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J'attire tout ce qui a une queue qui pend entre les pattes.

Chapitre 6

Zoophilie
Et je repris donc la route vers le Massif-central avec l’ardent désir de retrouver mes amants, homme, chien et cheval. Les étreintes chaudes de l’homme, ses positions changeantes, ses mots orduriers, le jeu de sa bouche, de ses doigts et de sa pine sur tout mon corps; la chaleur du chien et sa longue  saillie pendant laquelle la bite pulse sans arrêt, l’énorme mandrin du cheval et son déluge de sperme odorant et chaud. Lequel me manquait en priorité ? Je ne sais. Mais je me promettais bien d’expérimenter au plus tôt ce que l’on m’avait appris à Paris, une double chien-homme.J’étais pressée d’arriver mais aussi pressée de me faire bourrer.... et sans doute plus de me faire bourrer.
J’avais à peine fait 100 km que j’avais déjà la chatte en feu rien qu’à la pensée de ce qui m’arriverait dès que j’entrerai au château.
Je regrettais de ne pas avoir un véhicule automatique qui m’aurait permis de me doigter plus facilement en conduisant.
N’ y tenant plus, après Bourges, je décidai de prendre les petites routes en espérant qu’au détour d’un champ, d’une aire de repos paisible, d’une pissotière de village, je trouverai de quoi patienter jusqu’à destination, un petit coup à la sauvette ou une étreinte plus conséquente.
J’avais mis une jupe dont la longueur lui donnait plus l’allure d’une ceinture que d’un vêtement. Je n’avais pas mis de culotte. Bref j’avais l’abricot quasiment à l’air ou, en tout cas, il ne fallait pas beaucoup de mouvements pour offrir ma touffe aux regards de ceux qui le voudraient bien. J’avais un chemiser moulant, transparent, sans soutif. Pas besoin d’être superman pour voir au travers du tissu mon opulente poitrine aux tétons gonflés par l’envie de sexe.
J’avançais moins vite que sur l’autoroute, le désir croissait davantage.
En traversant un village quasiment désert, j’eus ma première opportunité. C’était le début de l’après midi, la chaleur était intense. Les persiennes étaient partout fermée, il n’y avait pas âme qui vive à l’exception de deux jeunes hommes torses nus que j’aperçus in extremis près d’un échafaudage qui montait le long du mur de la petite église.
Je décidais d’y aller voir et fis demi-tour pour m’en approcher.
Les garçons prenaient leur pause avant de reprendre le chantier de rénovation sur lequel ils œuvraient.
Ils pouvaient avoir une vingtaine d’année. Ils étaient petits mais très musclés. Leur peau bronzée,  dorée comme un craquelin suintait de sueur qui formait de grosses gouttes dans leur pilosité, brune pour chacun d’eux L’un d’eux fumait.
Ils me virent descendre de la voiture et je devinai aussitôt qu’ils parlaient de moi et de ma tenue sans doute à leur goût,  mais ils se turent à mon arrivée.
-  Bonjour messieurs.-  Bonjour m’dame.
-  Sauriez-vous m’indiquer où il y a des toilettes s’il vou splait ?-  J’vais vous montrer, dit celui qui paraissait le plus vieux.-  J’peux vous montrer aussi, ajouta l’autre.
Je suivis le premier. Debout, son dos était une merveille sculpturale et son short poussièreux moulaient des fesses rebondies. Ses jambes étaient poilues et solides. Il était à l’évidence plein de testostérone et je prévoyais de bien m’amuser. L’autre marchait à mes côtés en louchant ostensiblement vers mes seins.
-  Voila c’est là.
Sur l’un des côtés de l’édifice religieux descendait un escalier vers des wc en sous-sol. Deux urinoirs et une porte constituaient ces commodités plutôt malpropres.
-  J’vais en profiter pour pisser dit le premier.-  Moi aussi dit le second.
Je m’en fus vers la porte et commençai à l’ouvrir mais ne rentrai pas dans cette chiotte à la turc.
Le premier sortit sa bite et commença à pisser mais en se tenant volontairement assez loin de l’urinoir pour que je puisse voir le gros cylindre dans sa toison foncée. Le second, moins gêné laissa carrément tomber son short sur ses chevilles pour dévoiler son adorable cul blanc comme un linge.Je rebroussai chemin et me mis entre les deux hommes. Je posai ma main droite sur le cul découvert et tendis l’autre vers la bite que son propriétaire agitait pour en faire pleurer les dernière larmes. Les deux queues se dressèrent immédiatement.
Je m’accroupis, ouvris mon chemiser et commençai à sucer à gauche et à branler à droite.
Les deux types se tapèrent dans les mains et commencèrent à respirer comme des bœufs.Le plus jeune dit :-  J’tavais bien dit que c’était une salope... tu vois.-  Ouais, faudrait quand même pas se faire surprendre !-  Par le patron ?-  Non, c’est un sacré niqueur... Il en profiterait aussi et de toute façon il doit rentrer tard. Non par Sabrina.
Je m’interrompis de pomper pour demander :
-  Qui est Sabrina?-  C’est ma copine.-  On est con. On a les clefs de l’église.
Ils remontèrent leur short qui cachaient médiocrement leur bandaison. Je rajustai à la hâte mon chemisier et nous rentrâmes dans l’église où un peu de fraicheur nous accueillit.
-  On va tout de même pas baiser là,  dit le plus jeune.-  Pourquoi ?-  J’sais pas, c’est comme qui dirait sacré.-  Il doit bien y avoir une sacristie ? Dis-je, respectant cette croyance.-  Ah ouais.
Après avoir  cherché dans le trousseau de clef, nous trouvâmes celle qui ouvrait la petite pièce. Il y avait plusieurs meubles dont un banc. Je m’y allongeais offrant ma chatte à une extrémité et laissant l’autre garçon disposer de ma bouche.
Autant le dire, ce n’étaient pas des bêtes de compétition. Celui qui me sautait poussait maladroitement sa queue sans rien faire de plus. L’autre me caressait les mamelles pendant que je le pompais. Son sexe était poilu et conservait un léger goût de pisse ainsi qu’une forte odeur d’homme qui ne constituait pas le moindre de ses attraits.
Celui qui était dans ma chatte y éjacula très vite, sans que je pusse prendre mon plaisir au maximum. Son compère me demanda alors de me mettre debout, de me pencher sur la table et m’enfila par derrière. C’était mieux. Il variait en rythme et en mouvement, m’attrapait par les hanches, les épaules ou les seins et se montrait plus endurant, prodiguant des conseils au plus jeune.
-  Tu vois c’est comme ça qui faut la prendre. Tu enfonces bien profond. Elle est bonne la chatte. Tu contrôle mieux le mouvement.-  C’est dommage que je bande plus, j’aurais essayé.-  Ouais, tu tire vite garçon...-  Ben pas d’habitude, mais elle m’a chauffé la dame.-  Pas grave. T’as bien lubrifié le trou. Ça glisse tout seul. C’est bon. Vous aimez Madame ?-  C’est pas mal les gars, dis-je pour les encourager quand même malgré une certaine déception. - Continuez! Et toi, même si tu ne bandes plus, allonge-toi sur la table que je te bouffe les roustons.
Le jeune homme s’exécuta et je fis ce que j’avais promis et plus même puisque je jouai avec son zob mou que je suçai, décalottai, branlai, sans parvenir à le ranimer.
Pendant ce temps là, l’autre continuait de me tringler en cadence. Le "pof pof pof pof pof" que produisait son bassin contre mes fesses à chaque fois qu’il enfonçait son pieu remplissait la petite pièce de sa sonorité pornographique. J’aimais ce bruit qui me permettait d’entendre ce que je pouvais sentir sans le voir.
Cependant, le garçon manquait d’imagination car il ne savait faire aucun autre mouvement. La seule variable qu’il ajoutait s’était de me tenir bien ferme par les hanches ou de m’attraper par les épaules ou encore de tirer mes cheveux en arrière en accélérant ou ralentissant ses coups de pine tout en expliquant à son camarade que c’était nécessaire à la fois pour contrôler son éjaculation et pour me donner plus de plaisir. Il assortissait ses remarques d’insultes timides et de commentaires d’autosatisfaction sur ses performances.
Du plaisir certes j’en avais mais ce n’était pas non plus exceptionnel.
Enfin le garçon perdit le contrôle, il accéléra ses mouvements et dit à l’autre de se déplacer pour voir l’éjaculation. Je sentis celle-ci fuser au moment même ou mon jeune pineur balançait une bordée d’injures. Les tirs étaient puissants et quelques jets atteignirent mes épaules, le reste du jus se répandant dans la raie du cul où l’autre le tartina en y appuyant l’extrémité de sa bite.
Il restèrent là un petit moment à comparer leurs bites molles et humides et à me demander si j’avais aimé. Je leur dit que oui pour ne pas les vexer mais me permis certains conseils pour améliorer la performance. Ils regardèrent soudain l’heure.
-  Il faut qu’on y aille, dit celui qui m’avait baisée en dernier.
Sur ce, le plus jeune qui s’était rhabillé, prit le short de l’autre et partit en courant avec. Bien sûr l’autre le suivit. Ils avaient à peine franchi la porte de la sacristie qu’une grande exclamation retentit dans l’église et parvint nettement à mes oreilles.
-  Putain de p’tits fainéants ! Y’a une heure que je vous cherche... et l’autre là qu’est-ce qu’il fout à poil.... Oh bordel de merde, j’veux pas de deux p’tites lopes qui s’enfilent en cachette plutôt que de bosser sur le chantier...-  Non, non c’est pas ça patron !-  Vos gueules PD ! Le zob à l’air et tout rouge ! Vous croyez que j’ai pas compris ce que vous faisiez tous les deux ? ! Ça va pas se passer comme ça...
Pendant ce dialogue, je m’étais avancée et le patron m’aperçut, nue, appuyée au chambranle de la porte.
-  Qui c’est celle-là ?-  Celle-là, c’est celle qui améliore la pause de vos ouvriers bien au-delà de ce qu’exige le droit syndical. Vous devriez me savoir gré de prendre ainsi soin de votre personnel.
Il me regardait stupéfait. Ces tacherons en profitèrent pour déguerpir
-  Alors tu viens ?
Il était caricatural dans son aspect. Petit, gros, en bleu de travail sur un marcel, rougeot et une casquette vissée sur la tête, bref pas vraiment un sexe-symbole mais je me dis qu’il était peut-être mieux monté que ses acolytes et que son âge lui conférait une plus belle expérience.
Aussitôt arrivé à la sacristie, il défit sa salopette, baissa son froc et exhiba une bite courte mais très épaisse à gros gland.
-  Penche-toi salope !
Et joignant le geste au verbe, il me fit plier sur la table, exactement comme avait fait son commis et m’enfila par derrière brutalement. Je commençai à croire que les mâles de la paroisse ne savaient pas baiser autrement.
Mais cela dit, l’épaisseur de sa queue faisait merveille. Il jurait sans arrêt et très rapidement il éjacula dans ma chatte. Il y était encore quand une voix tonitruante explosa:
-  Qu’est-ce que vous faites là ! Sacrilège !
Le mec se retira et je me tournai pour apercevoir une sorte d’épouvantail. Qu’on se figure un grand type sec, d’au moins quatre vingt cinq ans, habillé comme l’abbé Pierre. Il était accompagné d’un gros chien !
-  Alors Victor, c’est comme cela que tu répares l’église, en la profanant par ta débauche ? Et ta femme, si elle savait cela !-  Excusez-moi m’sieur l’abbé, c’est cette femme....
Forcément, cela retombait sur moi. Pas courageux le monsieur.
-  Aller, fous-moi le camp et que je ne t’y reprenne pas. Et laisse-moi avec cette pécheresse que je la confesse ! Il est temps pour elle d’expier ses fautes !
L’autre remonta sa salopette et fila sans demander son reste.Le vieux curé referma la porte derrière lui.
-  Et maintenant à nous deux salope !dit-il avec une voix sinistre, menaçante et une pointe de sadisme.
Il s’avança vers moi tout en défaisant la boucle du ceinturon qui serrait sa soutane;
-  Il faut expier pour tes péchés, provoqueuse ! Femme du démon! A genoux.
Je lui obéis et me mis face à lui mais il me contourna et je reçus immédiatement un violent coup de ceinture sur les fesses; Puis il recommença plusieurs fois en proclamant qu’il fallait être puni par où on avait péché; Le chien s’était approché et se mettait à bander;
-  Ah sorcière. Tu es tellement pleine de stupre que tu attires même mon fidèle compagnon !
 Et il redoubla de coups. Cependant le chien commençait d’essayer de me grimper. Je ne fis évidemment rien pour l’en empêcher; et j’entendis le vieux prêtre fulminer.
-  Quelle horreur Arrière Satan ! Ce n’est pas possible. Elle fornique avec les animaux !
Mais il laissait faire. Bientôt le chien fut sur mon dos et sa bite essayait de se frayer un chemin. Je passai la main entre mes jambes pour saisir le membre et l’aider à glisser dans ma chatte avant que la boule ne gonfle trop pour qu’elle puisse bien enfler en moi et me dilater à fond.
-  A Seigneur, c’est trop de luxure, il faut que je la punisse moi-même.
Et il ouvrit sa soutane puis baissa son slip, libérant une solide bite, bien longue et bien dure, tendue droit devant lui, ce que je n’aurais pas cru possible pour un homme de son âge. Elle était extrêmement blanche comme la peau sèche et fripée du vieillard et prenait naissance dans une maigre toison également toute décolorée. Deux testicules, à l’ovale bien net, pendaient majestueusement dans leur sac.
-  Je vais te passer l’envie de recommencer fornicatrice ! Me dit-il en dirigeant son zob vers ma bouche.
Mais, avant que je ne l’avale, il me biffla énergiquement à plusieurs reprises.
J’allais enfin connaître l’orgasme. Le chien n’était certes pas aussi vigoureux que celui d’Adalbert, le fidèle compagnon de mon fiancé, mais son knot bien enflé le maintenait bloqué en moi et il poussait énergiquement en avant au rythme des pulsations de sa bite qui se déchargeait par petit coups régulièrement espacés, me promettant une belle avalanche de foutre. Ou je me trompais ou l’animal n’en était pas à son coup d’essai et je me l’imaginais bien grimpant la bonne du presbytère ou quelques grenouille de bénitier en mal d’homme.
Je m’étais enfin mis à bouffer les pompons et la bite du vieux fou qui continuait à me jeter anathèmes et imprécations mais qui, entre deux condamnations râlait de plaisir. Sa grosse quéquette était une merveille de raideur ce qui compensait la désagréable odeur d’eau de Cologne bon marché qui s’échappait de son calfouet.
Au final, ce vieillard cinglé et son jeune chien étaient bien les meilleurs mâles de la contrée. De plus, le pépère avait l’air aussi résistant que son chien car au bout de vingt minutes de fellation, il n’avait toujours pas joui et ce fut le clébard qui éjacula en premier, en m’inondant comme je l’avais prévu.
Quand le chien se fut dégagé et après m’avoir léché la chatte d’où ruisselait son propre sperme, le curé reprit son ceinturon pour me zébrer les fesses afin d’en extirper, selon ses délires, les influences maléfiques. Je les lui tendis afin de bien profiter de ce nouveau plaisir qui prolongeait mon orgasme et même, profitant de ce qu’il ne me les cinglait plus pendant un court instant, j’écartai les deux globes pour bien lui montrer la rondelle.
-  A sorcière ! Tu es également sodomite ! Il faut également que je t’impose une telle souffrance que tu ne sois plus en tentation de recommencer cette abomination.
Et, pour guérir le mal par le mal, il essaya de me forcer, avec difficulté. Alors il plongea sa pine dans ma chatte, y fit quelque allers-retours et quand il l’estima bien préparée, il revint à la charge. Il me déchira le trou du cul et il me pilonna en récitant un mélange de litanie des saints, de formules d’exorcisme en latin  et de jurons obsolètes avant de soulager ses couilles  et me remplir de  semence. Je sentis de puissants jets, preuve qu’il n’avait pas dû se les vider de longtemps.
Il se retira, et s’adossa à un meuble en bois, pantelant, harassé, anéanti, ses jambes décharnées allongées sur le sol, la soutane ouverte laissant apparaitre son corps squelettique et l’énorme pine violacée qui, quoique redevenue molle, gardait une longueur appréciable. Il haletait, en complet état d’hébétude. Je me demandais s’il allait s’en remettre ou calancher sur place.
Je l’interrogeai.  Allait-il bien. ? Il me fit signe de la main de dégager au moment où le berger allemand venait lui renifler le vilebrequin. Le temps que je remette mes vêtements, le vieux n’avait pas bougé d’un poil et et le chien léchait la pine afin de la récurer complètement.
J’ouvris la porte de la sacristie, la refermai sur moi et sortis de l’église. Dans les échafaudages, les deux jeunes mecs me firent un signe discret de la main tandis que le patron me salua en mettant la main à son paquet d’un signe non équivoque.
Je pus reprendre la route pour affronter les 250 km restant, calmée, du moins provisoirement.
A suivre
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