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L’Atlas, il faut y aller !

Chapitre 1

Découverte erotique

Travesti / Trans
Je suis retourné à l’Atlas et je n’ai pas été déçu. J’y ai passé une superbe fin d’après-midi.Après ma première visite rapide à l’Atlas, j’étais bien décidé à y retourner pour approfondir. Début août, j’en ai eu l’occasion.

Je suis libre pour la journée, mais je ne veux pas y aller trop tôt, car je pense qu’il y aura plus de monde un peu plus tard dans l’après-midi, surtout qu’on est en août et Paris est bien vide.
Je vais d’abord aller à l’EMC pour passer le temps et me chauffer. Il n’y a pas trop de monde, le hammam est vide, la backroom aussi, mais que vois-je à sa place habituelle, assis dans une cabine, se branlotant ? Le vieillard imberbe à la peau douce qui avait disparu depuis le Covid. Je le salue, le caresse, suçote sa bite qui ne bande pas, tripote ses couilles qui sont énormes...
A l’étage en dessous, comme j’ai le temps, je rentre dans le jacuzzi, entre deux usagers. Presque tout de suite, celui à ma gauche me caresse la cuisse, attire ma jambe sur lui, me masse le mollet, puis le pied... pourquoi pas. Celui de droite se rapproche, me prend la bite et les couilles, m’embrasse dans le cou, puis sur la bouche. Excitant. Il se vautre sur moi, me roule des pelles en me branlant. Bien sûr je participe pleinement en le masturbant et caressant ses tétons et ses bourses. Naturellement le premier partenaire nous a laissés en nous voyant si amoureux.
Bonne entrée en matière. Pour continuer, je tourne dans les couloirs, le ciné, la salle de repos puis je m’étends dans une cabine. Rapidement une première visite. Une grosse queue que je suce avec plaisir. Il me propose, par signes (?) de m’enculer. Je me mets sur le dos, les jambes en l’air et me lubrifie pendant qu’il va chercher une capote. Je m’ouvre le plus possible, il pousse, il pousse, mais c’est trop douloureux. Je le remercie et on se sépare. N’empêche c’était super excitant d’avoir les jambes sur ses épaules et de sentir sa bite pousser contre mon trou.
Après ça je pompe bien deux énormes queues noires, dont une au ciné, je me fais sucer au sauna, j’encule un Asiatique... une bonne activité. Mais l’heure passe il est temps d’aller visiter l’Atlas.
J’arrive à Pigalle, j’achète mon billet et cette fois-ci je monte au balcon. Il ne fait pas trop chaud, il y a la clim. Je discerne plusieurs personnes vers le haut de la salle. Je prends l’escalier et là sur ma gauche, une silhouette blanche, debout, longiligne... je m’approche, je vois une jupette, des cheveux blonds mi-longs, de hauts talons, un sac à main... une femme ? un trav ? Je vaincs ma timidité et j’engage la conversation.
— Bonjour tu es seule ? Tu attends quelqu’un ?
Il/elle répond gentiment et on parle agréablement. Je lui caresse le bras puis la cuisse sous sa minijupe. Elle m’explique le fonctionnement de l’établissement puis on va s’asseoir dans un coin. Je la prends par le cou et l’embrasse. Ça me rappelle mes années d’adolescence avec les filles. Mais au moins elle, elle ne proteste pas quand je lui mets la « main au panier ». Elle ne porte pas de culotte. Je découvre sa bite, petite et douce que je branle. Je me penche pour la sucer tout entière dans la bouche. Elle est bien épilée et soyeuse. J’adore ça. Je réalise mon rêve : pomper un trav. Elle a l’air d’apprécier, elle m’explique qu’elle aime surtout que l’on titille le frein du gland, ce que je m’efforce de faire en remuant la langue comme pour un cunni. À son tour de me prendre en bouche. Je baisse mon short et mon slip pour lui donner accès à ma bite. Elle se penche sur mes genoux et pompe avec conviction.
C’est bon, mais la position n’est pas très confortable pour elle comme pour moi. Je me lève et elle peut comme ça me sucer en restant assise alors que moi je lui baise la bouche debout. C’est trop excitant. Je suis debout dans un ciné la culotte sur les chevilles et la bite dans la bouche d’un trav ! Naturellement notre activité attire les voyeurs qui s’attardent autour de nous et un homme d’un certain âge vient s’asseoir juste derrière pour mieux profiter du spectacle. Je lui demande en blaguant si on ne le gêne pas pour voir le film, mais il ne se plaint pas.
Après un bon quart d’heure, ma compagne qui doit avoir mal aux mâchoires me propose gentiment de l’enculer. Elle se lève, retrousse sa jupette et se penche pour me présenter son cul. Je n’ai pas de capote, j’hésite, mais c’est elle qui veut et moi j’ai eu un test il y a pas longtemps et je suis clean. Son trou est accueillant, je suis bien raide, je lime avec plaisir, les voyeurs apprécient. En même temps je lui caresse les fesses et en me penchant j’arrive à caresser ses tétons. Elle semble apprécier, moi je suis aux anges. Je finis quand même par débander et on se rassoit pour se rouler des pelles et se branler. Autour de nous les gens vont et viennent et j’ai envie d’aller voir ce qui se passe aux alentours.
Je préviens ma compagne que je la quitte provisoirement pour explorer les lieux. Tout en haut de la salle il y a une pièce (anciens w.-c. ?) totalement noire, j’y ai entendu des gémissements en passant devant tout à l’heure. Je m’aventure à tâtons, mais il n’y a personne. Dans la rangée du haut, un homme entièrement nu est à genoux entre les cuisses d’un autre et sa tête se lève et se baisse alternativement. On devine son activité, mais on n’en voit pas plus. Je descends à l’orchestre. Il y fait plus chaud. Un groupe d’hommes est agglutiné dans un coin et on discerne un jeune black debout occupé à se faire pomper ou plus exactement à baiser la bouche de son ou sa partenaire dont je n’arrive pas à reconnaître le genre. D’autres hommes font la queue pour se faire sucer à leur tour. Un homme entièrement nu se tient debout près de la porte, immobile, il bande. Je ne peux pas m’empêcher de lui caresser la bite au passage en lui disant « il fait chaud ? Hein ».
Je remonte au balcon pour retrouver Isabelle qui est restée à la même place et qui discute avec le voyeur assis derrière. Nous recommençons notre « conversation » : branle, suce, baisers... Entre deux fellations nous avons une conversation intéressante : elle se prénomme Isabelle, se travestit depuis vingt ans, uniquement amateur, elle va quelques fois au bois de Boulogne, mais craint de se faire agresser. Elle ne sort pas en femme, car les gens sont intolérants. Elle me montre des photos d’elle à vingt ans. Superbe. Elle n’a pas de compagnon et le regrette. Elle voudrait quelqu’un comme moi, justement. Eh oui.
Pendant ce temps il y a du va-et-vient dans la salle, une splendide créature s’assoit trois ou quatre rangs devant nous : longs cheveux noirs, corps de rêve, jupette au rang de la touffe, talons aiguilles... Isabelle m’explique que c’est une Colombienne qui tapine au bois, mais qui là vient se détendre ! Effectivement elle repousse plusieurs solliciteurs avant d’accepter de sucer un jeune noir. En même temps une autre créature dans le même genre apparaît dans l’allée. C’est trop excitant.
Voyant que j’ai une bonne trique Isabelle se remet en position pour que je l’encule à nouveau. C’est bon de sentir sa bite bien serrée dans un si beau cul. J’aimerais la prendre par-devant pour pouvoir l’embrasser en même temps, mais là ce n’est pas possible. Je lime à fond, j’accélère, je ralentis, j’enfonce je ressors je sens que ma partenaire aime ça et moi aussi j’adore. Au bout d’un temps que j’ai du mal à apprécier, je jouis dans son cul. Elle me dit qu’elle a apprécié et même qu’elle était sur le point de jouir. Quelle sensation !
On est très content tous les deux, on s’enlace, on se caresse, on s’embrasse. Isa me pompe une dernière fois, car je dois partir.
Elle me donne son numéro de téléphone et je m’en vais très content de moi.
Vraiment je reviendrai à l’Atlas et je vous invite tous à y aller c’est trop excitant.
Le soir, pour terminer la journée je suis allé à l’Entre deux Eaux un bar naturiste à Oberkampf. C’est rigolo de se mettre à poil pour rentrer, mais à l’intérieur il n’y avait que deux clients et je ne suis pas resté.
Vive l’Atlas et à bientôt, Isabelle.
Le lendemain je suis allé aux Bains d’Odessa avant de prendre le train. J’ai sucé deux queues jusqu’à la jouissance et j’ai pris de grosses giclées de sperme dans la bouche et sur le visage. J’adore. Je me suis baladé un long moment avec le visage couvert de jute. C’était excitant. Après j’ai eu le plaisir de fister un vrai amateur bien équipé avec des gants et du lub. À la fin il s’est enfilé un énorme plug. Obscène.
Quand même j’ai préféré l’Atlas.
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