Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 51 J'aime
  • 1 Commentaire

Astrid et Julia

Chapitre 10

Trash
Il est neuf heures lorsque je me réveille le lendemain matin. Astrid dort encore allongée sur le ventre, les fesses écartées. Je peux voir son anus distendu par la pénétration anormale que je lui ai fait subir hier soir. Je ne peux résister à la vue de cette ouverture béante, j’y plonge deux doigts pour tester son élasticité. Ses sphincters, dans un mouvement réflexe, se resserrent sur eux. Je n’insiste pas, car c’est sa chatte que je veux et je dois préserver son cul pour ce soir.
La seule réaction qu’elle ait, suite à mes attouchements, est de se tourner sur son côté droit. Elle dort encore profondément. Je me mets en cuillère, ma bite glisse dans sa raie et tente une introduction dans son sexe. Ses cuisses sont trop serrées. Je soulève sa jambe gauche et, m’aidant de la mienne, je la maintiens surélevée. Je n’ai alors aucun mal à engouffrer mon vît dans sa chatte trempée. Elle devait faire un rêve érotique, car ça rentre tout seul jusqu’au fond. Elle est chaude à souhait. Mon action, ferme, la tire de son sommeil. Elle se presse contre moi pour accentuer ma pénétration. Je passe ma main droite sous son corps. Je peux alors empaumer ses deux seins et pratiquer de douces malaxations de ses tétons. Sa respiration s’accélère. Mon gland palpite dans son antre. Ses muscles vaginaux travaillent mon pénis. C’est fabuleux. Je la sens qui s’éveille complètement et répond entièrement à mes sollicitations.
Nos sens s’enflamment mutuellement et dans un dernier coup de reins, nous jouissons ensemble en pleine harmonie sexuelle.
Astrid est infatigable. C’est devenu une affamée de sexe. Jamais, jusqu’à présent, je n’avais connu une femme aussi demandeuse. Mon ex-femme, pourtant avide de baises intenses, ne lui arriverait pas à la cheville. Pourrais-je faire de Julia une copie de sa mère ? Je crois que, vu son âge, elle la battra... Mais pour l’instant, je n’en suis pas encore là, ce n’est qu’une supposition.Le reste de la journée, je passe mon temps à l’exciter sans la mener jusqu’à l’orgasme. On peut voir, aux regards qu’elle me lance, qu’elle n’en peut plus. Elle me supplie plusieurs fois de la prendre, mais je me dérobe à chacune de ses tentatives. Je la veux dans un état extrême de manque pour qu’elle puisse satisfaire tous les hommes que je vais mettre à sa disposition ce soir.
Je l’ai juste prévenue que ce soir, elle serait la reine de la soirée. Elle n’a de cesse de me poser des questions auxquelles je réponds vaguement. Je lui demande seulement de se faire belle et de ne porter que le strict minimum. Autrement dit : entièrement nue sous sa robe la plus décolletée possible.
Elle rentre chez elle pour se préparer et revient vers vingt heures, heure à laquelle j’ai prévu que nous partions. Dès l’ouverture de la porte, elle apparaît, magnifique. Ses cheveux remontés en chignon dégagent ses épaules quasiment dénudées et son cou longiligne. Sa robe, limitée au strict minimum de tissu, moule son corps splendide, dévoile pratiquement toute sa poitrine généreuse qu’aucun soutien-gorge ne maintient et révèle le haut de ses cuisses au ras de sa moule. Ses jambes libres - elle ne porte pas de bas - révèlent sa peau satinée légèrement hâlée. Ses pieds chaussés de chaussures Louboutin rehaussent sa taille de plusieurs centimètres. Malgré ça, elle est obligée de se mettre sur la pointe des pieds pour embrasser mes lèvres plongeant ses yeux vert émeraude dans les miens.
Sa bouche est douce et parfumée à la menthe ; son dentifrice probablement. Sa langue rejoint la mienne dans un baiser fougueux. Je porte ma main à son entrejambe libre de toute entrave ; pas de culotte, c’est ce que je lui avais demandé. Mon index se fraye un chemin dans sa moule déjà trempée. Elle gémit. Je n’ai pas l’intention de la baiser tout de suite. Je la laisse frustrée une fois de plus pour la rendre encore plus dépendante. Ses futurs partenaires ne seront pas déçus...
Nous prenons ma voiture pour nous rendre dans le club où Julien a réservé le salon spécial. Dès son arrivée, Astrid fait son effet. Tous les hommes actifs ou pas se retournent pour l’admirer. Une hôtesse nous dirige immédiatement vers la pièce mise à notre disposition. A son passage des mains d’hommes, mais aussi de femmes lui touchent les fesses comme pour l’évaluer. Tous savent qu’elle ne sera pas pour eux ce soir, mais, peut-être une autre fois...
La pièce à laquelle nous accédons est vaste. Au milieu, une estrade sur laquelle est installé un vaste lit, une table aux formes bizarres dont je comprendrai l’utilité plus tard et de nombreux poufs. Julien et Marc l’accueillent en l’embrassant sur la bouche. Ils la complimentent pour sa beauté. Je m’adresse à Astrid.
— Voilà ma chérie, nous y sommes. Comme je te l’ai déjà dit, tu vas être « La reine de la soirée ». Nous avons invité de nombreux hommes qui vont pouvoir profiter de ton corps de toutes les manières imaginables possibles. Nous leur avons demandé d’être créatifs. Ils vont pouvoir te baiser, t’enculer, s’enfoncer dans ta gorge, t’inonder de sperme, tout cela sans préservatif, car ils sont « clean ». Ils sont tous vigoureux, bien membrés et... infatigables, car habitués à ce genre de situation. Montre-leur que tu aimes la bite et surtout, ne me déçois pas.— J’ai peur, me répondit Astrid. Tu seras là ou tu me laisses à leur merci sans toi ?— Je serai là, aie confiance.
C’est le moment de faire entrer les dix hommes choisis, tous nus, leur sexe de bonne taille pendant entre leurs jambes. On voit l’admiration transparaître dans leurs yeux quand ils découvrent Astrid. Ils ne s’attendaient pas à pouvoir disposer d’un si beau lot. Certains commencent à bander à sa vue.

Astrid semble effrayée. Je la serre dans mes bras pour la rassurer. Je fais glisser la fermeture éclair de sa robe dans son dos. Celle-ci tombe en corolle à ses pieds, libérant son corps de toute beauté pour une femme de son âge.
Ce sont des applaudissements nourris qui accueillent cette vue magnifique. C’est Julien avec sa bite de cheval qui démarre les festivités. Il l’entraîne vers le lit sur lequel il la couche sur le dos pour l’enconner d’une seule poussée. Astrid, que j’avais si bien chauffée dans la journée, accepte son mandrin sans broncher. Elle se met à feuler montrant qu’il lui fait du bien. Il la défonce sans ménagement et se retire avant d’avoir joui. Les dix hommes vont alors se succéder rapidement et se déchaîner dans sa chatte comme pour faire connaissance avec Astrid et apprécier le corps qui est mis à leur disposition. Aucun n’éjacule. Elle n’a pas eu d’orgasme vu les assauts trop rapides et inachevés.
Marc la relève alors et l’amène jusqu’à la table spéciale toute en plexiglas, moulée en creux pour accueillir un corps de femme.
Il la penche alors et ses seins viennent tout naturellement se placer dans deux trous pratiqués dans cette coque. Dans cette position, ses tétons bien tendus vu la compression de ses mamelles sont accessibles par en dessous.
Son menton repose sur un petit coussin qui lui redresse la tête à l’horizontale, faisant en sorte que sa bouche se retrouve dans le prolongement de son œsophage.La courbure de la console lui rehausse ses cuisses en maintenant ses pieds à terre faisant en sorte que ses fesses soient bien redressées. Une échancrure dans le bord laisse un accès aisé à sa chatte et son anus. Marc lui écarte bien les cuisses en liant ses chevilles aux pieds de la table.
Au signal de Marc, les dix protagonistes se déchaînent sur elle. Le fait qu’elle soit dans cette position les stimule au plus haut point.Deux des hommes se mettent sous la table et lui sucent les nichons n’hésitant pas à les mordiller. Elle ne peut crier, car un autre profite de la situation pour s’enfoncer au plus profond de sa gorge. Il la coïte brutalement la faisant hoqueter. Passé sa luette, il éjacule dans son œsophage et se retire. Un autre prend sa place.
D’autres ont préféré son sexe et la pilonnent allègrement. Ils la font jouir plusieurs fois. Certains la sodomisent, en général ce sont ceux qui ont la plus grosse bite. Aucun problème vu la formation qu’elle a déjà eu, son anus est très réceptif. Le petit jeu dure une bonne heure et chacun a pu goûter à tous ses orifices. J’ai même vu l’un d’entre eux la baiser dans la chatte, puis l’enculer et juste après, finir dans sa bouche.
On laisse respirer Astrid. Elle en profite pour aller prendre une douche. Elle revient et se couche sur le lit où elle récupère quelques instants. Tout le monde en profite pour se restaurer et reprendre des forces. Les petites pilules bleues circulent, il ne faut pas faillir.Je vais discuter un moment avec elle pour m’enquérir de ce qu’elle ressent.
— Alors ma chérie, ça va ? Tu as aimé ?— Je suis moulue. Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’ils sont tous vigoureux. J’ai eu plusieurs orgasmes. Mais ce n’est pas pareil qu’avec toi. Là, je me sens comme un animal, sans sentiment. C’est juste de la baise. Mais j’aime bien parce que je le fais par amour pour toi. Il y a encore quelques semaines, jamais je n’aurais imaginé qu’un homme puisse m’asservir comme tu le fais.— Tu sais que la soirée n’est pas finie ? Ils vont te prendre encore plusieurs fois.— Oui, je vois qu’ils ne sont pas rassasiés. Y en a qui bandent déjà et sont prêts à remettre le couvert. Je suis prête. Je vais te faire honneur et leur montrer que je suis entièrement soumise à toi.
Un homme s’allonge sur le lit à côté d’Astrid. Il lui demande de venir s’empaler sur son vit bien dressé. Elle se dresse sur ses genoux, prend la bite en main et l’enfonce lentement dans sa chatte. Il lui caresse les nichons puis mordille ses tétons. Elle gémit tant cette action lui fait du bien. Il la prend dans ses bras et l’embrasse à pleine bouche. Ses fesses sont légèrement surélevées. Un autre garçon s’avance et profite de la position qu’elle a prise pour s’enfoncer dans ses intestins jusqu’à la garde. Je sais qu’à cet instant, Astrid fait jouer ses sphincters pour masser le braquemart qui la transperce. Elle est devenue experte à ce jeu. Il ne se passe qu’une minute avant que son partenaire ne finisse dans son cul. Il est vite remplacé par un autre. Les partenaires vont se succéder pour la prendre en double à chaque fois. Elle se remplit de leur foutre.
Ce n’est pas suffisant. On la fait s’asseoir, dos à lui, sur un partenaire allongé qui prend sa chatte. Un autre avance devant elle et tente un double vaginal. Il n’a aucun mal à faire pénétrer sa queue tant son sexe est lubrifié. C’est beaucoup pour Astrid, mais on voit qu’après quelques crispations, elle apprécie cette double pénétration. Nos compères s’en donnent à cœur joie et la font jouir plusieurs fois. D’autres veulent leur part et demandent à leur tour d’en faire autant. C’était sans compter sur les sodomites qui vont faire alors pareil avec son cul. Ce sera alors un écartèlement de son anus où plongeront en même temps deux bites de concert ou alternativement.
Il est temps que cette soirée s’achève. C’est le temps du bukkake final. Astrid est mise à genoux, entourée de tous ses partenaires de la soirée qui se branlent au-dessus de son visage. Leur sperme se répand dans sa bouche, sur ses yeux, sur sa poitrine. Elle avale tout sous les applaudissements de tous.
Sur le chemin du retour, nous ne disons rien, mais arrivés à la maison, Astrid se jette sur moi et m’arrache plus qu’elle ne m’enlève mes vêtements. J’en fais autant avec sa robe qui est désormais bonne à mettre à la poubelle. Nous roulons sur le carrelage de l’entrée et faisons sauvagement l’amour. Je ne l’ai pas touchée de la soirée et ça lui manque. Elle me le dit. Elle me serre contre elle. Je lui baise la chatte. Elle plante ses ongles dans mon dos. Je la retourne et je l’encule profondément. Elle tourne la tête et me mord les lèvres. Je quitte son cul, la fais mettre à genoux et je lui fais nettoyer ma bite. Je la redresse et la fais pencher sur la table de l’entrée pour la prendre en levrette. Elle pousse des cris, me murmure des mots d’amour. Elle dit qu’elle en veut encore, qu’elle n’est pas rassasiée de moi, qu’elle ne fait que jouir sous les assauts de ma bite. Je lui massacre le con, l’anus. Je lui transperce la poitrine de mon vit dressé entre ses seins. Je suis inépuisable.
C’est alors que je ralentis le rythme et, alors que ma queue est au fond de son vagin, je cesse mes va-et-vient pour faire palpiter mon gland à l’entrée de son utérus. Je la sens vibrer. Son souffle s’accélère. Puis elle se déchaîne dans un maelström incontrôlé qui nous entraîne vers un orgasme commun au moment où je me répands en elle.
Au bout de plusieurs minutes, on se relève et nous allons directement dans ma chambre où nous nous écroulons dans les bras l’un de l’autre. Un baiser sur ses lèvres et nous nous endormons, épuisés.
Diffuse en direct !
Regarder son live