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Astrid et Julia

Chapitre 13

Trash
Il s’est écoulé plus d’une semaine depuis la venue de Julia et Astrid. J’en ai profité pour recharger mes batteries. J’ai trente-cinq ans, mais ce rythme sexuel est quand même épuisant. Et puis, j’ai mon travail. J’ai dû me rendre au siège pour plusieurs réunions de mise au point sur le projet sur lequel je bosse. Or il n’y a que dans la semaine que je peux les voir toutes les deux.
Julia m’a envoyé son emploi du temps. Peu de temps libre pour elle, les partielles approchent. Néanmoins, je reçois un texto de sa part me disant : « Ce week-end, je peux être libre si tu veux. Je prétexterai que je vais le passer chez une copine de fac. Surtout, dis-moi oui, j’ai tellement envie de toi ! »
Je lui réponds immédiatement oui et que je me charge d’organiser notre séjour. Je lui enverrai mes instructions plus tard.Je réserve un « Séjour coquin nuit d’amour » dans un château des Yvelines où j’avais mes habitudes avec mon ex-femme. La prestation comprend une bouteille de champagne à l’arrivée, un repas gastronomique en trois plats, chacun étant accompagné d’un verre de vin, le petit-déjeuner servi en chambre.
Chaque suite – dans notre cas, j’ai choisi la catégorie luxe - a son jacuzzi particulier. Le service est discret et on peut éviter de passer à la réception en payant d’avance tout le package. C’est ce que je fais. Je reçois en retour le code d’accès qui sert aussi pour le paiement au restaurant.
Je m’empresse de prévenir Julia et je lui donne rendez-vous ce samedi à Versailles près de la Place Royale à quinze heures. Elle est folle de joie à l’idée de passer le week-end avec moi. Elle me demande où on va. Je lui réponds que c’est une surprise.
A l’heure pile, je la cueille au lieu de rendez-vous que je lui ai fixé. Je la vois, habillée d’une robe bleue sans manches, serrée à la taille par un gros ceinturon, chaussée d’escarpins dans le même ton, ses cheveux sont noués en une courte queue-de-cheval, qui m’attend un sac de voyage à la main.
Tel un gentleman, je sors de la voiture pour la faire monter. Elle est surprise par ce geste et me le fait remarquer. On s’embrasse longuement et après qu’elle ait déposé son bagage à l’arrière, elle monte à l’avant et je prends la route pour notre lieu d’hébergement.
La route est belle et sur notre trajet, je lui commente les lieux que nous traversons. Je connais bien le département puisque j’y suis né.Nous arrivons à destination. Julia est émerveillée par le château et ses environs. Elle me dit que je la gâte. Nous accédons à notre suite, sans passer par la réception, grâce au code en ma possession. La pièce est immense. Un lit « King size » trône en son milieu. La salle de bain, comme il en existe dans les décors modernes, est juste séparée par une cloison à la tête du lit : baignoire moderne au centre de l’adjonction, doubles vasques en verre de chaque côté de la séparation.
Julia est comme une petite fille – ce qu’elle est vis-à-vis de moi – et commente chacune de ses découvertes. Elle ouvre l’une des grandes fenêtres qui donne sur une terrasse où, surprise, est installé le jacuzzi. La vue, sur le jardin à la française, est splendide, pas de vis-à-vis. Nous sommes en juin et il fait chaud. Elle me demande :
— Tu crois que je peux prendre un bain maintenant ?— Bien sûr, tu peux faire ce que tu veux, lui dis-je en souriant.
Ni une, ni deux, en deux temps trois mouvements, elle se retrouve nue dans le bain à bulles. Elle dénoue ses cheveux et me fait signe de venir la rejoindre. Je ne tarde pas à le faire. On s’étreint immédiatement et on s’embrasse à bouche que veux-tu. Bien entendu, n’étant pas de bois et le corps de Julia étant plus que désirable, je bande immédiatement. Évidemment, elle s’en aperçoit et me le fait remarquer ironiquement :
— Je vois que je te fais de l’effet mon chéri, dit-elle en posant délicatement sa main sur mon vit.— Tu t’en étonnes ? Avec toi, j’ai toujours envie de faire l’amour.— Je sais et je suis bien avec toi. Tu es adorable, surprenant et tu viens de me le prouver encore une fois en organisant ce week-end en amoureux. Cet endroit est magnifique.
A ces mots, je la vois plonger sous l’eau bouillonnante et emboucher mon sexe. Je me soulève pour lui faciliter la tâche et lui permettre de respirer. Elle arrête sa succion, me regarde amoureusement et me dit brutalement :
— Tu baises toujours ma mère ? Tu l’as déjà amenée ici ?— Oui, je baise ta mère et tu le sais. Non, il n’y a que toi que j’ai fait venir ici.— Salaud ! Elle sait qu’on te partage toutes les deux.— Non, je ne lui ai pas dit.— Tu l’aimes comme moi ? — Oui et ça, tu dois l’accepter. Je ne peux pas faire la différence. En fait, j’aimerais bien vous avoir toutes les deux en même temps dans mon lit. Ça aurait le mérite de ne plus avoir à se cacher...— Tu te rends compte que c’est de l’inceste. Ce n’est pas bien. Je suis sûre qu’elle refuserait.— En es-tu persuadée ? J’ai fait une compilation de nos ébats pendant que tu étais partie. Tu veux la voir, je l’ai sur ma tablette ? Je peux t’assurer qu’elle en veut autant que toi, côté sexe. — Oui, je veux bien.
Nous sortons du jacuzzi et après nous être essuyés, je branche la tablette sur la télévision grand écran et on s’allonge sur le lit. Là, c’est la stupéfaction pour Julia. Elle va voir sa mère subir tous les outrages : se faire enculer, fouetter, faire l’amour à plusieurs avec mes copains – Julia les connaît puisqu’elle les a subis elle aussi se faire prendre en double vaginal et anal, se faire fister. En fait, tout accepter de moi, y compris le gang-bang où elle s’est fait sauter par douze mecs en rut.
Julia, impressionnée, est dans un état indescriptible. Je mets mon doigt dans sa fente, elle est trempée. Pour la calmer, je n’ai qu’une option, la baiser. Je ne vais pas m’en priver. Pendant plus d’une demi-heure, je vais la tromboner. Elle va jouir plusieurs fois jusqu’à mon éjaculation finale.
Nous avons à peine fini qu’on frappe à la porte. « Service d’étage ! ». J’enfile un peignoir et Julia va dans la salle de bain. J’ouvre la porte et le garçon d’étage entre dans la suite en poussant une table roulante sur laquelle il y a un seau à glace avec une bouteille de champagne, deux flûtes et une assiette de toasts au caviar et au saumon. Je lui laisse un généreux pourboire. Il me remercie et s’en va.
Nous allons sur la terrasse et dégustons tranquillement nos toasts en sirotant nos coupes de champagne. Nous reprenons notre conversation.
— Alors ? Que penses-tu des exploits de ta mère ?— Alors là, j’avoue que je suis scotchée. Je ne pensais pas qu’elle puisse être aussi accroc au sexe. Elle a failli se faire pénétrer par trois bites en même temps dans la chatte. C’est une affamée. Tu ne dois pas t’ennuyer avec elle.— Avec toi non plus, je ne m’ennuie pas. Allez viens ! Je vais prendre ton petit cul.
Julia vient s’asseoir sur mes genoux, dos à moi, et enfile son anus sur mon gland. Son petit trou est désormais bien habitué, ça rentre tout seul. J’aime cette position où elle peut s’enculer à sa guise, profondément, pendant que je lui pelote les seins. C’est ce qu’elle fait d’ailleurs. Ses sphincters massent ma bite pendant que je fais pénétrer mes doigts dans sa chatte accueillante. A ce rythme, nous ne tardons pas à jouir tous les deux en pleine harmonie sexuelle.
Il est temps de nous préparer pour le dîner. Pour cette occasion, j’ai prévu de m’habiller dans une même couleur : sweat-shirt à manches courtes, pantalon, et mocassins bleu marine de Massimo Dutti. Julia, quant à elle, a choisi la couleur verte, accordée à ses yeux, pour son corsage à manches longues au décolleté plongeant carrément au niveau du nombril. Ses seins juvéniles, qui n’ont pas besoin de soutien-gorge, tant ils se tiennent bien, sont à peine cachés par le tissu. Elle porte une jupe ample dans les mêmes tons dont l’ourlet arrive un peu au-dessus du genou. Chaussée d’escarpins Louboutin, sa tenue générale est de grande classe : une vraie femme, pas une gamine. Je vais être fier de l’avoir à mon bras.
Quand nous arrivons au restaurant, l’effet est stupéfiant lorsque le maître d’hôtel nous amène à notre table. Les conversations s’arrêtent, tous les regards des hommes se fixent sur Julia au grand dam de leur épouse ou compagne. Elle s’assoit avec grâce sur son siège. Nous passons commande et le sommelier vient nous conseiller pour les vins.
Un couple d’une trentaine d’années est installé à une table proche. Nous ne tardons pas à faire connaissance. La femme, d’une grande classe, rousse avec les cheveux longs bouclés tombant en cascade, des yeux verts, une poitrine agréable à regarder. L’homme, yeux marron, barbe en pointe, façon « hipster », est de belle prestance.
Ils sont là pour fêter leur anniversaire de mariage. Au fil de la conversation, nous apprenons que Chloé ; c’est le prénom de la jolie rousse ; et Bruno sont mariés depuis deux ans. Ils ont respectivement vingt-neuf et trente et un ans. Ils travaillent dans la même entreprise où ils se sont connus. Elle est adjointe à la directrice du marketing, lui directeur de la production. Nous discutons de tout et de rien.
Le vin aidant, nous devenons vite pompettes ; le fait de loger sur place permet de se libérer sans crainte de l’alcotest ; la conversation devient vite grivoise, voire osée. Ils nous avouent qu’ils pratiquent l’échangisme depuis un an et nous demandent si nous sommes dans le même cas. Je leur indique que Julia est ma soumise depuis déjà quelques mois et que nous n’avons aucun tabou. Ils semblent intéressés par notre cas. Nous leur proposons de finir la discussion dans notre suite ; Julia est partante, je l’ai vue, à son regard brillant. Chloé et Bruno se consultent et nous donnent leur accord.
Les cafés pris, nous quittons la salle de restaurant. Le chemin jusqu’à notre suite est difficile à faire vu notre état d’alcoolisation. Nous sommes tous désinhibés. Chloé m’a pris le bras et s’accroche à moi. On s’arrête et elle me roule une pelle montrant que je ne lui suis pas indifférent. Je tâte son petit cul, elle se laisse faire. Je bande déjà et je lui fais sentir en prenant sa main que je porte sur mon entrejambe. Elle me regarde d’un air gourmand.
Bruno n’est pas en reste. Il a pris Julia dans ses bras, dos à lui et il lui pelote les seins vigoureusement. Vu le décolleté de son chemisier, ils sont très accessibles. Ma chérie semble apprécier d’autant qu’elle doit sentir son sexe dans la raie de ses fesses.
Nous sommes à peine entrés dans la suite que j’émets le désir de faire connaissance avec la poitrine de Chloé. Elle porte un pull que je m’empresse de lui enlever sans qu’elle émette aucune protestation. Pas de soutien-gorge, elle n’en a pas besoin. Au toucher, ses nichons sont fermes, sa peau est douce. Nos lèvres se rejoignent dans un baiser fougueux. Nous avons envie l’un de l’autre. Elle défait la ceinture de mon pantalon et les boutons qui le retiennent. Je m’en défais. Elle plonge alors ses fines mains dans mon caleçon. Elle me regarde avec avidité, on voit qu’elle n’est pas déçue par l’état de mon engin.
Dans le même temps, Bruno a mis à nu ma chérie et l’a fait mettre à genoux sur un fauteuil. Sans se déshabiller, il a sorti sa queue de sa braguette et après avoir enfilé un préservatif, l’a enconnée sans opposition de sa part. Elle pousse un petit cri montrant qu’elle apprécie cette intromission. La jeunesse de Julia l’a certainement trop stimulé, car il jouit immédiatement, la laissant frustrée.
De mon côté, Chloé m’a fait asseoir sur le lit et après s’être agenouillée, a pris mon vit en bouche. Elle me suce merveilleusement bien pendant un moment. Je savoure ces instants. Je décide de lui rendre la pareille. Je la fais lever et je dégrafe sa jupe qui tombe à ses pieds. Je baisse son string et sa touffe de rousse se révèle à mes yeux. Je la doigte légèrement, sa chatte suinte de son jus. Je n’ai qu’une hâte : la goûter. On se positionne en soixante-neuf en travers du lit. Sa tête est pendante, ce qui me permet de bien faire pénétrer mon sexe au fond de sa gorge. On voit qu’elle a l’habitude, car elle ne hoquette pas, au contraire, elle est très active avec sa menteuse et ses lèvres. Pendant ce temps, je la déguste. J’adore ce goût et cette senteur poivrée qu’ont les rousses. Elle apprécie, car elle accélère ses mouvements sur ma queue et son corps se tortille. Ma langue se vrille à l’entrée de son vagin.
Une secousse lui fait arquer le bassin, elle jouit longuement, éclaboussant mon visage de sa mouille.
Il n’en faut pas plus pour qu’au même moment, je jute au fond de son gosier. Elle avale tout. Nous nous relevons et rejoignons Bruno et Julia qui, entre-temps, se sont rendus dans le jacuzzi.Je vois ma belle qui redonne vigueur au sexe de son partenaire. Une fois son œuvre accomplie, elle le chevauche et compte bien profiter cette fois pleinement de ses prestations. Il l’emmanche violemment et elle jouit une première fois. Chloé les rejoint, prend Julia dans ses bras et l’embrasse à bouche que veux-tu pendant que son mari la trombone. De les voir ainsi me fait bander à nouveau. Je vois le petit trou de ma compagne émerger du bain bouillonnant. Je ne peux résister à cet appel muet, je m’approche et je l’encule d’une seule poussée de mon braquemart en furie. Elle pousse un cri de surprise, mais facilite le mouvement en écartant ses fesses. Comme si nous nous connaissions depuis longtemps, Bruno et moi synchronisons nos mouvements. C’est la fête à Julia, en quelques minutes, on la fait jouir plusieurs fois. Chloé veut que nous lui fassions la même chose. Elle dit qu’elle veut mon vit dans sa chatte maintenant, car elle n’y a pas eu droit encore.
Je me retire du cul de Julia et m’assois au bord des marches. Chloé enfile un préservatif sur ma queue avec sa bouche – la coquine sait y faire. Elle ne se préoccupe pas du fait qu’elle soit sortie de l’anus de ma compagne. Elle se relève et vient s’empaler sur ma verge. Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle s’exprime :
— Ah oui, comme elle est bonne ta biroute. Elle est bien grosse comme je les aime. Vas-y, défonce-moi la cramouille. Oh, continue, je jouis, c’est bon. Tu me fais du bien, continue encore.
Elle a trois orgasmes de suite. Je fais signe à son mari de venir défoncer son trou de balle. Il me rejoint et nous la besognons un bon quart d’heure. Elle pousse des cris d’autant que son plaisir s’accroît encore quand Julia vient lui téter les seins. Elle dit qu’elle sent bien nos deux gros sexes qui lui labourent ses deux orifices. Ça nous stimule encore plus et nous jouissons de concert en l’amenant au septième ciel, moi dans la capote, lui dans ses intestins.
Nous nous reposons en buvant une coupe de champagne. C’est le moment où nous commentons nos ébats communs. Nous ne regrettons pas cette rencontre impromptue. J’entre plus dans les détails de notre liaison. Ils sont déjà surpris de l’âge de Julia et de sa docilité. Elle leur raconte comment, par amour pour moi, elle se prête à tous mes jeux : l’apprentissage de la sodomie, des coïts multiples y compris avec un inconnu, des doubles pénétrations anales et vaginales. Elle leur narre aussi les séances de fouet.
Je leur dis aussi que, bien qu’étant amoureux de Julia, je le suis aussi de sa mère Astrid à qui j’ai fait subir les mêmes choses.Ils sont tous les deux scotchés. Ils ne s’attendaient pas à autant de vice de notre part. Ses confessions les ont émoustillées. Ils se pressentent l’un contre l’autre. Chloé caresse le sexe de son mari déjà en complète érection. Il la fait se lever et mettre à genoux dans le canapé. J’en fais autant avec Julia qui s’installe à côté. C’est en levrette que nous les prenons après avoir enfilé des condoms. Nous sommes tous les deux gavés au Cialis, donc plus que résistants. C’est pendant plus d’une heure que nous allons swapper nos compagnes en changeant de trou à chaque fois. Elles vont jouir du cul, de la chatte jusqu’à leur épuisement total. C’est à ce moment-là que nous choisissons pour venir finir dans leurs bouches respectives.
Au petit matin, nos nouveaux amis rejoignent leur chambre après que nous ayons échangé nos 06... Ils ne regrettent pas de nous avoir rencontrés. Ils aimeraient refaire une soirée avec nous « sans capotes », Chloé a très envie de se faire doublement pénétrer dans la chatte et, peut-être dans son cul. Elle n’a pas encore vécu ça.
Julia a apprécié énormément ce week-end et elle est prête à recommencer. Je la raccompagne à quelques mètres de chez elle en fin de journée.
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