pas le temps le prévient Jean-Marc. c’est bientôt l’heure du car. — Dans ces conditions, elle va me sucer ! Tiens ma belle, ajoute-t-il en sortant le sexe. Il s’agenouille près de la tête de Jeanneton et présente la queue. — Allez! Ouvre la bouche! — Oh! C’est… Aah !… c’est sale! — Pas plus sale que ton con que mon copain t’a léché, réplique-t-il utilisant le même argument que Lison. La jeune fille accepte la queue qui déforme ses lèvres. Elle ne sait plus où elle en est. Son univers se réduit à son ventre transpercé et à ce manchon qu’on lui fourre entre les dents. Un spasme de jouissance crispe ses mâchoires. — Aïe ! rouspète Jean-Paul, fais attention! — J’ai pas fait exprès, gémit-elle. Jean-Louis s’effondre à son tour. Jeanneton qui n’est plus bousculée peut enfin apprécier de prodiguer la sucette. Elle lit sur la figure de Jean-Paul la progression de la jouissance. Cela lui fait plaisir de conduire les débats. — Hé Jean-Paul! Grouille-toi. L’autocar va pas nous attendre! — J’arrive, j’arrive! Il extrait sa queue de la bouche de la jeune fille et la masturbe rapidement. Des filaments de sperme jaillissent et vont se perdre dans l’herbe. — Excuse-moi de pas voir déchargé entre tes lèvres, j’avais plus le temps. Jeanneton frémit de dégoût. Il aurait envoyé la giclée dans la bouche? Quelle horreur! Heureusement qu’elle y a échappé. Les trois autres jeunes gens sont debout, sac en bandoulière. — Hé, Jean-Paul ! Faut y aller! — Tiens, lui dit-il, essuie-toi avec ce mouchoir. Tu peux le garder en souvenir. Les quatre garçons détallent vers l’arrêt de bus. Jeanneton reste seule dans la clairière. Elle frissonne. Le soir tombe. Elle prend conscience de sa nudité. Elle éponge avec le mouchoir le surplus de sperme qui coule entre ses cuisses. Quelle aventure! songe-t-elle en s’habillant. Ce qu’elle a joui! Jamais elle n’aurait imaginé que l’on puisse éprouver un si grand plaisir… Comment le retrouver? Ce n’est pas Augustin qui le lui procurera… Ni les garçons du village… Devra-t-elle attendre le retour des quatre vauriens? Elle tire pensivement sa carriole. Non, elle ne se confiera pas à ses amies. Elle gardera son secret…

« La moral’ de cette morale » « Lahirette, lahirette, » « La moral’ de cette morale »« C’est qu’les femmes aim’nt les cochons ! (bis) »

Jeanneton s’éveille de bon matin. Elle est tout étonnée d’avoir bien dormi. Son corps est apaisé et ne se ressent plus des excès de la veille. Hier soir, elle a fait faux bond à ses copines. Encore sous le coup de l’émotion, elle aurait été incapable de supporter leur bavardage. Elle repense aux événements de la veille. A présent, à froid, elle réalise qu’elle a été le jouet des quatre vauriens. Ah! Ils se sont bien moqués d’elle ces cochons! Ils étaient si gentils la première fois qu’elle les a rencontrés… Quelle idée de les provoquer avec son histoire de faucille oubliée… Si elle avait su qu’ils la traiteraient aussi grossièrement elle ne serait pas venue… Et elle n’aurait pas éprouvé cette jouissance merveilleuse, ce plaisir extrême dont le souvenir déclenche en elle de délicieux frissons… Ah! Retrouver ces moments intenses! Elle s’assied sur le lit en chemise de nuit. Elle soupire, il ne faut pas rêver. Si elle se jette au cou des hommes, sa réputation sera perdue. Il lui faudra être prudente. Du coup elle n’a plus envie de se rendre au rendez-vous fixé par Augustin. Que peut-il lui apporter celui-là? Surtout pas le plaisir, elle a assez payé pour le savoir! Tant pis s’il met sa menace à exécution et informe sa mère. Celle-ci sera furieuse, Jeanneton recevra une volée puis la vie continuera. La jeune fille se lève. Il y a du travail aujourd’hui. Elle doit nettoyer les lapinières. Pour cela, inutile de faire des frais de toilette. Elle sort du coffre à linge un vieux corsage râpé, un jupon de coton, une jupe délavée et pour protéger le tout, un tablier gris. Elle ôte sa chemise de nuit. Cela la fait sourire de se retrouver aussi nue que la veille dans le bois! Oui mais c’était mieux hier quand les garçons l’effeuillaient entre deux baisers. Elle ferme les yeux, son doigt s’insinue entre les lèvres du sexe. — Mmmh! Elle tente de retrouver la délicieuse sensation de leurs mains sur son corps…
La caresse solitaire, la seule qui auparavant savait l’émouvoir, la déçoit. C’est agréable mais sans plus. Il est loin le plaisir éprouvé la veille. Après un gros soupir elle fait une toilette sommaire avec l’eau de la cuvette. Osera-t-elle se déshabiller ainsi lorsqu’elle sera mariée et qu’un homme partagera sa couche? Elle hausse les épaules, ce n’est pas d’actualité malgré l’insistance de sa mère. Elle passe ses hardes et descend rejoindre Amélie qu’elle entend fourrager dans la cuisinière…
La mère et la fille terminent leur repas. Jeanneton lève la table et entasse la vaisselle dans l’évier. — Maintenant que les lapinières sont propres, que vas-tu faire cet après-midi? demande Amélie. — Euh… je sais pas. D’abord, la vaisselle, ensuite peut-être j’irai avec Suzon l’aider à garder les chèvres. Pourquoi tu me demandes? — Parce que tu me rendrais service en allant chercher chez monsieur Augustin le moule à gâteau qu’il m’a promis. — C’est toi qui as eu l’idée que j’y aille? — Non, c’est lui qui me l’a gentiment proposé pour pas me déranger. « Je me disais aussi! soupire la jeune fille. Il a peur que je ne vienne pas au rendez-vous et trouve un moyen détourné pour m’y obliger. » — J’ai pas envie d’aller chez lui. — Fais ça pour moi, ma chérie. Jeanneton soupire. Elle ne veut pas faire de peine à sa mère. — Bon, j’accepte. Elle ôte son tablier et se prépare à sortir. — Tu vas pas y aller avec ces vêtements sales? Monte te changer et fais-toi belle… Je t’en prie. — Bon, bon, rassure-toi, j’enfilerai mes habits du dimanche et même, ajoute-t-elle en remplissant un broc à la citerne, je ferai une petite toilette. On ne sait jamais, Augustin le premier jour l’avait caressée d’une façon fort agréable. C’est peut-être son attitude à elle qui a rendu le bonhomme brutal? Puisqu’elle est obligée d’aller à ce rendez-vous, autant essayer d’en retirer le maximum. Jeanneton ouvre son coffre à linge et sort un joli corsage, un jupon avec de la dentelle et sa jupe du dimanche qu’elle pose sur le lit. Elle se déshabille et entreprend une toilette complète avec le secret espoir qu’Augustin aura l’idée de la caresse entre ses cuisses, celle qui lui a fait découvrir la jouissance… De nouveau son doigt se perd dans les replis de son sexe, à nouveau cela ne lui apporte qu’un faible réconfort…
— Que t’es jolie ma fille ! s’exclame sa mère, quand Jeanneton descend les marches. Oh! Tu sens bon! — Oui, rougit la jeune fille, je t’ai volé un peu de parfum. Tu m’en veux pas? Amélie l’embrasse. — Pas du tout, t’as eu raison. Elle l’accompagne sur le pas de la porte et sourit quand les hommes se retournent sur le passage de sa fille. C’est qu’elle est drôlement jolie sa Jeanneton. Pourquoi n’accepte-t-elle pas l’époux que monsieur Augustin propose? Cela arrangerait bien leurs affaires qui ne sont pas brillantes depuis le décès de son mari.
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