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Astrid et Julia

Chapitre 16

Trash
Plus d’un mois s’est écoulé, les piercings de Julia ont bien cicatrisé et le Barbell qui traverse le capuchon de son clitoris l’excite en permanence. Je peux désormais jouer avec les anneaux qui pendent de ses seins ou de ses grandes lèvres. Je ne manque pas d’en abuser en pratiquant des étirements qui la font grimacer. Elle se rattrape désormais de la période d’abstinence vaginale en s’empalant bien à fond sur ma queue lors de nos ébats.
Avec sa mère, elles rivalisent d’ingéniosité pour me faire plaisir. C’est à qui sera la plus perverse. Astrid a fait découvrir à sa fille le gode cheval vibrant énorme de 35 centimètres par 6,6 centimètres que je lui avais enfilé dans sa chatte il y a quelque temps. Depuis, toutes les deux le prennent facilement dans le cul.
Elles se fistent mutuellement devant moi et il est courant qu’elles mettent les deux mains dans le vagin de l’autre. Elles deviennent très expérimentées dans les pénétrations monstrueuses. Heureusement que la foufoune et le cul d’une femme sont élastiques sinon, malgré la taille respectable de mon sexe, je ne sentirais plus rien après de telles invasions.
Le jour de la séance avec maître Hubert est arrivé. Nous avons rendez-vous chez lui dans un manoir des Yvelines à vingt et une heures.
Pour la circonstance, mes belles, sur mes conseils, se maquillent légèrement les yeux et mettent juste une touche de rouge à lèvres. Leurs cheveux, tirés en queue-de-cheval, leur dégagent bien le visage, mettant en valeur la beauté de celui-ci. Elles portent chacune la même robe courte bleue au décolleté plongeant, sans manches. Une fermeture « éclair » tout le long du dos permettra de dégager rapidement leur corps nu à la vue de tous. Des escarpins Louboutin à talons très hauts complètent leur tenue.
Il n’est évidemment pas question qu’elles portent des sous-vêtements.Je leur demande de soigner leur toilette intime en se faisant un lavement profond et surtout de préparer leur anus avec un lubrifiant désensibilisant au silicone.Quand je les vois sortir de la salle de bains, je reste scotché, tellement leur beauté est éclatante. On dirait deux sœurs jumelles. Ça me fait tellement d’effet que j’ai du mal à contenir mon sexe en érection dans mon pantalon. Elles s’en aperçoivent et éclatent de rire en me voyant dans cet état.
Ça détend l’atmosphère, car je les sentais un peu crispées.Dès notre arrivée, nous sommes accueillis par un majordome qui nous mène au salon. Maître Hubert nous reçoit en ces termes :
— Bonjour Hervé. (Il semble ignorer mes femmes) Voilà vos compagnes dont vous m’avez fait l’éloge. Elles sont plus belles que ce que montrent les photos. Difficile de faire la différence entre la mère et la fille, hormis, d’après ce que je vois, des seins légèrement tombants pour Astrid. C’est bien son prénom ?— Oui, acquiescé-je et Julia pour la fille. — Ah oui Julia, plus de dix-huit ans et déjà perverse et Astrid quarante-cinq ans une vraie salope d’après ce que vous m’avez dit d’elle. Ce sont de bonnes recrues que vous avez là. Voyons ça de plus près.
Mes femmes, très intimidées par l’assurance de maître Hubert, ne mouftent pas, ne sachant pas très bien ce qui les attend. Il les fait avancer et commence par palper leur poitrine. Astrid a comme un mouvement de recul, mal lui en prend, car elle reçoit immédiatement une gifle qui la tétanise tant elle ne s’y attendait pas. Maître Huber s’adresse à elle :
— Je ne permets pas à une soumise de se refuser à quelque approche que ce soit. Vous êtes là pour obéir et servir vos maîtres. Votre corps ne vous appartient pas. Votre bouche, votre chatte, votre cul sont désormais au service de toute homme ou femme qui le désirera. C’est valable pour vous aussi Julia. Vous êtes sur le même pied d’égalité. Tout ce que votre mère subira, vous le subirez et vice-versa. A partir de maintenant, la loi est la même pour toutes les deux, sinon vous serez immédiatement châtiées : BAISSER LES YEUX, OBEIR QUOIQU’IL VOUS EN COUTE, NE PARLER QUE SI L’ON VOUS INTERROGE. Si l’une d’entre vous se dérobe, elle sera punie, mais pour bien montrer qu’ici on ne plaisante pas, l’autre le sera aussi par solidarité. Me suis-je bien fait comprendre ?— Oui, répondent en même temps Julia et Astrid, les yeux baissés.

Je suis surpris par leur obéissance. Elles ne regimbent pas et semblent y prendre plaisir. Maître Hubert reprend l’inspection d’Astrid. Il soulève sa robe et palpe sa chatte. Il constate qu’elle mouille déjà. Il accentue sa pénétration avec ses doigts en crochets et la fait grimacer de douleur. De son autre main, il fait apparaître le bout d’un sein du décolleté et vient le mordre franchement. L’action est tellement brutale qu’il la fait hurler. Il commente :
— Très sensible de la chatte et des seins, j’en connais qui vont être heureux de pouvoir lui faire subir tous les outrages. Vous les fouettez régulièrement ?— Pas souvent, seulement de temps en temps.— Voyons comment la fille réagit, dit-il en s’approchant de Julia. A genoux et suce-moi petite salope.
Elle s’exécute et déboucle la ceinture du pantalon, fait tomber le caleçon libérant ainsi un sexe de bonne taille semi-bandé. C’est une experte en pipe et elle ne tarde pas à lui donner de la vigueur, mais maître Hubert ne s’en contente pas. Il prend sa tête à deux mains et la force à avaler son chibre tout entier jusqu’aux couilles. Elle hoquette, mais répond à sa demande en l’enfonçant complètement au fond de sa gorge. Surpris par cette action, il ne peut se retenir et éjacule sa semence qu’elle avale sans problème.
— Je suis surpris par leur obéissance et leur savoir-faire. J’aimerais bien les voir se gouiner. Allez, à poil toutes les deux et montrez-moi comment vous vous gougnotter.
Je viens derrière elles et je fais descendre les fermetures « éclair ». Leurs robes tombent à leurs pieds, libérant leurs corps magnifiques. Elles s’enlacent et s’embrassent à bouche que veux-tu. La mère fait tomber sa fille sur le canapé proche et se met en position de « soixante-neuf » au-dessus d’elle. Elles vont se faire du bien comme ça jusqu’au moment où la voix de maître Hubert les stoppe impérativement :
— Ça suffit. Vous ne devez pas jouir ! Il est temps de nous rendre au donjon.
Il appuie sur un bouton et le majordome apparaît. Il entraîne les femmes dans un couloir sombre et nous le suivons. Sur le chemin, nous passons devant des cellules aux portes de verre dans lesquelles sont enfermées des femmes entièrement nues. Maître Hubert commente :
— Ce sont des femmes en formation de soumise. Elles débutent. Leurs compagnons ne savaient pas comment les dresser. Ils me les ont confiées. Vous avez pu voir au passage une animatrice de télé qui commence un peu à être célèbre. C’est une bonne recrue, prête à tout pour réussir. Elle est d’une perversité sans égal. Elle est fouettée régulièrement deux fois par jour. Elle aime ça, car elle en redemande. La plupart restent là un mois, c’est le minimum pour en faire des accros au sexe. Une fois sorties d’ici, elles ne pourront plus s’en passer.
Le donjon dans lequel nous arrivons est très bien équipé. Deux grands noirs, nus, de plus de deux mètres, aux muscles noueux, attendent dans la salle. A notre arrivée, ils se saisissent d’Astrid et Julia et, en deux temps trois mouvements, les fixent chacune par les poignets à un jeu de poulies fixées au plafond. Ils appuient sur une commande et les voilà qu’elles se retrouvent étirées, bras en l’air, les pieds touchant à peine le sol. Sur un signe de maître Hubert, ils commencent à les fouetter méthodiquement en les faisant tourner. Ce ne sont alors que des cris, des pleurs, mais ni l’une, ni l’autre ne demande d’arrêter. Aucune partie de leur corps n’est épargnée. Leurs chattes et leurs seins sont les plus visés. C’est Julia qui déguste le plus, car les anneaux étirent ses chairs quand le fouet vient à les saisir. Au bout de quelques minutes de ce traitement, leur corps n’est plus que plaies, certes superficielles, mais spectaculaires.
Je m’approche d’elles, je les embrasse doucement sur les lèvres et je leur dis :
— Merci, mes chéries, de vouloir accepter de souffrir par amour pour moi. Ce n’est pas fini, vous devrez encore accepter beaucoup de choses encore plus dures. Etes-vous prêtes à continuer ?— Oui, me répondent-elles en me lançant un regard amoureux.
Les deux noirs les détachent et leur demandent de les masturber. En quelques secondes, leurs bites molles deviennent de vraies matraques, énormes, monstrueuses. Leurs petites menottes ne peuvent pas se refermer sur elles. Elles doivent ensuite les sucer et elles grossissent encore ! Incroyable !
L’un des noirs prend alors Julia dans un de ses bras, la soulève, ajuste de l’autre son sexe sur sa foufounette et commence à l’emmancher. Elle pousse un cri terrible tellement l’intromission est difficile. Ses chairs sont étirées par l’épaisseur du gland qui peine à se faire un chemin. Il l’embrasse alors à pleine bouche et la prend complètement dans ses bras. L’image est fantastique. Cette gamine dans les bras de ce géant qui tente de la pénétrer, on dirait un remake pornographique de Gozilla.
L’autre noir n’est pas en reste. Il s’occupe d’Astrid. Mais lui préfère son cul. Pour cela, il la penche sur un guéridon posé à côté, crache sur sa rondelle et l’encule allégrement. Heureusement qu’elle s’est entraînée avec le gode cheval ! Il est d’ailleurs étonné de la facilité de la pénétration.
Finalement, Julia a fini par absorber entièrement le sexe éléphantesque de son partenaire.Pendant plus d’une heure, les deux noirs vont les défoncer, les détruire. Tels des robots, ils sont infatigables. Ils ne se contenteront pas d’un seul orifice. Mais leurs culs, leurs chattes, leurs bouches vont prendre grave. Ils échangeront bien sûr leurs partenaires, se feront lécher le cul. Dans la première demi-heure, elles ne vont pas arrêter de jouir, enchaînant orgasme sur orgasme puis ce ne seront plus que des poupées brisées, ballottées dans tous les sens, sans réaction. Astrid est écroulée par terre, sans forces, elle n’en peut plus. Julia est encore lucide, les yeux grands ouverts. Les deux noirs se rabattent sur elle. L’un devant la prend dans ses bras et l’enconne d’une seule poussée, l’autre se positionne derrière et la sodomise. Prise en sandwich, ils vont l’achever en la perforant pendant encore dix minutes jusqu’à ce que, enfin, sur un signe de maître Hubert, ils jouissent, qui dans son rectum, qui dans sa moule.
Astrid et Julia sont désormais affalées, dans les bras l’une de l’autre, sur un matelas posé directement sur le sol. Leurs orifices mutuels sont distendus à l’extrême. Le rimmel a coulé sur leur visage défait. Leur corps martyrisé par le fouet n’est que douleur.Maître Hubert s’adresse alors à elles :
— Vous avez affronté ces premières épreuves avec courage. Votre maître, Hervé, peut être fier de vous deux. Il possède deux perles, mais il serait dommage qu’il ne vous partage pas avec des hommes qui n’ont pas cette chance dans la vie. Ils sont moches ou difformes pour la plupart, vieux sans doute, pas très propres certainement. Vous allez accomplir un acte de philanthropie en les menant tous au plaisir. Vous allez vous offrir complètement, les laisser vous utiliser comme bon leur semble – l’état de manque les a rendus très vicieux. Il faut que le bon moment que vous allez leur faire passer soit inoubliable pour eux. Vous pouvez arrêter si vous voulez au risque de décevoir votre maître ici présent. Je vous laisse dix minutes avec lui et vous me ferez part de votre choix.
Je me retrouve seul avec mes belles. Je m’allonge à côté d’elles et sans que j’aie à dire quoi que ce soit, comme si elles s’étaient concertées, elles se soulèvent péniblement, libèrent ma queue tendue à l’extrême de mon pantalon. Je suis tellement tendu que l’action simultanée de leurs bouches me mène au plaisir en quelques secondes. Je vois leur visage baigné de larmes se dresser et Astrid prend la parole :
— Mon chéri, je n’ai qu’une chose à dire. Ma réponse est oui et je pense que Julia est du même avis. N’est-ce pas ma puce ?— Oui maman, je suis prête à subir cette dernière épreuve par amour pour Hervé. C’est l’homme de notre vie. J’aimerais tant que nous puissions vivre ensemble tout le temps, mais malheureusement ce n’est pas possible. Je t’aime aussi maman.
A ces mots, elles se jettent dans les bras l’une de l’autre et s’embrassent fougueusement.
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