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J'attire tout ce qui a une queue qui pend entre les pattes.

Chapitre 9

Partouze nuptiale 1

Orgie / Partouze
Le problème venait de son ex-femme. Stefan avait été marié quelque temps avec une Anglaise... un jour en fait. Lors de sa nuit de noces il avait invité le témoin (un type à la carrure de gymnaste soviétique, appelé Vladimir) à se joindre à la fête, ce qui n’avait pas été du tout du goût de la nouvelle comtesse qui s’était enfermée dans sa chambre et que son mari n’avait donc jamais pu baiser, autrement qu’avant leur mariage. Elle avait aussitôt voulu divorcer d’un tel débauché. Mon mari n’avait pas répugné à se séparer de cette femme aux formes, certes avantageuses, mais si coincée du cul. Il s’était bien juré de ne point reconvoler sauf à trouver une femme qui partagerait la même conception de la vie de couple que lui, basée sur une absence de fidélité totale et une très large ouverture d’esprit et de cuisses... et un physique à faire bander un pape ou un cimetière. A ce qu’il parait, j’avais le profil.
Le divorce avait été prononcé en France mais pas en Angleterre. Mon mari n’était donc pas célibataire et, la polygamie étant officiellement interdite de ce côté-ci de la Manche, il lui fallait se défaire de la donzelle.
Elle ne le fit pas trop chier pour divorcer selon la loi britannique mais cela prit néanmoins du temps.
Maître Joffrey Laver-Jambois, notre dévoué notaire, venait régulièrement nous donner des nouvelles ce qui lui permettait de me foutre un petit coup de pine en passant. Il nous présenta aussi mon futur témoin, son frère Patrick à la queue très énergique. Un gland bien rond, très épais, scella notre présentation d’un degré d’intimité tel qu’il convient quand on se rend un service pareil. Il aimait le cul, l’animal, plus que son frère qui baisait trop sagement mais qui, rencontres après rencontres, devenait plus sûr de lui et s’aguerrissait.
C’est justement, lors d’une de ces réunions au château que, m’ayant sautée avec un peu plus de résistance que d’habitude et ayant pris du retard sur un prochain rendez-vous, il s’élança rapidement sur les degrés du grand perron, sur lesquels le gel avait encore laissé quelques traces, y glissa et s’y cassa la jambe. J’allais donc lui rentre visite, lui suçait la bite avec beaucoup d’application pour lui dire combien j’étais désolé, ce qui lui fit dire que, pour une pipe comme ça, on se casserait bien la gueule tous les jours, puis, il s’en fut en centre de rééducation pendant quelque temps.
Quand il revint en février, il nous fit une visite et m’ayant sodomisée pendant que mon mari m’enconnait, il nous fit part de la proposition suivante.
— Si Monsieur et Madame me permettent, j’ai rencontré pendant ma convalescence, un jeune agriculteur remarquablement membré...— Amenez-le-nous cher maître.— J’y ai bien pensé Monsieur le Comte mais j’ai peur qu’il nous surclasse. Peut-être plus tard... Pour lors c’est sa voisine qui m’intéresse.— Sa voisine ? vous m’intriguez maître.— Oui, il m’a récemment invité à la partouzer avec son mari, un homme très comme il faut, médecin... et je me suis dit que, pour le mariage de Madame et Monsieur, on pourrait inviter le couple. Elle ferait un pendant féminin à Madame, dont nous manquons cruellement. Elle pourrait se substituer à mon frère comme témoin...— Impossible de me passer de votre frère...— Cela ne l’empêcherait pas de venir.— Et... cette partouze... Bien ?— Si Madame me demande si elle a assuré, c’est incroyable ! Elle est enceinte jusqu’aux yeux et elle se fait monter par deux queues en même temps, et elle pompe jusqu’au jus. Son mari, plus voyeur a cependant des arguments qui, pour n’être pas de compétition, sauront satisfaire Madame la Comtesse. D’autant que, baisant peu, si j’ai bien compris, il a souvent les bourses bien pleines.— Eh bien... Si vous pouvez nous mettre en relation.— Avec votre permission, je m’en occupe dès aujourd’hui.
De mon côté, j’avais demandé au maire de se renseigner sur le vieux curé qui m’avait sautée à mon retour de Paris... Il pourrait faire peut-être l’affaire pour la cérémonie un peu spéciale que Stefan et moi avions imaginée.

Renseignement pris, les gendarmes certifièrent que c’était un authentique vieux curé, à la retraite, complètement fou, qui faisait des sermons dignes du Moyen Âge, mais parfaitement inoffensif... inoffensif, mon cul !
Bref tout fut prêt à temps.
Outre le maire et le vieux curé fou, étaient invités Eric et sa femme Anne-Sophie (ceux de nos lecteurs qui ne les connaissent pas encore, les retrouveront dans tous les chapitres de "Le voisin est un pur-sang") qui portait admirablement sa grossesse, Maîtres Laver-Jambois Joffrey et Patrick, le facteur et Vladimir que mon mari avait invité en lui jurant que de ce coup-là, la mariée ne fermerait pas son huis mais ouvrirait bien ses fesses, à toute la compagnie... Le maire avait si bien fait les choses que, grâce aux gendarmes, il avait aussi retrouvé mes amis du cirque mais le grand-père n’avait pas pu venir. Il n’y avait que le petit-fils qui s’appelait Djidjo, dont la beauté juvénile et les muscles saillants dans un pantalon qui, de surcroît, moulait bien les burnes et le bâton, me promettait encore un fort bon moment de cirque.
Deux femmes, très salopes et neuf mâles bien montés... sans compter les chiens, celui du curé et le nôtre. Mais il nous fut impossible de les sortir ensemble, ils se seraient mis en pièces.
La cérémonie civile eut lieu à la mairie la veille au soir avec le couple Eric et Anne-Sophie. Elle me servit de témoin. Nous avions sympathisé tout de suite. Joffrey servit mon mari, comme il était convenu.
Pour célébrer ce mariage civil dans la plus stricte intimité, nous avions partagé notre lit nuptial avec les membres présents. Il y a un très vieux lit dans la chambre verte. Le matelas est un peu défoncé mais on y tient bien à cinq, dans toutes les positions.
Le mariage religieux eut lieu dans la chapelle du château le lendemain.
Pour le banquet, on m’avait réservé une surprise. Tout ce que j’eus à faire ce fut de mettre les onze couverts dans la salle à manger, ce qui ne fut pas très compliqué, elle peut en contenir quatre fois plus, sans se serrer. La vie de château n’a pas que des inconvénients.
Il y avait naturellement, pour la noce, tenue de rigueur, un dress code strict auquel personne ne devait songer à déroger.
Les hommes, donc, devaient porter un nœud papillon noir et des chaussures vernies avec chaussettes noires (rouge pour mon mari, noblesse oblige). Le nœud papillon de mon mari était rouge aussi. Le maire, en plus, portait son écharpe. On aurait dit une miss France, très masculine et franchement virile. Ça sentait la bête de sexe.

Ils n’avaient aucun autre vêtement. Ils étaient entièrement nus.
L’avant-veille, le vieux curé avait tenu à me confesser et je lui avais avoué mes péchés, y compris ceux à venir ; il avait fulminé me promettant damnation pour tant de stupre, mais cela l’avait excité à tel point qu’il m’avait donné l’absolution à grands coups de goupillon à sperme, et j’avais profité de l’avantage pour obtenir de lui qu’il célébrât entièrement nu. Il voulut bien y consentir pourvu qu’il pût mettre ses souliers et son étole et que je lui garantisse qu’il me ferait à nouveau expier à grands coups de tringle.
Anne-Sophie, escarpins à talons hauts, portait une élégante capeline noire à bandeau crème avec porte-jarretelles assorti, sans rien de plus. La pièce de linge faisait ressortir sa touffe très soignée, superbement entretenue.
Tout le monde était assis dans la chapelle. Mon mari m’attendait sur son fauteuil, le notaire à sa gauche, et Anne-Sophie se tenait à droite près de mon fauteuil.
C’est le maire qui me conduisit à l’autel.
Tout le monde se leva à mon entrée. Le curé et mon mari face à moi et les autres légèrement de dos. Et c’était beau de voir tous ces dos musclés et ses fesses rebondies. En jetant un œil sur le côté on voyait toutes ces touffes masculines et ça triquait déjà pas mal. Le gland du vieux curé, à peine décalotté, dépassait des deux pans très longs de l’étole qui se resserrait au-dessus de son pubis couvert de poils gris.
Je portais un voile blanc, bien sûr, un porte-jarretelles du même, des bas et chaussures assortis.
Je m’étais passé les tétons aux glaçons juste avant pour bien les darder. J’avançais fièrement, le torse bombé pour bien mettre mes appâts en valeur. Je m’étais savamment rasé la touffe pour lui donner une belle forme symétrique.
La cérémonie fut courte, le temps de lire deux textes, d’entendre le curé répéter que les époux se devaient fidélité et que c’était beau de voir en nous un couple aussi uni et ouvert, puis il y eut échange des consentements, bénédiction et fin.
Quand tout fut fini, le curé dit :
— Vous pouvez embrasser la mariée... et me baiser ces deux putes, ces deux chiennes lubriques et provoqueuses (sic) !
Mais, même au printemps, la chapelle est un peu fraîche. Nous nous retirâmes donc dans le salon.Nos amis firent cercle autour de nous. Mon mari m’embrassa sous le vivat, tout en me plongeant deux doigts dans le con.
— Allez, Monsieur le Curé, venez donc donner un coup de votre goupillon sur cette belle motte pour bénir cette union.
Je saisis la bite du curé et commençai à la pomper.— Docteur. Voulez-vous ausculter ma femme pour voir si elle ne risque rien.— Bien sur Monsieur le Comte, mais ne laissez pas mon épouse s’ennuyer pendant ce temps s’il vous plaît.— Mais comment donc !
Alors Eric, pendant qu’accroupie je continuai de pomper le dard de l’abbé, se plaça derrière moi pour me palper les nichons ; Je sentis sa queue bien dure contre mon dos.

— Regarde bien ma chérie, regarde bien, tu vois comme je la pelote ?
A côté, à genoux sur des coussins, Anne-So, en levrette, recevait les hommages de mon mari. Elle suça le notaire qui s’était approché. Et répondit à son homme en levant un pouce en l’air. Les autres types patiemment attendaient qu’on s’occupât d’eux, sans avoir trop besoin de s’astiquer la pine qui tenait toute seule la tête en l’air.
L’atmosphère devint plus ardente qu’à la chapelle et plus d’un fidèle tomba à genoux pour faire ses dévotions.
Si j’avais été susceptible, je me fusse un peu vexée qu’on rendait plus hommage à la future parturiente qu’à la jeune épousée. Il faut dire que ses gros rotoplots pleins de lait qui ballottaient lourdement affolaient tous les mecs. Et puis la jeunesse attire la jeunesse et moi j’étais toujours avec ce curé quasi centenaire qui n’en finissait pas de purger ses burettes dans ma bouche.
Après m’avoir bien palpé les seins et ausculté le con en y introduisant intégralement sa verge jusqu’aux couilles, le docteur entreprit un examen anal. Il devait être expert du toucher rectal car, ce fut un régal. Puis ce fut le tour du vagin pour un même doigté. Mais, se plaignant de la faible longueur de ses doigts, il demanda un examen plus approfondi. Il avait pour cela une sorte d’outil à boules qui donnerait de bien meilleurs résultats assurait-il. Il fallait seulement que je vinsse m’asseoir sur cet "endoscope" à moustache qu’il portait au bas-ventre. L’instrument n’était certes pas des plus gros, sans être cependant de ceux que l’on néglige mais il affichait, en revanche, une rigidité qui promettait un usage optimal.
L’examen qui nique commença par un toucher rectal en bonne et due forme alors que je m’attendais à une visite par la façade principale. J’y eus droit assez vite cependant.
L’osculation s’avéra très professionnelle mais il était patent que notre praticien était plus absorbé par les gémissements de sa dame que par mes encouragements. Bref, ce monsieur prenait son pied à voir tringler sa femme, c’était évident, plus qu’à tringler lui-même.
Et pour être tringlée, elle l’était. Son expérience de la bite sautait aux yeux et elle encourageait les hommes à y aller "dard-dard" alors que ces derniers, par crainte sans doute d’abîmer son ventre rond, se retenaient.
Le mari eut alors l’idée de nous allonger l’une à côté de l’autre sur la banquette.
J’ouvris mes cuisses pour le recevoir pendant que mon mari prenait sa femme. Il adorait sucer ses gros tétons gonflés par la grossesse;
Le couple échangeait.
— Alors, t’en dis quoi hein ma chérie ? Ça te fait quoi ?— Tu es superbe ! Tu aimes ?— Oui.— Elle est bonne ?— D’enfer.
De temps en temps, il attrapait le sein droit de sa femme tout en continuant à me limer.
— J’vais jouir, j’vais jouir, dit-il— Sur ses seins, mon amour. J’veux voir ton sexe entre les seins d’une autre femme.
Il sortit donc et vint se mettre entre mes seins (en écartant momentanément le curé de la scène) que je maintins refermés sur son membre vigoureux.
— Alors ça te fait quoi... hein... de me voir... lààààà dit-il en éjaculant.— Tu es beau, tu es beau... amène-moi ta bite.
Et elle la suça.
— Vous comprenez, dit le mari, c’est la première fois que je baise une autre femme... et en plus devant la mienne.
Il l’embrassa à bouche que veux-tu, pour une pelle au jus extrêmement chaude.Pendant ce temps-là le petit gitan s’était mis à besogner la femme enceinte.Le régisseur-maire était allé chercher le chien. Il n’était en effet un secret pour personne que je m’accouplerais avec l’animal avant d’aller avec celui du curé.
— Le chien, le chien ! criait tout le monde.
Je n’eus même pas à changer de position. Il me suffit juste de mettre un coussin sous mon cul pour être à la hauteur adéquate. Le toutou m’enfila direct. Comme il venait d’arriver, il n’avait pas eu le temps de se gonfler à fond, aussi son bulbe prit-il toute son ampleur dans ma chatte qu’il dilata au maximum me procurant un bonheur immense.
J’en avais au moins pour vingt minutes de ce traitement. Je fus submergée par le plaisir. Et m’agrippai aux flancs de mon amant à quatre pattes pour en apprécier la force et la puissance.
Etant ainsi indisponible, je ne laissai pas d’autre choix aux hommes que de se taper la femme enceinte. Je n’avais pas à les pousser beaucoup car ils semblaient encore plus fascinés par le ventre rond et les mamelles obèses de la femme que par ma saillie.
L’un des gars la mit bientôt à quatre pattes sur le canapé à côté de moi. Ils se succédaient pour la prendre pendant qu’un autre se faisait sucer.
Quant à moi, je gémissais de plaisir et encourageais le chien de la voix et du geste sans oublier de saisir toutes les couilles qui se présentaient à mes mains et de branler de beaux vits qui attendaient sagement une pénétration pour se dégourdir le gland.
De temps en temps, quand un gars prenait la place d’un autre dans sa bouche, la fille jetait un œil vers moi et vers mon bas-ventre en se pinçant les lèvres. Sûrement, elle était intriguée de me voir prendre mon pied avec le clébard, et quel pied !
— Ça te brancherait d’essayer une fois ?— Avec le chien ?— Sûrement pas, répliqua aussitôt le mari d’un ton sec, cassant, définitif.
Il ne put pas voir le visage de sa femme qui fronça les sourcils et eut une moue de déception. Au moins pouvait-elle se rattraper avec les gars qui la fourraient et qui les uns après les autres éjaculaient pendant qu’inlassablement le chien emplissait mon vagin de son jus par petites giclées régulièrement espacées qui donnaient à sa bite la cadence d’un métronome à sperme.
Le vieux curé, le notaire et son frère, le futur papa avaient déjà éjaculé. Les autres hommes étaient plus résistants. Quand le chien, à son tour, vida ses couilles dans mon vagin, il restait quelques belles bites à sucer... ou à prendre dans le cul... ou les deux.
Le facteur avait une prédilection pour la fellation, tandis que Vladimir se délectait de piner mon trou plein de jute.
Ddjidjo manifestait un intérêt certain pour les trous de balle qu’il chauffait à grands coups de queues en broyant nos seins de ses mains puissantes comme des mâchoires d’acier.
Les autres mecs mataient et attaquaient déjà l’apéro au champagne. Il est vrai que bouffer la chatte nourrit jusqu’à un certain point. Nous n’en étions pas encore aux hors-d’œuvre...
A suivre
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