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Astrid et Julia

Chapitre 7

Trash
L’APPRENTISSAGE D’ASTRIDLe jour suivant, je reçois des sexe-tapes très chauds de Julia où elle se fourre chatte et cul avec le godemichet qu’elle m’a dérobé. Elle me dit que je lui manque et elle compense. Pas encore de nouvelles de sa mère dont le mari n’est pas encore parti en voyage d’affaires.J’en profite pour installer tout un système de caméras dans les endroits stratégiques de mon logement. Je peux le déclencher à volonté et ainsi pouvoir avoir des enregistrements en haute définition en continu de tout ce qui se passe.Je m’apprête à dîner quand la sonnerie de la porte d’entrée résonne dans la maison. C’est Astrid. Elle est là en mini-jupette ; ras la moule ; et tee-shirt très moulant. Elle porte des tennis et socquettes pour compléter sa tenue. On dirait une gamine de... quarante-cinq ans.
— Bonsoir mon chéri. Je n’ai pas pu attendre. Je viens juste de déposer Paul à l’aéroport. Pour plus de sûreté, j’ai attendu que son avion décolle avant de venir te rejoindre. On est tranquille huit jours. Je suis à toi jours et nuits.— Et tu crois que je suis disponible alors que tu ne m’as donné aucune nouvelle de toi ?— Je n’ai pas pu. Paul était toujours après moi. En fait, pendant notre séjour, il a voulu me baiser. Il en a été incapable avec sa petite bite. Il nageait dans ma chatte tellement je me suis habituée à la tienne qui est si grosse. Il a eu une éjaculation précoce et j’ai simulé un orgasme. Je n’ai fait que penser à toi et à tout ce que tu allais me faire subir pendant tous ces jours où je suis disponible. D’ailleurs, regarde, j’ai réussi à m’enfiler le butt plug numéro cinq.
Elle soulève sa jupette et je peux voir le rosebud planté dans ses fesses, pas de culotte, bien entendu.
— Déshabille-toi !
L’ordre est cinglant. Astrid ne proteste pas et s’exécute. Jupette, tee-shirt et soutif tombent à ses pieds. Ses chaussures et chaussettes viennent rejoindre le tas.
— Je vais te punir pour ne pas avoir donné de tes nouvelles pendant ton absence. Suis-moi !
Je l’emmène à la cave au même endroit où a eu lieu le châtiment de Julia. Elle se retrouve suspendue de la même manière, sans défense. Son regard bleu profond exprime la peur et l’appréhension. Je lui écarte les cuisses et je fais pénétrer un énorme gode vibrant dans sa chatte. Je dois un peu forcer pour qu’il puisse entrer. Je le fixe avec des lanières autour de ses hanches pour ne pas qu’il tombe. Elle est désormais doublement pénétrée. Je mets en marche le vibromasseur et le règle sur la plus grande vitesse. Les mouvements de l’engin sont tellement puissants qu’elle a un orgasme quasi immédiat. Elle ne peut rien faire pour arrêter ces vibrations démoniaques.
Je lui tords les pointes de ses seins pour qu’elle arrête de jouir. Elle crie et dit que ça lui fait très mal. Je la bâillonne par un baiser auquel elle répond fougueusement. Je presse son corps contre le mien. Elle peut sentir mon sexe dressé à travers mon pantalon. Je malaxe ses fesses qu’elle a bien fermes. Il est temps de passer à plus dur.
Je prends le fouet et je lui dis :
— Je t’ai promis une punition, tu vas l’avoir. Ce sera vingt coups. Si tu cries, ce sera un de plus. On est d’accord ?— Tu promets que mon corps ne sera pas abîmé ? dit-elle d’une voix chevrotante due aux jouissances successives qui l’animent.
— Non, tu es trop bandante pour ça, je ne veux pas que tu sois déformée.
Ce sont d’abord ses seins qui sont touchés. Ils sont tellement gros que je n’ai aucun mal à les atteindre. J’alterne entre le droit et le gauche. Astrid serre les dents, mais on voit qu’elle souffre. Je la fais tourner et ce sont ses fesses qui prennent quelques coups sur la chatte et là, c’est un hurlement ; heureusement, le local est insonorisé ; une lanière du fouet a touché son clito. Elle a crié, ce n’est plus un sur le compteur. Ses yeux sont inondés de larmes qui coulent sur ses joues. Elle est magnifique dans la souffrance. Je lui dis que j’ai envie d’elle et que le châtiment est terminé. Elle me demande de la baiser, de l’enculer, de finir dans sa bouche. Elle dit qu’elle est à moi, qu’elle est prête à quitter son mari pour devenir mon esclave.
Je n’en espérais pas tant. Je la décroche, lui enlève gode et butt plug. Je me déshabille complètement et la prends dans mes bras, dos à moi. Ma bite dressée se retrouve dans la raie de ses fesses. Je la penche en avant sur le dossier du canapé. Elle feule. Je fais pénétrer mon gland dans sa foufoune. Il n’a aucun mal à faire son entrée. Les jouissances successives d’Astrid l’ont bien lubrifiée. En quelques secondes, je suis enconné au fond de sa matrice.
Elle pousse un cri suite à la soudaineté de mon attaque. Elle hurle le plaisir qu’elle ressent, et qui n’est manifestement pas simulé. Je me déchaîne pour lui montrer que j’attendais ce moment depuis longtemps. J’agrippe ses mamelles pour mieux m’enfoncer et je me libère de ma sève accumulée depuis la dernière fois où j’ai baisé sa fille. Ma délivrance provoque l’orgasme simultané d’Astrid. Je m’écroule sur elle. Quelques minutes encore où je savoure sa possession et je me désaccouple d’elle. Elle se relève, se retourne, se regarde dans le miroir face au canapé. Son corps est zébré de fines marques rouges. Ses tétons sont tendus à l’extrême. Elle me regarde avec amour et me dit :
— C’est incroyable le traitement que tu m’as fait subir. J’ai mal partout. Mes seins me brûlent tellement tu les as fouettés, mes tétines sont raides d’avoir été tordues, mes fesses sont endolories. Mon clito, tu ne l’as pas épargné non plus et ça m’a fait hurler de douleur. Mais j’ai aimé. Puis, récompense suprême, tu m’as fait jouir au-delà de mes espérances en me niquant comme la chienne que je suis. Grâce à toi, je suis devenue nymphomane. J’ai encore envie de toi. Baise-moi encore ! S’il te plaît !— Moi, je veux bien, mais j’ai besoin que tu réanimes ma flamme. On va d’abord changer de décor pour être plus à l’aise.
Je l’entraîne dans ma chambre qu’elle ne connaît pas encore. Je m’étale sur le lit et je lui lance un ordre :
— Allez ! Au travail petite cochonne !
Commence alors un ballet fait de ses mains et de sa bouche qui parcourent mon corps. Elle pose doucement ses lèvres sur les miennes, ne s’attarde pas, suçote le lobe de mes oreilles, descend dans mon cou, lèche mes aisselles et tète mon sein gauche...
Elle s’arrête alors un instant, ce sont ses mains qui prennent le relais. Elles glissent sur mes hanches, se regroupent sur mon pubis, puis s’écartent pour caresser mes cuisses. Je suis tendu à l’extrême. J’attends que mon sexe amolli éveille l’attention d’Astrid, mais elle l’évite comme pour se venger de ce que je lui ai fait subir. Elle penche sa tête au-dessus de mon entrejambe. Je reçois comme une décharge électrique quand sa langue effleure mon zob. Elle embouche alors ma quéquette qui se met à durcir au fur et à mesure de ses succions. Un vrai délice tant le travail qu’elle effectue est une vraie œuvre d’une habituée de la fellation qu’elle n’était pourtant pas il y a quelques semaines. Ce petit jeu dure plusieurs minutes et je résiste pour en profiter encore.
Il faut dire que je sais très bien faire durer le plaisir et c’est ce qu’appréciaient toutes les maîtresses que j’ai eues : ma faculté à les faire jouir longtemps et plusieurs fois.Il est temps de répondre à la demande d’Astrid. Je la fais basculer sur le dos. Je lui mords les seins, ma langue se posant sur le dessus de ses mamelons noirs. Elle couine, car sa poitrine est douloureuse des coups qu’elle a reçus. Je glisse vers le bas de son ventre pour lécher sa chatte. Ça lui fait le plus grand bien. Elle m’en fait part en agrippant ma tignasse, poussant mon visage de plus en plus profond entre ses cuisses largement ouvertes. La progression de ses gémissements est spectaculaire en rapport avec l’avancement de ma langue dans son con en chaleur. Cette fois, c’est son clitoris que j’attaque et là, c’est l’estocade, son corps se cabre et elle jouit brutalement.
Je ne lui laisse pas le temps de respirer. Je la retourne, elle se dresse sur ses genoux. Je la pénètre, en levrette, avec ma grosse bite dressée. J’attrape ses seins dans mes mains. Je les serre très fort, à la limite de la douleur pour elle. Quelques allers-retours violents, des cris étouffés, elle tombe sur le matelas dans un dernier frisson.
Après le côté pile, le côté face, c’est sur le dos que je la positionne. Je rabats ses jambes sur son torse et je l’emmanche d’une seule poussée sur mon vit. Ça rentre tout seul. Je presse son corps contre le mien et je l’embrasse à pleine bouche. Elle a le goût mélangé de ma bite et de sa chatte. J’adore. Nous restons immobiles. Je sens alors son vagin qui pulse et se contracte sur ma verge. C’est un délice. Tant et si bien qu’à ce petit jeu elle se mène à l’orgasme au même moment où j’inonde sa matrice en feu. Je n’ai pas pu tenir tellement c’était bon. Je l’enculerai plus tard...
C’est le moment des confidences. Tous les deux sur le dos, Astrid prend ma main dans la sienne et la serre très fort. Elle me murmure à l’oreille :
— Je t’aime, mais je sais que pour toi, je ne suis qu’un plan sexe. Je me trompe ?— Ah moins que tu aies envie de quitter ton mari ; ce que tu ne feras pas, je crois, pour des raisons essentiellement matérielles ; tu es effectivement un très bon plan sexe. Tu es docile, obéissante, tu réponds à tous mes désirs les plus fous, dont certains que tu n’as pas encore assouvis...— Lesquels ?— Te faire prendre par plusieurs mecs en même temps, voire te gouiner.— Je t’ai déjà dit que j’étais prête à tout. Mais tu as raison sur un point, je ne divorcerai pas pour toi. Mon mari m’assure une aisance pécuniaire et tu ne pourras pas suivre. Et puis, tu as dix ans de moins que moi. Dans quelques années, je serai ménopausée et je risque de me déformer physiquement. Tu ne voudras alors plus de moi. En attendant, tu es un amant merveilleux. Depuis que je suis arrivée chez toi ce soir ; j’ai perdu la notion du temps ; tu m’as fait jouir un nombre incalculable de fois et j’ai l’impression que ce n’est pas fini, dit-elle avec un sourire en serrant ma bite entre ses doigts.
A ce petit jeu, dont elle semble devenir experte, je ne manque pas d’avoir une splendide érection. Je vais lui faire payer son arrogance. Je la tourne sur le ventre, colle ma bite entre ses fesses, crache dans ma main pour lui lubrifier l’oignon et je l’encule sans coup férir. Elle pousse un cri et me pousse à être plus brutal. Je lui obéis et pendant un temps interminable, je lui défonce le cul dans toutes les positions que je lui force à prendre : sur le ventre, en cuillère, debout pliée en deux ; quelle souplesse, on voit qu’elle fait de la gym ; moi, au-dessus, mon sexe à la verticale. Je la sodomise aussi avec le godemichet dans sa chatte que je mets en vibration maximum. Ça l’achève ; ses orgasmes s’enchaînent ; et elle me supplie d’arrêter. Mais à ce stade, je suis résistant. Je continue pendant encore de longues minutes à lui perforer l’anus jusqu’à l’ultime moment où, sortant de son cul, sa tête pendante hors du lit, je m’enfonce au plus profond de sa gorge.
Quelques va-et-vient rapides de ma bite odorante et je crache ma semence qu’elle s’empresse d’avaler sans rechigner.
Recrus de fatigue, nous nous endormons jusqu’à une heure avancée de la matinée, lorsque son téléphone portable sonne. C’est son mari qui vient prendre de ses nouvelles. Je la laisse à sa conversation et je vais prendre une douche bien méritée.
En sortant de la salle de bain, elle me dit que son mari lui a demandé de s’occuper de démarches administratives. Elle va en avoir pour une bonne partie de la journée restante. Elle sera de retour ce soir, car elle compte bien profiter de ma bite longtemps encore avant le retour de son époux. Je lui réponds que pour ce soir je lui réserve de bonnes surprises. Elle veut savoir quoi, mais il n’est pas question que je lui dévoile ce que j’ai concocté...
Lors de notre séance avec Julia, j’avais prévenu mes complices ; Julien et Marc ; que j’aurai besoin d’eux pour mater la mère. Ces deux queutards ; de respectivement trente-quatre et trente-cinq ans ; en avaient parlé à leurs compagnes respectives. Celles-ci, de fieffées coquines bisexuelles, un peu plus jeunes qu’eux, étaient partantes pour une soirée échangiste. Les connaissant bien, elles sont très chaudes et imaginatives ; la nuit s’annonçait prometteuse et il est sûr qu’Astrid, reine de la soirée, en sortirait épuisée.
Il est dix-huit heures lorsqu’elle me téléphone pour me dire qu’elle est rentrée chez elle. Je lui indique que ce soir, nous sortons à l’extérieur. Je lui demande de s’habiller de la manière la plus désirable possible, c’est-à -dire nue, dans un manteau croisé, perchée sur ses plus hauts talons. Elle devra se farder les seins et mettre le butt plug numéro 5 dans son cul.
Il est vingt heures lorsqu’elle sonne à ma porte. Dès l’ouverture, elle écarte les pans de son manteau ; une des dernières créations de Dior ; et je la redécouvre dans sa nudité biblique. C’est vraiment une femme magnifique. Un corps dans la pleine plénitude de son âge que beaucoup de minettes pourraient lui envier : pas une ombre de cellulite, des seins fermes, légèrement pendants, dus à leur lourdeur, des tétons proéminents, des jambes bien droites, un mont de Vénus sans une vergeture. Seules quelques striures, dues aux coups de fouet qu’elle a reçus, apparaissent sur son buste et ses cuisses. Elle s’avance vers moi avec difficulté, en cause l’olisbos planté dans ses reins.
— Tu es sublime, lui dis-je. Si nous n’étions pas attendus, je te baiserais sur-le-champ.— Je peux te sucer si tu veux.— Non, je dois parfaire ta présentation et je veux être performant pour cette soirée (j’ai d’ailleurs pris du Cialis en prévision).
Je lui demande de s’enfiler dans la chatte des boules de geishas télécommandées. Une fois bien en place, j’ouvre une application dédiée sur mon smartphone et je commence à jouer avec la télécommande. J’utilise le programme « Jouissance immédiate » et en moins d’une minute, Astrid a un orgasme violent. Je ne regrette pas mon achat...
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