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Atterrissage en douceur

Chapitre 2

Laisse les gondoles…

Avec plusieurs femmes
L’après midi se déroule dans un doux ballet incessant sous la couette.L’heure du dîner approche. Je me prépare tandis que vous prenez une douche « toutes les deux pour aller plus vite »… curieusement cette douche me semble interminable. Vous sortez, les yeux luisants, un peu rouges. Je ne veux pas savoir ce que vous avez fait… en fait si, je veux savoir… ma belle hôtesse passe près de moi et me glisse à l’oreille « je lui ai montré que tu avais raison pour le pommeau de douche » et elle me frôle en souriant.Tu as enfilé une robe superbe pour l’occasion. Et une paire de bas comme je les aime. Tu en as une paire de rechange, sur laquelle notre invitée lorgne ; tu les lui tends avec plaisir et elle les enfile dans la chambre, en me regardant fixement. Le bateau nous attend ; je vous accompagne mon bras posé autour de vos tailles, je suis aux anges. Le restaurant est magnifique avec une belle vue sur la lagune. Nous prenons place et démarrons par un bel apéritif. La discussion va bon train ; après tout, nous avons eu peu de temps pour faire connaissance avec notre « invitée ». En tout cas pas ce type de « connaissance ». Elle est aussi charmante dans sa conversation que dans ses activités lubriques. Cultivée, joyeuse, ouverte d’esprit. Nous passons un bon moment. A un moment, je remarque que tu sembles perdue dans tes pensées ; tu ne dis plus rien, les yeux un peu dans le vague. Et là je remarque la main de la jeune hôtesse qui a disparu sous la table… elle aperçoit mon regard et sa main ressort de sous cette table ; elle porte un doigt que je devine luisant à sa bouche ; elle le suce délicatement en plongeant ses yeux dans les miens, et sa main repars sous la table, déclenchant cette fois une crispation de tout corps et un gémissement à peine contenu. Je vois aux mouvements de son bras que ses gestes s’accélèrent. Je décide de ne rien faire ; je savoure simplement ce spectacle de cette femme, inconnue il y a vingt-quatre heure, en train de te branler sous la table, passant sa main sur ton sexe offert, avec tes cuisses que j’imagine grandes ouvertes. Un pied vient se poser soudain sur mon entre jambe ; vu l’angle, cela ne peut être que son pied à elle ; et tu es trop occupée à résister à l’envie de crier pour prendre toute initiative. Notre nouvelle amie est décidément diabolique…Je me laisse faire tout en te regardant prendre ton plaisir, guettant le moment fatidique. Et ce moment arrive. Ta bouche s’entrouvre pour mieux respirer, tes mains se cramponnent à la table. A ce moment seuls nous trois savons que tu viens de jouir. Tes joues sont rouges, tes yeux brillent. Tu te penchent vers l’hôtesse et tu déposes un baiser furtif sur ses lèvres.La fin du repas arrive, nous rentrons à l’hôtel. Je sais qu’une nuit fabuleuse nous attend. Et je me languis de m’endormir ce soir en sentant vos deux corps chauds se lover contre mon torse…

Nous ne rentrons pas en riva, mais en gondole cette fois. Pour prendre le temps, profiter de la douceur du soir favorable à la digestion. Je suis assis entre vous, tel un pacha des temps anciens, deux superbes jeunes femmes a mes bras. Ma main est posée sur ta cuisse, mon autre main sur l’épaule de notre nouvelle partenaire.Je sens notre chère hôtesse d’humeur joueuse, alors je décide de pousser le jeu. Ma main descend le long de son épaule, de son cou, de sa gorge. Je caresse d’abord doucement son sein que je devine nu sous le tissu de sa robe légère. Son téton réagit tout de suite à la caresse, se dressant comme pour mieux en profiter. Mais cela ne me suffit pas. Ma main remonte sur sa gorge nue pour replonger mais cette fois sous le tissu du vêtement. Effectivement, elle ne porte rien en dessous et ma main peut jouer allègrement avec son sein nu que je masse avec ravissement. Elle me laisse faire sans rien dire. Alors je décide de pousse mon avantage plus loin encore… ma main ressort à nouveau et je fais doucement glisser le tissu de la robe, libérant le sein qui se retrouve progressivement à l’air libre. L’absence de réaction de sa propriétaire valant consentement, je me remets à jouer avec ce joli sein qui pointe fièrement hors de la robe. Il y a peu de bateaux sur les canaux à cette heure tardive, mais certains nous croisent et je suis ravi des yeux écarquillés de certains touristes ébahis. Notre gondolier, quoi que discret, ne rate lui non plus pas une miette du spectacle. Je me retourne vers toi, tu viens de t’apercevoir du spectacle qui se donne à ma droite. Je lis de l’envie dans ton regard, de la lubricité à la vue du sein nu qui tourne sous mes doigts et aussi… une pointe de jalousie ? Ta main s’empare de la mienne, toujours sur ta cuisse, et la remonte pour mon plus grand plaisir. Mais que fais-tu ? Ta robe se remonte, remonte encore alors que tu guides ma main, ma main que tu glisses autoritairement dans ta culotte, sous les yeux de notre gondolier qui n’en croit pas sa chance d’assister à un tel spectacle. Ton regard est clair : « si tu lui caresses le sein, tu vas me caresser le sexe ». Oui madame !Visiblement tu t’es bien « remise » de ton orgasme à table, ta chatte est à nouveau humide a souhait et les doigts glissent sans difficulté. Ta robe est remontée sur tes cuisses ce qui me facilite le geste, mais ce qui expose surtout la situation à tous ceux qui croisent notre gondole…Je profite de la douce nuit vénitienne, la main posée sur le sein dénudé d’une belle hôtesse et l’autre glissée dans la culotte de ma délicieuse compagne qui se trémousse de plaisir sous les caresses… je suis au paradis à cet instant. Mais notre gondole arrive enfin au pied de notre hôtel, et je m’aperçois que je n’étais qu’à l’antichambre du paradis. La porte de ce paradis est devant moi, cette chambre où nous nous rendons tous les trois.
J’ouvre la porte, nous nous engouffrons dans la pièce, la tension est immense. Les envies sont perceptibles dans l’air. Mais je prends l’initiative tout de suite :« Déshabillez-vous ! ». La voix est douce mais l’ordre est bien sous-jacent. Dans votre état, comment ne pas obéir à un tel ordre… Vous ôtez vos robes avec célérité. Tu te débarrasses de tes sous-vêtements, ce que notre chère hôtesse n’a pas à faire : elle n’en portait pas… vous êtes toutes les deux nues, vêtues seulement de vos bas. Et vous attendez, décidée à ce que ce soit moi qui mène le bal. Je vous saisis toutes les deux par le poignet et vous rapproche, face à face, vos visages à quelques centimètres. Vos bouches se cherchent immédiatement mais je vous arrête « interdiction de s’embrasser et de se toucher pour le moment ». Muni de deux foulards, j’attache vos poignets ensemble, vous liant l’une à l’autre. Je passe alors un collier à boucle autour de vos cous respectifs et je relie ces deux colliers au moyen d’une chaînette. Vous vous faites face, les yeux dans les yeux, vos souffles chauds se mêlant. Vos seins se frôlent délicieusement.Je passe derrière toi, toi la première, toi qui seras toujours la première et tu le sais. Mes mains descendent le long de ton cou sous le regard avide de la belle hôtesse. Elles continuent leur route le long de tes seins, jusqu’au deux tétons que je roule sous mes doigts avec douceur. Puis j’empoigne ta poitrine à pleine main pour la masser, la caresser, mais surtout la posséder. En faisant cela, mes mains effleurent également l’autre poitrine et arrachent de doux soupirs à notre amie. Une main reste sur ton sein tandis que l’autre descend le long de ton ventre, pour se glisser à nouveau là où elle était il y a quelques instants. Tu es encore plus humide que tout à l’heure. Mon doigt glisse avec une aisance magnifique qui ne rend la caresse que plus délicieuse. Cette fois tu te laisses aller complètement à ton plaisir, nous ne sommes plus au restaurant, tu peux crier. Et tu gémis, tes yeux rivés dans ceux de l’hôtesse, qui voient ton plaisir et qui subit cette douce frustration de son excitation non comblée alors qu’elle voit ton visage se tordre de plaisir. Je te fais monter et monter encore, mais je m’arrête avant ton orgasme. Je caresse doucement tes fesses en faisant le tour pour passer derrière notre invitée. Tout son corps est parcouru de frissons avant même que je ne la touche. Je dépose un baiser sur sa nuque tandis que mes mains s’emparent à nouveau de sa poitrine. Mes doigts glissent sur ses tétons grâce à ta mouille qui les recouvre, et bientôt ses seins sont couverts de cette délicieuse cyprine. J’effleure également tes seins dans l’opération. Ce qui attise le feu que j’ai déclenché dans tes entrailles. Mais je meurs d’envie de savoir dans quel état est notre belle hôtesse, alors ma main descend plus bas. Dire qu’elle est trempée de désir serait en deçà de la réalité. Tout son sexe est un immense ruisseau qui coule entre ses cuisses. Elle pousse un râle rauque quand je prends son clitoris entre deux de mes doigts pour le stimuler. Et ses râles de plaisir n’arrêtent pas au fur et à mesure que mes doigts la fouillent. J’aime le contraste entre vos voix, entre le son de vos jouissances. Tu la regardes et voir ce plaisir qui l’agite d’aussi près est troublant et terriblement excitant. J’abandonne mes caresses alors que je la sens sur le point de jouir. Je me positionne sur le côté. Mes mains descendent le long de vos dos et viennent s’insinuer dans votre sillon fessier. Il reste un dernier endroit que je n’ai pas fouillé. Vois creusez vos reins quasiment toutes les deux en même temps, facilitant l’introduction de mes doigts, et surtout faisant se toucher vos seins. Vos tétons se mêlent dans une caresse exquise tandis que mes doigts s’enfoncent de chaque côté, dans votre orifice le plus intime.Ce jeu me plaît beaucoup, mais je m’interromps. Je m’assois sur un des fauteuils confortables de la chambre. Je t’attire vers moi, de dos. Et je te guide pour que tu t’assois sur moi, ou plutôt sur mon sexe sur lequel tu viens t’empaler pour ton plus grand bonheur. Notre amie pose ses mains sur les accoudoirs pour ne pas tomber tandis que tu vas et viens sur mon chibre dressé. Chaque mouvement presse tes seins gonflés contre sa poitrine tendue d’envie. Elle te regarde avec désir, avec envie de toi et envie du plaisir que tu prends. Ses seins contre les tiens sont délicieusement chauds. Et quand ma main se pose finalement sur ton bouton de plaisir gonflé, tu pars dans une extase jouissive, tu cries ton plaisir, de toutes tes forces comme pour compenser celui que tu as dû retenir à table.Tu reprends ton souffle, le front de l’hôtesse appuyé contre le tien. Elle ne t’a pas quitté des yeux pendant toute ta jouissance. Je n’ose imaginer l’état dans lequel elle est. Il est d’ailleurs temps de soulager cette pauvre jeune femme...Je te relève et je vous guide, toujours liée l’une à l’autre, sur le lit. L’hôtesse s’allonge sur le dos, et tu te retrouves sur elle, visage contre visage, seins contre seins. Je me glisse entre vos cuisses et je la pénètre avec douceur. Tu sens toi aussi les coups de rein de la pénétration quand mon ventre vient heurter tes fesses, mais tu les sens surtout en voyant le visage de ta partenaire se transfigurer à chaque fois sous le plaisir. Tu as envie de participer à ton tour à ce plaisir et, malicieusement, tu commences à onduler sur elle. Ainsi tes seins viennent caresser les siens, et les mouvements de ton bassin viennent surtout maser son pubis et son clitoris d’une manière indirecte, ce qui ne rend les choses que plus délicieuses. Je sens son vagin se contracter alors que tu vois son visage se tordre à nouveau et sa bouche s’ouvrir en grand ; tu ne résistes pas et tu plonges sur cette bouche, tu enfonces ta langue entre ses lèvres pour rencontrer la sienne et « sentir » lèvres contre lèvres sa jouissance à cet instant sans cesser les ondulations de ton bassin…
Je n’ai pas encore joui mesdames… mais après avoir dirigé le jeu, je vous détache et vous laisse désormais seules juges de la suite à donner…
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