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J'attire tout ce qui a une queue qui pend entre les pattes.

Chapitre 5

Zoophilie
La remontée vers Paris fut longue. J’étais prise par une frénésie de sexe qui ne me quittait plus et bien souvent, tout en conduisant je mis la main entre mes cuisses. Quelle conne ! Pourquoi avoir mis un pantalon ?
Le soir, ayant déjà commencé à ranger quelques affaires, je contactai mon amant-fiancé par snapchat en lui envoyant des photos suggestives auxquelles il répondit par des images de son bout en gros plan.
Fatiguée malgré tout, je regagnai ma chambre mais le sommeil ne vint pas. Je passai un très long moment à me caresser et j’eus l’envie d’un gode. Et je n’avais aucun jouet sexuel à la maison ou rien qui pût faire l’affaire, pas même un concombre, ni même un manche à balai, peu pratique  et trop fin d’ailleurs.
Il était très tard, mais j’avais besoin d’une queue, d’une grosse, d’une bonne.... Je décidai donc de tenter ma chance. Je mis un chemisier léger, la jupe la plus ample dont je disposai et des chaussures confortables... et aucun sous-vêtement. Au dernier moment, je pris une veste légère histoire d’emporter de l’argent et mon portable dans une poche. Qui sait, certains sex-shops restent peut-être ouverts toute la nuit et j’y trouverai bien un partenaire en latex à défaut de mieux. Mon portable me renseignerait pendant ma promenade.
Il était déjà  1 H 30. L’air était doux, mais les rues désertes à cette heure. Je fus tentée de prendre le métro mais je risquai d’attendre longtemps et d’y perdre de précieuses minutes.
Je croisais quelques couples ou même quelques hommes seuls et il me semblait que tous les mecs me dévisageaient et se retournaient sur mon passage.
Je rencontrais même un mec qui sortait son petit chien et celui-ci tira fortement sur sa laisse pour se rapprocher de moi. Il se dressa sur ses pattes arrières et je pus voir son sexe en érection. J’étais finalement contente de faire mon petit effet mais déçue par la taille du chien qui n’aurait pas pu me satisfaire... quant à son propriétaire, à un je ne sais quoi dans son attitude, il me sembla qu’il était gay. Donc foutu de ce côté là aussi.Comme il ne se passait rien, je décidai donc d’aller tenter ma chance dans un magasin ouvert 24/24 et dont j’avais trouvé l’adresse.C’était la boutique d’un club ouvert toute la nuit mais je pensais qu’on me laisserait entrer quand même.
Je hâtai donc le pas vers cet eldorado. Tout à coup, en longeant une longue palissade, de celles qui entourent les chantiers, j’entendis aboyer. Un aboiement sourd, profond, celui d’un gros mâle, court, puissant... mais il me sembla que le chien me suivait derrière la palissade. J’aurais bien voulu voir.
Je fis donc le tour pour trouver l’entrée de ce chantier gigantesque. J’en fis le tour mais je ne trouvai rien, et pourtant, puisqu’il y avait un chien à l’intérieur, il devait être rentré par une faille.
Parfois, je n’entendais plus rien, puis un grognement sourd reprenait juste derrière le mur de bois. Je m’arrêtais, le chien s’arrêtait. J’avançais, il avançait.
Alors j’appelais :
-  viens, le chien, viens.
Et je l’entendis courir et aboyer beaucoup plus loin. Toujours par des aboiements très sourds et très courts. Un chien, ailleurs, lui répondit. A l’intérieur, à l’extérieur ?
Je continuai donc et m’apprêtait à refaire un troisième fois le tour de ce mur qui excitait ma curiosité et ma libido quand finalement j’atteignis l’endroit où le chien s’était immobilisé. Il était là derrière. Il haletait bruyamment et semblait grogner d’impatience, tout en tournant en rond.
L’ouverture était sûrement là. Mais où ? Et que ferais-je si je la trouvais. N’était-ce pas dangereux ? Mais tout me disait que cette bête avait envie de moi, qu’elle avait décelée la femelle prête au rut, qu’elle était tendue vers la saillie. A force de tâtonner, de bouger les planches de la palissade l’une après l’autre, j’en fis pivoter une. Le chien était derrière. C’était un imposant molosse, la langue pendante... je rentrai.
A peine fus-je debout, qu’il mit sa truffe entre mes jambes. Je soulevai ma jupe. Et aussitôt, il se mit à lécher. Ah la vache ! Ce chien était expert. De ma vie je n’ai connu langue si habile et si agréable. Rapidement il me fit éclater l’abricot. Un orgasme clitoridien me ravagea en un instant et je mouillai abondamment.
Une fois revenue de cette première émotion et comme il continuait à se régaler dans ma raie, je cherchais du regard un endroit où je pourrai m’agenouiller pour l’inviter à me grimper. Malgré la lueur assez vive, je ne vis rien.
Soudain, une masse énorme sembla sortir de terre devant moi et un autre chien apparut. Il se dressa sur ses pattes pour me présenter un zob qui avait l’air fort vigoureux pour autant que la pénombre me permît de le voir.
Mais le chien qui me léchait se tourna vers lui et lui montra les crocs d’une façon très dissuasive. L’autre chien n’insista pas et se mit à tourner en rond en attendant son tour. La soirée promettait d’être fructueuse ! Je fermai les yeux en m’abandonnant complètement au plaisir que je ressentais.Comme j’étais en train de me régaler en oubliant tout ce qu’il y avait alentour, il y eut un sifflement sur plusieurs tons.
J’ouvris les yeux. Un type se tenait debout, se branlant d’une main et sifflant de l’autre en mettant les doigts dans sa bouche.Quand il eut fini de siffler, il s’approcha de moi en titubant à cause de son calebut qui lui cernait les mollets. Il se mit à côté de moi.
-  Prends ma bite !
Je pris. Beau morceau... miam.
Pendant ce temps là il déboutonna mon chemisier.
-  Putain, pas de soutif, des nichons énormes. T’es une vraie bombe toi !
Et il siffla à nouveau.Un autre type surgit du fond de la nuit !
-  Qu’est-ce qu’il se passe ?-  Vas chercher Phil ! Y’a une meuf qui se fait bouffer la chatte par son clebs et elle branle bien. Elle a une paire de loches ! Putain, les mecs, c’est la bonne soirée.
L’autre mec inspecta rapidement la scène, sidéré, puis il décampa pour aller chercher son pote pendant que celui qui restait profitait de la branlette que je lui administrais pendant qu’il me suçait le sein droit.
-  J’le crois pas ! C’est vrai.  Mais tu la sors d’où ta meuf Marco ?-  De nulle part. Elle était là en train de se faire brouter par ton clébard. Elle est pas farouche.-  C’est une histoire de guedin ! Putain c’est vrai qu’elle est drôlement bien roulée !-  T’as vu le matos ! Regarde-moi ces lolos ! C’est du gros calibre!
A ce stade de la conversation j’intervins.
-  Dites messieurs, cela ne vous ferait rien de me consacrer un peu de temps ?-  Mais on ne fait que ça ma belle dame. Dit le dernier venu tout en se poussant en avant pour bien me montrer sa bite qu’il secouait devant moi.-  Il n’y a pas un endroit plus... confortable ?-  Hein ? Euh... si....si.... Laisse la dame le chien !
Mais le chien n’était pas disposé à me laisser et il fallut le prendre par le col pour qu’il cesse de le lécher. Deux mecs nous ouvrirent le chemin alors que l’autre, tenant son chien qui tirait ferme sur la corde pour me rattraper, fermait la marche.
Nous descendîmes dans les entrailles de la terre, dans ce qui devait être les sous-sols d’un immeuble en construction. Il y avait des matelas par terre. Et un troisième chien qui dormait et qui s’ébroua à notre entrée.
-  Le gardien nous permet de dormir là, comme ça on surveille le chantier à sa place. Mais on doit décarrer à 6 heures avant l’arrivée des ouvriers. Normalement avec le chien vous n’auriez jamais dû rentrer. Dit celui qui s’appelait Marco, comme pour s’excuser.-  Il faut dire que madame a su y faire avec Lupus.-  Ah, il s’appelle Lupus, dis-je. Allez vient Lupus !
Et je me mis à quatre pattes. Aussitôt, le chien entreprit de me saillir.
-  J’y crois pas ! Oh la pute ! Elle va se faire grimper par le chien !-  Oui, d’ailleurs, vous ne pourriez pas l’aider un peu. Il peine à trouver. Vous ne pourriez pas non plus lui mettre une paire de chaussettes aux pattes antérieures pour qu’il arrête de me griffer ?-  Ouais, ouais... bien sûr...
Alors, son maître lui ayant saisi la queue, la guida dans ma chatte où elle s’engouffra d’un coup en m’arrachant un cri.Ah zut, il est déjà gonflé, il ne pourra pas rentrer tout à fait.
Effectivement, les chiens, déjà bien excités, à l’exception du troisième qui commençait juste à triquer, avaient la base de leur pénis déjà enflée, ronde comme une orange et la boule ne rentrait pas dans mon sexe, à la différence de celui d’Adalbert qui y avait grossi lorsqu’il m’avait montée pour la première fois.
Comme je m’en plaignais, le maître, qui s’appelait Phil, m’invita à revenir le lendemain soir. Ainsi nous pourrions reprendre à zéro. Je ne déclinais ni n’acceptais. On verrait. En attendant et sans mystère il me planta son joli zob dans la bouche. Le liquide chaud du chien coulait san arrêt et les eux autres toutous étaient au mieux de leur forme.
-  Regarde le chien, regarde le chien... Putain t’as vu comme il s’agite ! Il a l’air d’apprécier !-  Et la meuf, t’as vu comme elle prend son pied cette chienne !
Marco, le mec qui m’avait découvert, demanda tout haut si je suçais aussi les chiens. Ce n’était pas difficile à vérifier. On m’en amena un. On le fit coucher sur le dos et j’avalais son bâton rouge qui pissait déjà par petite giclée que je me mis à recracher avec abondance. J’en bavais amplement. Les mecs à poil se masturbaient.
-  Putain, dès que les chiens ont fini, j’la monte aussi !-  Et moi donc !
Il fallut de longues minutes encore pour que le chien se vide entièrement. Quand il eut fini, il le lécha la moule puis un second chien me pénétra pendant une dizaine de minutes. Enfin, ce fut le troisième. Mais soit que je fusse complètement détendue, soit que sa boule fût plus petite, elle entra en moi, m’écartant complètement les chairs. Le chien tapait au fond conte l’utérus et je sentais avec plus de sensibilité ses jets de precum me tapisser les entrailles.
Ce chien me remplissait la chatte et de bonheur. J’avais l’impression que mon vagin épousait parfaitement la forme de son sexe et de son bulbe. Le chien poussait peu, par tous petits à coups très rapides et saccadés, comme une mitraillette mais ses couilles très pendantes ballotaient et me caressaient les cuisse agréablement. De plus, il n’avait quasiment pas de poil sur son ventre. Sa peau était très douce et très ferme. Il était lourd et je me sentais complètement soumise. J’adorais. J’en tirais comme conclusion qu’une fois revenue en Auvergne, il faudrait faire raser le ventre d’Adalbert pour que je retrouve la même sensation... et pourquoi pas, trouver la même race de chien et en élever un à cet effet délicieux.
-  Dites, vous... Oui... Vous pouvez prendre mon portable dans ma poche de veste et me prendre en photo... Là... Attendez, je vais... vous ... montrer... Prenez-en plusieurs, sous différentes angles.... qu’on voit bien le chien... et la pine de votre pote.... Voilaaaa. Merci.
Et j’envoyais ces photos à Stefan.
-  Qu’est-ce que vous faites ?-  J’envoie ces photos à mon fiancé ?-  Non mais sans déconner ?-  Vrai.-  Et votre fiancé, ça lui fera quoi de voir qu’il y a un chien à sa place dans votre sexe. C’est pour se venger ? Qu’est-ce qu’il vous a fait ?— Rien. Ça le fera bander, c’est tout. C’est lui qui le premier a invité son chien à me grimper.-  Putain, il est fou le mec !
Le type qui se faisait sucer devant était aussi bien dans ma bouche que l’était le chien dans le cul. Son gros nœud m’occupait entièrement. Son gland avait la douceur du satin et le mec se contentait de donner quelques coups de reins pour remonter sa pine vers moi de temps en temps. Il ronronnait comme un chat tandis que ses deux potes juraient en se masturbant.
J’eus un puissant orgasme... puis un second. Et ils devaient se succéder ainsi jusqu’à l’ultime coup de queue du dernier garçon qui me sauta.Quand le dernier chien éjacula, il mit du temps à se libérer, le temps que son knot dégonfle. J’en profitais à plein pour jouer avec cette grosse excroissance qui bouchait mon trou en donnant de petits coups de cul de droite et de gauche.
Puis les hommes se glissèrent l’un après l’autre dans ma chatte. J’appréciais leurs corps musclés, leurs sexes velus et odorants, leurs organes durs et gros.
Le premier, celui que je suçai plonge son vit en écartant le chien qui me léchait la moule pour recevoir le sperme qu’il y avait lâché. Le zob du mec se noya dans mon trou plein de crème canine. Puis, au bout de quelques coups bien sentis, il décida de s’en extraire en disant :
-  Moi j’veux te prendre comme une femme. Sur le dos salope !
Je me mis donc tel qu’il me le demandait en écartant mes cuisses au plus grand. Il me bourra en missionnaire en murmurant des mots plutôt doux à mon oreille :
-  T’es bonne... y’avait longtemps...Oh ta chatte....Qu’c’est bon une femme...Et tes nibards !
Et, il se remontait un peu parfois pour me suçoter les tétons puis il les aspirait avec toute la force que lui donnaient ses lèvres ventouses avides de sexe. A d’autres moment, il s’appuyait sur un bras et, de l’autre i me pétrissait un nichon.
Comme son chien, il éjacula puissamment en moi.
Le second me reprit en levrette, sans me permettre de sécher, puis, au moment de grâce, il se retira pour m’offrir sa bite toute gluante dans la bouche où il juta.
Le dernier enfin me prit debout, moi les mains appuyées contre la paroi en béton et lui derrière à me fourrer la chatte d’abord. Puis, il se mit à comprimer ma rondelle pour tester ma résistance. Et, comme je me laissais évidemment faire, il m’encula, lentement d’abord, le temps de pénétrer et puis, quand il fut bien là-dedans, il me secoua en me tenant par les épaules. Avant l’orgasme, il me fit mettre à genoux sous son gros dard pour se purger entre mes seins. A la dose de foutre qui s’épancha entre mes mamelles je reconnus qu’il devait y avoir longtemps qu’il ne s’était pas vidé les burnes.
Je les remerciai chaleureusement. Comme le plaisir avait été réciproque, ils m’invitèrent de nouveau à revenir. Pourquoi chercher ailleurs ? Je les retrouvai donc tous les soirs avant de quitter Paris. Cela nous permit de varier les plaisirs et de me faire baiser en double, homme-homme, homme-chien. J’étais comblée... mais pour autant, j’avais envie de nouvelles sensations. Mon bel étalon me manquait... et je ne songeais pas à mon fiancé en priorité.
A suivre.
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